Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
La femme est l’égale de l’homme…à condition d’absoudre les nombreuses disparités existantes
mars 12, 2018Alors que le budget de l’Etat progresse de 13 % cette année pour tenter de résorber les inégalités patentes entre les représentantes de la gent féminine et les hommes dans notre société dite moderne ; les disparités salariales dans le domaine de l’emploi se creusent avec un différentiel de 26 % en défaveur des femmes quel que ce soit l’univers professionnel où elles exercent leur savoir-faire. Pourtant, le message de la préfète de la région Bourgogne Franche-Comté, Christiane BARRET, en visite dans l’Yonne à l’occasion de la journée spécifique du 08 mars (celle du droit des femmes) s’est voulu résolument optimiste dans ce haut lieu de l’émancipation de la condition féminine que symbolise la Maison Colette…
SAINT-SAUVEUR EN PUISAYE : Choisir l’ancien lieu de résidence de l’une des plus grandes figures de l’émancipation de la féminité en France pour y commémorer la célébration de la Journée internationale du Droit des femmes ne manque pas de symboles. Ni de poids. L’âme de l’écrivain qui a bravé une kyrielle d’interdits durant sa longue existence devait planer au-dessus de cette assistance, composée pour l’essentiel de femmes aux origines sociales diverses.
Avant d’en connaître davantage sur l’emblématique personnage de la littérature française, aux multiples facettes et à l’immense talent, le public écouta de manière attentive les propos de la représentante de l’Etat en Bourgogne Franche-Comté, la préfète Christiane BARRET.
Cette dernière a été accueillie par le préfet de l’Yonne Patrice LATRON et le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD. Le patron de l’exécutif départemental devait évoquer le rôle de pionnière que ces femmes de progrès et idéalistes ont su jouer à travers l’Histoire citant entre autres Olympe de GOUGES et naturellement COLETTE. Clin d’œil espiègle de l’homme politique au moment de clore son discours : la part des femmes dans l’hémicycle du Département est la plus représentée par rapport aux hommes avec 22 conseillères féminines élues contre 21 messieurs seulement. Une situation rarissime parmi l’échiquier politique en France…
Il faut du temps avant que les femmes ne soient mises en avant…
Oser exprimer leurs talents ! C’est par ce biais introductif que la préfète de région a introduit son intervention en insistant sur les rapports distendus qui existent entre les deux sexes dans les milieux professionnels. Constatant avec amertume que les différences dans la vie active sont récurrentes, et le plus souvent importantes au détriment de ce public. « D’ailleurs, précisa-t-elle, les femmes subissent des activités professionnelles sous la forme de temps partiel plutôt qu’elles ne les choisissent… ».
Réclamant l’égalité une bonne fois pour toute dans notre société, Christiane BARRET expliqua les démarches prises en sens par la secrétaire d’Etat à la condition féminine qui multiplie les déplacements à travers l’Hexagone, porteuse de messages limpides pouvant à terme faire bouger les lignes. L’un des vecteurs pouvant accélérer ce changement de paradigme sociétal sera sans aucun doute l’apport du numérique. Un virage vers lequel les femmes doivent s’engouffrer y compris au plan professionnel.
« Curieusement, alors que le secteur du numérique et de la digitalisation doit nous permettre de relancer l’économie, peu de femmes sont réellement attirées par cette filière. Il ne faudrait pas vivre une fracture supplémentaire avec cet élément indissociable de la communication et des échanges envers l’autre… ».
En France, de nombreuses initiatives ont pourtant vu le jour au cours de ces dernières semaines sous la forme de constitution d’ateliers. Une vingtaine sont apparus sur notre territoire afin d’interpeller les femmes à propos de ce sujet sérieux.
