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Les 17ème Journées thématiques des sapeurs-pompiers s’ouvrent ce mardi : Auxerre capitale des SDIS de France !
septembre 15, 2020D’ordinaire, c’est Outre-Quiévrain à Ardooie que se déroulent ces traditionnelles journées thématiques annuelles. Celles qui permettent de regrouper durant soixante-douze heures plus de cent cinquante sapeurs-pompiers provenant des quatre points cardinaux de l’Hexagone. Logique, la Belgique accueille l’un des partenaires majeurs des SDIS de France, l’équipementier SIOEN. Crise sanitaire oblige, c’est le centre de formation d’Auxerre qui a eu l’heureuse idée de reprendre au pied levé l’organisation de ce rendez-vous international devant se clôturer ce jeudi…Une grande première.
AUXERRE : Un colloque international concocté trois jours durant dans la bonne ville de Paul Bert malgré les atermoiements imputables à la crise sanitaire, cela n’arrive pas tous les jours, convenez-en ! Eh bien, les représentants du SDIS 89 (Service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne), ont été capables, eux, de relever le défi et ce, de la plus belle des manières !
Disposant d’un centre de formation idéalement situé à la logistique multifonctionnelle, le site auxerrois a retenu les faveurs de l’organisateur national de ce colloque professionnel : le magazine « Soldats du Feu ».
Notre confrère, par la voix de son dirigeant, Carlo ZAGLIA (le seul pompier de France à détenir le précieux sésame de la filière journalistique, la carte de presse !), a été séduit par le cahier des charges que lui avaient suggéré en amont de l’évènement le directeur du groupement des sapeurs-pompiers de l’Yonne, le colonel Jérôme COSTE, et son président, le vice-président du Département, Christophe BONNEFOND. Il ne restait plus qu’à valider le tout et à se lancer dans cette belle aventure. Devenir pendant trois jours la capitale des SDIS de France !
La COVID-19 s’invite parmi les grands thèmes de réflexion…
Pour cette édition bourguignonne exceptionnelle, le thème central de ce rendez-vous se consacrait à la gestion des contaminations. Vaste programme, en vérité, puisque ces dernières peuvent être de différentes strates sur le terrain opérationnel ; à commencer par les infections virales, inhérentes à l’omniprésence de la COVID-19.
Cet item fut précisément abordé lors des tables rondes où un partage de connaissances autour d’ateliers dynamiques où circulait la parole permit aux représentants des 62 SDIS de l’Hexagone d’y voir un peu plus clair.
Second sujet qui ne manquera pas d’interpeller les participants à ce colloque international (présence de Belges et de Suisses) : la toxicité des fumées, danger numéro un pour les soldats du feu en intervention.
Parmi les thématiques abordées lors des six tables rondes, on notera celle portant sur l’impact financier sur les évolutions réglementaires et les nouvelles procédures d’entretien ou plus technique pour les profanes, l’analyse du risque pour les liaisons inter-EPI (cagoule, gants, casque, vestes, sur-pantalons…).
Mercredi, les sapeurs-pompiers présents à cette manifestation inaugurée en début d’après-midi par Christophe BONNEFOND rencontreront des partenaires industriels sur des workshops répartis dans la cour centrale du SDIS de l’Yonne.
Avant de pouvoir s’entretenir avec un représentant de l’Etat qui se déplacera spécifiquement à Auxerre le lendemain lors d’un temps d’échange. Un colloque également synonyme de belles retombées pour l'économie locale (hôtellerie/restauration) qui n'en demandait pas tant !
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Afin d’en doter ses modèles, BMW accroît la fabrication de batteries haute tension en Chine
septembre 14, 2020L’usine de batteries haute tension de TIEXI en Chine a vu ses capacités de production s’accroître au cours de ces dernières semaines. Objectif pour le constructeur d’Outre-Rhin : équiper au plus vite l’un des fleurons de sa gamme électrique, la iX3…
PARIS: BMW a décidé de mettre les petits plats dans les grands en matière de conception de batteries haute tension visant à équiper ses modèles électriques.
