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La messe est dite : ci-gît le bon vieux moteur thermique ! Dans dix ans, tous les constructeurs turbineront exclusivement aux autos électriques. Les pouvoirs publics ont décidé de faire barrage aux méchants carburants et leur sentence est désormais irrévocable.
AUXERRE : Chez Ford, Fiat, Volvo, Jaguar, Mini, Bentley et Alpine, la décision est prise : dans dix ans, il n’y aura plus une seule auto thermique au catalogue. Et la grande majorité de leurs concurrents prend aussi la direction menant au « zéro émission ». A l’origine de ce virage foudroyant, les mesures drastiques de réduction des émissions de CO2 à 95 grammes par kilomètre, imposées manu militari par les autorités publiques, quitte à mettre sous perfusion, à coups de fiscalité ultra généreuse, une industrie automobile qui n’a guère d’autres choix.
Mettre la charrue avant les bœufs…
Rouler en électrique ? C’est plutôt magnétisant. Au moins sur le papier : faire du bien à la planète et accessoirement à nos poumons ; ne plus se salir les mains à la pompe à essence (de quoi ravir les filles !) et posséder une automobile à batterie qui réclame moins d’entretien (le rêve pour le porte-monnaie qui n’est pas forcément celui du Faubourg Saint-Honoré) ; profiter d’un couple immédiat à chaque accélération (le plein de sensations !) et bien sûr la réduction des nuisances sonores en ville, associée à une forme de « zénitude » pour le conducteur et les passagers.
Tout cela est rigoureusement exact et le plaisir de conduire une auto électrique est réel. Seulement, dans la vraie vie, le courant ne passe pas aussi bien. Car le nerf de la guerre, c’est l’autonomie. Et c’est là que ça disjoncte. L’autonomie, elle fond comme une « Häagen-Dazs » au soleil !
Pas le choix, il faut recharger sans cesse. Et pour se gaver de volts, l’heureux possesseur de voiture électrique doit se plier à un véritable jeu de piste, s’il n’a pas la chance de pouvoir se brancher au bureau ou chez lui. Même en ville où la voiture électrique nous est vendue comme idéale, c’est le parcours du combattant. Comment la recharger lorsque l’on vit au troisième étage d’un immeuble ou que l’on bosse dans une Tour de la Défense au 25e ?
Born to be alive…
Aujourd’hui, 90 % des recharges s’effectuent à la maison ou au travail, mais plutôt en province ou en banlieue. Pour les autres - et ils seront de plus en plus nombreux -, il ne leur reste que leurs multiples cartes d’abonnements aux systèmes de charge pour pleurer. Il en faut huit différentes pour se brancher où l’on veut. Faut-il encore trouver une borne de recharge !
Car sur les 31 000 points de charge disponibles pour le grand public, il faut, outre le dénicher, prier pour qu’il n’y ait pas d’auto déjà branchée dessus, ou qu’elle ne soit pas en panne. 85 % des utilisateurs sont tombés sur des systèmes défectueux d’après une récente étude de l’AFIREF (Association Française pour l’itinérance de la recharge électrique des véhicules).
Alors, Paris-Marseille en douze heures, ça vous tente ? Et pourquoi pas des vacances sur les aires d’autoroutes ?
La mariée était trop belle…
Reste tout de même un gros village d’irréductibles Gaulois qui n’entendent pas succomber à la mode écolo. Pour eux, cet engouement pour les voitures électriques est incompréhensible.
Ils voient bien que les prix des autos électriques sont beaucoup plus élevés (entre 25 000 et 90 000 euros), malgré les aides de l’Etat ; qu’elles sont plus lourdes (à cause des batteries) et surtout que les chiffres promis sur leur autonomie sont bidons.
Contrairement aux apparences, l’électrique consomme beaucoup plus sur route dégagée qu’en ville. Résultat : les 300 km d’autonomie annoncés par les constructeurs peuvent allègrement être divisés par deux sur l’autoroute.
Et encore, par grand beau temps seulement : les premiers frimas, le chauffage, le dégivrage, les essuie-glaces, et autres accessoires énergivores, auront tôt fait de faire baisser la jauge.