Lutter contre le harcèlement physique et moral…
Quant à la culture, elle apparaît aussi comme une clé de voûte nécessaire à l’émancipation féminine. Même si, regrette Christiane BARRET, le chemin pour y parvenir de manière équitable est encore bien loin et parfois pavé de retards incompréhensibles. Suivra une énumération de données statistiques édifiantes autour de la proportion des femmes à exercer telle ou telle typologie de métiers : 27 % sont auteurs, 20 % présentent enfin les journaux télévisés mais seulement 4 % d’entre elles mènent à la baguette l’orchestre qu’elles dirigent.
La préfète de Région ne pouvait clore son allocution sans s’insurger contre la situation régulière des violences physiques et morales faites aux femmes. Visant en particulier le harcèlement passif qui est à proscrire, à la fois sur son lieu de travail mais aussi parmi les établissements scolaires.
Elle illustra ses arguments en faisant référence à la visite le 05 mars dernier à Dijon de Brigitte MACRON, première dame de France, et du ministre de l’Education nationale, Jean-Michel BLANQUER, venus à la rencontre des enseignants et élèves bourguignons. Prévenir le sexisme était le thème majeur de cette immersion pédagogique qui fut orchestrée autour de discussions et de scénettes théâtrales…
Un débat autour de la personnalité de COLETTE et de ses engagements permit de poursuivre les échanges avec le public dans ce site où s’imprégnèrent durablement la passion et la liberté…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Le monde agricole plébiscite l’un des siens : Didier BOIVIN, médaille Grand Or pour 41 ans de carrière…
mars 10, 2018« L’amour du travail bien fait ». C’est la définition retenue par Jean-Claude DESNOS, maire de Courson les Carrières qui caractérise le mieux le parcours professionnel de cet homme âgé de 60 ans qui a fait valoir ses droits il y a peu à une retraite méritée et qui recevait en ce samedi 10 mars devant un parterre de personnalités politiques et institutionnelles la médaille Grand Or du travail. Une récompense honorifique qui salue les quarante-et-une années d’expériences professionnelles vécues aux côtés de la famille de Françoise et René FAUCHEUX, exploitants agricoles céréaliers…
COURSON LES CARRIERES : De l’émotion mais aussi une extrême convivialité résument les principaux traits caractéristiques de cette cérémonie protocolaire organisée en ce 10 mars au matin dans la grande salle de réception de la mairie de cette commune de Forterre.
Les milieux agricoles, en force parmi l’assistance, n’auraient voulu manquer sous aucun prétexte ce rendez-vous solennel où l’un de leurs pairs, Didier BOIVIN, recevait la médaille Grand Or du travail, une distinction haute en symbole qui traduit la fidélité sans faille d’un employé modèle et sérieux au sein d’une entreprise.
Un joli pied de nez au destin…
Garçon de l’assistance publique, travailleur et courageux, Didier BOIVIN n’a pas ergoté sur les moyens et sur sa réelle motivation pour rejoindre très tôt, dès l’âge de 18 ans, la vie active. C’est muni d’une mobylette qu’il se présentera un jour de l’année 1976 au domaine agricole de Françoise et René FAUCHEUX, exploitants céréaliers à Courson.
Surpris par cette pittoresque rencontre et aussi par la volonté exprimée par ce jeune homme empli d’audace, le couple se décide de lui tendre la main et de lui accorder sa chance professionnelle malgré la situation très délicate vécue par la filière en cette année de sécheresse exceptionnelle. Le frère de René, Luc, venant de s’installer dans une ferme voisine, Didier BOIVIN mutualisera les travaux agricoles au gré des besoins, se partageant sur les deux exploitations familiales. Un joli pied de nez pour ce garçon, n’ayant pas de famille et qui tiendra sa revanche sur la vie en intégrant ce nouvel environnement…
Perfectionniste, ne lésinant pas sur la découverte de techniques nouvelles par le biais de la formation et des stages, Didier suivra tour à des tours des séances pédagogiques poussées, lui permettant de gagner en facilité au niveau de la soudure, de l’électricité, mais aussi de la prévention.
