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Retraites : le système actuel est désormais obsolète, il est impératif de le réinventer !
juillet 02, 2019Il y a déjà vingt ans que le Conseil d’orientation des Retraites (C.O.R), initié par le Premier ministre de l’époque, Lionel JOSPIN, existe. Véritable comité « Théodule », autant dire un énième dispositif de plus dont les prévisions stratégiques n’ont pour objectif que d’intéresser celles et ceux qui les produisent, émet des hypothèses de tout ordre sur les équilibres financiers des retraites pour les prochaines années. Voire les futures décennies, bien au-delà même de l’horizon 2050. La matière grise des esprits éclairés de ce comité atypique puiserait-elle sa source dans l’histoire exotique d’un personnage sorti de l’univers des « Mille et une nuits » de la Perse ? On peut le supposer à la lecture des lignes qui suivent…
TRIBUNE : Je vais vous narrer l’histoire de Nasr Eddin HODJA. Il proposa un jour au Shah de Perse d’apprendre à lire à son âne dans un délai de dix ans. A la fois intrigué et séduit par cette proposition fort curieuse, le Shah l’assura de lui verser une pièce d’or à la fin de chaque mois jusqu’à ce que l’âne parle. Mais, il l’avertit en parallèle que si l’âne restait muré dans le silence à l’issue de ces dix années, lui, Nasr Eddin HODJA serait alors décapité.
À la sortie du palais, les amis de ce personnage furent consternés : « Comment as-tu pu faire une proposition aussi insensée ? » s’exclamèrent-ils !
« Ne vous inquiétez pas, répondit-il calmement le sage, d’ici dix ans ou le Shah ou l’âne ou moi, l’un des trois de toute façon, sera mort… ».
Ainsi, le Conseil d’orientation des retraites prévoyait dans son rapport de 2007 que les caisses de retraite complémentaire, AGIRC ARRCO, seraient en déficit autour des années 2020.
Comment décrire l’improbable : la vision du monde de 2050 ?
Dans l’absolu, l’AGIRC l’est depuis 2010. Malgré tous les artifices comptables possibles et inimaginables. Cette prévision du C.O.R. est à mettre au regard de la dure réalité : en 2016 la somme des déficits AGIRC ARRCO atteignait la bagatelle de quatre milliards d’euros.
Elle s’élevait à trois milliards l’année suivante. Fin 2018, on embouchait les trompettes pour dire qu’elle n’était que de deux milliards. Soit au total, neuf milliards d’euros sur trois ans. Mais, qu’en sera-t-il avec exactitude en 2019 et 2020 ?
Quelqu’un a eu l’idée géniale de fusionner les caisses ARRCO et AGIRC du fait du déficit de cette dernière. Mais, le contraire eut été impossible. Surtout lorsque l’on constate qu’il y a quatre millions de cotisants pour 2,8 millions de retraités ?
Est-il nécessaire d’avoir fait un jour des études à Polytechnique pour comprendre cet exercice d'arithmétique purement élémentaire ?
Cette fusion, dans mon modeste essai intitulé, « Des retraites nous n’en aurons pas ! A moins que … », je l’ai qualifiée « de trou dans le trou », comme le fameux trou du célèbre sapeur Camembert.
Aussi, est-il logique qu’un think tank prévoit que « si rien ne change, la dette vieillesse de 2050 pèsera plus des trois quarts de la richesse nationale… ».
Quand on sait, selon une enquête du Comité Economique, Social et Environnemental, que près de la moitié des Français ne possèdent même pas cent euros dans leur besace la fin du mois. Il n’est donc pas besoin d’être devin pour savoir ce qui se passera d’ici quarante ans. Ce qui semble d’ailleurs être le cadet des soucis de bon nombre de personnes vivant en ce bas monde !
Quant à la notion de « richesse nationale », elle n’est qu’une abstraction stratosphérique pour la majorité d’entre eux !
Ainsi, le C.O.R, les think tanks, les économistes et autres exégètes de la retraite élucubrent de manière récurrente des prévisions inspirées par la brillante et irréfutable pensée du fameux Nasr Eddin HODJA. Dans quarante ans, personne ne pourra venir leur porter contradiction.
