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Notre-Dame de Paris va retrouver sa flamboyance sur les toits : les chênes de Groupama y pourvoiront…
mai 17, 2021La reconstruction de la charpente de la cathédrale Notre-Dame de Paris ne se fera pas seule. En effet, Groupama Immobilier gère différentes forêts issues de son important patrimoine foncier. Des chênes y sont marqués avant d’y être prélevés. Objectifs : ces arbres serviront à redonner sa flamboyance à l’édifice et à sa flèche imaginée par Viollet-le-Duc…
PARIS : La flèche symbolique de la cathédrale Notre-Dame de Paris est l’œuvre d’Eugène-Emmanuel VIOLLET-LE-DUC, célèbre architecte du XIXe siècle. A l’initial, elle fut démontée à cause de son mauvais état entre 1792 et 1797. Un concours avait été lancé en 1842 pour sa restauration.
Ce dernier avait été remporté en 1844 par Jean-Baptiste LASSUS et Eugène-Emmanuel VIOLLET-LE-DUC. Jean-Baptiste LASSUS décéda en 1857. Il ne participera pas de fait à la restauration de la fameuse flèche. Constituée de 500 tonnes de bois, 250 tonnes de plomb, cette structure de 96 mètres de haut a vu le jour en 1859 grâce à l’imaginaire et aux croquis d’Eugène-Emmanuel VIOLLET-LE-DUC.
Or, à la suite du terrible incendie du 15 avril 2019, la charpente et la flèche ont été détruites. Un réel choc pour beaucoup de citoyens français qui a suscité des réactions nationales mais aussi internationales. La cathédrale de Notre-Dame de Paris est avant tout l’emblème de la ville tant au niveau architectural que culturel avec le roman éponyme de Victor HUGO. Reconnue universellement, ce sont environ 13 millions de visiteurs qui la découvrent chaque année.
En juillet 2020, la ministre de la Culture Roselyne BACHELOT avait déclaré aux médias que la reconstruction de la flèche se ferait à l’identique.
Groupama Immobilier aidera à restaurer ce symbole de l’art gothique…
La Société Forestière Groupama, entité gérée par Groupama Immobilier, a marqué différents chênes qui proviennent de ses forêts de l’Eure. A la suite de ces marquages, les arbres seront prélevés en guise de dons pour contribuer à la reconstruction de la flèche partie en fumée.
Au total, sept chênes âgés de 160 à 180 ans élevés en forêt de Conches (27) ont été choisis en compagnie du président de la Fédération Groupama de l’Eure Dominique AUBIN ainsi que du directeur général de Groupama Immobilier Eric DONNET, venus avec deux des trois architectes en charge de la reconstruction de l’édifice gothique.
L’idée de Groupama n’est pas nouvelle. L’assureur mutualiste s’était engagé à faire ces dons dès le lendemain de l’incendie.
Ce projet est devenu collectif. En effet, il est aussi porté par l’interprofession France Bois Forêt qui est présente pour coordonner les prélèvements des chênes que ce soit dans les forêts privées ou celles publiques qui occupent le sol français.
Jordane DESCHAMPS
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Le MUSEO Parc d’Alésia rouvre le 19 mai : Vercingétorix est plus fort que la COVID-19 par Toutatis !
mai 17, 2021Cette fois, c’est sûr : l’équipe du MUSEO Parc entrevoit enfin le bout du tunnel ! Après avoir connu des hauts et des bas, côté humeur, tant les incertitudes et les fausses joies s’étaient accumulées au cours de ces dernières semaines. Une première fois annoncée, puis remisée sous le manteau, la réouverture du site touristique de Côte d’Or est enfin acquise pour ce mercredi 19 mai. Mais, sous certaines conditions…
ALISE-SAINTE-REINE : L’impatience est non feinte parmi les collaborateurs qui travaillent au succès de cette aventure entamée il y a déjà plusieurs saisons. D’ici quarante-huit heures, ce haut lieu du tourisme régional ouvrira ses portes après de longs mois de fermeture.
Une réouverture attendue par beaucoup mais qui devra se conformer aux consignes sécuritaires en vigueur, eu égard à la pandémie de la COVID-19 et à l’application stricto sensu des inévitables gestes barrières.
Dès mercredi, petits et grands auront la faculté de pouvoir s’immerger dans cet univers consacré aux Gaulois en découvrant une exposition spécifique pour les enfants dédiée à leurs habitudes alimentaires. Elle sera agrémentée de différents ateliers (cuir, argile, cuisine –décidément très en verve ! -, verrerie et mosaïque).
