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CHEMETALL en acteur de la biodiversité : des ruches seront bientôt installées sur le site industriel de Sens…
mars 11, 2020La présence d'un rucher au sein d’une entreprise est loin d’être inconcevable en soi. Le phénomène qui n’a rien de modal s’amplifie d’ailleurs en France depuis plusieurs années. Et lorsque l’on dispose de onze hectares de terrain, où la nature a presque repris ses droits, il est facile d’y intégrer des colonies d’abeilles à son environnement ! L’unité de production sénonaise de la filiale du géant de la chimie, BASF, a sollicité des spécialistes de l’apiculture pour réussir cette implantation. Une manière intelligente et coordonnée de réaliser des choses favorables à la sauvegarde et à la préservation de la nature…
SENS : Un poids lourd de l’industrie chimique qui agit en faveur de la protection de l’environnement ? Ce n’est pas un pléonasme. Mais, bel et bien la réalité parfaitement maîtrisée au sein de la filiale de la société allemande, BASF, le groupe CHEMETALL.
Sur les quatorze sites implantés dans l’Hexagone, onze d’entre eux sont déjà engagés dans cette démarche environnementale très louable. Nouvellement en poste à Sens, Patrick GRUBERT, directeur de l’unité de production de l’Yonne, ne pouvait rester indifférent à ce message fort, véhiculé au sein du groupe.
Ni se soustraire à suivre les traces déjà bien profondes marquées sur le terrain local par son prédécesseur, M. FOUCAUD. Ici, dans cet espace pourtant à risques et classé SEVESO, la biodiversité tient sa place.
Il suffit pour s’en persuader de se promener aux abords des bâtiments industriels et de contempler avec surprise une nature verdoyante où s’ébattent des représentants de la faune sauvage. A commencer par les oiseaux et les ragondins ! Ils vivent en nombre aux abords de la petite rivière qui coule parmi ses parcelles de terre en friche.
C’est ici que seront installés dans quelques jours les ruchers. Dans un endroit retiré de la vie industrielle et à l’abri des regards de la présence humaine. L’enjeu est important pour Patrick GRUBERT qui ne le trouve absolument pas chronophage.
Autour de cet espace, des jachères fleuries faciliteront l’implantation des colonies d’abeilles en faisant office de réservoir nourricier. Il est souhaitable que les insectes pollinisateurs disposent d’un territoire où la nourriture soit abondante. C’est là qu’entre en jeu l’apiculteur qui aidera au développement de ces colonies. En fonction de ses analyses, il apportera le complément alimentaire nécessaire aux besoins vitaux des abeilles.
Une présence insolite de la faune sauvage et de plantes sur le site…
Construit en 1930, ce site industriel assure une production annuelle de 30 000 tonnes par an. Des produits à la toxicité lourde qui servent au traitement de surface (lessivage, dégraissage, protection anticorrosion…) et sont utilisés auprès des groupes industriels de l’automobile, de l’aéronautique, de l’industrie métallurgique.
Il n’empêche que la prolifération de martin-pêcheur, de poissons dans le ru qui s’écoule en arrosant les joncs et les plantes aquatiques, offre un contraste étonnant. Il existe bel et bien un biotope à préserver dans ce lieu qui aurait pu paraître hostile sur le papier.
Le programme d’implantation des ruches débutera en avril. C’est l’association des apiculteurs de l’Yonne qui en assurera la manœuvre technique. En respectant le cahier des charges de la responsable du projet biodiversité au sein de CHEMETALL France, Sandrine LEBLOND.
Cette dernière possède l’expérience requise et un véritable recul analytique sur le sujet. Le groupe industriel a déjà exploité le filon sur l’un de ses sites à Clermont de l’Oise où une production de 150 kg de miel a été obtenue en 2018 sur une zone de 43 hectares, bondée de cervidés et d’animaux de la faune sauvage.
Un mariage entre industrie et nature plausible…
Déployé en mai 2011 à l’échelle hexagonale, ce programme d’optimisation de la biodiversité sert de référence à la filiale française de BASF. Rappelons que le poids lourd de la chimie internationale possède trois cents unités industrielles et emploie plus de 110 000 collaborateurs !
Cet ancrage vers le développement durable aura fait l’objet d’une signature de convention partenariale dans le cadre du concept « ACT FOUR NATURE » par le président de BASF France en personne, Thierry HERNING.
Près de soixante-dix entreprises et une vingtaine de structures partenaires y réfléchissent avec assiduité à la sauvegarde de l’environnement. A l’aide de fiches techniques, chacun des projets est consciencieusement étudié. A l’instar de la faune, de la flore, des insectes qui occupent ces zones.