Toutefois, réfléchissons quelque peu : quel économiste aurait pu décrire au début de l’année 1914 la situation de l’Hexagone de 1964 ? Ou en 1979, comment se présenterait le monde de 2019 ?
Un système de retraites devenu obsolète et imparfait…
Nos prétendus experts scrutent tous ces espaces intersidéraux par le mauvais bout de la lorgnette. Ils ne voient pas l’immense trou qui se trouve à leurs pieds. Une fosse abyssale vers laquelle nous glissons petit à petit de manière irrémédiable…
En revanche, ce que personne ne veut voir : c'est que le système de retraites, qui a vu le jour en 1945, est totalement obsolète en l’état ! Dois-je rappeler que nous sommes en 2019 !
Depuis, tout a changé. A commencer par la démographie. Il y avait à l’époque sept actifs pour un retraité. Le ratio est maintenant de 1,6. Il y avait 2,2 milliards d’habitants sur Terre dont seulement 600 millions vivaient en économie de marché. Il y a désormais 7 milliards d’individus sur la planète dont 5,5 milliards ont engagé une compétition féroce pour fabriquer et vendre des produits dans le monde entier. Que la plupart du temps les consommateurs n’utilisent pas !
Ne parlons pas du développement exponentiel des robots et de l’intelligence artificielle : cela va éliminer des millions d’emplois à une vitesse vertigineuse ces prochaines années !
Quant à la transition énergétique et le sauvetage de la planète dont on nous abreuve à longueur de journée, cela exige des milliards d’investissements et un changement comportemental qualifié de radical. Or, personne n’ose le dire mais nous ne sommes pas prêts !
Et que dire de tous ces gens qui veulent étayer un bâtiment déjà vermoulu : notre système de retraite hérité de 1945, avec des fétus de paille, qui est aujourd’hui totalement caduque…
Emmanuel RACINE
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Eric VRAIN (BRIE FGI) : « POSITIV’EMPLOI me permet de recruter sur le savoir-être des candidats plus que leur savoir-faire… »
juin 21, 2019Soucieux d’optimiser la qualité et l’efficience d’un double recrutement pour le compte de la société qu’il dirige, Eric VRAIN, directeur de BRIE FGI s’est appuyé sur la nouvelle plateforme d’aide à l’emploi, POSITIV’EMPLOI pour atteindre son objectif. Opérationnel depuis quelques semaines, l’outil numérique piloté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et soutenu, entre autres, par la Communauté du Grand Sénonais, a su séduire l’entrepreneur qui en a apprécié l’aisance d’accès. La pertinence de sa CVthèque représente un précieux auxiliaire pour ce dirigeant qui se plie depuis longtemps aux exigences du savoir-être plutôt que du savoir-faire. Explications…
SENS : Le recrutement est devenu une source récurrente de cauchemar pour tout entrepreneur qui se respecte en France ! Il n’y a pas le potentiel escompté parmi les nombreuses candidatures reçues en matière de qualification professionnelle. Qui n’a jamais entendu autour de lui cette rhétorique incessante qui revient constamment en boucle parmi le cercle de ses connaissances professionnelles !
Pourtant, depuis peu, un rayon de soleil darde, en y diffusant une petite lueur d’espoir, les bureaux embarrassés de lettres de candidature des spécialistes de la R.H. et des chefs d’entreprises, eux-mêmes.
Le nom de ce sésame tient en deux mots : POSITIV’EMPLOI ! La plateforme numérique a été conçue par CLEVERCONNECT (le groupe exégète dans la discipline qui est connu pour sa filiale Météo Job). Elle est pilotée dans le département de l’Yonne par le service emploi de la Chambre de Commerce et d’Industrie, via l’une de ses composantes, Cécile NOIROT.
Or, l’une des figures prégnantes de l’économie territoriale apporte aujourd’hui son témoignage sur la bonne fonctionnalité de ce site bien différent des autres. Pas étonnant que depuis son lancement, survenu en avril, POSITIV’EMPLOI ait reçu l’adoubement de plusieurs partenaires institutionnels, dont la Communauté du Florentinois, et surtout celle du Grand Sénonais, partenaire historique du concept.