Cette appétence pour le volet technique, Didier BOIVIN les mettra à profit dans la structure agricole qui l’emploie. Adepte du matériel dernier cri, ce professionnel enjoué lorsqu’il se rendait sur les salons corporatistes maniera avec aisance l’utilisation des technologies numériques embarquées à bord des tracteurs, pourvus de système GPS afin d’optimiser les performances.
Les honneurs même au niveau national…
Confidence de René FAUCHEUX distillée lors de son allocution : « Didier a aussi contribué au développement de nos projets professionnels de notre exploitation. Y compris en installant le photovoltaïque, récemment… ».
Poursuivant cette fructueuse collaboration avec Emmanuel, le fils de Françoise et de René, Didier BOIVIN demeure un parfait bricoleur, ce touche-à-tout de génie vers qui on se réfère et qui sait faire ce qu’il veut de ses dix doigts dès que le besoin l’emporte.
Cet ouvrier modèle aura même eu les honneurs de notre confrère, « France Agricole », publiant une photographie le mettant à son avantage sur les bienfaits d’un nouveau matériel de semis direct. Il recevra également une distinction honorifique de la part de la société HORSCH pour avoir apporté sa plus-value et sa matière grise dans l’amélioration d’un outillage innovant.
Il était légitime que Didier BOIVIN reçoive les congratulations de la filière agricole qui n’oubliera jamais ses bons et loyaux services exercés dans la même structure durant 41 ans !
Ainsi que celles des représentants politiques à l’instar du conseiller départemental Yves VECTEN qui félicitera l’heureux récipiendaire de cette médaille (celle de la passion du métier) et du député de la circonscription, Guillaume LARRIVE, rendant hommage aux professionnels de l’agriculture, segment économique qui nourrit la France et le monde entier…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Depuis le 01er mars, l’antenne départementale de la Fédération française du Bâtiment dispose d’un nouvel accès à la communication digitale afin de relayer pléthore d’informations pratiques et juridiques auprès de ses adhérents. Consultables grâce à une application destinée aux possesseurs de smartphones et autres appareils de la téléphonie mobile, ces données fournies par le national mais aussi par la structure icaunaise traduisent le nouveau tournant pris par le puissant organisme corporatiste. En choisissant ce cap, celui-ci souhaite aller plus en avant pour pallier une carence d’image en agrégeant modernisme et transparence dans sa quête communicative…
AUXERRE : Les choses évoluent au sein de la Fédération française du Bâtiment de l’Yonne. Notamment en matière de communication. Celle-ci a d’ailleurs été renforcée depuis quelques jours grâce à un dispositif usuel pratique et moderne : une application destinée aux nombreux utilisateurs d’objets connectés et d’appareils androïdes.
Soucieux de résoudre la récurrente problématique de son défaut de visibilité, mais aussi désireux de fournir dans des délais optimums une kyrielle de renseignements utiles à l’ensemble des artisans fédérés en son sein, la FFB de l’Yonne a pris soin de se doter de ce nouvel instrument qui manquait encore à sa panoplie fonctionnelle.
Une application qui vient se greffer à la naissance d’une commission communication…
Apparue depuis le début du mois de mars, l’application a pour objectif de soutenir les entreprises de la filière d’en leur vision stratégique à moyen terme. En leur octroyant de précieuses informations jugées pragmatiques par les responsables de l’antenne de l’Yonne. Le contenu informatif de ce nouveau référent ne se cantonne pas à de simples flashes sur la filière du bâtiment. Il englobe un périmètre élargi de données précises sur l’ensemble de ce secteur d’activité.
La FFB de l’Yonne a fait appel aux services d’une structure professionnelle basée à Toucy pour la réalisation de ce média. Les dirigeants de BAT IMPULSE ont su gérer le besoin de leur client avec sérieux et efficacité. Donnant le résultat que chacun peut découvrir désormais en téléchargeant la nouvelle application.