Une exposition temporaire sera visible jusqu’à fin juin. C’est un nouvel éclairage informatif qui expliquera que les Romains étaient amateurs, entre autres, de la chair de flamants roses ! Plus sérieusement, les férus d’archéologie auront le loisir d’apprécier une collection de pièces uniques retrouvées sur le site, théâtre de la fameuse bataille où Jules César vainquit le célèbre chef gaulois.
La technologie et la magie du 3D plongeront les visiteurs dans l’univers d’une ville antique. Un voyage virtuel insolite pour mieux s’imprégner de l’urbanisme et de la vie quotidienne des habitants de l’époque.
Des nouveautés à la pelle qui se découvriront durant tout l’été…
Quant à l’exposition permanente, elle ne sera pas accessible pour le moment, étant toujours en travaux. Toutefois, un espace de découverte sur l’histoire d’Alésia sera aménagé dans l’atrium afin de livrer quelques clés à la compréhension du lieu.
Côté nouveautés, signalons un jeu, décliné sous la forme d’un « escape game » baptisé la « Furie d’Alésia ».
Les participants se glisseront dans la peau d’un journaliste enquêtant sur un certain nombre d’énigmes à résoudre sur la cité gallo-romaine, mettant en scène le Gaulois EBERIUS.
Un programme alléchant de nouveautés (Festival Image Sonore, la nouvelle scénographie, organisation d’un week-end de sports antiques, spectacle de la reconstitution de la célèbre bataille…) étoffera les journées estivales. Nous y reviendrons plus en détails dans un autre article.
Enfin, pour les amoureux de la nature, profitez de votre séjour pour contempler les 35 moutons qui paissent sagement aux abords des bâtiments.
Ils sont issus de la race « romane » dont les brebis sont réputées pour être maternelles et câlines. Un clin d’œil appuyé à l’environnement que la direction met en exergue depuis des années avec une multitude de partenariats pour protéger les oiseaux, les insectes et la végétation.
En savoir plus :
Compte tenu des règles sanitaires, il est fortement conseillé de réserver sa visite à l’avance sur le site www.alesia.com ou par téléphone au 03.80.89.95.20.
Possibilité de restauration à emporter avec le restaurant Le CARNYX.
Tarif réduit durant la période de fermeture de l’exposition permanente à 6,50 euros pour les adultes et 8 euros avec la visite des vestiges.
Thierry BRET
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Un opéra bouffe en guise d’hors d’œuvre au théâtre : que frappent les trois coups et que la fête commence !
mai 12, 2021Fermé depuis six mois en raison de la crise sanitaire, le théâtre d’Auxerre rouvrira ses portes au public jeudi 20 mai avec à l’affiche une fantaisie lyrique autour du téléphone de Menotti. Un spectacle vivant porté par les étudiants de l’Ecole Supérieure de Musique, qui sera suivi début juillet par trois jours de fête et de convivialités musicales mettant en avant les artistes en résidence au théâtre…
AUXERRE : Eteignez vos portables, installez-vous vous bien dans votre fauteuil, ouvrez grands vos yeux et vos oreilles et laissez-vous porter par la musique ou le spectacle … ! Un scénario qui depuis le 30 octobre dernier, date de début du second confinement et de la fermeture des théâtres, relevait de la fiction. Autant dire que l’annonce du plan de réouverture des lieux culturels avec places assises à compter du 19 mai aura été vécue par tous comme une délivrance. Pierre KECHKEGUIAN, qui œuvre à la direction du théâtre d’Auxerre depuis neuf ans, ne cachait pas son plaisir gourmand ce lundi à en présenter le programme de réouverture, avec à ses côtés, George BASSAN, présidente de l’Association Icaunaise de Diffusion Artistique (AIDA). Une double satisfaction même, puisque la veille, les intermittents du spectacle qui occupaient le théâtre depuis le 21 avril avaient quitté les lieux dans la soirée. Une occupation qui n’était pas sans conséquences financières explique George BASSAN : « considérées d’un point de vue juridique comme du public, les personnes présentes jour et nuit, nous ont mis dans l’obligation d’assurer un gardiennage de sécurité, pour un coût d’environ 5 000 euros par semaine, soit l’équivalent du prix moyen d’un spectacle, réduisant d’autant notre budget… ». Saluant au passage avec le directeur, l’état de propreté dans lequel les occupants avaient rendu les lieux.
Un opéra bouffe pour démarrer la saison…
A l’affiche du spectacle de réouverture, jeudi 20 mai : « Le téléphone », un opéra bouffe de Gian Carlo Menotti, fruit du travail mené depuis deux ans par les jeunes chanteurs de l’Ecole Supérieure de Musique de Bourgogne Franche-Comté. Une formation qui depuis deux ans avait pris ses quartiers au théâtre d’Auxerre. Initialement prévu le 30 avril dernier, ce spectacle entièrement gratuit sera agrémenté d’une fantaisie lyrique reprenant les grands airs des comédies musicales américaines. La réservation sera ouverte dès ce mercredi. Mais, il faudra faire vite car la jauge autorisée par l’exécutif n’est pour l’heure que de 35 % de la capacité d’accueil, soit à peine plus de 200 places assises. Priorité sera donc donnée aux personnes ayant initialement réservé cette représentation.