Directeur des agences auxerroise et sénonaise de la société BRIE FGI, filiale du puissant groupe DESCOURS & CABAUD (13 500 collaborateurs répartis sur plus de six cents points de vente pour 3,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires), Eric VRAIN est l’un des utilisateurs de ce nouvel outil. Il y a peu, il a eu recours à ce service optimal pour embaucher deux technico-commerciaux. Un exercice qui lui a procuré une vraie satisfaction.
« J’ai apprécié le nettoyage régulier des offres d’emploi… »
« Toute initiative nouvelle en matière de recrutement me parle, explique-t-il, car je le confirme : rechercher un nouveau collaborateur représente un vrai casse-tête chinois dans l’univers de l’industrie. Début mai, j’ai eu vent de la création de ce nouveau site numérique. Le contact avec la personne chargée de ce dossier, Cécile NOIROT, de la CCI, s’est avéré très positif. La plateforme est facile d’accès, d’une grande qualité ergonomique au niveau de sa configuration. J’ai surtout apprécié le nettoyage récent effectué autour des offres d’emploi dans la CVthèque. Offres qui ont une pérennité de trente jours. Avec la présence de candidats sérieux, ayant une réelle appétence à pratiquer une veille active de leurs recherches. Bref, j’ai observé qu’un candidat sur trois recherchait vraiment une autre voie professionnelle dans leur carrière. Pour la plupart, elles sont âgées de 30 à 40 ans. Cela aussi confère un sérieux crédit à la notoriété de ce site… ».
Convaincu par la simplicité tangible du concept, Eric VRAIN procède à deux embauches à l’issue d’entretiens qui se sont révélés très enrichissants.
« Je les attends encore car elles sont toutes les deux en préavis ! Mais, je sais m’armer de patience… ».
L’un de ses deux postes est spécialisé dans la maintenance de la chaîne de fabrication. L’autre se positionne sur la protection individuelle. Mais dans les deux cas, le directeur de BRIE FGI se fie à ses impressions. Bonnes en l’occurrence car il y a belle lurette (une quinzaine d’années désormais) que l’entrepreneur n’embauche plus que des futurs salariés en fonction de leur savoir être plutôt qu’un savoir-faire.
« Ce précepte me paraît légitime. On s’intéresse à la personne et non pas à sa formation. Dès la poignée de main, je ressens si le néophyte possède les capacités nécessaires pour tenir le job… ».
L’apport du CV parlant sera un grand plus…
Humaniste dans l’âme, le patron de BRIE FGI sait d’ores et déjà qu’il utilisera de nouveau la plateforme en vue de futurs départs en retraite qui se profilent à cinq ans dans son entreprise.
« Deux nouveaux postes se dessinent à horizon 2020, confie-t-il, et puis à terme, il devrait y avoir une dizaine d’embauches supplémentaires à gérer sur les sites d’Auxerre et de Sens. Forcément, j’emploierais la même méthode de recrutement… ».
L’apport de l’image, à l’aide d’une vidéo présentant les potentialités du candidat, le séduise. CLEVERCONNECT pense ajouter cet additif dès 2020, rendant son concept technologique évolutif.
Quant au soutien apporté sur le projet par l’agglomération du Grand Sénonais, Eric VRAIN juge cette intervention institutionnelle très positive.
« L’industrie locale représente un pôle d’intérêt pour la Ville de Sens tout comme les partenaires institutionnels qui se déploient sur ce secteur. Je suis par ailleurs un fervent adepte des petits déjeuners de l’économie, instaurés par la ville. A l’instar des brunchs organisés par la Chambre de Commerce et d’Industrie. Vous savez, on ne retrouve nulle part ailleurs en Bourgogne ce type d’initiative pro-entreprenariat. C’est important pour nous autres, acteurs de l’économie, de s’y retrouver… ».
Un article réalisé en partenariat
avec la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et de la Ville de Sens.