Un bonheur ne venant jamais seul, et sous l’impulsion volontariste de son président Xavier PAPIN, la structure fédéraliste a décidé de s’octroyer les services d’une cellule de communication interne, composée de cinq membres, qui se réunira dès la semaine prochaine afin de fixer les lignes prioritaires de son projet de développement. Cet organe travaillera en parfaite symbiose avec le président PAPIN et le secrétaire général de la FFB 89, Christian DUCHET, en poste depuis maintenant deux exercices au sein de cette vénérable institution.
Un programme chargé d’ici la fin de l’exercice…
Plusieurs événementiels serviront de trames de référence pour le démarrage effectif de cette commission. A commencer par la tenue de la traditionnelle assemblée générale qui se déroulera le 15 juin dans les locaux de la fédération. Un moment fort pour le président Xavier PAPIN qui dévoilera alors les perspectives de son nouveau mandat à horizon 2018/2019 après avoir brossé le bilan de l’année écoulée. Il sera question également de la fameuse opération ouverte aux collégiens et futurs apprentis de la filière, les Coulisses du Bâtiment. Cette dernière devant avoir lieu durant la seconde semaine d’octobre à Auxerre. La date n’est pas encore arrêtée de manière définitive. Ni le lieu d’accueil de cette animation qui draine en règle générale plusieurs centaines de collégiens en quête de pistes favorables à leur orientation.
Enfin, la tâche ne sera totalement accomplie cette année pour la FFB 89, une fois les Rubans du Patrimoine organisés. La structure aura le privilège de porter cette animation, née de l’initiative de la Fondation du Patrimoine de France, aux côtés de plusieurs partenaires (Association des maires de l’Yonne, Caisse d’Epargne…) et autour de deux projets Icaunais qui obtiendront des récompenses : la ville de Tonnerre pour l’édification d’un kiosque à musique et la commune de CLAIRIMOIS, ayant procédé aux travaux de rénovation de son église.
Bref, on le constate : 2018 sera une année avec du pain sur la planche assuré pour la jeune commission de la communication de la fédération ; et des informations garanties qui seront destinées à alimenter la nouvelle application digitale.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
IRON COOK 2018 : la crise de la cinquantaine n’a pas d’emprise sur Thierry LAMBERT, pépite de la gastronomie…
mars 09, 2018A 52 ans, le chef de cuisine du fameux club AIRBUS, établissement spécifique accueillant des VIP de la planète entière en transit dans la région de Toulouse, et piloté par le prince de la gastronomie Michel SARRAN, double étoilé au Michelin, n’hésite pas à prendre des risques. Et à se remettre en cause, lui et son tour de main magique, avec beaucoup d’élégance et un sens profond de l’humilité. Le 21 mars, ce professionnel au parcours jalonné d’expériences riches et enthousiasmantes (Le CRILLON, La BARBACANE…) relèvera le défi imposé par les organisateurs ingénieux de l’IRON COOK 2018 lors de la seconde édition de cette épreuve à la renommée nationale. Portrait…
AUXERRE : Titulaire d’un CAP de cuisine, obtenu en 1983, au lycée professionnel de Saint-Martin d’Amiens dans la Somme, Thierry LAMBERT n’entre pas dans la catégorie particulière des spécialistes de concours gastronomique. Certes, il s’est déjà essayé à quelques-uns d’entre eux, « sur le tard », comme il aime le préciser. Non pas, par manque de conviction, mais parce que la passion de son métier telle qu’il l’exerce aujourd’hui aux côtés de Michel SARRAN à mitonner les recettes les plus insolites et représentatives du terroir français, monopolise le temps nécessaire aux préparatifs d’usage.
Donner le maximum pour ce défi d’exception
Ce personnage universaliste ouvert aux cuisines du monde (Brésil, Tunisie, Egypte, Dubaï…), féru de stages de perfectionnement afin de connaître la subtile quintessence de cet art culinaire qui lui procure tant de plaisir, a, en cette année 2018, tourné casaque à sa litote habituelle. Celle de consacrer beaucoup aux autres, en oubliant parfois de s’intéresser à lui-même…
Logique, en suivant ce raisonnement volontariste, de retrouver in fine Thierry LAMBERT parmi la vingtaine de postulants initiaux au fameux défi institutionnalisé par le CIFA de l’Yonne depuis deux rendez-vous.