L’un des sites chinois où est conçue la cinquième génération de batteries, à TIEXI, a doublé sa capacité de production, bénéficiant aussi d’une extension complète de l’usine.
Ces nouveaux équipements devraient être installés d’ici peu dans la BMW iX3, l’un des fleurons de la gamme.
Présente en Chine où elle souhaite investir environ 620 milliards de dollars cette année pour ériger un nouveau complexe industriel à Shenyang, capitale de la province du Liaoning dans le nord-est, la firme allemande possède deux autres infrastructures localement.
Grâce à sa filiale, BMW Brillance Automotive, l’enseigne d’Outre-Rhin a déjà conquis de solides parts de marché dans l’ex-Empire du Milieu, commercialisant 720 000 de ces véhicules sur la seule année 2019.
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Une pointure de VALEO au colloque de la mobilité : Michel FORISSIER séduit par l’engagement de l’Yonne !
septembre 12, 2020Fil rouge de la Journée spéciale consacrée à la mobilité électrique et à ses enjeux environnementaux, cette figure charismatique de l’univers automobile (RENAULT, MATRA, VALEO) s’est dit conquis par les potentialités existantes sur notre territoire en matière de transition énergétique. Qualifiant au passage la capitale de l’Yonne de « La Mecque du GNV ! ». Une citation faisant référence à la station de Gaz Naturel Véhicule opérationnelle depuis plusieurs années…
AUXERRE : C’est un ambassadeur de tout premier choix, fidèle à la cause automobile qui était l’éminence grise de cette manifestation concoctée par l’UIMM, le MEDEF et le groupement aéronautique GISAéro cette semaine. Débutant sa carrière chez RENAULT, Michel FORISSIER, exégète des systèmes thermiques et de la sécurité automobiles, a bifurqué par la suite chez l’industriel VALEO où il occupe une fonction de « Chief Technology Officier » au sein du pôle Systèmes de propulsion.
Un titre de haute volée qui n’altère nullement la jovialité et le sens du relationnel de ce personnage qui avait la lourde tâche d’incarner le rôle de fil d’Ariane de ce premier évènementiel consacré à la mobilité électrique dans l’Yonne.
Introduisant la manifestation par une conférence où il exposa sa propre vision de l’évolution de la voiture dans le monde, Michel FORISSIER eut ensuite l’opportunité de répondre aux questions pertinentes du journaliste automobile, Laurent MEILLAUD.
La station de GNV focalise les intérêts…
Découvrant la capitale de l’Yonne, l’orateur, une « vieille » connaissance de Jean-Marc DENIS de la Maison de l’Entreprise, fut convié au terme de cette journée à proposer la synthèse finale de l’animation, étayée de trois tables rondes (le coût de la mobilité électrique pour l’entreprise, les enjeux de l’hydrogène et les retours d’expérience…).
Michel FORISSIER a fait part de son agréable surprise autour des potentialités et des engagements pris en Bourgogne Franche-Comté, et plus spécifiquement ceux qui sont tangibles sur le territoire de l’Yonne et de sa capitale, qualifiée de « La Mecque du GNV ! ». Une allusion non dissimulée à la station de Gaz Naturel Véhicule, à l’initiative de la société de transport PICQ et CHARBONNIER.
Quant à la présence d’autant de concessionnaires sur le parvis de la Maison de l’Entreprise (une trentaine de modèles électriques et hybrides y était exposé), elle aura satisfait l’ingénieur de l’école centrale de Lyon. Ce dernier pouvait regagner Paris avec le sourire après cette belle journée…
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Prise de risque à l'AJA ? Jean-Marc FURLAN va lancer le Brésilien JUBAL dans le grand bain…
septembre 12, 2020Face à la solide équipe de Clermont (5ème du championnat la saison dernière) qui ne se déplace pas pour faire de la figuration, le coach auxerrois n’a d’autre alternative que de propulser dans l’arène sa nouvelle recrue. Arrivé il y a peu sur les bords de l’Yonne, le nouveau défenseur central de l’AJA sera-t-il fin prêt pour livrer bataille ?
