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« L’Aile ou la Cuisse » : La Croix Blanche renaît tel un Phénix avec ses recettes du terroir aux saveurs exotiques
janvier 22, 2022Villiers-Saint-Benoît ! Deux minutes d'arrêt annonçait ou pas le haut-parleur BOUYER dévolu aux quais ferroviaires autrefois. Il fonctionnait par tous les temps, proche de cette antique voie métrique de la ligne Toucy-Montargis, et de son tacot fermé depuis des lustres. La gare, toute proche de l'ancien lavoir, affiche 168m d'altitude…et là une surprise vous attend.
VILLIERS-SAINT-BENOIT : Bienvenue en Puisaye ! La Corse icaunaise ? C'est ce qui se dit parfois dans le landerneau. Au milieu de ce village de 450 habitants, la façade de l'hôtel-restaurant « La Croix Blanche » se dresse avec une certaine élégance gravée dans la pierre !
Voilà vingt ans, utilisant le train touristique « trans-Poyaudin », nous y étions venus avec mon père, nous y attablant en terrasse. A l'époque, un autre établissement local « Le Relais Saint-Benoît » était même référencé au Michelin.
Oui mais ça....c'était avant ! Et depuis lors, les ronces avaient pris place sur la verdoyante terrasse d'une auberge fermée depuis une dizaine d'années. Courage et détermination furent plus que nécessaires à un couple de concitoyens villageois, Yolaine et Bruno ORTOLE pour la reprise de cette affaire, avant de se lancer dans le grain bain de l'ouverture en décembre dernier. Adieu buissons piquants, peut-on songer en zyeutant la terrasse annonciatrice des beaux jours !
Une cuisine au parfum bourguignon avec de l’exotisme antillais…
Un cadre lumineux et une réfection au goût du jour, tel est l'agréable lot des convives poussant la porte ! Belle reconversion pour Bruno, le chef, ancien des travaux publics, passé plus récemment par l'excellent CIFA auxerrois !
En semaine, il propose deux formules deux plats à 18 euros, menu complet à 20 euros. En fin de semaine, pour d'autres mets, comptez dix euros supplémentaires.
C’est une cuisine au parfum bourguignon, mais pas que ! Puisque les Antilles y sont aussi à l'honneur, de par les origines de nos aubergistes. Tant mieux pour nous, songeais-je alors en m'y attablant récemment.
Le plaisir gustatif d’une succulente tarte à l’oignon…
Passées les onctueuses gougères, ce midi-là, il y avait en entrée un jambon persillé maison au bon goût de persil, et une tarte à l'oignon, plat injustement passé de mode peut-être, et pourtant régulière vedette des « winstubs » alsaciens ! J'avais oublié combien c'est bon une tarte à l'oignon !
En plat : la cuisse de poulet sauce antillaise et son méli-mélo de légumes d'hiver (eh oui, c'est de saison !), avec notamment de goûteuses carottes impeccablement cuites ou bien le poisson poché au lait de coco, riz créole.
Le soleil caribéen n'est jamais trop loin de ces assiettes, et c'est tant mieux ! Et pour terminer une tarte aux pommes ou une salade de fruits maison bien réussie.
Un établissement très fréquenté par la clientèle locale…
La clientèle locale est heureuse de retrouver une table au village : elle joue le jeu et l'on ne peut que l'encourager à continuer ainsi en 2022, en poussant la porte de l'établissement.
Dans un futur proche, des chambres pourraient compléter l'offre actuelle. Paris ne s'étant pas fait en un jour, il en va de même pour ce village de Puisaye-Forterre dans lequel, petit à petit, l'oiseau fait son nid !
En savoir plus :
Les plus : signalons une salle agréable au cadre lumineux ainsi que de spacieuses toilettes très propres.
Les moins : en servant le rhum en digestif à 17 euros le verre, cela nous a paru cher et excessif ! Nous sommes en Puisaye : pas sur les Champs !
