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Clin d’œil : la Grèce antique en mode fresque collective, l’essentiel est bien…de participer !
avril 21, 2024Le travail proposé lors de plusieurs séances publiques a su privilégier la cohésion sociale et l’envie de créer. Une addition de bonne volonté et d’imaginaire que l’Espace culturel local, celui de la commune de GURGY, a su mettre à profit en se l’appropriant. L’artiste Romain HURDEQUINT a pu apprécier les contacts directs avec les villageois durant sa résidence…riche d’expériences…
GURGY : Participer. N’est-ce pas l’adage usuel, attribué à Pierre de COUBERTIN lorsqu’il a su ressusciter les Jeux Olympiques oubliés durant des siècles à la fin du XIXème en les modernisant à Athènes ? Oui, évidemment ! Eh, bien cette envie « participative » a eu grâce aux yeux de l’artiste français Romain HURDEQUINT, actuellement en résidence spécifique dans la localité proche d’Auxerre, qui en a fait l’une de ses priorités lors de la conception d’une œuvre collective. Une fresque toute à la gloire de ces antiques sportifs d’une autre époque, des Athéniens qui concourraient peut-être du côté d’Olympie face aux Spartes et aux Corinthiens !
Une œuvre terminée ou presque, à quelques points de détails près, que les enfants de la bourgade, parfois sous le regard attendri de leurs parents, ont réalisé avec la complicité bienveillante de l’artiste, spécialisé dans l’embellissement des skate-boards ! Une belle initiative, en somme qui sera expliquée vendredi 26 avril aux alentours de 18 heures lors de la restitution de cette résidence, profitable à la vie culturelle locale…
Thierry BRET
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Le budget, quadrature du cercle pour l’Elysée ? Des coupes budgétaires drastiques sont attendues en 2025…
avril 21, 2024Le budget de la France est déficitaire depuis Georges POMPIDOU. Jusqu’ici, le niveau d’endettement qui en découlait semblait acceptable. Mais, aujourd’hui il franchit le cap du sérieux financier. Le déficit budgétaire s’ouvre sur un risque systémique incommensurable…
TRIBUNE : En permanence, on nous ressasse que notre niveau d’endettement atteint les 110 % du PIB. Autrement dit, que ce que l’on doit est supérieur à ce que l’on gagne. Et alors ? Où est le problème ? Un particulier qui gagne 25 000 euros par an peut parfaitement contracter un prêt immobilier de 200 000 euros. C’est la capacité à rembourser qui est en cause. Les investisseurs continuent de nous prêter de l’argent. La première raison, c’est que notre signature a toujours été honorée et la seconde est représentée par les 2 000 milliards d’actifs non financiers détenus par l’Etat.
Qui va oser vendre les bijoux de la couronne ? Aujourd’hui, l’un des postes budgétaires les plus importants est représenté par les intérêts de la dette : 55 milliards ! Pour régler la facture, il faut emprunter. Pour rembourser du capital, il faut s’endetter. Le crédit et le déficit budgétaire furent les clefs du redressement économique de la nation après 1945. Aujourd’hui, il est temps de changer de modèle et de paradigme. Le déficit devrait atteindre 5 % ou 5,1 % en 2024 au lieu de 4,4 % du PIB prévus à l'origine.
Les conséquences d’une telle situation
Le chef de l’Etat ne veut ni couper dans les dépenses, ni augmenter les impôts. Il a récemment déclaré que le problème se situe au niveau des recettes fiscales et non sur le plan des dépenses. Notre président refuse toute loi rectificative budgétaire. Toutes les prévisions de croissance, dénoncées par tous, bases même du budget 2024, réalisé en 2023, ont faussé calculs et résultats. Le budget, le niveau de la dette, le niveau du PIB : en dehors des clous. Pire encore, Les Républicains affirment avoir la preuve que le gouvernement et le président savaient pertinemment que toutes les prévisions étaient intenables ! Conséquences : pour les citoyens que nous sommes, comme pour les spécialistes internationaux, nos prévisions ne sont plus crédibles.
Dix milliards d’euros ne suffiront pas
Après avoir déjà annoncé un plan d'économies de 10 milliards d'euros, le gouvernement se retrouve donc à devoir serrer encore la vis. Certes, il table sur les rentrées de la croissance, mais le pari est pour le moins audacieux. Car si la croissance française est restée positive, elle est bien plus faible qu'espérée. Et là aussi, le gouvernement a dû revoir ses prétentions à la baisse : 1 % contre 1,4 % prévu. De plus, du côté des recettes, la TVA rentre moins bien que prévu. En cause, la chute de l’immobilier. Les programmes de constructions sont en berne. Les ventes dans l’ancien sont en diminution notoire : moins de TVA pour l’Etat et de taxes pour les collectivités.