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Le délégué interministériel Patrick TOULMET bluffé par la pédagogie du futur au CIFA : une rencontre du 3ème type !
juin 19, 2019Le délégué interministériel en charge du développement de l’apprentissage n’en est toujours pas revenu ! En s’immergeant dans la pénombre feutrée de l’espace virtuel du CIFA de l’Yonne, le fameux concept « Clic Store » que pléthore d’établissements de l’Hexagone nous envient, Patrick TOULMET a pu apprécier à sa juste valeur les bienfaits d’un enseignement conforté par la présence de la technologie numérique. Une approche pédagogique qui va bien au-delà de la réalité virtuelle et qui offre aux jeunes élèves une bonne dose de repères ô combien pratiques afin de mieux s’immiscer dans la réalité quotidienne de l’univers commercial et de la vente…
AUXERRE : Depuis qu’il a endossé la parure de délégué interministériel en charge du développement de l’apprentissage en septembre dernier, l’ambassadeur de l’accessibilité auprès de la RATP et de la SNCF n’en finit pas de sillonner la France. Il est en quête d’univers pédagogiques performants.
Sa visite, programmée de longue date au centre de formation d’Auxerre, le CIFA, devrait lui laisser une trace indélébile dans la mémoire. Et pour longtemps !
Qu’elle ne fut pas sa surprise, en effet, de pouvoir tester séance tenante les vertus spécifiques de l’espace virtuel et futuriste opérationnel dans l’établissement icaunais. Le fameux « Clic Store ».
Ce concept de magasin technologique au bien-fondé éducatif n’est autre que la résultante de l’imaginaire exacerbé du directeur de cette vénérable maison dédiée à l’apprentissage : Marcel FONTBONNE.
Pourtant, l’ancien prothésiste dentaire qu’était dans sa vie antérieure Patrick TOULMET, connaît les subtilités techniques. Celles qui peuvent être usitées dans l’enseignement ou dans l’exercice d’un métier. Mais, là, accueilli dans cet espace d’exception où était projetée sur les murs une vision élyséenne saisissante, il ne pouvait manquer de se montrer stupéfait par tant de prouesses modernistes et fonctionnelles. Au service des jeunes apprenants et de leurs enseignants qui ont acquis depuis le lancement de ce support la maîtrise du lieu.
Une démonstration des plus convaincantes…
Aux côtés d’un aéropage de personnalités institutionnelles et politiques (les deux sénatrices de l’Yonne, Dominique VERIEN et Noëlle RAUSCENT, la députée Michèle CROUZET ou le préfet Patrice LATRON), le délégué interministériel a pu observer attentivement un jeu de rôle démonstratif interprété par trois jeunes apprentis.
L’image de l’Elysée s’estompa sur les murs, laissant la place à un univers visuel plus conforme à l’endroit. L’intérieur d’une boutique qui commercialise des chaussures. Une petite scénette fut alors rondement improvisée entre le corps enseignant et certains des élèves, illustrant ainsi les subtiles opportunités offertes par ce magasin virtuel du XXIème siècle.
Conquis, l’ancien président de la Chambre de Métiers de Seine-Saint-Denis, lui-même président d’un CFA qui accueille une vingtaine de métiers, ne peut cacher son enthousiasme devant un tel résultat.
« Votre maison est très belle, voire exceptionnelle, lâcha-t-il tout de go, il faudrait que les Parisiens qui éprouvent des difficultés à faire bouger les choses découvrent votre établissement : cela pourrait leur donner des leçons ! ».
Du petit lait pour le président du site, Michel TONNELLIER et son directeur, Marcel FONTBONNE, qui eux non plus ne sont pas prêts d’oublier cette version interministérielle d’un « retour vers le futur » réussi, version éveillée !