Contact : La Croix Blanche à Villiers-Saint-Benoît
1 rue Marie Guillemot
Tel : 03.86.74.39.42.
Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Gauthier PAJONA
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Nouvelle mobilisation dans la rue le 27 janvier : les oubliés du « quoi qu’il en coûte » veulent se faire entendre au grand jour
janvier 22, 2022Après la grève des syndicats de l’Education nationale le 13 janvier dernier où des dizaines de milliers de manifestants défilaient dans l’Hexagone, une nouvelle journée de mobilisation interprofessionnelle est prévue le jeudi 27 janvier. Dans l’Yonne, c’est la veillée d’armes pour l’intersyndicale CGT-FO-FSU-Solidaires. Elle appelle à se rassembler le matin à Sens et l’après-midi à Auxerre. Objectif : la défense des salaires et de l’emploi.
AUXERRE : Si, exaspérés par la gestion de la crise de la COVID et l’accumulation de protocoles sanitaires, enseignants, personnels et parents d’élèves ont été nombreux à descendre dans la rue le 13 janvier dernier, combien seront-ils de manifestants jeudi prochain à répondre à l’appel ?
Dans l’Yonne, les états-majors des syndicats qui défileront ce jour-là, se préparent déjà activement, misant sur une grève massive réunissant agents du service public et salariés du privé, mais aussi jeunes et retraités.
Dans un contexte économique fortement dégradé qui a vu le retour de l’inflation, avec notamment une hausse des prix des produits manufacturés ou alimentaires, conjuguée à la surchauffe de ceux de l’énergie, les revendications sont multiples : augmentation du SMIC, revalorisation des salaires dans le privé comme dans le public, augmentation des pensions et des minima sociaux, défense de l’emploi…
Pour Philippe WANTE, secrétaire départemental FSU, l’équation est simple : « inflation plus salaires bloqués conduisent à une baisse du pouvoir d’achat, c’est automatique ».
L’enseignant du collège Jacques Prévert à Migennes a vu au fil des mois se dégrader l’attractivité du métier, faute de salaires appropriés, dénonçant une situation qui conduit à une pénurie d’enseignants et au recours massif de contractuels : « le statut de la fonction publique était réservé avant à un concours, ouvert à tous et qui protégeait à la fois le fonctionnaire et les usagers. Aujourd’hui, on baisse les exigences à l’embauche, cela permet d’employer des CDD sans les faire bénéficier de formations, pour un service dégradé, c’est du délire ! Par ailleurs, il y a plein d’endroits sans enseignants faute de pouvoir les remplacer, la pandémie n’ayant fait que mettre un coup de projecteur sur l’existant et les parents sont légitimement inquiets sur l’enseignement apporté à leurs enfants... ».
Des salaires à l’embauche tirés vers le bas…
Même constat à La Poste pour Aicha KHARBACH, secrétaire adjointe de FO 89 : « on remplace les titulaires qui partent par des CDD ou de l’intérim, des personnes peu ou pas formées, avec du courrier en souffrance et c’est catastrophique. Ce qui m’affole, c’est que les autres administrations comme l’Hôpital ou l’Education nationale se retrouvent aujourd’hui dans le même schéma qui a commencé à La Poste il y a une trentaine d’années… ».
Également dans le collimateur des organisations syndicales : les conditions d’embauche, avec notamment un salaire minimum qui devient la norme un peu partout alors même que le niveau de compétences demandées n’a jamais été aussi haut, comme le rappelle Véronique DEGOIX-GUTTIN, secrétaire générale de la CGT 89 : « les exigences de qualification à l’embauche sont de plus en plus nombreuses pour des salaires de plus en plus bas. Il suffit pour s’en convaincre d’aller sur le site de Pôle Emploi et consulter les annonces proposées dans le département… »
La réunion de la dernière chance dans le secteur des transports…
Les perturbations annoncées impacteront également les transports, avec pour la SNCF, un préavis de grève couvrant la période du mercredi 26 janvier à 19 heures jusqu’au vendredi 28 janvier à 8 heures.