Confronté à la dégradation de la situation des dépenses publiques hexagonales sous l’effet des crises successives, des baisses d’impôts et du ralentissement de la croissance, l’exécutif a lancé un vaste plan d’économies, sous peine d’être sanctionné à la fois par les agences de notation, les marchés financiers et la Commission européenne. Un premier « frein d’urgence », selon l’expression du ministre de l’économie, Bruno LE MAIRE, a été activé à hauteur de 10 milliards d’euros pour l’année 2024. Ce sera très probablement revu à la hausse à l’occasion de la prochaine présentation du pacte de stabilité. D’ores et déjà, il est prévu 20 milliards d’économie en 2025, ce qui est toujours insuffisant. Certains économistes affirment qu’il faudra trouver au moins 50 milliards !
Des coupes budgétaires, oui mais pour qui ?
2025/2027 : l’équation est impossible ! Tout d’abord, la Cour des Comptes appelle l’exécutif à préciser les coupes : « il convient maintenant que les mesures qu’impliquent ces économies soient rapidement identifiées dans les différents ministères, et les conditions de leur mise en œuvre documentées. ».
Ensuite, elle craint que les prévisions en matière de recettes soient trop optimistes, en ce qui concerne la TVA, les taxes sur les transactions immobilières et les cotisations sociales. Enfin, elle pointe des risques sur l’évolution des dépenses de santé ; de nombreuses économies restant à définir ou à négocier avec les acteurs sanitaires.
Les coupes budgétaires vont concerner qui ? Les classes moyennes, sans aucun doute ! Des économies sur la santé, à l’Education nationale, à la Culture, sur l’ensemble des aides sociales (chômage, CAF…) : la grogne du peuple se fait entendre. A qui profite le crime ? Le CAC 40 bat tous les records : on est rassuré et les plus riches aussi !
Des conséquences imprévisibles
Fin mars et fin avril, les grandes agences de notations vont annoncer le score de la France. Les prévisionnistes sont plutôt pessimistes. On peut craindre une remontée des taux d’emprunts pour l’Etat, donc une croissance du poste des intérêts de la dette. Selon les coupes budgétaires annoncées, le risque « d’explosions » sociales est à redouter. Des grèves larvées sont déjà prévues pour les Jeux Olympiques de Paris. Toutes les mesures détournées pour le calcul impôts (modifications des tranches), des retraites… vont encore affaiblir les plus pauvres et nourrir le pavé des rues ! Le pouvoir d’achat, première préoccupation des Français, n’a jamais été abordé par l’ensemble des partis politiques, durant la campagne européenne.
La plus lourde des menaces pour Emmanuel MACRON, c’est une motion de censure ! Le parti LR annonce la couleur du dépôt d’une motion de censure si rien de concret n’est fait pour rectifier le budget. Une rectification budgétaire, c’est à coup sûr l’usage du 49.3, donc une motion de censure à la clef. Il est possible que LFI vote la motion de censure des LR ! Donc un virage à droite pour Emmanuel MACRON ? Pas si sûr, il risque de se couper de l’aile gauche de son parti. Il semble difficile de prévoir la suite. Mais, avec un président prêt à plonger dans la Seine afin de préserver les Jeux, on peut s’attendre à tout !
« Ce n’est pas compliqué, en politique, il suffit d'avoir une bonne conscience, et pour ça, il faut avoir une mauvaise mémoire ! » dixit COLUCHE !
Jean-Paul ALLOU
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Taxe « lapin » : on nous prend pour des blaireaux !
avril 20, 2024Le gouvernement ne cesse de marteler à grand renfort de slogans électoralistes que les Français sont pressurisés par les impôts à la veille des échéances européennes. Le premier en tête, Gabriel ATTAL qui n’a pas sa langue dans sa poche du haut de ses 35 ans, a juré mordicus que la hausse des taxes et de la fiscalité n’était nullement inscrite à l’ordre du jour en cette année 2024, faite pourtant de disette abyssale en matière de recettes économiques pour l’Etat.
Même le président de la République s’y met de sa litote lancinante sur cet item, ces dernières semaines, écartant cette éventualité pour renflouer les caisses percées de Bercy, car il est vrai que nous sommes et de loin déjà les champions d’Europe ?, du monde ?, de l’univers ?, toute catégorie sur le sujet ! Oui, mais ça, c’est pour 2024 !
