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S’inspirant de Léo FERRE et de Jim MORRISON, Éric CANTONA a fait son retour au théâtre d’Auxerre : la surprise du chef !
octobre 18, 2023Accueillir en ses murs un ancien joueur de l’AJA en résidence, avant de lui prêter sa scène pour un concert en avant-première mondiale restera sans nul doute un moment unique dans l’histoire du théâtre municipal d’Auxerre. Rencontre avec un homme au talent protéiforme qui ne finira jamais de surprendre.
INTERVIEW : De l’aveu même de l’intéressé, ce n’est pas souvent que Guy ROUX a la larme à l’œil pendant un concert. La dernière fois dit-il, c’était pour Léo FERRE, un grand « Monsieur » de la chanson auquel il n’hésite pas à vous comparer, heureux de vous l’avoir fait connaître un jour dans un bus qui transportait l’équipe, êtes-vous fier de cette filiation ?
Eric CANTONA « Oui c’est vrai et depuis, je ne l’ai jamais lâché, j’ai même eu la chance de le rencontrer un soir, au théâtre Toursky, à Marseille. Une belle filiation en effet, comme avec Alain BASHUNG ou Gérard MANSET. Dans mon processus d’écriture, Léo était présent, comme Jim MORRISON, RIMBAUD, ou ARTAUD. Je ne sais pas si j’étais dans le besoin de les rencontrer de façon spirituelle, en tous les cas, ce sont des gens qui m’ont énormément inspiré, avec une écriture qui vient des entrailles…
Dans quel contexte écrivez-vous, comment vient l’inspiration ? Ecrire 21 chansons, ce n’est pas rien.
« Elle peut venir à n’importe quel moment, avec ce besoin de prouver un sentiment de liberté quand je suis en train de l’exprimer, quel que soit le support utilisé, peinture, photo, écriture ou musique. Ça peut me venir n’importe quand, jour et nuit, même s’il y a des moments où l’on est plus inspiré que d’autres. Et d’ailleurs, mes morceaux, je les écris sur papier, l’ordinateur, c’est trop lent. J’ai une écriture très impulsive, spontanée, automatique, presque subconsciente. En fait ces chansons sont ce qu’elles sont parce qu’elles sont écrites dans cet état d’esprit, même si après, je ne veux pas que l’on entre dans mon univers, mais dans un univers permettant à chacun d’y trouver une inspiration.
Pourquoi avoir choisi Auxerre et son théâtre pour cette avant-première ?
« Auxerre fait comme Marseille et Manchester partie de mes villes de cœur. Cela aurait pu être Marseille, c’est ma ville natale et d’ailleurs, on va y jouer deux soirs de suite, mais Auxerre reste ma première grande sensation. J’ai eu la chance d’avoir des parents et une famille, magnifiques, mais quand on a 15 ans, que l’on s’en va à 700 km de chez soi, à l’époque, c’était déjà le bout du monde. Je me souviens que je rentrais aux vacances de Noël et l’été, je prenais le train, d’Auxerre à Laroche-Migennes où je chopais le Paris-Vintimille, c’était souvent le soir. J’arrivais à 6h du matin après une nuit dans une couchette superposée… Quand on a 15, 16 ou 17 ans, c’est un grand sentiment de liberté dont je parle d’ailleurs beaucoup dans mes chansons.
Vous avez un jeu de scène assez sobre, enchainant les chansons sans lien entre elles, c’est un choix délibéré ?
« Sans doute parce qu’elles sont cohérentes entre elles. Mais cette nuit, c’est ce que je me suis mis à faire justement. Ici à Auxerre, c’était une avant-première, j’étais concentré sur les morceaux, mais c’est vrai, il y a des liens à créer à un certain moment entre les chansons et le public, même s’il fait que cela reste dans le sens de ce que j’écris…
En quoi a consisté votre travail pendant ces cinq jours de résidence au théâtre ?
« Nous avons travaillé le jeu de scène, les lumières, le son à régler, la balance, toute cette technique qui nous permet d’enchaîner les morceaux et créer une histoire… Pierre KECHKEGUIAN et toute son équipe nous ont accueillis de façon exceptionnelle. J’ai une histoire forte avec Auxerre, j’avais connu son théâtre avec ses fauteuils rouges, les gens qui le tiennent aujourd’hui sont tous magnifiques. Et d’ailleurs à Marseille, comme pour faire un lien avec Pierre, je chanterai deux morceaux, accompagné par Levon MINASSIAN, un joueur de duduk (musique traditionnelle arménienne), qui a déjà travaillé avec Peter GABRIEL…
Footballeur, comédien, peintre, photographe, aujourd’hui, auteur compositeur interprète, où vous arrêterez-vous ? Avez-vous encore des rêves en tête ?
