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MG DUFAY rencontrera LE MAIRE : plaidoyer de la dernière chance pour sauver les emplois de GENERAL ELECTRIC ?
mai 01, 2019Accompagnée d’une délégation d’élus locaux et de parlementaires de la Franche-Comté septentrionale, la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY se rendra d'ici peu dans la capitale afin d’y rencontrer le ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE. L’objectif de cet entretien, peut-être celui de la dernière chance, sera de faire pencher la balance en faveur du site de Belfort et d’y maintenir les compétences et les savoir-faire du groupe industriel, fabriquant de turbines à gaz.
BELFORT : Maintenir coûte que coûte la compétitivité et l’emploi dans le secteur de l’industrie. C’est l’un des credo essentiels qui motive l’action de la première Dame de la Région Bourgogne Franche-Comté.
Et au regard de l’actualité, propre à la société GENERAL ELECTRIC, implantée sur le Territoire de Belfort, l’élue régionale est plus que jamais déterminée à tirer toutes les ficelles possibles afin de sauvegarder l’activité économique et les emplois induits de cette entité.
Présent en France depuis un siècle, le groupe GENERAL ELECTRIC emploie près de 16 000 collaborateurs dans des secteurs d’activité liés à l’énergie. Son chiffre d’affaires s’élève à 7 milliards d’euros. Le site de Belfort accueille le centre technologique destiné à la conception de turbines à gaz 50hz ; il est aussi le siège de la joint-venture entre GE et Alstom Nucléaire.
Prenant le taureau par les cornes, Marie-Guite DUFAY a interpellé directement le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno LE MAIRE, sur ce délicat dossier.
Car avec ses quatre mille quatre cents salariés, la première unité de production de GENERAL ELECTRIC, localisée à Belfort, doit survivre aux aléas complexes de la conjoncture.
Récompensée de ses efforts, la présidente de la Région a obtenu une audience auprès du ministre. Celle-ci interviendra à Paris, la date et l'horaire restant à déterminer. L’élue régionale ainsi qu’une délégation de parlementaires et élus franc-comtois auront alors tout le loisir de faire part de leurs craintes et de leurs espoirs face au représentant du gouvernement.
Interrogée à ce propos, Marie-Guite DUFAY est on ne peut plus claire dans ses intentions :
« La sauvegarde de ces emplois passe par une diversification des activités du site, notamment dans le secteur de l’aéronautique, le nucléaire (dans sa composante démantèlement et grand carénage) et des filières d’avenir autour de l’hydrogène. L’Etat doit prendre la mesure de la situation et se positionner en stratège pour attirer des investisseurs. La Région Bourgogne-Franche-Comté, le territoire du Nord Franche-Comté, le département du Territoire de Belfort, sa communauté d’agglomération et ses parlementaires appellent aujourd’hui le gouvernement à actionner un véritable plan de bataille pour sauver le site de Belfort, son écosystème performant et ses emplois, c’est l’objet de cette rencontre… ».
Un plaidoyer juste pour une noble cause. Sera-t-il entendu par le pensionnaire de Bercy ?
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C’est dans une zone de chalandise très dynamique et prometteuse, en périphérie de Lyon, que la filiale française du groupe d’Outre-Rhin a choisi d’ouvrir son nouveau point de vente. Inaugurée officiellement le 24 avril, la structure complète l’offre globale du spécialiste de la vente de produits chimiques, de fixation, d’outillage et de consommables techniques, leader de la distribution multicanale.
VAULX-EN-VELIN (Rhône) : Le projet aura été de longue haleine. Dans sa phase d’élaboration et de positionnement. Devant l’accélération croissante des attentes de sa clientèle et au développement de la digitalisation dans les relations commerciales, l’ingénierie de BERNER France a capitaliser sur son expérience, vieille d’un demi-siècle, pour évoluer à travers ce nouveau concept de magasin.
Implantée dans l’Yonne depuis 1969, la déclinaison hexagonale du groupe allemand s’est forgée au fil du temps une solide réputation auprès des professionnels de la mobilité, de la construction et de la maintenance industrielle. C’est-à-dire son cœur de cible.
Aujourd’hui, BERNER France pèse 238 millions d’euros de chiffre d’affaires. L’entreprise recense 1 500 collaborateurs dont mille commerciaux qui font fructifier un portefeuille de plus de 100 000 clients.