Parce que dès l’année suivante, Mesdames Messieurs, il faudra bien s’acquitter d’une nouvelle taxe qui en dit long sur ses intentions et sur le traquenard évident, façon portes ouvertes qui vont se pérenniser dans le temps à l’instar de la fameuse CSG/CRDS, qui se présente à nous, la bien-nommée taxe « lapin », applicable à partir de 2025 !
Rien que l’appellation, déjà risible en soi, vaut son pesant de terrines de campagne ! On dirait presque que nos fins technocrates parisiens, bardés de diplômes et de titres honorifiques ronflants, sont sortis de leurs terriers ou de leurs garennes en mode tour d’ivoire pour travailler d’arrache-pied sur un tel projet !
La chasse aux rendez-vous non honorés et pas excusés
A quelle sauce, moutarde, à la bière, aux pruneaux ou au vin rouge, allons-nous être mangés, nous autres disciples de « Bugs Bunny » ?! Qui ressemblons davantage, une fois de plus, aux dindons de la farce quand il s’agit de passer au tiroir-caisse !
Pour mémoire, la taxe « lapin » - c’est pourtant sympathique comme animal, surtout de compagnie plutôt que de le cuisiner en mode sauté ou chasseur ! – s’appliquera à toute personne constituant la patientèle d’un représentant de la docte caste médicale qui n’honorera pas son rendez-vous le jour J et à l’heure H, bloqué sur un agenda au préalable biffé par le praticien.
D’où la fameuse expression, « poser un lapin » qui a dû enthousiasmer celles et ceux des conseillers ministériels ayant dû plancher longuement et chers payés avec notre argent sur la thématique en question.
« Vous avez quatre heures ! » pour la dissertation qui n’a rien de philosophique celle-là, nonobstant l’enjeu, elle prêterait même à la franche rigolade !
Sachant que la patientèle hexagonale s’exposera à la sanction suprême – un prélèvement obligatoire de 5 euros – si l’annulation dudit rendez-vous médical n’a pas été effectué a minima 24 heures avant la date fatidique. Où ira la somme de 5 euros in fine ? Dans la poche du généraliste ou du spécialiste ! Magnanime, le gouvernement laisse même le soin à ce dernier de prélever ou pas la somme équivalente à la sanction…Dans le genre, ce n’est pas nous, c’est l’autre, ce n’est pas mal !
La désertification médicale ? Ce n’est pas moi, c’est l’autre !
A peine annoncée, la mesure qui permettrait in fine de récupérer selon les analyses officielles entre 15 à 20 millions de créneaux médicaux supplémentaires (un vrai plus en termes de citoyenneté et de respect envers les malades qui en ont le plus besoin), est loin de faire l’unanimité chez les thérapeutes. Bon nombre d’entre eux ne se satisfont pas d’une telle décision aussi arbitraire et d’un procédé pour le moins coercitif, comme à l’accoutumée en France dès que l’on propose une réforme ! Vous vous souvenez de celle concernant les retraites ?!
On estime entre 3 et 7 %, selon les spécialités médicales, le pourcentage de rendez-vous non honorés et non excusés en une année sur un potentiel de plus de 30 millions d’entretiens avec son médecin en France.
Or, soucieux de résoudre la crise de la désertification médicale imputable à une succession de décisions politiques prises par le passé en dépit du bon sens (le numerus clausus appliqué stricto sensu en bloquant tous les désirs d’installation et de renouvellement des jeunes médecins), ce qui engendrera de facto la fameuse désertification médicale dans laquelle nous nous trouvons depuis belle lurette, nous autres les perdreaux vivants en province et en zones rurales, le gouvernement veut mettre les bouchées double en mettant la pression sur les Français, en les culpabilisants !
Toujours selon le sacro-saint principe, élémentaire mon cher WATSON, ce n’est pas moi, c’est l’autre ! D’une évidence avérée, bien sûr !
Une sanction de 5 euros ni charitable ni louable !
Sauf que dans le cas présent, la mayonnaise qui pourrait accompagner le râble de lapin ne prend pas. D’une part, les associations qui représentent les usagers de la médecine en France sont vent debout contre une telle pénalité. Arguant que s’il y a des annulations de dernière minute, c’est à cause des délais impartis pour obtenir un rendez-vous, des délais parfois incompressibles de plusieurs mois dans certaines zones géographiques dépourvues de praticiens spécialisés – suivez mon regard et vous aurez vite compris ! – qui nécessitent des mois et des mois d’attente !
Moyennant quoi, vous avez le temps de mourir dix fois avant de recevoir les premiers soins en France ! Ainsi soit-il ! Bravo le modernisme car où sont passés nos médecins de famille d’antan en ce début de XXIème siècle et qui eux vous auscultaient vraiment des pieds à la tête durant le rendez-vous ?