« L’âge n’y est absolument pour rien, concède-t-il, ni le fait de me confronter à d’autres chefs de grande valeur. Simplement, j’ai eu envie de relever ce challenge marathon si spécifique en adressant ma candidature parce que la passion du travail bien fait et le fait d’être capable de se mobiliser à tout instant me sont apparus les arguments les plus forts… ».
Par chance, le chef de Castelmaurou (Haute-Garonne) franchira sans encombre les étapes successives d’une dure sélection. Son dossier interpellera les membres du premier jury qui ont composé le futur casting de cet événement printanier. Pris au jeu de la sélection en phase de succès (l’une des quatre places de finaliste lui revenant de facto après le verdict rendu par le comité exécutif), le chef ne fera pas de la figuration le jour J lors de sa venue en Bourgogne.
« Je sais que je donnerai le maximum pour remporter ce challenge, explique-t-il, dans ce métier, on ne peut progresser sans aller le plus loin possible et en relevant au quotidien des défis supplémentaires. Et puis, quelque part, je me réjouis que les personnes présentes ce soir-là, soit les 36 VIP du jury de notation des mets, auront la chance de pouvoir déguster ma cuisine. Etant un cercle très hermétique, le Club AIRBUS ne reçoit que des personnalités et des VIP du monde entier quel que soient leurs cultures et religions. D’où une diversité éclectique de la gastronomie à leur proposer. A contrario, ce cadre n’est pas ouvert au grand public et ma cuisine demeure méconnue… ».
Se sublimer pour contrer la crise de la cinquantaine…
Près de Toulouse, Thierry LAMBERT sait pourtant faire des miracles au fond de l’assiette, aux côtés de ses équipes, à faire pâmer les épicuriens les plus insensibles à la gastronomie de référence.
« Je me suis toujours donné à fond à la cause culinaire, conçoit-il, aujourd’hui, j’ose l’avouer je ne crains pas les jeunes chefs qui exercent leur vision de notre corporation avec élan et générosité. Personnellement, j’aime mon métier. Et quand on aime on peut aller très loin. Mon objectif, en participant à ce défi original, est de m’assurer que j’aurai essayé. Je ne viens pas à cette épreuve avec une crainte particulière. La seule peut-être est celle de laisser mes équipes à Toulouse durant cette semaine d’absence… ».
Perfectionniste jusqu’au bout des ongles, le chef de la Haute-Garonne ! Lui qui considère que la cuisine correspond à une somme de valeurs à partager autour de soi. Thierry LAMBERT aborde ce défi avec un réel sens de l’abnégation. Face à la crise de la cinquantaine qui le pousse parfois à se sublimer en réalisant de nouvelles prouesses techniques.
S’attaquer à la difficile scénographie imposée par cette épreuve complexe (concevoir un menu complet comme s’il exerçait son activité dans un restaurant) ne contrarie nullement le chef toulousain.