« Il y en a plein ! Déjà, je vais continuer la chanson un moment. J’ai la chance de pouvoir passer d’une forme d’expression à une autre et même si le travail d’acteur me plaît beaucoup, je trouve que s’exprimer par la chanson, c’est beaucoup plus complet. Si j’étais venu pour interpréter les textes des autres, ça se serait rapproché de ce que je fais au théâtre, mais d’être là, sur scène, avec son propres texte, sa propre musique, c’est beaucoup plus personnel et plus intense. Et puis la musique crée un lien avec les gens…
Vous avez croisé des personnes que vous connaissiez, le temps de votre séjour à Auxerre ?
Bien sûr, des gens que j’ai revus avec grand plaisir, avec qui on s’est plongé dans le passé. Mais je préfère échanger sur le présent, y compris avec des gens avec qui j’ai plein de souvenirs, plutôt que me remémorer l’histoire. L’histoire sert à vivre dans l’instant, comme sur une scène avec le public… J’ai trouvé le centre-ville plus beau encore qu’avant, avec ses petites ruelles, ses maisons à colombage, mais peut-être qu’à 15 ans on ne voit pas tout ça. Et puis il m’a semblé qu’il y avait plus de bars qu’avant !
Avec cette nouvelle passion qu’est la chanson, les « mouettes qui suivaient le chalutier » ont-elles enfin trouvé leur « banc de sardines » (citation restée célèbre d’Éric CANTONA, qui avait surpris tout le monde, à sa sortie du tribunal en 1995, après que la star du Manchester United ait agressé un supporter)
« Sans doute ! Mais je ne suis pas un spécialiste des chalutiers, plutôt un spécialiste de la métaphore… »
Propos recueillis par Dominique BERNERD
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800 collégiens découvrent les « Coulisses du bâtiment » : la FFB enregistre beaucoup plus qu’un succès d’estime…
octobre 18, 2023Le chiffre de la fréquentation progresse. Cela se traduit par un large sourire qui s’affiche sur le visage de Christian DUCHET, délégué général de la FFB de l’Yonne, la fameuse « Fédération du Bâtiment ». Aujourd’hui, elle est sous la présidence de Cyril CHARETIE. Il vient de prendre son poste le 03 octobre dernier, succédant ainsi à Didier MICHEL. Alors quand 850 collégiens de l’Yonne prennent part au succès des « Coulisses du Bâtiment », cela ne peut que le satisfaire comme entrée en matière dans son nouveau mandat !
AUXERRE : Combien parmi ces huit cent cinquante élèves rejoindront un jour la noble filière de l’artisanat ? Sans doute, un très grand nombre d’entre eux. Car, quand on est encore collégien, on ne sait pas nécessairement vers quel registre s’orienter au niveau de sa carrière professionnelle. C’est précisément le bien-fondé de cette énième opération, déclinée nationalement par la Fédération française du Bâtiment, une animation relayée dans le landerneau.
Au niveau hexagonal, plus de deux cents chantiers, à l’image de celui du conservatoire à Auxerre, ont accueilli deux journées durant des scolaires avides de curiosité. Il en allait de même pour les CFA, centre de formation pour apprentis, voire certaines entreprises désireuses de recevoir des jeunes. Peut-être tôt ou tard, la future relève ?
Traditionnelle animation, « les Coulisses du Bâtiment » offrent une belle opportunité à cette jeunesse encore scolarisée dans le second degré. La possibilité de s’immerger au cœur d’un chantier afin d’y découvrir l’ensemble des acteurs qui y interviennent à l’instar des Compagnons du Devoir, du GEIQ BTP, du centre de formation par l’apprentissage. Une manière de découvrir par l’autre bout de la lorgnette la véracité d’un secteur professionnel en fort potentiel de recrutement.
Venant de dix-huit collèges, implantés un peu partout sur le territoire icaunais, filles et garçons se sont donc prêtés à ce petit jeu de la découverte. Dans le saint des saints d’un édifice en pleine reconstruction, le conservatoire d’Auxerre.