Suivront du 01er au 03 juillet trois jours de spectacles mettant en avant des artistes actuellement en résidence au théâtre d’Auxerre, comme Nathalie PERNETTE et sa Compagnie de danse éponyme, ou Sébastien VALIGNAT autour de son spectacle « Love me ». Une programmation enrichie de soirées « after » conviviales et musicales ou « d’apéros concerts » avec notamment l’ensemble de musique baroque « Les Epopées », de reconnaissance internationale. Avant le traditionnel rendez-vous de rentrée, début septembre, pour la présentation officielle des spectacles de la prochaine saison. Une programmation qui devrait reprendre pour moitié celle de cette année, mais « quelques belles surprises » sont d’ores et déjà annoncées fait remarquer Pierre KECHKEGUIAN, qui se refuse à envisager un éventuel quatrième confinement : « ce serait une véritable catastrophe ! ».
Dominique BERNERD
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L’école nationale vétérinaire de Maisons-Alfort a fermé son site au domaine de Crouzilles. « Il n’y avait plus de porosité avec le village » indique le maire, Eric PAURON. Les six dernières personnes vivaient en vase clos. Elles sont parties. Faute de gardiennage, des vols d’outillage et équipements ont été constatés. Les quatre personnes « clefs » de la nouvelle vie du village se sont réunies pour envisager l’avenir…
CHAMPIGNELLES: Ce fut un excellent réflexe. Comme le designer star Thomas DARIEL lui confiait son grand projet, François GUYARD, alors maire de Tannerre-en-Puisaye, lui a fait rencontrer Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre (CCPF).
Il a la charge du développement économique du territoire. Ce dernier a très vite compris l’opportunité. « Ce fut alors un long marathon semé d’embûches, mais, avec Thomas DARIEL, nous avons rencontré le préfet, Henri PREVOST » rappelle le président. Heureusement, le représentant de l’Etat a saisi l’enjeu.
« Il fallait expliquer le projet et faire comprendre qu’une superficie minimale nous est indispensable » complète le designer, fort d’avoir réuni plus de trente hectares.
Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI devait rappeler que « l’enseignement, la diffusion du savoir, c’est dans les gênes de Champignelles ».
Il insiste : « Grâce à ce campus, des artisans d’excellence vont être attirés ici. D’ailleurs, la Maison Normand s’installe déjà. » Sa directrice Elisabeth LEBEGUE a sauvé l’entreprise et décidé son déménagement de Saint-Amand-en-Puisaye à Champignelles, après avoir rencontré Thomas DARIEL.
La MaNa, comme « manufacture nationale », est le nom de baptême de l’ensemble créé par celui-ci. La formation dispensée s’adresse à des professionnels diplômés, déjà actifs. Ils sont architectes, ébénistes ou autres. Ils sont attentifs aux évolutions des usages et désireux de se perfectionner.
En recherche d’évolution et d’excellence, ces professionnels veulent innover, dans le choix des matériaux comme dans celui des formes et fonctionnalités. A côté des salles de conférences, ils disposent d’espaces de travail et de production. Les programmes proposés varieront de deux à douze semaines, en résidence.
Un concept créatif unique en France…
« La superficie est nécessaire car les stagiaires vont avoir la possibilité de créer des maquettes à l’échelle un » précise Thomas DARIEL. Ainsi un architecte pourra construire une représentation de villa à sa taille normale. « C’est unique en France » souligne le créateur.
Les équipements du campus sont étudiés en conséquence. Dans le bâtiment central, les ateliers individuels voisinent avec une riche bibliothèque de matériaux, des plus anciens à ceux du futur. Pour le travail du métal, une ferronnerie prend place dans un bâtiment indépendant, bientôt doté de sa forge. D’autres ateliers sont répartis sur le domaine, à l’exemple de la menuiserie ou de la céramique.
Naturellement, le campus est relié au village par une voie douce. Un garage de vélos est prévu. Dans un premier temps, quinze chambres sont aménagées dans la maison de maître, avec tous les équipements nécessaires.
Le campus ainsi créé est le vaisseau amiral. Des artisans d’excellence vont s’installer dans ce lieu et alentour. Ce positionnement est à l’image de ce que le faubourg Saint-Antoine fut pour la menuiserie parisienne.
