Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Une société toujours connectée à sa clientèle : AS Informatique en dépanneur de l’urgence numérique…
janvier 17, 2023Mine de rien : il entame la dix-huitième année de bons et loyaux services pour faire fructifier son outil de travail, Jérôme TETU ! Déjà ! Comme le temps passe. Même si celui-ci n’a pas de réelle emprise sur sa volonté farouche de toujours faire progresser une entreprise qui a le vent en poupe auprès de la clientèle de particuliers, des entreprises, voire des collectivités. Bienvenu dans le monde du dépannage et du supplément d’âme, une valeur déclinée chez AS Informatique !
SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : 2005/2023 : dix-huit ans que Jérôme TETU déroule avec passion le fil de son existence professionnelle dans le landerneau auxerrois. Un fil qui revêt de la plus haute importance surtout lorsque l’univers d’intervention au quotidien se concentre essentiellement sur le dépannage et la maintenance des appareils informatiques !
Seul à bord de sa structure entrepreneuriale, le dirigeant aborde la nouvelle année avec sérénité. AS Informatique ne fait guère de bruit ni ne s’affiche à grand renfort de publicité autour d’elle mais cela ne l’empêche nullement d’accroître d’année en année son cercle de plus en plus distendu de prospects et de clientèle. Le bouche à oreille fonctionne à merveille et à ce jeu-là, Jérôme TETU s’en sort plutôt bien, sa silhouette est familière de bon nombre de décideurs économiques et institutionnels qui lui accordent leur pleine confiance !
Ses ambitions se résument en quelques mots lorsqu’il évoque 2023 : continuité, réactivité, disponibilité, écoute…Le propre de tout responsable de société qui se respecte, en somme.
Il est vrai que depuis bientôt deux décennies, les PC, Mac, tablettes ou encore smartphones n’ont plus de secrets pour lui. Alors, ce n’est pas demain que les sollicitations qui émanent de ses clients particuliers et professionnels, localisés dans l’Yonne, s’arrêteront…Un chef d’entreprise, heureux…
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Les FCE changent de présidente départementale : une nouvelle ère commence avec Aurore EVRARD…
janvier 16, 2023Les FCE de l’Yonne ont très bien débuté la nouvelle année. Sur un instant de partage, fort en émotion et structurellement très important, puisque Valérie WALTER procédait à son ultime rapport moral en qualité de présidente de l’antenne départementale, avant de passer le flambeau. Une transmission des pouvoirs unanime quant au choix de la nouvelle responsable de l’entité qui fédère des femmes chefs d’entreprises, Aurore EVRARD…
SENS : Douze jours après avoir célébré l’an nouveau, les Femmes Chefs d’Entreprises de l’Yonne (FCE) se sont donc retrouvées à l’occasion de leur assemblée générale annuelle. Un exercice aux contours classiques, certes, où l’ensemble des rapports furent présentés à l’assistance conformément aux statuts d’une structure associative, avant d’être approuvés en connaissance de cause.
Profitant de sa prise de parole, Valérie WALTER, présidente en chère, évoqua quelques-unes des grandes actions qui ont ponctué cet exercice 2022 écoulé. Une année riche en soirées informatives et en questionnement qui furent consacrées à des items très disparates comme la hausse du coût des énergies, les cybers attaques – l’opération vit la présence de la Chambre de Commerce et d’Industrie ainsi que la Gendarmerie – mais également à des séances pédagogiques autour de la prise de parole en public, voire des interventions auprès des jeunes entrepreneurs de la Fabrique à Entreprendre. Sans omettre une immersion au lycée de Sens. Un bilan éclectique et satisfaisant pour clore le mandat de la dirigeante des cabinets de géomètres experts, BGAT.
Une trentenaire hyper active à la présidence, sachant manier le tractopelle et conseillers en soins !
S’en suivie la seconde partie de la manifestation. Davantage protocolaire avec le passage de témoin au successeur de Valérie WALTER, c’est-à-dire la jeune trentenaire Aurore EVRARD, élue sans l’ombre d’une contestation au poste de présidente. Dirigeante du centre de soins et de bien-être, OSIRIA à Sens, la jeune femme avait eu droit à ses premiers coups de projecteur médiatiques en 2013 tout pile alors qu’elle ouvrait précisément son institut de beauté une fois son BEP et deux CAP de coiffure et esthétique dans la besace.