AUXERRE: Le choix est cornélien. Mais, pour autant, existe-t-il d’autres pistes de réflexion ? Incorporé il y a seulement quelques jours dans l’effectif de la formation bourguignonne, l’ex-pensionnaire du club portugais de Setubal devrait selon toute vraisemblance fouler pour la première fois la pelouse de l’Abbé Deschamps ce samedi soir face aux Auvergnats de Clermont Foot.
En présence d’une équipe qui possède l’une des meilleures défenses centrales de Ligue 2, il fallait automatiquement mettre du répondant pour contrecarrer aussi les velléités offensives des visiteurs qui ne manqueront pas de se distinguer.
Le coach de l’AJ Auxerre Jean-Marc FURLAN l’a bel et bien confirmé avec son sens analytique habituel et sa verve non dénuée d’humour: le Brésilien JUBAL occupera bien le rôle clé de la défense auxerroise à l’occasion de cette troisième journée.
Toutefois, l’ancien U 19 des « Auriverde » sera-t-il pleinement en mesure de jouer les quatre-vingt-dix minutes de la rencontre ? Les premières séances d’entraînement ont néanmoins montré que le sportif était en parfaite possession de ses moyens, malgré l’absence de matchs amicaux durant la mini-période de trêve observée à cause du calendrier international.
L’entraîneur auxerrois prend donc le pari de l’aligner pour dynamiser une défense centrale qui était encore en déliquescence la saison dernière.
Un risque, peut-être, car les automatismes avec les autres défenseurs ne seront pas encore rodés. Mais, fin tacticien, le coach de l’AJA prend plaisir à relever le défi et à accorder sa confiance à ce nouveau rempart défensif dont Auxerre avait grandement besoin…
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La répartition du plan de relance pose question : pourquoi ne pas doter davantage l’économie verte ?
septembre 11, 2020L’humanité paie un lourd tribut en termes de vies humaines. L’impact social, économique et financier de la pandémie marquera, pour longtemps, notre époque. Les décès annoncés représentent pour une part, des catastrophes humaines à venir. La pandémie n’est pas jugulée mais surtout, on oublie toujours les morts qui accompagnent les faillites économiques et la misère des peuples en souffrance !
TRIBUNE : L’Afrique bien sûr. Mais aussi l’Inde et la Chine. N’oublions pas l’Occident et son cortège d’indigents qui meurent dans la rue (600 décès enregistrés en France en 2018). Le plan de relance du locataire de Matignon a oublié les plus pauvres…
Pour le logement social, on a surtout pensé à transférer un milliard d’euros de l’ancien 1% Logement vers le budget de l’Etat. Avec pour l’instant, aucune affectation particulière…Idem pour les très petites entreprises et autres profession libérales. C’est un plan pavé de bonnes intentions mais sans aucun chiffrage précis !
Un faible montant (1 milliard) sera consacré aux relocalisations. Une volonté affichée : produire ce qui est indispensable à notre économie. Une précision importante apportée par Bruno LE MAIRE : « Relocaliser, ce n'est pas faire revenir des productions à faible valeur ajoutée en France », alors que les industries ont souvent délocalisé pour faire des économies.
Sept milliards consacrés au plan hydrogène...
Voilà un investissement qui n’a jamais démontré sa rentabilité. Et surtout une production liée à l’électricité. Rappelons que l’énergie vient du nucléaire, que l’Allemagne a stoppé son programme de démantèlement des centrales nucléaires et qu’elle nous achète de l’énergie électrique lorsqu’elle est en rupture.
L’Etat prévoit que pour produire l’hydrogène, nous utiliserons de l’énergie verte dont le coût de production est nettement supérieur au nucléaire. Sur quel programme ? Alors que nos voisins Outre-Rhin se focalisent sur l’éolien, les Verts nous proposent la fin des centrales nucléaires et un éolien à petite dose. Les associations locales sont promptes à lever les boucliers de l’esthétisme dès que l’on veut construire des parcs d’éoliennes ! Cerise sur le gâteau : l’Europe a laissé filer en Chine la fabrication des panneaux solaires ! De plus, la production d’hydrogène n’est pas générateur d’emplois à court terme !
Et l’agriculture dans tout ça ?