Ouvrir une structure de la sorte dans le département du Rhône répondait à un besoin stratégique. Comme le précise Didier GOGUELIN, directeur général de la filiale française.
« Ce projet s’inscrit dans notre stratégie « omnicanal », c’est-à-dire du vendeur terrain à l’e-commerce qui vise à nous rapprocher de notre clientèle. Nous cherchons tous à améliorer l’expérience client. Nos clients sont aujourd’hui en contact constant avec notre marque, que ce soit via notre centre de relations client, notre commercial terrain, l’appli web, le site marchand ou nos supports imprimés tel que le catalogue. Le point de vente doit fonctionner de la même manière et c’est pourquoi nous voulions créer un parcours client simple, homogène et familier. En entrant dans le magasin, le client fait le lien avec la marque, ses produits et services grâce à la cohérence entre tous les points de contact ».
Un concept résolument ouvert vers l’humain
Attaché à la dimension humaine, la vitrine commerciale lyonnaise a été pensée dans cet état d’esprit. L’espace de vente en libre-service s’étend sur 300 mètres carrés et créé une ambiance plus accessible et plus proche. Pour permettre au visiteur de se repérer simplement dans le magasin, les gondoles centrales ne dépassent pas 1,50 mètre. Quant à la signalétique, elle est colorée et épurée. Cela contribue à donner une image structurée du magasin. Tout a été imaginé pour faciliter la compréhension de l’offre qui est proposée par univers produits.
Le point de vente dispose de salles de réunion. Elles faciliteront le lien avec la force de vente itinérante régionale, qui en profitera pour organiser des réunions d’équipes, des journées techniques ou des séances de formation sur site. Comme le précise Christian LEJET, directeur commercial Construction, « Le but d’ouvrir un magasin est d’une part de renforcer notre image de marque et notre ancrage local et d’autre part d’affirmer notre proximité avec nos clients et prospects… ».
Dans le point de vente, sis 15 rue Jacques Tati à Vaulx-en-Velin, quatre collaborateurs dont le responsable accueillent les clients, uniquement professionnels. Ces derniers évoluent dans les différents univers en libre-service et peuvent s’adresser à tout moment aux conseillers du magasin pour bénéficier de leur expertise produits ou leur demander des informations sur les services proposés exclusivement en boutique. In-situ, les salariés peuvent réaliser des devis et ouvrir de nouveaux comptes en toute autonomie pour plus de réactivité et de gain de temps. Les commandes spéciales se gèrent avec le savoir-faire du siège à Saint-Julien-du-Sault.
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Jean-François LEMAITRE : « La régionalisation de la CMA, c’est davantage d’attractivité pour notre territoire… »
avril 30, 2019A l’aune d’un nouveau processus organisationnel, la chambre consulaire qui préside à la destinée des entreprises de la filière artisanale dévoilera son nouveau visage au 01er janvier 2020. Le principe de la régionalisation Bourgogne Franche-Comté ayant été depuis longtemps validé par toutes les instances en présence. Favorable à la mutualisation des services et savoir-faire afin de renforcer l’action de l’organisme sur son territoire, le président de la section icaunaise de la Chambre de Métiers Jean-François LEMAITRE est un fervent défenseur de cette ligne stratégique. Elle ne peut être que profitable aux artisans de l’Yonne. Quand le cœur et la raison sont en étroite symbiose dans le sens du progrès…
SENS : Le président de la vénérable institution consulaire de notre territoire sait se faire rare en matière de communication. Notamment dans cet exercice toujours complexe et intransigeant, celui de l’interview directe en vis-à-vis avec un représentant de la caste médiatique.
Pourtant, à sa demande, l’entrepreneur qui défend la pérennité de la filière artisanale a souhaité cet entretien. Car, il a des choses à faire valoir au plan de l’information. En outre, notre interlocuteur ne pratique pas l’art de l’esquive dans les argumentaires qu’il désire développer.
Balayant tour à tour l’actualité riche et éclectique de la corporation, il rappelle en guise de préambule quelques bonnes vérités, toujours agréables à entendre dans la bouche d’un leader institutionnel.