En 2019, alors que soixante-et-une personnes étaient impliquées sur les projets environnementaux développés par les onze sites de CHEMETALL, 176 heures de formation furent données et 26 actions de communication avec la présence de onze partenaires extérieurs furent réalisées.
Aujourd’hui, ces observateurs atypiques de la nature ont dénombré 172 espèces végétales répertoriées sur les onze sites à l’étude, et comptabilisées des nichées d’oiseaux et d’hirondelles.
Comme quoi, le mariage entre le monde industriel et la nature se révèle tout à fait plausible grâce à de telles initiatives.
Un article réalisé en partenariat avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens.
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Le monde découvre les effets pervers des M.F.T. : les maladies financièrement transmissibles !
mars 09, 2020Les investisseurs boursiers doivent anticiper l’évolution des cours des sociétés cotées ou des indices. Leurs prévisions sont alimentées par les rapports et les pronostics des économistes ! La grande nouveauté, c’est que pour la première fois, dans une histoire financière vieille de 5 500 ans, les rapports de santé impactent directement la finance et les bourses du monde ! Nous découvrons les liens économiques entre la Chine, les Etats-Unis et la France…
TRIBUNE : L’ensemble de ces relations commerciales nous fragilise encore plus dans ce contexte : la globalité devient une faille ! La chute des cours du pétrole est combinée à une baisse significative de la croissance mondiale (prévision très réaliste).
De nombreuses entreprises sont déjà en décroissance. Certains spécialistes vont même jusqu’à imaginer une récession planétaire ! Un troisième élément doit être pris en compte : l’insécurité des investisseurs vis-à-vis de l’avenir. Les risques inflationnistes, la chute du dollar, et surtout le spectre de la pandémie : c’est un cocktail de choc qui fait paniquer les investisseurs. Pétrole-bourses-méfiance : une trilogie qui nous entraine irréversiblement vers le Krach !
La méfiance des investisseurs vis-à-vis du futur met en lumière la dimension psychologique du boursicoteur, même professionnel, et le contraint à faire des actions contagieuses et irrationnelles ! La Chine devient ainsi le point nodal de notre réflexion.
Qu’avons-nous appris (ou réappris) du coronavirus ? Les économies françaises, européennes, américaines sont dépendantes de la Chine. La production automobile, notamment française, est affectée par l’arrêt de sites industriels chinois. Certaines matières premières venant de Chine sont bloquées à cause du confinement…
Notre dépendance vis-à-vis de certains produits est quasi-totale : 95 % des batteries électroniques proviennent de Chine et plus de 80 % des composants de médicaments…
Alors ? Les plus naïfs proposent de changer de fournisseurs ! Ah oui !? Pour obtenir un agrément pour fabriquer des médicaments, il faut compter au moins quatre ans…
Nous consommons moins d’énergie et surtout moins de pétrole : chute vertigineuse des cours du brut (plus de 30%). Cette chute aggrave la situation boursière : les sociétés qui gravitent autour de ce secteur (pétrochimie…) sont impactées. De véritables réactions en chaîne surviennent ce qui dramatise encore plus l’avenir de nos économies et de la finance.
Il est grand temps d'acheter les valeurs perdantes...
Les états s’appauvrissent : il y a moins de ressources fiscales, plus de chômages, plus de d’aides de l’état et moins de cotisations sociales…Bref : l’endettement progresse fortement… Cerise sur le gâteau : il y a également moins de ressource TVA et moins de richesse dégagée (PNB).
L’anticipation des boursiers face à une situation mondiale qui contient les germes de la récession conduit les traders à conseiller la vente de titres. Or, les investisseurs sont en manque de liquidité : ils sont d’ailleurs de plus en plus nombreux ! Ils doivent vendre à n’importe quel prix pour rembourser leurs dettes…
Par contre, avec un peu de cynisme, on peut conseiller à celles et ceux qui ont du liquide disponible, d’acheter les actions qui ont le plus chuter. Par exemple, Sélectour et Havas Voyages ont perdu plus de 45 % !
On ne peut encore chiffrer l’impact économique, social et financier de la chute de l’activité des grandes entreprises cotées, sur les PME sous-traitantes ainsi que sur les sous-traitants des sous-traitants…
Cette crise mondiale n’est pas sans rappeler celle de 1929 ! Ne nous y trompons pas.
Aujourd’hui, la globalisation mondiale de l’économie et de la finance, les masses financières en cause et la vitesse de circulation des ordres de bourse, réalisées à la nanoseconde font de 1929 une légère brise vis-à-vis du cyclone qui nous attend.
Seule une régression rapide du coronavirus pourra atténuer les effets secondaires de la crise. Un bon moral et un regard positif vers l’avenir constitueront les meilleurs préservatifs pour cette nouvelle « M.F.T. » : la maladie financièrement transmissible qui a plongé le monde dans la « coronacrise » !