Cerise sur le capot, quid des réelles retombées écologiques du recyclage (ou pas) des batteries dont on ne sait rien à ce jour.
La voiture électrique ? Une jolie mariée qui nous cache bien des défauts…
Anne-Charlotte LAUGIER
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Une grande première pour une cause noble : Cécile RACKETTE s’engage sur le trail de 100 km d’OXFAM !
juin 10, 2021L’exploit ne peut être comparable à celui qu’accomplit en ce moment sur les routes d’Anatolie le sportif de l’extrême, l’Auxerrois Abderrazzack EL BADAOUI à bicyclette pour rejoindre Dubaï. Mais, excusez du peu : prendre part au fameux « Trailwalker OXFAM » n’en demeure pas moins un sacré challenge. Marcher cent kilomètres en moins de trente heures par équipe de quatre et sans relais représente l’insolite défi que se lance…Cécile RACKETTE, une sous-préfète qui, décidément, n’a pas peur de relever les défis !
AVALLON : Elle ne court plus après la rigueur d’un emploi du temps trop serré en termes de timing et de rendez-vous imputable à sa fonction, la représentante de l’Etat sur l’Avallonnais et du Tonnerrois ! Dorénavant, elle marche !
Dès qu’elle en a l’opportunité, Cécile RACKETTE accélère le pas afin de peaufiner sa condition physique en vue d’un sacré challenge qu’elle s’est fixée à l’automne : participer à la fameuse épreuve de cent kilomètres non-stop concoctée par OXFAM. Le tout à parcourir en moins de trente heures aux côtés de trois équipiers qui n’assureront…aucun relais !
Organisation internationale de développement, OXFAM qui agit en faveur de la lutte contre la pauvreté s’est également fait connaître en France par des défis athlétiques à relever. Ce trail en est une preuve manifeste : il accueille chaque année de sérieux clients qui savent ce qu’est le goût âpre, parfois amer, de l’effort continu.
Qu’à cela ne tienne, la dynamique sous-préfète du sud de l’Yonne a décidé de troquer sa tenue protocolaire d’une représentante de l’Etat en exercice pour être plus saillante afin de rejoindre ses camarades à l’entraînement.
Dans l’équipe, trois personnalités fortes complèteront le tableau : un gendarme du peloton motorisé d’Avallon, un soignant et un mécanicien, toujours utile pour réparer les pannes « musculaires » en chemin ! Attention, toutefois, Cécile RACKETTE sait qu’elle peut compter sur ce dernier membre de l’équipe, puisque déjà double vainqueur des éditions 2019 et 2020 en…15h45 ! Une paille !
Réaction de l’intéressée : « Je m’entraîne en conséquence pour ce défi car on doit rester constamment ensemble. Je suis à fond pendant les séances d’entraînement et j’attends la fin du couvre-feu pour apprendre à courir de nuit à l’aide d’une lampe-frontale… ».
Puis, en riant, elle poursuit : « J’ai déjà prévenu mes coéquipiers que ce serait « deux sans trois » au niveau du résultat victorieux à condition qu’ils trouvent un moyen de ralentir les autres… ».
Empruntant de superbes chemins fleurant le terroir du Morvan, la prochaine édition de ce raid pédestre à vocation humanitaire (cela, on l’aura bien assimilé) promet d’être passionnante. Outre le plaisir de courir pour atteindre son objectif horaire, l’équipe de Cécile RACKETTE s’est en effet engagée à collecter au moins 1 500 euros de dons pour financer les actions quotidiennes d’OXFAM France aux vertus altruistes.
« A notre petite mesure, confie la fonctionnaire, nous voulons, nous aussi, nous dépasser par défi personnel, au soutien d’une noble cause… ».