« La Chambre des Métiers et de l’Artisanat n’est pas mon entreprise…Mon rôle est simplement d’insuffler une ligne politique à l’ensemble. Mais, pas de l’exécuter ! ».
Lâchée tout de go, l’affirmation mérite de replacer les choses dans son contexte. Jean-François LEMAITRE s’efface bien volontiers au profit de collaborateurs dont ils vouent les compétences et les mérites. Celles et ceux qui travaillent au quotidien à la bonne fonctionnalité d’une structure qui fédère des centaines d’entreprises et des milliers d’emplois.
« Je préfère être plus en avant auprès de mes équipes professionnelles, ajoute-t-il, rappelant qu’il est lui-même un artisan entrepreneur encore en activité, au sein de la Chambre, ce sont les collaborateurs qui sont en relation directe avec les artisans et qui dirigent les différentes strates décisionnelles de cette entité… ».
Pas de prétentions à la présidence régionale…
Alors, que se profile à horizon 2020 un scrutin très important, celui qui désignera le nouveau président de l’institution régionale, après le regroupement des chambres de Bourgogne et de Franche-Comté, l’entrepreneur du Sénonais aurait-il néanmoins quelques velléités pour occuper ce fauteuil ?
La réponse ne se fait pas attendre. Nette et précise ! « Je n’ambitionne aucune prétention à vouloir exercer le pouvoir à la présidence régionale ! ».
Saluant le travail de l’actuel président de la Bourgogne, Emmanuel POYEN, Jean-François LEMAITRE confirme son soutien à sa probable candidature. « Nous nous entendons parfaitement bien, je le soutiendrai lors de ce vote régional… ».
Sachant que le président de l’exécutif bourguignon devrait être sans doute opposé à son homologue franc-comtois, Michel CHAMOUTON.
Elu jusqu’en 2021, le président Icaunais possède une conception juste et ordonnée de l’exercice de son mandat. « Qui d’autre qu’un artisan actif peut représenter au mieux les intérêts d’un professionnel ? s’interroge-t-il songeur ».
L’homme possède un sens profond des valeurs humanistes. Elles irradient son regard bleu azur. Faisant montre d’œcuménisme dans la manière dont il appréhende la gestion de la chambre consulaire.
« Vingt-cinq élus et dix suppléants travaillent en parfaite osmose à la destinée de cette chambre. Tous sont associés aux décisions stratégiques importantes, en prenant part activement aux commissions. Même les personnes issues de listes opposantes. Nous sommes tous au service de l’artisanat parce qu’il représente une institution à laquelle nous croyons… ».
Conserver une part de proximité importante…
Aujourd’hui, l’organigramme de la nouvelle instance régionale s’esquisse petit à petit. Eléments concrets déjà quasi certains : différentes directions régionales seront accueillies à Dijon, Dole et Besançon.
« Mais, concède Jean-François LEMAITRE, nous devrions y voir plus clair dès le début du mois d’octobre… ».
Toutefois, la puissance territoriale, au niveau de la strate départementale, ne sera pas remise en cause à l’issue de ces bouleversements majeurs. Ainsi, il sera conservé une certaine aura en termes d’influence et de fonctionnalité au département grâce à un représentant (directeur), appuyé par deux chefs de service. Une articulation logique, selon le président Icaunais, pour ne pas se couper des entreprises, en quête constante de proximité.
« Ce n’est pas parce que nous aurons désormais une vision globale et opérationnelle au plan régional que nous allons nous éloigner de nos territoires, constate le président de l’Yonne, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat possède d’importantes missions de représentativité avec ses autres partenaires consulaires au sein de la CEA (Chambre Economique de l’Avallonnais), du CDT (Centre de Développement du Tonnerrois), des permanences régulières tenues avec la Chambre de Commerce et d’Industrie en Puisaye-Forterre. D’ailleurs, saviez-vous que depuis la régionalisation, nous avons procédé à la création de deux nouvelles antennes départementales, à Montbard (Côte d’Or) et à Mâcon (Saône-et-Loire)… ».
Certes, un effectif moindre exerce dorénavant ses activités au sein de la vénérable institution. De 130 collaborateurs, la chambre départementale est passée à un effectif de 120 personnes, soit un ratio de 7 % des individus en moins. Mais, cette légère baisse est la résultante de départs volontaires ou de mises à la retraite.