C’est dire si la nouvelle présidente des FCE intègre la caste des dirigeantes pugnaces et actives ! La responsable de communication de l’antenne icaunaise des FCE, Marie AUBIN (ancienne dirigeante des étiquettes BRAIZAT) livre dans ses commentaires cette petite explication de texte un tantinet cocasse, « Aurore sait aussi bien procéder à une teinture de cils et conseiller ses clientes pour des cures relaxantes que manier un tractopelle s’il le faut pour entretenir le parc qui entoure l’institut ! ».
De bon augure pour la nouvelle mandature qui démarre ! Signalons, pour être tout à fait complet, que le credo des Femmes Chefs d’Entreprises n’est autre que la formule suivante : « Seules, nous sommes invisibles, ensemble, nous sommes invincibles ! ».
C’est sûr : il y a donc de l’amazone dans l’air chez ces femmes entreprenantes et responsables de l’Yonne !
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
L’Aile ou la Cuisse : « Monette », un bien joli prénom pour un si quelconque repas…
janvier 13, 2023En ce gris mois de janvier, et après avoir écouté avec attention la brillante première présentation des vœux du jeune édile local, il fait bon se promener à Sens. Bien sûr antan, grande rue, il y eût l'épicerie fine « ROUIF », la droguerie « PAYEN », une belle coutellerie, la charcuterie « MORIN », etc. Oui mais ça, c'était avant ! Désormais, de vides locaux (loyers trop chers ?) ont remplacé la réputée boucherie « POURRIER » et tant d’autres...
SENS : C’est là que se tient le restaurant « MONETTE ». Peut-être y avait-il jadis une brosserie, la cour de la boucherie ou.......? Une jolie cour en guise de prélude à la printanière terrasse, songeai-je alors en poussant la porte de l'établissement.
De façon originale, les tables y sont réservées par prénom ! La nôtre le fut par l'ami Serge SONNET, émérite graveur sur acier local, qui n'eut même pas l'honneur de se voir confier la gravure de la médaille des 850 ans de la cathédrale en 2014. Passons....
Il y a du monde autour de nous, avec une table de banquiers locaux, celle d'un torréfacteur d'outre-Atlantique ! Sur une étagère, trône un joli recueil charcutier co-signé par le MOF Fabien PAIRON, devenu désormais un bel aubergiste helvète. Dommage pour nous autres, les habitants de sa terre natale icaunaise.
Une « drôle » de sensation, fil d’Ariane de ce déjeuner hivernal…
Une planche aux feuilles froissées tient lieu de menu ! La responsable de salle est aussi souriante que pro. Bonne pioche vineuse avec l'Irancy grande côte de l'excellent vigneron Benoît CANTIN qui réconcilia votre serviteur - après deux ou trois déceptions...- avec ce nectar icaunais. Il est accompagné d'une gougère pâteuse, sans goût et pour tout dire pas terrible. Une sensation qui sera le fil rouge de ce déjeuner hivernal.
En entrée, le beignet de « butternut » au piment doux, crème d'herbes fraîches semble une bonne idée. Il est ici trop grassouillet et un « p'tit » passage avant envoi sur du papier absorbant lui aurait été salutaire. Quant à la crème aux herbes, elle n'est pas assaisonnée. L'œuf fermier poché à la crème d'Epoisses n'est pas terrible non plus : c’est une sorte de sauce trop liquide et non liée, dommage...
Un burger en guise de plat principal…
En plat de résistance, voulant faire jeune dans l'air du temps (!), je choisis un burger, plat que je n'aime guère ! Symbole des États-Unis, ce mets arriva tout d'abord en France, dans les années 70, par le biais de la chaîne WIMPY, créée par feu Jacques BOREL - le Tricatel du film « L'Aile ou la Cuisse », c'était lui ! -, puis, hélas par le biais de Mc Do dès son implantation hexagonale en 1979. On connaît la suite...