Mieux cela le stimule et lui intime l’ordre de conjuguer le plaisir au devoir accompli. En procurant la satisfaction à celles et ceux qui se délecteront de sa cuisine savoureuse et typique au soir de ce rendez-vous qualitatif, même si le menu y est sérié dans le cadre précis d’un challenge national.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
L’alléchant défi culinaire concocté par le CIFA de l’Yonne livrera enfin son verdict irrévocable au soir du 21 mars, mettant un terme à ce long processus sélectif qui a engendré une insupportable attente pour les valeureux candidats. Après quelques suées froides et d’intenses émotions vécues aux côtés de leurs commis, les quatre finalistes de cette épreuve, unique en France sous sa formulation actuelle, s’en remettront alors aux critiques et appréciations d’un jury de chefs exceptionnels placé sous la présidence de Virginie BASSELOT, rare toque féminine à être auréolée du glorieux titre de Meilleur Ouvrier de France. Ce Jugement dernier ne condamnera pas pour autant les trois malheureux vaincus. Ils auront su se sublimer en donnant le meilleur d’eux-mêmes pour éblouir du fond de l’assiette les 36 invités VIP qui auront pris soin de goûter leurs plats avant de les noter. Quant au lauréat 2018, il aura la lourde tâche de succéder au premier vainqueur, l’inénarrable Vincent TOURNAYRE, aujourd’hui chef exécutive dans les cuisines du Palais Brogniart, cadre d’accueil de la Bourse de Paris…
AUXERRE : A quatorze jours du défi hors normes qui mobilise déjà tous les regards scrutateurs des journalistes, le moral des organisateurs est de très loin orienté vers le beau fixe. L’ultime rencontre ce jeudi 08 mars avec les médias aura servi de baromètre infaillible pour tâter le pouls de celles et ceux qui se préparent à vivre l’évènement de l’intérieur. Les nouvelles en provenance des quatre candidats sont excellentes : ils ont à cœur d’en découdre au plus vite derrière les pianos mis à leur disposition par le Centre interprofessionnel de la formation par l’apprentissage de l’Yonne.
Un défi d’envergure nationale et qui le prouve à l’origine de ses participants
Soutenu par la branche professionnelle de l’Union des métiers de l’industrie hôtelière (UMIH) et la prestigieuse Amicale des Cuisiniers de l’Yonne, le second opus de ce défi à l’incomparable prononciation angliciste, chère à Marcel FONTBONNE, directeur du CIFA, gagne véritablement ses lettres de noblesse avec cette future édition. Exit l’aspect terroir typique et régionaliste qui aura prévalu au cours des deux années précédentes, judicieux prétexte pour roder la formule et se faire les dents, place désormais à la pure dimension hexagonale de l’événement grâce à la qualité des dossiers de candidature présentés et retenus !
Ile de France, Isère, Haute-Garonne, et même Allemagne constituent les zones géographiques d’origine de ces quatre chefs talentueux qui oseront relever le challenge et briguer le sésame suprême au terme d’un combat des chefs mémorable, à coup de saveurs insolites et de textures des mets originales.
Ce défi culinaire d’un autre genre, fort éloigné des codes habituels observés par les concours gastronomiques de tout poil, se bonifie comme un grand cru. Gagnant en maturité avec la présence de futurs lauréats qui n’hésitent à se remettre en cause avec passion et humilité.
Des qualités humaines et de l’implication passionnelle…
Non seulement le cursus de ces quatre challengers est édifiant de solidité et d’expériences professionnelles ; mais en outre, il permet à des concurrents, même cinquantenaires, de bénéficier d’une jouvence salvatrice qui leur donne des ailes. Celles de la célérité et d’un bonheur retrouvés autour de la pratique de cet art culinaire dont ils maîtrisent la quintessence en toute générosité et parfaite harmonie.
Comment, alors, avec de telles pointures, de si belles qualités humanistes, ne pas valoriser de la manière la plus optimale les métiers de l’hôtellerie et de la restauration !
Cet IRON COOK 2018 possède avant même qu’il ne se soit déroulé cette succulence au palais et ce stimuli intellectuel, faisant de cette seconde édition, un rendez-vous auquel les puristes des arts de vivre et épicuriens ne sauraient se soustraire. Plaçant les candidats dans une posture à peine croyable de concevoir à destination d’un jury, et selon un thème imposé, une entrée, un plat et un dessert, comme s’ils servaient la clientèle de leur établissement.
Il ne restera à l’avenir d’autres objectifs pour le CIFA de l’Yonne et à ses partenaires institutionnels que de franchir l’ultime degré de cette ascension, propulsant ce défi vers l’internationalisation. Et d’accueillir, pourquoi pas, la fine fleur des valeurs montantes de la gastronomie européenne et asiatique. Afin d’être en parfaite corrélation avec le nom de baptême de cette vénérable expérience…
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99