Rappelant qu’il n’y a eu aucune conséquence négative sur les offres de service et prestations déclinées aux artisans, Jean-François LEMAITRE précise qu’aucun licenciement n’a été prononcé.
Une régionalisation profitable à l’attractivité territoriale…
Enumérant une suite d’opérations positives dispensées en faveur de l’artisanat (création d’un CAPI, petits déjeuners au féminin, salon Fiers d’être apprentis…), le président observe avec réalisme que la dynamique dégagée par la chambre consulaire est bien palpable sur le terrain.
« Nos relations avec l’ensemble des communautés de communes sont excellentes : jamais nous n’avons autant travaillé en réseau avec les partenaires institutionnels de ce département ! ».
Paradoxalement, la contrainte budgétaire (une économie substantielle de 300 000 euros sur les dix millions d’euros déployés d’ordinaire au plan régional) n’a pas eu d’impact notoire sur les aides apportées aux entreprises. Même si à l’avenir, davantage de conseils tarifés seront déclinés auprès des entreprises.
Les projets, par ailleurs, ne manquent pas. Le développement d’une plateforme numérique, qualifiée d’importante, nécessitant beaucoup de labeur, s’achèvera au cours de l’été.
L’avenir de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat se joue au détour de diverses expérimentations. Comme celles mises en exergue dans le domaine de la formation ou de la communication.
« Grâce à la régionalisation, nous gagnons en force d’actions, explique Jean-François LEMAITRE, au plus près du terrain. Notre rôle, en définitive, est de nous situer aux côtés des communautés de communes et des collectivités afin de pouvoir optimiser le tissu artisanal de nos contrées. En créant des maillages favorables à l’emploi dans les cantons. Même si 50 % des structures artisanales ne possèdent pas encore de salariés… ».
Satisfait de ce bilan, tant au plan humain que sur les déclinaisons événementielles qui en découlent, le président LEMAITRE se veut être l’un des chantres de cette régionalisation réussie qui aura in fine permis à l’Yonne artisanale de devenir plus forte en mutualisant compétences et enveloppes budgétaires…
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FFB 89 : « Cœur de Ville » et transition écologique, gages d’intenses réflexions lors de l’assemblée générale…
avril 29, 2019Le secrétaire général de la Fédération des entrepreneurs et artisans du bâtiment et des travaux publics de l’Yonne, Christian DUCHET, peaufine avec minutie la feuille de route de la prochaine assemblée générale statutaire de l’organisme. Organisée le vendredi 28 juin, la manifestation s’articulera autour de plusieurs temps forts dont on connaît déjà les axes essentiels de réflexion : les conséquences concrètes de l’opération « Cœur de Ville » lancée sur le territoire départemental et l’impact de la transition écologique sur les artisans.
AUXERRE : Plusieurs thèmes majeurs seront abordés lors de la prochaine assemblée générale de la FFB de l’Yonne. Le rendez-vous du vendredi 28 juin jouera ainsi la carte de la nouveauté en proposant une table ronde où seront conviés différents spécialistes de sujets préalablement choisis.
Travaillant avec sérieux à la configuration logistique et au contenu de cet évènement, le secrétaire général de la fédération des professionnels du bâtiment Christian DUCHET a confirmé que deux thématiques prioritaires avaient retenu son intérêt. Elles sont liées très étroitement à l’actualité.
Le premier, prétexte à une réflexion nourrie entre les intervenants et le public, concerne le lancement de l’opération de réhabilitation des centres urbains (Auxerre, Sens…), « Cœur de Ville ».
Le choix du conférencier aurait été tranché à 100 %. Président de l’Office Auxerrois de l’Habitat et élu de la Ville d’Auxerre, Jacques HOJLO serait l’interlocuteur idoine pour expliquer les tenants et aboutissants de ce vaste chantier visant à transformer les quartiers des centres villes.
Une explication de texte autour de la loi DENORMANDIE…
Le second invité de référence pouvant prendre part à cet exercice de communication new-look pour la FFB serait une invitée. En la personne de la Conseillère régionale de Bourgogne Franche-Comté, Frédérique COLAS. La jeune femme est en charge de la transition écologique et de l’environnement. Sa présence reste encore à confirmer selon les disponibilités offertes par son agenda…
Toutefois, et dans un souci évident d’élargir le débat, Christian DUCHET promet la venue d’autres experts, notamment la présence d’un architecte.