Chez « Monette », il est plutôt bon. Le pain est tiède, la viande est servie saignante, et les frites sont croustillantes...Moins bonne pioche, par contre, pour l'échine de porc confite qui est plutôt quelconque et sans caractère.
Entre l’inutile crème Chantilly industrielle ou rien du tout, il fallait mieux le rien du tout !
Quelconque, la tourte aux pommes-cannelle l'est tout autant, et me semble industrielle tout comme l'inutile Chantilly qui l'accompagne d'ailleurs. Mieux vaudrait une bonne crème fraîche. Ou rien du tout !
C'était pas très chouette « Chez Monette » et l'on n'y retournera pas. Eh oui, n'est pas Laurette qui veut. N'est-ce pas sieur Michel DELPECH !
En savoir plus :
Les + : une jolie terrasse accueille la clientèle pour les beaux jours.
Les - : la « cuisine » est très approximative pour un menu proposé à 30 euros.
Contact :
Restaurant Monette
75 grande rue
89100 Sens
Tel : 03 86 88 43 51.
Gauthier PAJONA
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
« Le réseau REB est une force, nous en sommes tous les maillons… » : Vincent PICQ compare les entreprises au Morvan
janvier 13, 2023Distillant ses interventions médiatiques avec parcimonie, le patron du groupe SCHIEVER a présenté ses vœux jeudi soir à un parterre de représentants institutionnels et économiques dans le cadre du Réseau Entreprendre Bourgogne (REB) dont il est le porte-étendard en sa qualité de président dans l’Yonne. Un discours maîtrisé dont il a le secret et la mise en scène qui aura fait grand honneur au terroir du Morvan…
AVALLON : Son fidèle nœud papillon ajustant le col de sa chemise bleu azur, Vincent PICQ, tout en élégance vestimentaire, n’aura pas ergoté trop longtemps côté timing avant de rejoindre l’estrade de la grande salle de réunion qui accueillait les retrouvailles du Réseau Entreprendre Bourgogne, convié à la traditionnelle cérémonie des vœux, jeudi en début de soirée.
Une manifestation qui se déroulait dans l’un des nombreux bâtiments avallonnais du groupe SCHIEVER qu’il préside et que l’on ne présente plus en tant qu’acteur évoluant dans la sphère de la grande distribution internationale.
Mais, ce n’est pas au titre de sa société que devait s’exprimer le porte-voix de ce poids lourd de l’économie de la distribution nationale mais bel et bien en sa qualité de président départemental de l’antenne icaunaise du fameux réseau, Entreprendre Bourgogne, qui ne cesse de se multiplier tels des petits pains depuis sa création en termes d’effectifs.
Un réseau composé de chefs d’entreprise, de cadres supérieurs mais aussi de représentants du sérail institutionnel à l’image de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.
Etre ensemble et pouvoir communiquer à satiété demeure le principe de base de ce type de rendez-vous, caractérisé par la convivialité et le plaisir de se revoir. D’autant que les précédentes réunions programmées en début d’année avaient été annulées pour les raisons que l’on sait, la crise sanitaire et ses confinements.
Le granit rose du Morvan comme totem de l’entrepreneuriat !
Axant ses propos liminaires sur des comparaisons géographiques pédagogiques – « Il y a l’Yonne du Nord et l’Yonne du sud, mais ici à Avallon, vous êtes surtout dans le Morvan » -, Vincent PICQ prendra soin d’insister précisément sur les valeurs de cette terre morvandelle qui représente à ses yeux l’entreprise.
« Le Morvan, c’est le granit, souligne-t-il, un granit rose qui montre la force de l’entreprise. Leur résistance. D’ailleurs, vous êtes toujours là après avoir vécu des moments difficiles. Vous êtes résilients et représentez la force de ce granit ! ».
Onirique, presque lyrique dans sa gestuelle et sa tonalité, théâtral parfois, le président de REB Yonne pousse un peu plus loin devant un auditoire attentif les comparaisons de la vie entrepreneuriale à ce fameux terroir du Morvan qu’il apprécie tant.