Chapeau bas, Madame…
Thierry BRET
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Les start-up vous saluent bien dans le Sénonais : un pitch et trente heures de mise en pratique en guise d’action !
juin 10, 2021Le concept se veut original. Il s’adresse aux futurs entrepreneurs de la partie septentrionale du département. Un acte qui est posé en deux temps. Celui d’un pitch afin d’y présenter son projet. Avant ce long mais sans doute fructueux brainstorming d’une durée de trente heures permettant aux neurones de faire tilt en modélisant et en rendant opérationnel ledit concept au terme d’un week-end insolite…
SENS : Jamais à court d’idées, la Fabrique à Entreprendre du Grand-Sénonais ! Voilà que la structure animée par Magalie CONTUDEAU TAVARES nous concocte une opération dont elle a le secret à l’attention des entrepreneurs en herbe !
L’action a pour principal objectif de susciter l’émergence de nouveaux projets dont certains ont été menés durant la délicate et interminable période de confinement. Successif, devrait-on ajouter !
Ce « Start-up Weekend », proposé les 11 et 12 juin, offre à ses participants trente heures de réflexion pour que se concrétise réellement le projet. Ceci étant appuyé par des mentors (les partenaires historiques de la Fabrique à Entreprendre) et la Communauté du Grand-Sénonais.
L’initiative est ouverte aux étudiants mais également aux demandeurs d’emploi. Sans omettre les professionnels, voire des passionnés qui possèdent de la clairvoyance et des idées entre les oreilles !
En savoir plus :
On peut s’inscrire par téléphone au 03.86.42.01.10.
Nombre de places limitées
Thierry BRET
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Les Français se remettent du télétravail et retournent au bureau : est-ce la poisse ou une nouvelle chance ?
juin 10, 2021Tous les salariés en ont rêvé et la pandémie leur a permis de réaliser ce vieux fantasme : éviter les bouchons, le métro, la cantine. Voire ce collègue qui oublie tous les matins de prendre sa douche et le chefaillon qui emploie ses journées à vérifier qu’on ne passe pas notre temps à réserver nos prochaines vacances sur le web ! Mais après un an de télétravail, c’est l’heure de la rentrée : le moment est venu de retourner au bureau…
TRIBUNE : Seulement voilà, selon un sondage Opinionways de ces jours derniers, 74 % des Français ne veulent pas y retourner. Les bouchons, le chefaillon et les collègues odorants, c’est niet !
Alors les entreprises et leurs DRH tergiversent. Ils négocient. Du présentiel, il en faut, et du distanciel, leurs salariés en redemandent.
Vient donc le temps de l’entre-deux. Deux jours à la maison et trois jours au bureau, c’est selon. Mais d’autres refusent toujours le télétravail et d’autres encore vont jusqu’à l’autoriser à 100 %. Qui a tort, qui a raison ?
Les dirigeants qui souhaitent du présentiel tout le temps ou ceux qui préfèrent que leurs ouailles restent à la maison, histoire de faire quelques substantielles économies immobilières ?
De fait, tout le monde a raison. Toutes les entreprises le reconnaissent aujourd’hui : la productivité de leurs salariés n’a pas baissé après une année de home working.
Au contraire, les horaires sont devenus élastiques et se sont rallongés. Quant à la capacité de concentration, elle a augmenté puisque le salarié n’est plus dérangé toutes les cinq minutes par Ghislaine de la compta qui veut prendre un café, ou par Thibaut du marketing qui veut absolument raconter les derniers « Gossips » de l’étage du dessus.
A l’inverse, les fans du présentiel n’ont pas tort non plus. Car ils ont bien remarqué qu’avec le télétravail à 100 %, l’imagination et l'innovation étaient en berne. Car ces choses-là se développent en équipe. Lorsqu’un salarié rebondit sur l’idée d’un autre et ainsi de suite. Et ils savent que les visioconférences ne remplaceront jamais les conversations de bureau impromptues, au détour d’un couloir ou à la machine à café.
Pour ou contre, nombre d’entreprises ont choisi de ne pas choisir. Le télétravail partiel devrait perdurer longtemps et tout le monde devrait en être content.
Le chefaillon vérifiera qu’on n'est pas sur Expedia toute la journée à coups de zooms répétés, et peut-être même que le collègue odorant, travaillant à quelques mètres de sa salle de bains, pourra s’y rendre de temps en temps !