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La France est à la traîne sur le temps de travail : faut-il éradiquer les ponts pour remettre du cœur à l’ouvrage ?
juin 17, 2019« Travailler plus pour gagner plus…». La rhétorique fit sensation sous la gouvernance du président Nicolas SARKOZY. Mais, le Premier ministre initial de l’ère MITTERRAND, Pierre MAUROY, nous asséna dès 1981 qu’il était beaucoup plus sage de travailler moins. En aménageant par exemple le temps de travail. Il fut alors amputé d’une heure symbolique, passant de 40 à 39 heures hebdomadaires. Avant que ne s’engouffrent dans la brèche Martine AUBRY et Lionel JOSPIN. Tous deux optèrent pour une diminution plus drastique de la durée du labeur en France. Ainsi naquirent les incontournables 35 heures dont tout le monde se fit écho autour de nous mais que personne n’adopta jamais dans les pays occidentaux ! Peut-être, entendrons-nous bientôt fleurir à nos oreilles la formule suivante : « Travailler moins et gagner plus »...
TRIBUNE : Aujourd’hui, nous avons maintenu la semaine de 35 heures. Toutes les statistiques le confirment : nous sommes le peuple où l’on travaille le moins en Europe et où le chômage est le plus élevé. Dont acte.
Donc qui va travailler plus ? Là encore, l’égalité ne règne pas.
La Cour des Comptes pointe régulièrement du doigt les abus que l’on trouve parmi certains organismes publics, parapublics et autres sur le plan du temps de travail. Il y a quelques années, Zoé SHEPARD, fonctionnaire d’une administration régionale, écrivit un livre au titre provocateur : « Absolument débordée !».
Elle décrivait le rythme de travail dans l’administration de la région où elle avait la chance, sinon de travailler, du moins d’être présente et de toucher un salaire à la fin du mois.
Évidemment, ce livre connu un relatif succès et fut à l’origine d’un profond scandale. Que pensez-vous qu’il arriva ?
Après sa publication, on aurait pu penser que les présidents de Région se seraient réunis pour faire effectuer un audit sur le travail dans leur administration respective. Afin de prendre les mesures qui s’imposaient pour valoriser une productivité quelque peu désastreuse. Ne rêvez pas !
L’auteure de l’ouvrage fut mise à pied pendant quelques mois. Souvenons-nous que Guy BEART chantait en son temps : « Il a dit la vérité, il faut l’exécuter… ».
Le mot « égalité » serait-il hermétique à une application dans le travail…
L’émission « Capital » a dénoncé les formidables inégalités de situation qui règnent entre des employés qui effectuent le même travail. Suivant qu’ils fassent partie d’une grande structure ou bien qu’ils soient employés d’une TPE, voire d’une structure indépendante. Le mot « égalité » qui, en France, est écrit sur tous les bâtiments publics et apposés sur tous les documents administratifs demeure, et on ne peut que le déplorer, vide de sens.
Pour travailler plus, je préconise une solution simple et facile. Mais, pour cela, voyons comment est rythmée la vie des hommes et des entreprises en France. Le début de l’année n’est pas le 01er janvier mais bel et bien le 01er septembre après la longue trêve estivale. A la rentrée, la France se remet péniblement au travail. Mais, moins de deux mois plus tard, ce sont déjà les vacances d’automne. Début novembre, la tâche reprend doucement mais, attention, à partir du 15 décembre, les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon. On entend alors cette antienne : « on verra ça, après les fêtes !». Pathétique !
Tirer un trait définitif sur les ponts serait souhaitable…
Début janvier, une fois passée la trêve des confiseurs, c’est le retour au boulot. Sans conviction, aucune. Arrivent ensuite les congés de février. On repart tant bien que mal. Mais attention, les fêtes de Pâques se manifestent avec les absences habituelles, une fois de plus, liées aux zones géographiques. C’est une pagaille sans fin pour toutes les strates de l’économie française.
Puis, « le Grand Cirque national » recommence : ce sont les jours fériés innombrables avec ponts et viaducs à profusion. Enfin, en bout de course, la mi-juin réveille en nous d’insondables envies qui refont surface : l’été est là !
La période qui court d’avril à septembre constitue un vrai désastre économique. Les vacances et les ponts s’incrustent dans les esprits, cassant le rythme indispensable pour conserver l’efficience professionnelle.
Ce que je préconise ne coûte rien. Cela n’exige aucun sacrifice des Français. Mieux, cela pourrait rapporter gros à qui veut l’entendre ! Il faut tirer un trait définitif sur les ponts sans supprimer les jours de congés.
