Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Lucullus s’invite à la table des FESTINS et lui offre un nouvel accessit gastronomique !
décembre 05, 2018Connu à travers l’histoire pour le faste de son train de vie et surtout de son appétence pour les arts de la table, le sénateur et ancien général de la Rome Antique ne pouvait s’imaginer que son patronyme traverserait un jour les siècles et deviendrait illustre auprès des…épicuriens et gastronomes du monde entier ! En Bourgogne Franche-Comté, l’appellation « Lucullus » est associée à celle de la table. C’est sous ce vocable quelque peu historique et teinté de souvenirs latins que la Foire internationale de Dijon valorise désormais à chaque édition les artisans des métiers de bouche et des arts de la table. L’un de ces spécialistes, FESTINS, a bénéficié le mois dernier de cette aura aux sources sémantiques séculaires…
CHEMILLY SUR YONNE : Vitrine du savoir-faire et de la dextérité professionnelle des artisans des métiers de bouche, la « Table de Lucullus » évoque l’esthète épicurien. Un homme d’état, avant tout, et général de l’armée qui menait grand train à Rome entre 116 et 56 av J.C. !
Pourtant, le patronyme de l’auguste romain, le César de la bombance et de la gastronomie gargantuesque, n’est pas sortie des tablettes de l’histoire. Loin s’en faut ! Le nom de Lucullus rappelle les arts de vivre et la mise en exergue de la gastronomie internationale depuis des lustres.
Début novembre, la Foire internationale de Dijon qui a fait sienne des principes culinaires du premier épicurien reconnu par l’histoire, proposait aux professionnels des métiers de bouche (restaurateurs, traiteurs, bouchers, charcutiers, boulangers, pâtissiers, fromagers,…) d’exposer leurs réalisations de manière artistique. Une mise en valeur, toujours très appréciée par les artisans et le public qui se régale de manière onirique devant les tables savamment décorées.
Un 08 novembre béni des dieux, par Jupiter !
Que s’est-il réellement passé le 08 novembre dernier, journée de présentation dévolue aux équipes des FESTINS ?
Toujours est-il que le jury de ce traditionnel rendez-vous pour gastronomes aguerris a souhaité auréoler l’entreprise de l’Yonne en lui décernant le diplôme d’honneur de la « Table de Lucullus 2018 ».
Il est vrai que les experts de la réception, du traiteur et des cérémonies protocolaires n’avaient pas lésiné sur les moyens, en concevant une table de rêve flamboyante autour de leurs univers professionnels : le mariage, les cocktails, le partage, la convivialité, la naturalité.
Bref, une vision paradisiaque pour les jurés qui n’ont pu résister devant les fruits ô combien succulents de cette tentation gourmande idéale pour aiguiser les papilles.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Conférence : séance de vulgarisation autour des effets indésirables du cannabis, fléau de notre société…
décembre 01, 2018Proposée par l’Association française des dépendants en rétablissement (AFDER) en partenariat avec le Réseau de santé mentale de l’Yonne (RSMY) et l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI), cette intervention grand public aura pour socle informatif la découverte des multiples dommages occasionnés par le cannabis sur les personnes qui en sont dépendantes. Cette conférence verra la présence sur scène de Sandra MARCELLIN, psychologue au RSMY et Julien CHARTIER, président national de l’AFDER, réunis à l’amphithéâtre de l’IFSI à Auxerre ce mardi 04 décembre à 20 heures pour une séance explicative…
AUXERRE : La consommation de cannabis connaîtra-elle un jour la voie de la démocratisation dans notre pays ? A l’instar de plusieurs états européens, dont les Pays-Bas et l’Espagne qui ont déjà statué en ce sens, d’aucun pense en France qu’il est grand temps de vulgariser l’usage de ce produit illicite, bien au-delà de son emploi à des seules fins thérapeutiques.
Pourtant, c’est un tout autre signal d’alarme qui sera tiré mardi soir dans le vaste amphithéâtre de l’IFSI, l’Institut de formation en soins infirmiers du centre hospitalier d’Auxerre.
Ce lieu d’enseignement pédagogique pour les futures professionnelles de santé accueillera une conférence publique passionnante, consacrée à cette substance. Ce sera aussi une excellente opportunité de mieux en appréhender les effets insidieux sur le comportement de ses consommateurs.
D’ailleurs, l’envie grandissante de socialisation de cette résine néfaste au psychisme humain inquiète de plus en plus les spécialistes de la question. Par exemple : le directeur de la résidence Mémoires de Bourgogne, un EHPAD qui accueille des personnes âgées sur la commune de Perrigny, Philippe WATTECAMPS.