Un mouvement auquel devraient se joindre les salariés du transport routier, mécontents des propositions faites dans le cadre des négociations en cours, rappelle Romain SEBILLAUT, de l’Union syndicale Solidaires 89 : « les patrons proposaient 5 % sur deux ans, du coup, toutes les organisations syndicales ont quitté les réunions. Celle du 31 janvier prochain sera celle de la dernière chance… ».
Cette nouvelle journée d’action du 27 janvier débutera dans l’Yonne à Sens le matin, avec un rassemblement à 10 heures, devant la sous-préfecture, suivi l’après-midi par un défilé à Auxerre, qui s’élancera à 14 heures Place de l’Arquebuse pour se terminer comme à l’accoutumée, devant la préfecture.
Dominique BERNERD
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L’Etat de grâce pour les Laboratoires MACORS bénéficiaires d’une aide de 800 000 euros pour l’innovation
janvier 20, 2022Sous le masque, le sourire ! Sans même le voir, on le devine. Arborant avec fierté le label France Relance que vient de lui remettre en main propre le représentant de l’Etat, le chairman du Laboratoire MACORS Eric DELAYE ne peut être que satisfait de la journée. En obtenant une subvention de 800 000 euros de l’Etat, la structure peut nourrir de belles ambitions en 2022 et poursuivre ses investissements.
AUXERRE : Tout est résumé ou presque par la phrase du préfet Henri PREVOST en clôture de cette visite officielle consacrée à l’une des belles pépites industrielles, implantée en périphérie de la ville.
« C’est vraiment un excellent exemple de ce que permet le Plan de Relance pour rendre plus compétitives les entreprises… ».
Quelques minutes auparavant, le représentant de l’Etat venait de remettre le fameux trophée de plexiglass à son hôte, le dirigeant de la structure entrepreneuriale. L’objet symbolise le soutien de la Nation à l’une de ces entreprises qui intervient dans le domaine de l’industrie et en favorise l’innovation.
Du petit lait à déguster avec délectation pour les forces encadrantes de Laboratoire MACORS Auxerre, l’un des quatre sites de production de la société en France. Une entité qui est depuis 1990 à l’apanage du groupe industriel hexagonal, GALIEN, l’un des spécialistes dans la fabrication de produits pharmaceutiques.
Une aide qui intègre le programme France 2030…
A l’instar des trois autres unités de production, réparties en Bourgogne septentrionale (Nevers, Sens et Monéteau où s’affaire une dizaine de personnes), GALIEN dispose d’une force de frappe impressionnante pour répondre à la demande galopante de produits issus de la pharmacopée.
Plus de 50 % des spécialités thérapeutiques conçues par les laboratoires MACORS s’exportent dans plus d’une quarantaine de pays. Quand on parle des vertus bénéfiques de l’industrialisation !
Un chapitre que ne manqua pas de soulever le haut fonctionnaire en charge de la gouvernance préfectorale. Expliquant le bien-fondé de ce Plan de Relance à multiples ogives qui cible particulièrement bien les projets novateurs.
Aider à grand renfort de subventions et de subsides les entreprises d’aujourd’hui, celles qui sont en parfaite possession de leurs moyens en matière d’objectifs, c’est nécessairement poser les jalons utiles du programme France 2030, exposé il y a peu par le Président de la République Emmanuel MACRON.
Le plaisir de l’Etat à accompagner les entreprises innovantes…
Dans le cas présent, le schéma est on ne peut plus séduisant de l’avis du locataire de la préfecture. « Dans le secteur du médicament, un domaine extrêmement stratégique au vu du contexte actuel, il est important de pouvoir avoir la maîtrise de ces productions en termes de quantité et de qualité ! ».