Pour sourire un peu : imaginons un dialogue entre deux traders allongés sur la plage: « Pierre ? » - « Oui Louis » - « La mer monte » - « Achète ! »…
Jean-Paul ALLOU
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Le Vatican comme on ne le voit jamais : Saint-Pierre de Rome déserté par les touristes…
mars 06, 2020D’ordinaire, de deux à trois heures d’attente sont nécessaires pour espérer pénétrer à l’intérieur de la célèbre basilique vaticane. Un premier cas de coronavirus, détecté sur un patient accueilli dans le centre médical situé à l’intérieur du plus petit état de la planète, modifie la donne de manière drastique. Personne n’ose plus s’aventurer sur le parvis du fameux édifice érigé à la gloire de la chrétienté…
ROME (Italie) : Epargné jusque-là malgré la prolifération de l’épidémie dans la péninsule italienne, le Vatican, micro-état de la taille d’un confetti encastré dans la capitale de l’Italie, vient de s’ajouter à son tour à la longue liste des nations contaminées par le coronavirus.
Jeudi, un premier patient atteint par la maladie y a été détecté. Semant l’effroi parmi la population qui recense moins d’un millier d’habitants.
Il n’en fallait pas davantage pour réduire la présence du nombre de touristes qui se comptent déjà sur les doigts d’une seule main. L’affluence aux abords de la grande place, au pied de Saint-Pierre de Rome, s’est singulièrement minimisée.
Alors que l’Italie, deuxième pays au monde en nombre de décès et troisième en termes de contaminations s’interroge sur les suites à venir, les rares visiteurs de la célèbre cité papale apprécient au moins le bon côté des choses. Profitant à bon escient, et surtout très seuls, de somptueux musées qui renferment des œuvres inestimables : la ville toute entière leur appartient !
D’autant que les professionnels du tourisme sont en effervescence depuis plusieurs jours : la moitié des établissements hôteliers de Rome a dû procéder à des annulations intempestives sur la période du mois de mars. Sombres perspectives à quelques jours des fêtes pascales…
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Le principe du tirage au sort pourrait-il sauver la démocratie lors des rendez-vous électoraux ?
mars 03, 2020Notre démocratie est en danger. Tout le monde en parle depuis longtemps et ce phénomène ne concerne pas uniquement la France. La défiance des électeurs vis-à-vis de la classe politique accélère l’abstention, c’est bien connu. Mais la méfiance des élus vis-à-vis de leur propre fonction se fait aussi ressentir. Nombreux sont les maires qui ne veulent plus se représenter. 10 % de la population ne sont pas inscrits sur les listes électorales ! Si on ajoute le poids des abstentionnistes dans ce paysage, même le président de la République ne serait plus représentatif de la majorité des français. Si tel était le cas, notre pays deviendrait alors de plus en plus ingouvernable…
TRIBUNE : L’abstention est la phase la plus aboutie de la contestation du pouvoir. Récemment, la Suisse, la Colombie-Britannique, l’Irlande ou l’Islande ont dû faire face à ce phénomène contagieux à travers la planète en pratiquant le tirage au sort. Un mode opératoire servant à désigner certains de leurs responsables.
Le tirage au sort, c’est la forme originelle de la démocratie. A partir du VIème siècle avant J.C., la Grèce opte pour ce principe afin de nommer ses hommes politiques et ceux qui rendent la justice (la première forme des jurys d’assises).
Périclès accentue cette réforme participative des citoyens en attribuant des indemnités aux participants (temps passé, coûts des distances à parcourir, salaires perdus…).
Montesquieu dans « L’Esprit des Lois » ouvre une réflexion sur le tirage au sort : « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie, le suffrage par le choix est de celle de l’aristocratie… ».
Dès 1789, nos braves révolutionnaires crient « à bas la calotte », rejettent la fraternité, trop empreinte des valeurs chrétiennes, et excluent le peuple des fonctions électives. Il faut des compétences reconnues pour être élu !
Il nous reste donc la liberté. Oui, mais pour qui ? Il faut reconnaître que nous sommes passés à une monarchie constitutionnelle dès 1789. Nos révolutionnaires mettent alors en place les jurys populaires aux tribunaux d’Assises.
Hélas, notre République a gardé le régime de Vichy : c’est-à-dire qu’elle a imposé au peuple la présence de magistrats. L’Etat musèle donc le peuple ! Le référendum est certainement une belle expression de la volonté populaire. A contrario, du RIC (Référendum d’initiatives populaire depuis 2008) où les élus sont beaucoup trop présents pour le choix des thèmes soumis aux citoyens.