Anne-Charlotte LAUGIER
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La « Nouvelle Dynamique » de Jean-Philippe BAILLY en chevalier blanc de la transparence et de l’intégrité…
juin 10, 2021S’il devait y en avoir une sur le territoire, ce serait celle-là ! Une équipe qui fait de la transparence et de la probité ses principaux atouts fédérateurs. Redonnant ainsi tout son sens au terme initial du mot politique, issu du vocabulaire grec qui posa les premiers jalons du débat démocratique uniquement au service du peuple. Sous les couleurs de « La Nouvelle Dynamique », ces quatre-là prennent fait et cause pour la pratique de l’intégrité absolue. Un terme devenu tabou dans cet univers si hermétique ?
AUXERRE : Ce n’est pas une énième candidature de plus pour résoudre les problématiques bassement matérielles du quotidien des habitants du canton d’Auxerre 1 qui nous est proposée là.
Certes, parmi les priorités de ce programme éclectique qui est minutieusement dévoilé sous l’œil d’une caméra avide d’images à placer en archives (on sent la patte du professionnel en communication qui a régenté cette conférence de presse bien ficelée), figurent nécessairement le contournement sud de la capitale de l’Yonne et les conséquences (à peine digérées par ce binôme et ses suppléants) de la fermeture du collège Bienvenu Martin.
Des items dont se font écho à l’unisson la plupart des prétendants aux fauteuils de l’hémicycle départemental, voire régional, toutes obédiences confondues.
La composante de cet attelage au patronyme vivifiant de « Nouvelle Dynamique » ne pouvait immanquablement pas squeezer de sa profession de foi ces thèmes incontournables de campagne.
De toute évidence, la déviation méridionale de la ville d’Auxerre devait donc s’inscrire parmi les réflexions prédominantes de ce quatuor positionné sur l’échiquier politique dans le camp d’un centrisme incliné un peu vers la droite. Normal que ces orateurs qui ont pris soin de décliner leurs identités et fonctions dès le préambule de cette causerie face aux journalistes souhaitent prendre ce dossier interminable à bras le corps en cas de succès au soir des 20 et 27 juin.
Le canton d’Auxerre 1 s’étale sur les localités de Lindry, Saint-Georges-sur-Baulche et Villefargeau. Sans omettre la partie occidentale d’Auxerre. D’où l’intérêt à porter au crédit de ce projet tentaculaire cofinancé par toutes les parties institutionnelles en présence : depuis l’Etat jusqu’au Département, en passant par la Région et l’Agglo de l’Auxerrois.
"Les élus de terrain doivent être à porter de baffes des électeurs…"
A ce propos, celui du financement, le leader de cette équipe (elle se veut fonctionnelle plutôt à quatre têtes au lieu du binôme traditionnel) Jean-Philippe BAILLY estime que « le Conseil départemental se doit d’être le fer de lance de cette réalisation ». En devenant le coordinateur légitime de cet assemblage hétéroclite qui in fine mettra la main au gousset pour en financer l’ouvrage.
« C’est cela être un élu de terrain, ponctue le patron du « Nouveau Centre » dans l’Yonne qui durant les six dernières de la mandature FEREZ gérait en sa qualité d’adjoint au commerce la destinée de la vie artisanale et commerçante de la ville.
Aux côtés d’Halima Georgette GUTSCHE, dont c’est la première titularisation officielle en qualité de candidate alors qu’elle a gravité longtemps parmi le sérail politique pour ses appétences à la vie sociale, de Christine AUGE, ancienne secrétaire de feu l’UMP 89 dans une vie antérieure et de Christian BRUNEAUD, qui joua les premiers rôles en étant l’un des élus de Saint-Georges-sur-Baulche, Jean-Philippe BAILLY souhaite incarner ce renouvellement au sein de l’hémicycle.
« Nous ne serons jamais des gens de bureau, éloignés de la réalité du terrain, ajoute-t-il, nous deviendrons des interfaces constantes à l’écoute de la population afin de construire ensemble leurs projets d’avenir… ».