« Les chemins tortueux de la vie quotidienne d’une entreprise sont un peu comparables à ceux que l’on emprunte dans le Morvan. On passe en qualité de dirigeants des moments où l’on ne voit rien dans ces entreprises, ce sont les bois du Morvan. Il peut y avoir des conditions de vie difficiles sur ce territoire, de la pluie, du vent, du brouillard, de la neige…c’est la vie de l’entreprise, tout bonnement ! ».
Vincent PICQ ne pouvait clore ce discours original et décalé sans évoquer les lacs du Morvan.
« On a la vision, plus claire, qui apparaît avec l’horizon qui s’élargit…Le Morvan c’est aussi le lien identitaire de la Bourgogne, puisque s’étalant sur quatre départements. Cette image entre le Morvan et le monde de l’entreprise, je l’adore et je voulais la partager avec vous tous… ».
« C’est une excellente nouvelle, vos entreprises sont vivantes malgré les obstacles… »…
Puis, léger et un tantinet humoristique, le responsable de l’antenne départementale du réseau Entreprendre Bourgogne lâchera qu’il ne souhaitait pas parler de vœux. Du moins dans leur formulation habituelle.
« Je me souviens il y a deux ans, je parlais de bonne santé et comme je ne suis pas responsable de celle-ci, je m’abstiens de l’évoquer désormais. Rappelez-vous, quelques semaines après avoir prononcées ces vœux en 2020 débutait alors la COVID… ».
En résumé, Vincent PICQ n’avait pas envie jeudi soir de souhaiter des choses qu’il n’aurait pas été capable de tenir après coup ! Compte tenu, en sus, de la conjoncture économique particulièrement délétère, il est vrai.
« Mais, la bonne nouvelle, c’est que vous êtes tous présents parce que vous avez traversé des moments difficiles, et que vos entreprises, personnes morales, sont vivantes. Malgré les obstacles qu’il a fallu traverser pendant des semaines. C’est l’extrême « bonne nouvelle ». Vous êtes en capacité de sauter les obstacles, c’est bien une excellente nouvelle. Et quand bien même, il y aurait des difficultés à les franchir, ces obstacles, nous sommes là. Nous tous, les membres du réseau Entreprendre Bourgogne qui est un ensemble de maillons… ».
Un message que l’assistance a bien reçu cinq sur cinq. Aussi sûr que peut l’être la résistance du granit du Morvan !
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
ORANGE accélère la féminisation de ses métiers : la "pylôniste" Laurine SIMONNET ne craint pas le vertige !
janvier 12, 2023La frimousse est encore un brin juvénile. Le ton de la voix, pourtant calme et assuré lors de l’entretien, se veut timide. A peine audible, parfois, pour répondre aux interrogations. Elle en serait presque effacée, à la limite de la discrétion, notre témoin du jour ! Mais, une fois les habits professionnels revêtus et le casque bien vissé sur la tête, Laurine se mue en un tout autre personnage dès qu’il s’agit de gravir les barreaux de l’échelle en fer la menant vers les toits. Que dire lorsqu’elle grimpe, seule et solidement harnachée, à la conquête d’un pylône de plus de cent mètres de hauteur pour y exécuter avec dextérité ses gestes professionnels pour le compte d’ORANGE ?!
AUXERRE : Un petit sourire malicieux au coin des lèvres, Laurine, jeune trentenaire bien dans sa peau, savoure l’instant. La jeune femme est l’exemple parfait de la réussite de la politique de féminisation déclinée chez l’opérateur ORANGE depuis plusieurs années, occupant de fait une fonction éminemment stratégique que bon nombre de ses collègues masculins n’oseraient peut-être pas faire !
Son dada, excusez du peu et à proscrire pour les personnes craignant le vertige, est entre autres de grimper aux pylônes posés çà et là par l’opérateur afin d’en assurer la maintenance et l’entretien ! Un exercice à la virilité affirmée qui dénote avec le calme olympien de la jeune fille, titulaire d’un bac scientifique.