Une visite du conservatoire suivie par des personnalités…
Ils n’étaient pas les seuls manifestement ce jour-là ! Parmi les invités du jour, la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT. On notait aussi la présence de l’élue départementale Emmanuelle MIREDIN – elle représentait aussi la CPME de l’Yonne en substance -, Yves HUTIN, responsable départemental de Pôle Emploi ou encore le nouveau président de la FFB 89, Cyril CHARETIE.
Porté sur le devant de la scène depuis 2003, l’ambitieux programme des « Coulisses du Bâtiment » ne cesse de rencontrer le succès auprès des plus jeunes. D’une part, beaucoup de métiers se présentent comme des opportunités pour ces adolescents. D’autre part, le secteur du bâtiment (y compris les travaux publics) recrute sans discontinuer afin de répondre aux besoins pressants des employeurs dont les carnets de commande sont bien garnis.
Quant à la sous-préfète, Pauline GIRARDOT, elle aura vécu une expérience de réalité virtuelle, équipée d’un masque facial, lui permettant d’être plongée dans un chantier. Une immersion dont elle est sortie très satisfaite selon ses premiers commentaires !
Thierry BRET
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L’innovation en totale ébullition au SIIVIM à Nevers : pléthore de spécialistes réinventent la ville de demain…
octobre 18, 2023Ce n’est pas un colloque ordinaire. « Ordinaire » : l’un des titres majeurs de la longue et fructueuse carrière du plus français des québécois, Robert CHARLEBOIS ! Car, c’est bien d’un rendez-vous international mené avec la « Belle Province » d’outre-Atlantique dont il s’agit là et qui va rythmer la vie économique et institutionnelle de la Bourgogne occidentale, trois jours durant entre le 25 et 27 octobre.
NEVERS (Nièvre) : Retenez-bien cet acronyme ! Spécialistes de la transition énergétique, de la RSE, des relations humaines, de l’entrepreneuriat et de la gestion des collectivités en quête de solutions pratico-pratiques (et efficientes) pour résoudre tout un tas de problématiques de la société, élus, il vous concerne tous ! « SIIVIM » ! Sa traduction littérale est « Sommet International de l’Innovation en Villes Médianes ». Un énième salon de plus dans le paysage de la réflexion et des neurones qui recherchent des préconisations ? Que nenni !
Placé sous le haut patronage de la Présidence de la République – c’est dire si l’évènement en mode biennal puisque accueilli une année en France, la suivante au Québec fait recette bien au-delà de la terre nivernaise -, ce rendez-vous ne ressemble pas à ce que l’on propose en règle générale en terre de Bourgogne. Depuis 2018, date de son apparition dans le paysage des évènementiels à biffer coûte que coûte sur son agenda, pour celles et ceux qui sont concernés par les thématiques, le SIIVIM a acquis petit à petit ses lettres de noblesse pour devenir l’une de ces manifestations où il est bon d’apparaître, tant sur un plateau conférence, tant dans la partie exposition où sont accueillies les entreprises et les collectivités.
Quelques chiffres pour planter le décor de cette cinquième édition, devant se dérouler dans la ville réputée pour sa célèbre « botte » usitée chez les escrimeurs, du 25 au 27 octobre prochains.
Pléthore d’animations et de conférences
Onze thèmes différents y seront abordés, vingt conférences et tables rondes y seront proposées avec la bagatelle de soixante intervenants, des spécialistes et sommités en la matière en provenance de l’Hexagone, d’Europe mais aussi du Canada. Douze délégations étrangères y participeront dont des contrées européennes et africaines. Quatre-vingt-dix clés d’innovations pour la ville intelligente y seront dévoilées dans un espace immersif de plus de mille mètres carrés, accueillis à la Maison des Sports de Nevers. Six parcours scénarisés et une dizaine d’opportunités d’être retenus pour la sélection de l’édition 2024 au Québec.
Bref, on l’aura compris pour les équipes organisationnelles de Nevers Agglomération et de la Ville de Nevers, force accueillante, le SIIVIM, c’est du très lourd. Au point de réaliser la conférence de presse annuelle au printemps depuis Paris !
On doit la genèse de ces rencontres « innovantes » au président de Nevers Agglomération, maire de Nevers et conseiller régional, Denis THURIOT et à son homologue en sa qualité d’édile de la localité de Shawinigan (Canada), Michel ANGERS. En l’espace de cinq ans, le SIIVIM a optimisé les contacts entre les acteurs privés et publics qui se sentent investis en faveur de la transition énergétique, de son amélioration et de la préservation de la planète.