Le bouillonnement induit par la « MaNa » est précieux pour des professionnels soucieux d’échanger leurs expériences.
« La Puisaye est par tradition une terre d’excellence pour les métiers d’art » rappelle le président de la CCPF.
Créée en 1736, la Manufacture Normand est la plus ancienne manufacture de grès de France. Elle apporte son prestige, telle une perle sur la couronne en construction. Depuis sa reprise par Elisabeth LEBEGUE en 2017, elle a obtenu le label « Entreprise du Patrimoine Vivant » (EPV).
Elle fournit le Château de Versailles, pour le Hameau de la Reine. En effet, à partir d’un ancien modèle de pot répertorié par le conservateur, une fabrication nouvelle a été développée. Le grès ne gèle pas. C’est essentiel pour un usage en extérieur.
Pragmatique, le président Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI refuse de tirer des plans sur la comète. Cela ne l’empêche pas de répéter que « grâce à l’énergie de Thomas DARIEL, l’avenir de Champignelles, « Cité des Métiers d’Art », s’annonce florissant ».
Thierry CARABIN
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Elle a déjà publié deux romans : les mille-et-une vies de Céline HOLYNSKI façon melting-pot !
mai 08, 2021Sa plume est humoristique. L’idéal par les temps qui courent ! Pendant une quinzaine d’années, celle qui a voulu être comédienne a réalisé son rêve. En fréquentant les planches et plateaux en qualité d’actrice mais aussi d’autrice, d’humoriste et de metteuse en scène. Mais, c’est en écrivaine qu’elle se dévoile à nous du fait de son actualité...
AUXERRE : Débuté en avril 2020, après six mois d’écriture, le deuxième opus proposé par ce personnage pétri de talents vient de voir le jour. En faisant abstraction d’une avalanche de péripéties qu’il aura fallu gérer à bon escient ! Problème de stocks, soucis à l’impression avec des chapitres de l’ouvrage absents de ce rendez-vous livresque… : Céline HOLYNSKI aura dû faire montre de patience pour ne pas y perdre son latin !
Scénariste (elle a œuvré pour des séries de la télévision ou pour des documentaires dont le commanditaire n’était autre que Julien COURBET), cette spécialiste des one-man show est une touche à tout ingénieuse qui est même passée durant un temps par les studios de Sud Radio où ses chroniques égayaient l’auditoire amusé.
Auteure de la pièce « Les Bons cons font les bons amis », l’artiste crée sa propre chaîne « You Tube » qui lui permet de partager et d’expérimenter ce nouveau mode d’expression. Grand bien lui en a pris il y a quatre ans puisque Céline accueille plus de 145 000 abonnés et propose l’équivalent de 150 vidéos sur ce média.
« Des tutos ? Je ne sais pas faire explique-t-elle et je n’ai pas le matériel pour réaliser de la fiction ! Alors, au final, je pose des vidéos à vocation humoristique où j’y distille parfois un peu de réflexion. Voire des questionnements existentiels ou rien du tout ! ».
L’humour est son fer de lance. Cela se traduit dans son travail scriptural. Elle aime le rappeler : son meilleur canal de communication, c’est l’écriture. Et ce depuis le collège où une professeure de français lisait à voix haute ses dissertations ! Une véritable révélation !
De l’humour avec quelque chose en plus…
En janvier 2020, l’écrivaine publie son premier ouvrage. Le nom intrigue : « Tarot, rupture et confiture ». Un opuscule édité par Larousse. L’héroïne, Camille, va vivre de nouvelles pérégrinations dans un second livre, baptisé de manière tout aussi loufoque : « Biberon, vodka et déambulateur » !
L’objectif de ces deux volets romancés est atteint : faire rire et divertir le lectorat. Mais, un rire auquel elle ajoute des zestes de réflexion.
A travers les pages, l’héroïne est en reconquête d’estime personnelle. On y évoque aussi le temps qui s’égrène et le fait de trouver sa place parmi la société. On y décèle aussi une petite coquille avec deux chapitres 11 dans le même ouvrage : une fantaisie comme une petite tâche de naissance.
L’idée d’une trilogie ? Pourquoi pas ! Un troisième opus existera peut-être in fine, clôturant ces aventures rocambolesques de Camille.
Céline HOLYNSKI se remet également de son immersion intense vécue durant près de trois mois au Brésil. Elle y a rencontré des personnages incroyables, vivant dans les favelas qui ont des parcours de vie anachroniques et qui s’en sortent.
Une extraction de sa zone de confort qui lui a permis de se transformer intérieurement, prétexte sans doute à un nouveau roman ?
En savoir plus :
https://www.youtube.com/channel/UC7M__bPGgcxiBzjAG0CZ52w/featured
Thierry BRET et Maryline GANDON
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