Qui l’eût cru ? Même pas elle, et pourtant son intégration au sein d’ORANGE en qualité de technicienne l’a littéralement transformée. Une « Wonder Woman » qui n’a pas peur du vide et qui se régale du haut de sa « tour d’ivoire » ! Elle est donc bien loin la période de l’alternance vécue chez l’opérateur entre 2014 et 2016, juste avant l’embauche…
Une perche tendue par ORANGE, celle de l’alternance après le Bac pro…
Une fois les gammes réalisées dans le service box, routeur et téléphonie, Laurine ajoute une nouvelle corde à son arc, côté diversité : le FH (Faisceau Hertzien). En terme clair, elle assure l’entretien des pylônes, au-dessus de la terre ferme ! Une vraie « pylôniste », en somme, dans le jargon usité par les techniciens de l’entreprise à la couleur orangée !
Parallèlement, la jeune femme pratique aussi la VQSE, soit après la traduction de cet acronyme, la vérification qualité sécurité et environnement. Du contrôle de la qualité, à l’état pur !
Vraie perle rare au sein de son service – Laurine est la seule fille volontaire pour escalader les pylônes -, qui comprend une trentaine de collaborateurs, elle ne regrette pas ses choix de carrière. A l’heure où la politique de féminisation de ses métiers va se poursuivre chez ORANGE. Le poids lourds des télécoms s’est fixé un objectif de 35 % de féminisation, notamment dans les fonctions de l’encadrement, d’ici 2024. Le service dans lequel exerce Laurine SIMMONET est bien en deçà de ce taux, 10 % de femmes seulement recensées parmi l’effectif.
Sans idées préconçues au sortir de sa scolarité, Laurine une fois son Bac Pro systèmes électroniques et numériques, option « Télécommunications et Réseaux » en poche, choisit l’alternance par le prisme de l’IUT Auxerre qui l’accueille via le DUT Réseaux et Télécommunications, en intégrant ORANGE. Un pied posé dans la porte professionnelle, légèrement entrouverte, d’une future carrière.
Le baccalauréat obtenu, ORANGE convertit cette immersion en alternance par un poste en CDI. On connaît la suite !
« Certes, reconnaît-elle, ce fut un peu difficile au début. J’arrivais dans un monde du travail où il n’y a en majeure partie que des hommes. Communiquer avec les autres personnes était un peu compliqué au début. Mais, maintenant, assure-t-elle fièrement, cela va nettement mieux ! ».
« Je ne crains pas le vertige et j’aime relever les challenges ! »…
Un peu garçon manqué dans l’âme, Laurine n’a pas hésité à saisir la perche tendue par ORANGE à la fin de son Bac pro. « L’univers technique me paraissait très intéressant et le fait d’être une femme était un challenge pour démontrer que ce métier de technicien d’intervention client entreprise n’est pas seulement réservé aux hommes… ».
Pour l’heure, et dix ans après ses débuts chez ORANGE, Laurine SIMONNET qui n’est pas plus que cela motivée par le sport en règle générale, n’a pas encore une vision précise de son plan de carrière. Hormis peut-être de grimper sur des pylônes encore plus haut ?!
« J’aime bien monter à ces hauteurs, je n’éprouve pas de sensation de vertige… ».
Parfois, avec certains clients, elle fait montre de pédagogie pour expliquer qu’elle est avant tout une technicienne même si elle est une femme. Problématique récurrente observée avec la mixité dans certaines professions aux préjugés masculins.
Pourtant, ORANGE multiplie les initiatives pour éradiquer les différences entre les femmes et les hommes dans l’emploi. C’est l’un de ses objectifs que nous détaillera dans un autre article Véronique MORLIGHEM, déléguée régionale du groupe en Bourgogne.
N’est-ce pas Chrystel HEYDEMANN qui à 47 ans succéda à la direction générale du groupe, s’installant ainsi dans le fauteuil de l’ancien PDG, Stéphane RICHARD en avril 2022 ? C’est la seconde femme à diriger une entreprise du CAC 40. L’autre étant la responsable d’ENGIE.
Mais, il y a encore beaucoup de chemin à parcourir en France sur la voie de la féminisation dans les postes à haute responsabilité, alors que la loi COPE prévoyait il y a une décennie de cela un quota de 40 % de femmes dans les conseils d’administration des entreprises hexagonales…Peu mieux faire, en vérité !
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99