Sachez, en dernier lieu, qu’il sera aussi question d’éclairer les lumières des artisans du bâtiment et des travaux publics présents sur les possibilités offertes par la loi DENORMANDIE.
Entrée en vigueur au premier janvier 2019, celle-ci vient compléter le dispositif PINEL ancien déjà mis en place. Le texte s’applique à la rénovation des logements vétustes des cœurs de ville par le biais d’un programme de défiscalisation avantageux à destination des investisseurs.
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Stratégie : la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté pousse les pions de la communication à son avantage…
avril 28, 2019En poste depuis un semestre, l’ancien responsable de l’entité beaunoise, Jean-Pierre CHAPUIS, devenu entre-temps directeur d’établissement de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté dans l’Yonne, se dit très satisfait des réelles potentialités de développement qui prévalent sur ce territoire. En accointance avec le directeur de l’agence principale d’Auxerre, Pascal THOLLON, le manager a innové dans la manière de communiquer en proposant une rencontre opportune et directe avec les acteurs locaux du marché professionnel. Réunis dans le magnifique hall de cet édifice à l’architecture séculaire, artisans, commerçants mais aussi institutionnels et professions libérales ont pris part à ce premier rendez-vous exploratoire qui, d’emblée en appelle déjà d’autres…
AUXERRE : L’effervescence était de mise dans le majestueux hall d’entrée de la principale agence départementale de la Caisse d’Epargne. Concoctée en termes de faisabilité et de logistique par son propre directeur, Pascal THOLLON, soutenu par son équipe d’une douzaine de collaborateurs, une rencontre informelle ouverte aux représentants du marché professionnel s’est tenue il y a quelques jours dans un esprit d’échange et de convivialité.
Ce fut une grande première placée sous le signe de la communication et du partage informatif. Une opération, somme toute réussie au vu de la représentativité, selon le directeur d’établissement icaunais, Jean-Pierre CHAPUIS qui devait en apporter les conclusions et remerciements d’usage.
Ce dernier ne pouvait pas mieux faire coïncider son sixième mois de présence sur notre territoire avec l’organisation d’un évènementiel dont il avait soutenu l’initiative avec ardeur.
La présence de quelques clients particuliers était à noter lors de cette manifestation qui toutefois s’arc-boutait sur une forte représentation d’entrepreneurs, de responsables associatifs et de porte-paroles de structures institutionnelles. Cette nouvelle stratégie en matière de communication directe avec le monde professionnel devrait faire florès et se réitérer prochainement de l’avis du manager de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté dans l’Yonne.
Démonstrations de savoir-faire avec les directeurs de marché…
Présent sur ce marché depuis plusieurs décades, le groupe bancaire se définit au plan déontologique comme un acteur économique de proximité, soucieux de prodiguer conseils et préconisations utiles auprès des 77 % d’artisans et commerçants en portefeuille dans la région. Le reliquat se composant des professions libérales.
Outre la présentation individuelle de chacun des collaborateurs de l’agence principale auxerroise, Pascal THOLLON expliqua ensuite par effet gigogne le rôle spécifique des directeurs de marché.
En particulier, ceux joués par Romain BARNAY, responsable de la gestion privée qui fit une brillante démonstration de son savoir-faire et de ses références historiques en renvoyant les visiteurs d’un soir à l’aune de la crise américaine des « subprime » de 2008.
Crise majeure dans l’immobilier qui provoqua un séisme planétaire incommensurable dont certains entrepreneurs ne sont jamais remis, y compris dans l’Hexagone.
Puis, Victor PINTO, directeur du marché de l’immobilier, fit une intervention détaillée sur les vertus fiscales des textes législatifs régissant cet item, à savoir PINEL et MALRAUX, toujours d’actualité. Avant d’évoquer le cruel déficit de logements qui touche notre pays.
Le terme de cette invitation taillée sur mesure de la discussion ouverte et relationnelle entre tous ces acteurs de l’économie de proximité ne pouvait s’achever autrement qu’en levant le verre de la convivialité. Un axiome important qui ne doit jamais se départir de toute stratégie de communication directe qui se respecte !
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