Sensibiliser l’opinion publique avec le concours des réseaux influents
Sensibilisé à ce problème, il s’est mobilisé en sa qualité de professionnel du milieu sanitaire et social pour faire partager ses craintes sur la banalisation du cannabis en France.
Au même titre que l’alcool et le tabac, le cannabis est considéré comme une plaie béante dans la société contemporaine. Le responsable de l’établissement de gérontologie n’a pas hésité à prendre l’initiative de porter ce projet de causerie officielle.
En l’espace de quelques semaines, et avec la complicité de partenaires sérieux du sérail sanitaire dont l’Agence régionale de Santé (ARS), le Conseil départemental de l’Yonne et la Caisse primaire de l’Assurance maladie, il a monté de toute pièce ce projet qui a pris échos auprès du président national de l’AFDER, Julien CHARTIER.
Ce dernier effectuera le déplacement depuis l’Ile de France mardi soir pour expliquer ce qu’est la structure associative qu’il préside en présentant son programme d’aides.
Le choix de l’IFSI s’imposait en parfaite logique. Le centre de formation prépare les futures infirmières.
Premiers temps fort de l’intervention, les commentaires de la psychologue Sandra MARCELLIN, du RSMY, rappelleront les interactions positives et négatives de la substance dans ses cadres préventifs et curatifs. Les effets délétères de la résine sur ces utilisateurs y seront expliqués.
Puis, Julien CHARTIER séquencera son propos en deux items : la présentation et le rôle de l’AFDER avant d’aborder dans le détail les programmes d’aides existants pour arriver à décrocher totalement de ce fléau. Il devrait évoquer également les protocoles mis en place par deux cliniques en France qui ont adopté des techniques particulières importées des Etats-Unis.
Ouvert à tout public, l’entrée de cette conférence est gratuite. La capacité d’accueil de l’amphithéâtre étant de deux cents places, il est recommandé de réserver en se manifestant auprès de la référence suivante : 06.61.66.40.33.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
« Jardin de soi » : le jardin d’Eden intimiste de Christelle LOURY se partage avec le public à Sens…
novembre 30, 2018Encore auréolée de sa série de concerts qu’elle a donnés au Théâtre des Muses dans la principauté monégasque, la chanteuse icaunaise clôt l’année 2018 de la plus belle manière qu’il soit. Elle invite ses fidèles mélomanes à la suivre dans son cheminement artistique lors de deux ultimes prestations, proposées dans sa ville natale de Sens. Les 15 décembre, sur la scène du coquet théâtre local, l’interprète des œuvres éternelles de Piaf et de Barbara offrira un florilège de morceaux, issus du répertoire éclectique de la chanson française. Cerise sur le gâteau : la « jolie fleur » de ce « Jardin de soi » hétéroclite dévoilera ses compositions personnelles. Immortalisés, les récitals seront captés en perspective d’un premier opus en live…
SENS : Samedi 15 décembre à 16 heures et à 20h30. Ce sera un ultime tour de piste à honorer pour l’artiste sénonaise, avant qu’elle ne tire le rideau sur une année particulièrement dense. Ces deux récitals qu’elle accorde à son public originel, celui de sa ville natale qui l’a toujours suivi depuis ses débuts, ne devraient pas être dépareillés des autres rendez-vous scéniques qui caractérisent ses remarquables prestations.
Chaleureux, enthousiastes, enivrants, magiques. En communion fusionnelle avec son public, l’ambassadrice de charme de cette terre de l’Yonne, dynamique et lyrique, exporte les facettes protéiformes de son talent au-delà des frontières de l’hexagone.
La tessiture de sa voix, cristalline, mêlant puissance et douceur, joue sur les octaves et la respiration. Elle se pose délicatement sur les textes écrits par des auteurs qui ont su servir avec panache les plus grands noms de la chanson et variété françaises.
« Jardin de soi » : un voyage intimiste parmi l’univers de l’artiste
Barbara, Piaf, Greco, mais aussi Dalida, Jeanne Moreau ou encore Françoise Hardy s’invitent avec délectation sous la lumière des projecteurs dès que la « Môme » Christelle entre dans la danse.
Le set se déroule ainsi pendant près de deux heures avec bonheur, grâce à l’interprétation sensible d’une artiste qui ne triche pas avec ses émotions. Ni avec celles et ceux qui l’apprécient.