Par conséquent, soutenir financièrement une chaîne logistique favorisant la fabrication de médicaments s’inscrirait presque parmi les axes prioritaires !
Une jubilation quasi palpable dans les propos du préfet de l’Yonne qui n’hésitera pas à formuler la phrase suivante : « C’est un plaisir pour l’Etat d’accompagner les laboratoires MACORS dans cette voie ». Celle du soutien à l’innovation industrielle, nécessairement pourvoyeuse d’emplois !
Un aspect que le préfet de l’Yonne aborda volontiers au moment de son laïus.
« Pour accompagner la volonté de réindustrialiser le pays, il faut aussi s’appuyer sur de la main d’œuvre. L’industrie a changé et elle offre de belles opportunités en matière de recrutement ! ».
Alléger les tâches humaines complexes grâce à des investissements en matériel…
Des arguments qui firent mouche parmi l’assistance alors que le laboratoire MACORS Auxerre est en perpétuelle quête de besoins humains, en moyenne une trentaine d’intérimaires mais aussi des techniciens à embaucher dès que possible.
« Il faut proscrire de nos pensées que l’industrie ne proposerait que des tâches difficiles, ajouta Henri PREVOST, c’était le cas par le passé. Aujourd’hui, grâce aux investissements très importants qui permettent d’accompagner les structures dans leur modernisation, certaines tâches délicates sont allégées. En valorisant le travail de l’homme en entreprise, cela contribue à rendre plus attractifs encore ses postes à pourvoir ».
Précisément, et grâce à l’enveloppe issue du Plan de Relance, suite à l’appel à projet « Industrie du futur », le Laboratoire MACORS Auxerre pourra remplacer certaines machines de production et améliorer les processus de fabrication, tout en se dotant de nouveaux logiciels plus performants.
Un programme d’investissement s’élevant à 4,4 millions d’euros dont 800 000 euros sont apportés par l’Etat via cette opération de soutien dans la corbeille de la mariée.
Précisons que dans l’Yonne, quarante-et-une entreprises industrielles ont bénéficié de ce dispositif ; des aides de plus de 4,8 millions d’euros in fine. Des actions concrètes pour l’Etat.
Thierry BRET
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De bonnes ondes pour ECOLLANT : la start-up de l’Yonne figure aux « Carnets de campagne » de France Inter
janvier 19, 2022Pour une surprise, elle fut de taille. Invité à répondre aux questions formulées par le journaliste de France Inter, Philippe BERTRAND (Carnets de Campagne), le dirigeant de la start-up icaunaise Eric DELAFONTENELLE ne se doutait pas avant ce contact téléphonique que la jeune entreprise spécialisée dans le recyclage de textile sensibiliserait une radio nationale. C’est chose faite avec une diffusion programmée de cet enregistrement ce vendredi 21 janvier aux alentours de 12h30…
AUXERRE : Emission radiophonique d’une quinzaine de minutes, diffusée du lundi au vendredi juste avant le « Jeu des mille euros » sur France Inter, « Carnets de campagne » fait la part belle à celles et à ceux qui développent des initiatives locales abouties dans l’univers culturel, social et économique. Avec un focus appuyé sur l’économie solidaire.
C’est donc tout naturellement après le relais d’une information parue sur le quotidien « Les Echos » que l’emblématique station de la Maison de la Radio s’est intéressée au sujet du jour, à savoir la start-up de l’Yonne ECOLLANT, placée récemment sous le feu des projecteurs médiatiques car figurant parmi la liste des structures entrepreneuriales bénéficiaires du plan de relance de l’Etat. Une information qui avait été relayée en son temps dans les colonnes de Presse Evasion.
Il y a quelques jours, entre 14 et 16 heures, le dirigeant de la start-up Eric DELAFONTENELLE eut la surprise d’être joint par notre confrère Philippe BERTRAND, animateur de ladite chronique.