Côté représentativité économique, ce sont plus d’une centaine de startups hexagonales qui convergeront vers les bords de la Loire à Nevers. On y attend aussi plus de trois mille visiteurs. L’évènementiel se clôturera par la remise de trophées, les fameux SIIVIM de l’Innovation des territoires médians, devant récompenser les plus belles initiatives des collectivités. Celles de 10 000 à 100 000 habitants tant dans l’Hexagone qu’à l’étranger. Sachant que cette remise de prix est portée par la mission ECOTER France et Territoires numériques.
L’innovation en pleine effervescence au service de l’amélioration de la vie dans les villes : c’est au SIIVIM que cela se passe !
En savoir plus :
Le SIIVIM 2023 à Nevers à la Maison des Sports
« Transformation énergétique et innovation »
4 boulevard Pierre de Coubertin
Mercredi 25 octobre : Soirée d’ouverture à 19 heures
Jeudi 26 octobre et vendredi 27 octobre de 08H30 à 17h30.
Une centaine de startups, 90 innovations sur les enjeux de la ville intelligente,
Soixante intervenants,
Onze thématiques (mobilités douces et propres, ré-industrialisation des territoires médians, enjeux de l’eau, data efficient, cyber-sécurité du bâtiment, numérique responsable, économie circulaire, devenirs, attractivité des cœurs de ville, santé et accessibilité des villes médianes, inclusion numérique…
Thierry BRET
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« Infinité » se refait une beauté au CIFA de l’Yonne : un institut pour apprendre à relooker les corps et...les âmes
octobre 17, 2023Immersion au cœur de l’excellence pour les élus de l’Yonne ! En découvrant le nouveau décorum de l’institut esthétique du centre de formation par l’alternance et l’apprentissage d’Auxerre, les yeux de certaines et certains de nos édiles ont pétillé de joie ! Le pôle n’avait pas connu une telle cure de jouvence depuis une décennie. Entre la plénitude offerte par les lieux, via ses possibilités de soins et le confort apporté à l’atmosphère environnante : aucun doute n’est permis. Les officiels ayant inauguré le site y reviendront pour tester les différents univers de détente proposés par la relève de la corporation !
AUXERRE : L’espace balnéothérapie vaut le déplacement. Un spa de belle facture trône dans une pièce agréablement décorée. Cela sent la relaxation à plein nez. Et on imagine aisément que bon nombre de visiteurs pénétrant dans cet antre de l’esthétisme et de la beauté en savourent d’avance le futur usage qu’ils en feraient si leur enveloppe corporelle était allongée à l’intérieur de cette « baignoire améliorée », afin de profiter du doux clapotis provoqué par les remous d’une eau bouillonnante à plus de 35 degrés !
Un peu plus loin, se trouve un autre univers aquatique, plutôt déroutant. Un coin douche aux multiples sensations chromatiques (bleu, vert, etc.) face à une imagerie technologique en 3D où l’eau, élément fondamental de la vie humaine et ressource si précieuse à préserver, est en état de grâce ! L’effet est inspirant et très joli. Une à une, les personnalités découvrant cet endroit et sa douche sensorielle, se prennent à rêver d’une pause salvatrice après une journée de labeur ! Nous, aussi, d’ailleurs !
Contenant une douzaine de postes de travail où s’affairent toute en délicatesse les apprenties esthéticiennes formées au CIFA, l’institut où elles apprennent les fondamentaux de leur futur métier se nomme « Infinité ».
De la technologie pour optimiser le bien-être…
Maîtres de cérémonie, Lilian GARCIA, directeur du centre de formation, et son président Didier CHAPUIS sont à la manœuvre pour assurer cette visite inaugurale. L’aboutissement d’un beau projet, ciselé comme un joyau dans un écrin.
Poursuivant la déambulation à pas lent, le cortège s’arrête devant l’espace tout en transparence et en luminosité du hammam. Son bois aguiche le regard. Les parois vitrées de l’endroit offrent plus de chaleur et de lumière – un sérieux atout visuel sauf pour les flashs des appareils photographiques se reflétant sur ses vitres ! -, de vision insolite, aussi. La conseillère départementale Sonia PATOURET, très admirative par la réalisation, serait-elle partante pour l’essayer un jour ou l’autre de passage dans la capitale de l’Yonne ? Sans aucun doute !