Nous conviant à un voyage intimiste dans ce « Jardin de soi », la chanteuse, devenue mâture et ultra professionnelle jusqu’au bout des ongles depuis qu’elle promène sa silhouette sur des scènes internationales (Pologne, Russie, Etats-Unis…), grâce au travail dévoué de son époux, Pierre, manager, producteur et organisateur de concerts parfois improbables, baisse la garde.
Déjà à travers le sens déontologique de ce double récital, baptisé « Jardin de soi ». Une subtile référence littéraire qui se joue de l’étymologie autour du jardin secret (celui que l’artiste porte bien ancrée en elle), du jardin d’Eden (ce côté paradisiaque qu’elle souhaite procurer à ses aficionados lors de ces précieux instants partagés sur scène) et du simple jardin botanique, où éclosent de belles pépites, ces pétales de roses qui prennent l’apparence de chansons superbement distillées, formant d’incomparables bouquets de fleurs à l’envoûtante beauté.
Ensuite, parce que pour la première fois, la chanteuse se met à nue. Par le truchement de ses textes et compositions. Christelle LOURY, femme rebelle mais aussi femme conquérante dans ce milieu artistique parfois machiste revendique les atours de la féminité. Les conditions de celles-ci au cœur d’une société où elles sont de plus en plus malmenées…
Fraîches, incisives, narratives : ces chansons qu’elle a su élaborer patiemment en prenant le temps de la réflexion et du phrasé juste évoque l’amour, le quotidien de l’existence, la vie, tout simplement. L’auteure flirte aussi avec des thèmes plus actuels comme l’environnement.
Le calibrage hors pair d’instrumentalistes de métier
L’inaltérable compagnon de route musicale, pianiste et arrangeur de son état, François MAGNIER officiera de manière prépondérante derrière le piano. Lui, le musicien qui a collaboré avec Michel LEGRAND, Robert HOSSEIN et Luciano PAVAROTTI. Excusez du peu, mais l’artiste de l’Yonne sait s’entourer de réelles pointures pour porter haut son niveau de prestation scénique. Christelle a choisi de confier les notes de basse à un ancien partenaire du regretté Didier LOCKWOOD, Flavio PERRELLA.
Leader du groupe « BUZZTOWN », le guitariste Hugues RENAULT régalera le public de sa virtuosité, en égrenant les notes avec dextérité technique. Quant au batteur et percussionniste, qui complète ce quatuor, Jean-Baptiste PINET, il est issu de la grande famille des musiciens de jazz. Autant le dire : c’est un surdoué des fûts et des toms.
Et le public, dans tout cela ? Outre le principe naturel de venir applaudir l’artiste pour la qualité de sa prestation, il aura lui aussi un rôle essentiel à interpréter. En parfaite osmose avec la philosophie et le concept participatif de ce spectacle.
Une petite carte lui sera remise avant le show. Ce document servira à cocher les préférences musicales de chacun. Les morceaux les plus plébiscités par l’auditoire devant constitués ensuite la liste de chansons qui figurera sur l’enregistrement public. L’album, soit sous la forme d’un CD, soit disponible en téléchargement sur le numérique, permettra de prolonger ces instants de magnificence culturelle dont on ne se lasse jamais.
Christelle LOURY en concert au théâtre de Sens le 15 décembre 2018 à 16 h et à 20h30.
Réservation : 03.86.83.81.00.
Site : www.theatre-sens.fr
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Dominique AGUILAR, conquise par l’éclectisme visuel de l’artiste Emmanuelle MICHAUX
novembre 27, 2018Présente au vernissage de la nouvelle exposition accueillie à l’Espace culturel de l’hôpital, l’édile de Tonnerre s’est dit très satisfaite de la pertinence artistique proposée par le travail de la cinéaste/scénariste Emmanuelle MICHAUX. Découvrant avec grand intérêt l’œuvre de l’artiste franco-suisse, Dominique AGUILAR a salué l’ingéniosité créative de la jeune femme et la qualité d’une exposition qui offre une dynamique culturelle de belle envergure à l’agglomération tonnerroise…
TONNERRE : Disposant de l’Hôtel-Dieu et s’appuyant sur la présence d’un complexe cinématographique labellisé « Art et Essai », la ville de Tonnerre possède de solides atouts à faire valoir dans le domaine patrimonial et culturel. Sans omettre l’Espace spécifique de l’hôpital, devrait-on ajouter !