La fête du Travail ne tomberait plus le 01er mai mais le premier lundi de mai. Puis, comme l’avait pratiqué le président Giscard d’Estaing, sans que personne n’y trouve à redire, l’anniversaire de l’Armistice de la dernière guerre, le 08 mai, serait supprimé.
Si l’on a peur d’un mouvement contestataire de « Gilets tricolores », on appliquerait alors la règle à l’instar du 01ermai. C’est-à-dire que ce serait le deuxième lundi de mai et l’on appellerait cela la fête de la réconciliation franco-allemande. Le jour férié de l’Ascension serait déplacé au vendredi. Il ne serait plus figé de manière systématique dans le calendrier, un jeudi. Il suffirait d’une entente tacite avec le Vatican pour que ce principe puisse s’animer. D’ailleurs, qui connaît encore en France la signification exacte de l’Ascension ?
Enfin, puisque le lundi de Pentecôte a été supprimé de manière ambigüe, engendrant un flottement caractéristique dans les entreprises, faisons en sorte que ce jour-là ne soit plus un jour férié pour tous les Français. Fonctionnant à géométrie variable, son application représente une véritable absurdité pour le commun des mortels qui essaient d’y voir clair !
Espérons que tôt ou tard la bien-pensance du grand think tank gouvernemental que représente « France Stratégie », puisse apporter des réponses concrètes sur un sujet qui divise et concerne les Français…
Emmanuel RACINE
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AXA France Vie en quête du Graal dans l’Yonne : une douzaine de collaborateurs dont six agents mandataires…
juin 15, 2019L’un des leaders mondiaux de l’assurance et de la prévoyance renforce son potentiel humain en ce milieu d’année 2019. Pour se faire, elle est en quête de différents profils sur l’ensemble de l’Hexagone. Dans l’Yonne, six agents salariés sont ainsi vivement recherchés. En parallèle, il y a aussi la possibilité pour des agents mandataires, c’est-à-dire des personnes bénéficiant d’un statut d’indépendants actifs, de faire carrière au sein du groupe. Là aussi, une demi-douzaine de postes est à pourvoir sur le département le plus septentrional de Bourgogne. Explications…
AUXERRE : Petite séance explicative dans les salons du Maxime à Auxerre. Là, aux côtés de Franck DOGIMONT, inspecteur manager commercial et responsable départemental de l’Aube, et de Grégoire JAKUBOWSKI, inspecteur conseil salarié du réseau AXA Epargne et Protection dans l’Yonne, quelques personnes écoutent avec grand intérêt une explication de texte suffisamment détaillée et fournie pour qu’ils en assimilent le moindre des enjeux.
AXA France Vie recherche des collaborateurs. Mais pas n’importe lesquels. Celles et ceux qui possèdent, outre les vertus commerciales requises, un sérieux sens du relationnel et des réseaux. Car, pour répondre aux critères de sélection correspondant à la fonction d’agent mandataire, il faut parmi les prétentions à posséder une sacrée dose de tout cela.
Présent sur toute la France, les agents mandataires représentent AXA auprès des clients. Ils sont au nombre de 1 400 à ce jour. Ils évoluent sur un marché à forte progression : celui de la protection sociale et patrimoniale.
« La dépendance s’intègre parmi les grandes priorités de demain, confie Franck DOGIMONT, ce marché est très porteur et permet d’envisager de réelles opportunités de développement… ».
Exerçant son activité dans un périmètre proche de chez lui, l’agent mandataire se constitue et dynamise son propre réseau qu’il met en relation avec les spécialistes de la compagnie d’assurance.
« Ces collaborateurs reçoivent une formation pratique et théorique dispensée par nos soins dans la région, ajoute Grégoire JAKUBOWSKI, cette activité est adaptée tout particulièrement pour celles et ceux qui souhaitent disposer de leur temps libre tout en consacrant deux journées minimum par semaine pour développer leur rémunération… ».
Précisément, celle-ci peut être attractive. Elle est constituée de commissions et de primes liées à la conquête de nouveaux clients. Sachant que la première année, le nouvel impétrant dans ce système collaboratif profite d’un accompagnement personnalisé.
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