Le volet agricole du plan de relance absorbe seulement 1,2 milliard du budget de ces cents milliards ! Le budget agricole consacrera 545 millions pour l’accélération de la transition agro-écologique. Une goutte d’eau face aux besoins et aux enjeux.
Confinement oblige, délaissant les courses à l’hypermarché situé à l’autre bout de la ville, les consommateurs ont redécouvert les commerces de proximité et les produits locaux. Un gros bémol cependant : la fermeture des marchés extérieurs (moins exposés que les grandes surfaces) et leurs nombreux étals bio. Le bio et les productions alimentaires locales ont pourtant la côte. Ils ont passé haut la main l’épreuve du confinement.
A titre d’exemple, dès la première semaine de confinement, le taux de rupture des pâtes alimentaires était de 19 % alors que les pâtes bios progressaient de 131 % ! Il est évident que les ruptures de stock dans les grandes enseignes ont profité aux boutiques bios. Ceci a permis aux clients que les écarts de prix bio/traditionnel, n’étaient pas nécessairement en faveur des enseignes classiques. Parfois, le bio peut se révéler moins cher !
Qu’en est-il de la région Bourgogne-Franche-Comté ?
Les 550 000 agriculteurs de la région participent, pour une part de plus en plus importante, à la confection des 15 millions de repas servis dans les écoles chaque année.
La région, souhaite développer la filière bio. Les cantines scolaires s’approvisionnent à hauteur de 50 % des achats, des productions locales, dont 20 % de bio ! La région se targue d’être la première région verte de France. Le bio concerne les secteurs de prédilection : céréales, légumineuses, vigne, fruits, légumes, plantes aromatiques et médicinales, arbres fruitiers. On élève en bio des bovins, des vaches laitières, des porcs, des ovins, des caprins, des volailles, des escargots et mêmes des abeilles comme au GAEC « La Roseraie » dont les miels bios sont présents chaque samedi sur le marché de Clamecy.
Les productions locales dont le bio ont le vent en poupe !
Tous les indicateurs donnent de l’optimisme aux producteurs bios. Le chiffre d’affaire progresse et les habitudes alimentaires subissent de profondes mutations. Ne plus stocker le périssable, manger bio, manger les fruits et les légumes de saisons, identifier les réseaux locaux de distribution, cibler le bio dans les grandes enseignes de la distribution, cultiver un petit jardin même sur son balcon, …
Toutes ces précisions pour insister sur le fait que le budget alloué à l’agriculture et surtout au bio semble dérisoire.
Les comportements à l’échelon des professionnels évoluent lentement. La production peu onéreuse d’azote réactif, utilisable par les plantes, a complètement bouleversé l’agriculture.
Dans les années 60, elle formait l’un des quatre piliers de la « révolution verte » (?) qui a permis de nourrir une planète en très forte croissance démographique : sélection de variétés à haut rendement, pesticides, irrigation et engrais chimiques.
Très récemment, le ministère de l’agriculture a autorisé l’utilisation de produits de traitement des betteraves, jusqu’alors interdits ! Les producteurs de maïs poussent des cris d’orfraie pour une autorisation identique ! Allons, un peu de sérieux, si on mange moins de foie gras pour les fêtes, on s’en remettra !
Toutes les dérives de production alimentaire, d’industrialisation sans règles bien édictées et respectées ont sans doute contribuées à la pandémie du COVID19 et les crises sanitaires à venir, si on en croit quelques spécialistes.
On constate que la réduction des activités humaines a fait chuter, momentanément, la pollution. Cela a permis à la flore et à la faune d’occuper un peu plus l’espace. Les canards ont défilé dans Paris et les sangliers à Barcelone, on a vu des rorquals barboter au large des calanques de Marseille… Profitons-en pour apprendre à partager notre espace vital avec les autres espèces !
Malgré les directives de distanciation sociale, globalement respectées, le besoin de « vivre ensemble » émerge avec force. Les élans de solidarité envers les populations en difficulté se multiplient : effet positif des réseaux sociaux ! Respirer de l’air pur à plein poumon et entendre le chant des oiseaux : voici les grandes découvertes de la crise sanitaire !
Jean-Paul ALLOU
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