Sauf que les médecins eux-mêmes rechignent à l’idée de mettre en application ce dispositif sanction contre leur patientèle. Pas très charitable et louable lorsque l’on a prêté le serment d’Hippocrate !
D’autant que des petits malins – et il y en a dans toutes les corporations comme chacun le sait - seraient peut-être même tenter de s’inventer de faux rendez-vous pour arrondir leurs fins de mois, non ! Une idée de plus à mettre au profit des fraudes qui excellent dans ce pays, déjà en tête de peloton là aussi : elle n’est pas belle la vie ?!
Non, si le gouvernement via son ministère de la Santé veut récupérer coûte que coûte de salvateurs créneaux horaires pour la patientèle, il suffirait tout bonnement d’autoriser la délivrance des ordonnances pour consulter les spécialistes ou les certificats sportifs auprès…des officines pharmaceutiques, transformées la plupart du temps maintenant en grande surface du soin avec une multitude de caisses enregistreuses !
Reste enfin que ce système de taxe corporatiste, inhérent à l’annulation non excusé d’un rendez-vous pourrait faire florès à l’avenir et s’appliquer à une kyrielle de professions où les rendez-vous sont légion au quotidien.
Chez les coiffeurs et les barbiers (la taxe « porc-épic » à cause des poils !), chez les banquiers (la taxe « écureuil » en référence à la Caisse d’Epargne !), chez France Travail (la taxe « couleuvre » pour ces « feignants » de chômeurs et profiteurs des allocations !), chez certaines castes professionnelles à la puissance et influence avérée (la taxe « requin » ou la taxe « loup » vous avez le choix !), etc.
Gageons que nos flamboyants technocrates parisiens pourront largement s’inspirer d’un abécédaire animalier hors limite pour nous mitonner, non pas du ragoût de lièvre (la tangente du lapin !), mais des taxes en veux-tu en voilà à nous rendre chèvres !
N’oublions pas aussi pour celles et ceux qui circulent sur l’autoroute et qui dépasseraient les vitesses autorisées, la future « taxe escargot » ! Il vaut mieux en rire, non ?!
Thierry BRET
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« OCTOPUS » dévoile l’un de ses tentacules : le futur centre de formation de la CCI se découvre par l’imaginaire…
avril 20, 2024On le savait au préalable depuis la pose de la première pierre (copieusement arrosée !), le projet « OCTOPUS » porté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne est ambitieux. Déjà dans l’appellation, en référence à la pieuvre (terme en anglais) et ses nombreux tentacules ! Ils sont le symbole de la connaissance et de la transmission du savoir, dans le cas présent. Un chantier en effervescence qui avance à son rythme et que quelques élus de la chambre consulaire ont pu visiter, histoire de faire travailler leur imaginaire…
AUXERRE : Admiratif sur l’avancée du chantier, le patron des FESTINS, Didier CHAPUIS, n’en manque pas une miette ! Il écoute avec beaucoup d’intérêt les explications abondantes fournies par le directeur de la CCI Yonne, Jérôme MAYEL, jouant pour le temps de la visite les conducteurs de travaux ! A ses côtés, son président plus disert mais très observateur, Thierry CADEVILLE. Intérieurement, il se félicite de la tournure des évènements, cela se sent.
Une desserte pour la ligne de bus
Coiffé de son casque jaune, le nouveau responsable de la CPME, Didier BARJOT plaisante avec l’entrepreneur Georges CARLIERE sur lequel de ce deux téméraires osera gravir les marches un peu abruptes de l’échafaudage afin de jouir de la très belle vue surplombant l’ensemble depuis le deuxième étage de l’un des édifices en construction. Et pourquoi pas le journaliste ?, dit-il un brin amusé ! Non merci, le plancher des vaches correspond mieux à mes appétences…
Pendant ce temps-là, le petit groupe où Ghislaine MOREAU, présidente de la FNAIM 89 et Tessa CHARVET, l’une des encadrantes de la CCI départementale ferment la marche, progresse à hauteur de la future entrée de cette pépinière d’entreprises newlook devant être livrée si tout ce se passe bien, en novembre 2024.
Jérôme MAYEL apporte des précisions utiles : « les véhicules arriveront vers la station hydrogène et auront la possibilité de stationner ici – il désigne un espace dédié -, ensuite, ce flux circulera de l’autre côté de la pépinière. Mais, on se garde encore la possibilité de changer… ».