Le cas très particulier de la Belgique, fonctionnelle sans gouvernement !
Mais, il y a encore plus fort que le tirage au sort : c’est l’absence de gouvernement ! En 2011, la Belgique s’offre le luxe d’un pays sans équipe gouvernementale : cette situation va durer 541 jours !
Malgré quelques manifestions contestataires, dites des « moules-frites », nos amis belges sont devenus philosophes : « Avec ou sans gouvernement, quelle différence ? ».
Depuis 2018, c’est un bis repetita perpétuel : les Belges n’ont toujours pas de gouvernement ! Est-ce pour autant que cela va plutôt mal pour eux ? Non bien sûr, les plus provocateurs vont jusqu’à dire : « la situation se présente sous de meilleurs auspices qu’auparavant ! ».
Notons que le vote par tirage au sort mobilise peu à peu les énergies intellectuelles. Aujourd’hui, des politiques, des philosophes, des sociologues s’intéressent à ce sujet autour de son schéma applicatif, de ses avantages et contraintes…
Imaginez les économies : plus de frais de campagne électorale, de sondages et le calme revenu, enfin, sur les plateaux de télévision ! Ce serait le terme des « fake news » politiques. Et de la prégnance du chronomètre sur ce type de rendez-vous télévisé !
C’est-à-dire que les journalistes qui interviennent lors des débats organisés pour les présidentielles, serviraient à autre chose qu’à simplement mesurer le temps de parole de chaque participant !
Même si les journalistes vont avoir peur de la fin des élections, ils auraient toujours la possibilité de se rabattre sur les vrais problèmes sociétaux des Français : le travail, la précarité, la pauvreté, la misère, l’écologie…
Mais si tout citoyen peut être élu demain, ne serait-ce pas ouvrir la boîte à Pandore et conforter aux postes clés de purs amateurs ?
Ne soyons pas méprisants vis-à-vis de ces derniers qui seraient issus de la société civile ! Rappelons qu’en football, par exemple la Coupe de France, les amateurs font parfois beaucoup mieux que les professionnels.
Suivons pour une fois les consignes récentes exprimées par le président Emmanuel MACRON, haranguant à ses troupes : « N’ayez pas peur d’être des amateurs ! ».
Alors, debout les amateurs, et soyez prêts à vous en remettre au hasard du tirage au sort électoral pour le bien de la Nation !
Jean-Paul ALLOU
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Les lycées VAUBAN et AMYOT y seront plébiscités : la rectrice confirme sa présence au Trophée Egalité…
février 17, 2020Les prix se nomment « Trophée Egalité ». Ils seront décernés dans la seconde partie de matinée du jeudi 20 février lors d’une cérémonie protocolaire qui verra la présence de la rectrice de l’académie de Dijon et d’un représentant de l’Etat.
AUXERRE : Accueilli dans l’enceinte du lycée des métiers Vauban, le futur évènement se peaufine déjà depuis quelques semaines pour celles et ceux qui en assument la logistique et l’organisation.
Ce moment fort de la vie éducative de notre territoire bénéficiera de la participation de Nathalie ALBERT-MORETTI, rectrice de l’Académie de Dijon. Cette dernière a, en effet, confirmé qu’elle effectuerait le déplacement depuis la capitale régionale pour assister à cette remise honorifique de récompenses.
Après la phase des discours officiels, les projets des différents lauréats profiteront de cinq minutes d’explication afin de mieux s’en imprégner.
Une fois le déjeuner avalé (il est servi sur place), un temps de visite sera proposé pour les élèves, les personnels des autres établissements présents et les invités.
Rappelons que ces Trophées Egalité avaient été décernés lors du colloque consacré aux femmes et les métiers du vin, en mai dernier. Sous la houlette de Claire DUCHET, déléguée départementale de l’association FETE (Carrefour des métiers au féminin), la manifestation avait réuni une vingtaine de professionnelles issues du milieu viticole (viticultrices, cavistes, négociantes, guides touristique…) autour de la question de l’insertion professionnelle des femmes dans ce secteur d’activité.
Les services académiques n’avaient pas manqué de décerner leur coup de cœur de ces trophées égalité/mixité à cette initiative pertinente du lycée Vauban…
Les lauréats de ces Trophées Egalité sont :
Côte d'Or : collège Paul Fort à Is-sur-Tille,
Nièvre : collège Henri Wallon à Varennes-Vauzelles,
Saône-et-Loire : collège Victor Hugo à Lugny,
Yonne : lycée Jacques Amyot à Auxerre.
Notons que le prix Coup de cœur reviendra à l’hôte de cette manifestation, le lycée des métiers Vauban à Auxerre, dont la proviseure n’est autre que Capucine VIGEL.
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