Autre curiosité qui ne manque pas de titiller l’esprit vif de la sénatrice Dominique VERIEN, la présence sur les postes de travail accueillant les futures esthéticiennes, d’un son directionnel, diffusé au-dessus de la tête de la « cliente ». Une prouesse sonore technologique du meilleur effet que la parlementaire testera à sa façon, en posant le haut de son buste sur l’appareil pour mieux apprécier l’écoute exceptionnelle de cette spatialisation du son. Le temps d’être immortalisée pour la postérité par nos soins !
Ce beau métier pour embellir les corps et les âmes !
Cette ambiance sonore originale habille également l’espace « onglerie » de l’institut. Le service bien-être à la clientèle, mis en avant dans la présentation de Lilian GARCIA, se visualise dans chaque recoin de cet institut totalement relooké pour le confort des élèves et de leurs enseignants.
Les visiteurs ont eu tout le loisir d’admirer les lieux – y compris les anciens responsables du CIFA, Michel TONNELLIER et Marcel FONTBONNE -, de retour en terre icaunaise après son installation en Savoie. Le dialogue était aussi permis avec les apprentis et leurs formateurs ; ce que ne manqueront pas de faire Gilles DEMERSSEMAN, du Conseil régional, et les conseillers départementaux, Emmanuelle MIREDIN, Pascal HENRIAT et Christophe BONNEFOND.
Une installation magnifique à découvrir au plus vite pour la relève de ce beau métier qui aide à embellir les corps…mais aussi les âmes !
Thierry BRET
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Gurgy accueille une délégation de la République du Congo : Jean-Luc LIVERNEAUX, « à lui l’Afrique ! »…
octobre 17, 2023Précurseur, Jean-Luc LIVERNEAUX ? Certes, on connaît l’appétence de l’édile de la commune de l’agglomération auxerroise pour tout ce qui a attrait à la culture – l’excellente exposition d’Alain CREAC’H à découvrir jusqu’au 29 octobre à l’Espace culturel – et au développement du tourisme avec la halte fluviale. Le voici qui s’intéresse de près à l’international avec, dans les cartons, un potentiel partenariat qui pourrait voir le jour avec la République du Congo, après la visite du conseiller de la présidence et député Honorable Rodrigue MALANDA SAMBA…
GURGY : « A moi l’Afrique ! », interprétait avec la verve qu’on lui connaissait et sa voix rocailleuse rappelant la « sublime » Ardèche, l’inoubliable Jean FERRAT en 1971. « A lui, le Congo ? », pourrait-on penser avec l’initiative prise récemment par le maire de la petite localité du nord d’Auxerre ?
Recevant une délégation officielle de la République du Congo – plus communément connu sous l’appellation de Congo-Brazzaville -, Jean-Luc LIVERNEAUX place les projecteurs des relations internationales sur sa localité. Ce n’est pas la première fois que l’élu de l’Yonne invite des ressortissants africains dans son fief, notamment des artistes de l’Afrique équatoriale venus présentés leur travail. Des peintures expressives aux contours de rituel, selon le maire.
En accueillant Honorable Rodrigue MALANDA SAMBA, député de la circonscription de Mbandza-Ndounga et son directeur de cabinet, Jean-Claude MAHPOUYAS – une figure de la diaspora africaine connue des Auxerrois puisqu’il tint mandat en son temps sous l’ère de Guy FEREZ en qualité de conseiller municipal d’Auxerre -, c’est aussi le conseiller du président de la République congolaise, Denis SASSOU-NGUESSO que recevait Jean-Luc LIVERNEAUX dans ses bureaux à la mairie.
Education, culture, environnement, problématique de l’eau et de la sécheresse, échanges pédagogiques, tourisme, francophonie mais aussi développement économique constituaient le panel de ces deux heures de discussions intenses entre les orateurs. Une première rencontre, informelle, qui en appellera d’autres selon les interlocuteurs amenés à renforcer leur coopération et l’amitié entre les peuples. Une excellente initiative à l’heure où la France perd pied dans certaines zones d’influence de l’Afrique subsaharienne alors que l’amitié franco-africaine reste vive dans un pays comme la République du Congo, demandeuse de plus de partenariats, qui accueillit dès 1940 un certain…Charles de GAULLE, la voix de la résistance française face au nazisme…
Thierry BRET
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