1 800 mètres carrés de bâti réservés à la formation…
Cerise sur le gâteau pour celles et ceux des entrepreneurs, salariés et étudiants qui fréquenteront à l’avenir ce nouvel endroit baptisé « OCTOPUS », ils bénéficieront d’un arrêt pour les bus, selon le nouveau schéma de circulation qui sera proposée par la Ville et l’Agglo dès la rentrée. Idéal pour se rendre au travail ou en cours sans avoir la contrainte de l’automobile à gérer ! Une ligne qui effectuera le trajet pépinière/gare, quartier de Vaulabelle et des Clairions.
C’est en 2022, et ce dans le cadre du plan de mandature 2022/2026 que les élus de la CCI Yonne ont validé la réhabilitation de la pépinière d’entreprises auxerroise. Une stratégie déclinable en différentes partitions dont l’une se rapporte au vétuste bâtiment B02 totalement réaménagé.
C’est précisément en son sein que Jérôme MAYEL emmène le petit groupe ensuite.
« C’est là que seront accueillis dorénavant les étudiants fréquentant le centre de formation, souligne-t-il, la surface totale est de 1 800 mètres carrés… ».
Un projet d’environ 5 millions d’euros d’investissement
Visite imaginaire des lieux : à droite, le bloc sanitaire et espaces techniques ; à gauche, la partie espace d’accueil avec trois salles dont une servant de réception devant mesurer 90 mètres carrés. Pour l’heure, il n’y a que du vide ou presque autour des visiteurs qui remarquent aussi le curieux filet sur les charpentes afin de protéger la dalle de béton au sol. A contrario, il n’y aura pas d’amphithéâtre. Sachant que la salle de réception sera modulable et accueillera du matériel roulant pour en faciliter son aménagement. Au total, une petite dizaine de salles seront opérationnelles pour y suivre les cours. Au coup d’œil, on se sent déjà transporter dans ce qui sera un environnement de travail attractif et novateur, qui intégrera évidemment les ultimes outils et méthodes technologiques.
Sacré chantier que celui-là, d’ailleurs ! Un coût total de 4 millions d’euros dont 1,4 million de subventions qui émanent de l’Etat avec le fonds friches et du Département. Auquel il faut ajouter les aménagements extérieurs. Soit in fine 5 millions d’euros d’investissement. La Région se positionnant sur la partie pépinière et formation.
Thierry BRET
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Etrange équipage que celui-là ! Vu et aperçu, récemment, lors du novateur Forum des Métiers en uniforme, accueilli sur l’une des grandes places auxerroises, une aire de stationnement ordinairement utilisée par les aficionados de football et transformée ce jour-là en un vaste espace démonstratif militaire afin de promouvoir la noria de métiers qui peuvent intéresser les plus jeunes dans les corps d’armées…
AUXERRE: Parmi la kyrielle de personnalités en uniformes galonnés et autres VIP institutionnels présents ce jour-là sur la manifestation vantant les mérites de la carrière militaire (« engagez-vous, rengagez-vous qu’ils disaient ! ») symbolisée par ce premier forum accueilli à Auxerre, une silhouette nettement plus féminine grâce son élégance sortait du lot. Elle était accompagnée d’un compagnon à quatre pattes, au particularisme canin évident et reconnaissable.
C’était un chow-chow à l’allure altière, une jeune « fille » au poil bien fournie et aux pattes presque de velours dans sa discrétion. Prénommée « Ume », la bête escortait donc la « Belle » !
Qui n’était autre que la conseillère municipale de l’opposition auxerroise, Farah ZIANI, cible préférée des réseaux sociaux ! Rare, dans les mondanités et autres soirées « pince-fesse » où s’entrechoquent les coupes de crémant et les verres de chablis !
Mais, que faisait-elle là, assortie de son amie canin aux…origines chinoises ?! Loyal, indépendant, silencieux : telles sont les caractéristiques du chow-chow, curieuse boule de poil importée de l’Empire du Milieu au début du XIXème siècle, via l’Angleterre. Une race de chien qui peut se montrer distante, effacée et…très curieuse. Un chien aux origines chinoises, isolé au beau milieu de militaires français de haut rang présentant du matériel et des plans de carrière pour les futures recrues ?
Pas de doute ! Et compte tenu du contexte géopolitique actuel et du complotisme ambiant, la corrélation s’avérait évidente à nos esprits : Farah ZIANI s’est bel et bien reconvertie à ses moments perdus dans l’espionnage militaire, telle une troublante « Mata-Hari » à la solde de la puissance asiatique !
Que les réseaux sociaux et les férus de « fake news » fassent leurs besognes coutumières et relaient abondamment l’information !
Thierry BRET
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