La première interview accordée pour un média national…
Au téléphone, le journaliste de la radio lui posa quelques interrogations relatives à l’activité de la société et les raisons pour lesquelles les institutionnels (et en particulier l’ADEME) ont décidé d’accompagner le projet de développement d’ECOLLANT moyennant le plan de relance (une enveloppe d’environ 500 000 euros). Il y eut aussi un couplet sur le Pôle environnemental d’Auxerre où se situe le siège social de l’entité. L’une des deux entreprises à y être domiciliée.
Au terme d’un entretien cordial d’une dizaine de minutes, Eric DELAFONTENELLE réalisa en fait que c’était la première fois qu’il accordait une interview à un média de l’Hexagone !
Le dirigeant de la structure aura vécu là une grande première : il a hâte d’écouter le fruit de cet échange, diffusé ce vendredi 21 janvier à 12h30 dans la fameuse émission. Une excellente entrée en matière au plan de la communication pour bien débuter l’an neuf !
Thierry BRET
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Le bien-être au travail : ce n’est plus un mythe mais une douce réalité avec Michaël OUDMEDJKANE (OBIANCE) !
janvier 19, 2022Dans la vie professionnelle, il ne faut pas s’en faire ! On dirait presque un plagiat de l’un des succès emblématiques de Maurice CHEVALIER dans le texte. Pourtant, le credo de Michaël OUDMEDJKANE repose bel et bien sur cette pratique vertueuse. A l’aide de son entité, OBIANCE, l’entrepreneur propose de traiter toutes les questions de stress et de bien-être qui bouffent le quotidien des Français au travail.
AUXERRE : L’heure est à la relaxation dans les entreprises. Surtout pour les cadres et les collaborateurs qui n’en peuvent plus d’accumuler des heures et des heures de présence au labeur, noyées par le stress et la productivité à outrance.
Massages assis (un régal pour les cervicales qui sont mises à délicates contributions durant d’interminables journées vécues derrière l’écran de l’ordinateur), méditation, prise de conscience ou encore luminothérapie, le catalogue proposé par OBIANCE est on ne peut plus sympathique. Sur le papier mais aussi en réel.
Bon nombre de structures entrepreneuriales sont désormais séduites par ces concepts qui font florès à travers l’Hexagone. Dans l’Yonne, plus particulièrement, l’entité portée par Michaël OUDMEDJKANE fait recette en élargissant son panel d’interventions. Le succès est au rendez-vous. L’entrepreneur sillonne aujourd’hui la France entière pour y prêcher de sages paroles : apporter et optimiser le bien-être au cœur du monde professionnel. Comme ce fut le cas récemment dans un centre hospitalier auxerrois.
Joindre l’utile à l’agréable même sur le lieu de travail…
Des séances de détente à apprécier sans aucune modération qui peuvent être financées par des organismes mutualistes. Les grands groupes lorgnent de plus en plus sur ce créneau devant apporter une plus-value physique et mentale à leurs collaborateurs. La SNCF, EDF, La Poste, mais aussi Carrefour ou l’un des piliers de la cosmétique et du luxe à la française, YSL (Yves Saint-Laurent) utilisent les services de la SARL.
Naturellement, le milieu hospitalier et sanitaire, particulièrement exposé au stress et à la tension nerveuse, est en ligne de mire au plan du développement stratégique du chef d’entreprise. Michaël sait prodiguer avec ses équipes de spécialistes ses conseils qui peuvent atteindre les rivages éloignés des DOM TOM comme à la Réunion ou à Mayotte.
Joindre l’utile à l’agréable même au cœur du système professionnel n’est plus un vain mot. OBIANCE et sa palette d’une vingtaine de déclinaisons bien-être y pourvoient pour le plus grand bonheur de celles et de ceux qui passent dans les mains expertes de ces spécialistes de la détente.
Thierry BRET
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