Admirative devant le travail intimiste et insolite de la cinéaste/scénariste Emmanuelle MICHAUX, le maire de Tonnerre Dominique AGUILAR s’est félicité de la qualité des expositions qui sont dorénavant accueillies sur le site. Appréciant l’éclectisme de ses créateurs qui se posent durant plusieurs semaines dans cet antre de la culture, l’élue n’a pas boudé son plaisir de découvrir les subtiles finesses de l’imaginaire, inculquées par l’artiste, au détour d’un photogramme ou d’un tableau.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Emmanuelle MICHAUX ressuscite les anonymes d’autrefois leur donnant un souffle de vie grâce à l’image
novembre 27, 2018A la croisée des mémoires individuelles et collectives, l’artiste franco-suisse décline un énigmatique travail visuel conçu autour du culte du souvenir. Invitant le public de l’Espace culturel de l’hôpital de Tonnerre vers un étrange voyage, entre la vie et la mort. La jeune femme propose un mix insolite de vidéo, photogrammes, peinture, collages et feuille d’or qui nous incitent à côtoyer de singuliers personnages de la vie ordinaire. Un rameur qui s’exerce à la pratique de l’aviron sur un plan d’eau. Un homme et une femme qui flânent à pas lent sur une plage. Cet espace d’éternité est à admirer jusqu’au 31 janvier 2019. S’il sublime l’existence par le rendu qualitatif de ces témoignages sur clichés, il pousse aussi à l’introspection au plus profond de soi et vers la transcendance…
TONNERRE : L’au-delà inspirerait-il l’approche artistique de la brillante Emmanuelle MICHAUX ? Petite déjà, la future professionnelle du monde des arts puisait dans un imaginaire exacerbé pour en tirer la quintessence subliminale offerte par l’image. A l’âge de 12 ans, la jeune fille, digne héritière de son père qui épousait les causes passionnelles du cinéma amateur, se projette dans sa première réalisation cinématographique. Traitant, au passage, un sujet complexe et abscons mais ô combien symbolique.
Qu’on en juge : son personnage central, une femme venue de l’au-delà, entraîne un jeune adolescent avec elle. Le mot « fin » apparaît dans les mains du garçon. Ce plan définitif clôt ce premier opus de manière abrupte.
Préserver la vie et la mémoire des êtres s’inscrit donc comme une priorité absolue dans ce travail intense, concocté par une artiste multicanale. Vidéo, photogramme, œuvres picturales, mais aussi travaux de collages et de feuille d’or représentent autant de vecteurs d’expression qui offrent la liberté et une magnificence à l’artiste, originaire de la région parisienne.
Faire ressurgir la mémoire des êtres…
Ce travail mémoriel, Emmanuelle, le dévoile aux aficionados de l’Espace culturel du séculaire hôpital de Tonnerre. Après l’exposition « Prendre Soin » (2017), celle exotique mais empruntée d’une force mystique et religieuse consacrée à l’Ethiopie de Paola VIESI, et plus récemment, « Résonance de la Couleur », à l’estampille de Caroline COPPEY (2018), voici le temps de « Réparer le Monde », une exposition troublante arborant la signature d’Emmanuelle MICHAUX.
Conçue à partir de la collection personnelle de son père, dont le regret dû à l’absence pèse de tout son poids autour de chaque pièce de l’exposition, l’œuvre d’Emmanuelle MICHAUX se distille comme des morceaux de films en super 8 par petites touches. Ce sont ces fragments de vie qui ressurgissent ainsi de façon inopinée dans ce curieux espace visuel. Sur les murs de l’ancienne pharmacie hospitalière. Mais aussi, à même le sol. Voire dans les écrans cathodiques, placés çà et là, qui diffusent en boucle vidéo et photographies.
Développant un méticuleux travail de sauvegarde, la cinéaste/scénariste insuffle de la vie à ses multiples personnages, anonymes et dont elle ne connaît pas elle-même les cheminements de l’existence, les rendant plus accessibles et plus proches encore.
Un subtil espace de résilience pour les visiteurs…
Cet assemblage de tranches de vie, mis bout à bout, créé un fascinant puzzle. Chaque brique s’intègre à la perfection parmi ce maelström de visages furtifs, joyeux, tristes, distants et secrets.
Le travail de la jeune femme n’est pas sans rappeler la méthode japonaise du « Kintsugi ». Il s’agit dans ce cas précis de réparer les porcelaines ou les céramiques brisées au moyen de laque saupoudrée d’or. Ici, les aspérités de la pellicule ne sont pas gommées. Bien au contraire, Emmanuelle MICHAUX en souligne les blessures et la fragilité. Préservant ainsi le fondement authentique de sa création.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99