Puis, prémonitoire ou un tantinet prophétique, le responsable de la « Nouvelle Dynamique » lâche tout de go « qu’un élu de terrain se doit d’être à porter de baffes des citoyens ». L’argument aurait-il donc inspiré l’auteur du soufflet envers l’auguste personne du président de la République quelques jours plus tard dans la Drôme ?!
S’appuyer sur la diaspora du canton pour aider les jeunes…
L’autre versant de ce remède à appliquer contre l’inertie et l’immobilisme tels que l’imaginent ces futurs « conseillers territoriaux » (une idée qu’avait suggéré en son temps un certain Nicolas SARKOZY !) concernera la réhabilitation de l’ancien collège Bienvenu Martin. Une fermeture qui visiblement leur est restée en travers de la gorge !
« C’est toujours une plaie béante pour la population de ce quartier d’Auxerre, souligne Jean-Philippe BAILLY, et même si notre désir en cas de victoire est de soutenir la majorité départementale qui se dégagera des urnes, j’étais à cette époque en profonde divergence avec les décisions prises par le Département… ».
Que faire de cet ancien site pédagogique ? « Nous voulons créer un établissement d’accueil éducatif orienté vers la réussite sous le prisme de la culture, du sport, de la cohésion sociale… Ce serait autre chose que d’y déposer de simples archivages comme le désire le Conseil départemental ! ».
Même si la compétence économique n’est pas d’actualité au sein de la vénérable institution, il n’empêche que le quartette semble vouloir jouer sa partition sur son secteur géographique en cas de succès.
« Travailler avec les acteurs du terrain, faire l’interface avec les investisseurs, rencontrer les entreprises qui n’ont pas pleine conscience des aides financières qu’elles peuvent obtenir dans le cadre de leurs projets incombent à nos responsabilités d’élu de proximité… ».
Quant au commerce et à sa résurgence, notamment à Saint-Georges, il est dans le viseur de ce team bien décidé à redonner vie coûte que coûte à cette activité.
Le complexe du Phare entre également en ligne de compte des préoccupations de cette équipe se présentant officiellement sans étiquette. L’aide apportée aux structures y travaillant (AMIDON 89 à titre d’exemple) ne sera pas fortuite.
Les jeunes ayant des difficultés à acquérir de l’emploi feront l’objet de parrainage citoyen avec le concours d’entrepreneurs et de partenaires ad hoc.
Originalité de la démarche : « On va contacter la diaspora de ce canton pour qu’ils viennent parler de leur métier avec nos jeunes ! ». Ambitieux.
Jean-Philippe BAILLY en héraut d’une opération « mains propres » ?
Au-delà de cette déclinaison à la Prévert d’un programme copieux et réfléchi, il restait en guise d’offrandes conclusives l’inattendu, le savoureux, le surprenant, voire le décalé propre à cette candidature.
Une volonté chevillée au corps du leader de la formation, adoubés par ses coreligionnaires, de se placer au-dessus de la mêlée en matière d’intégrité et de transparence.
Inévitablement, Jean-Philippe BAILLY ne manquera pas l’occasion de faire référence à l’affaire juridique actuelle qui concerne l’édile d’Auxerre, Crescent MARAULT. « Ce n’est pas une élection comme les autres pour nous ! ».
Disant tout haut ce que d’autres pensent tout bas, l’ancien adjoint de Guy FEREZ endosse la vêture d’un chevalier blanc, devenant le porte-étendard d’une croisade opération « Mains propres » locale dont il revendique la légitimité au nom de la démocratie et de la lutte antisystème (à mots découverts contre les « magouilles » !).
« C’est une des raisons pour laquelle je me présente, affirme-t-il, en qualité de candidats épris de valeurs humanistes, de liberté et de solidarité… ».
D’ailleurs, s’il était élu, le chef de file du « Nouveau Centre » dans l’Yonne passerait aux actes en suggérant la constitution d’une commission dédiée à la transparence et à l’exemplarité au sein de l’hémicycle départemental. Chiche ?
Thierry BRET
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