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« France 2030 » : Pauline GIRARDOT réfèrente étatique de l’accélération des projets industriels dans l’Yonne
mars 29, 2023La tâche s’avère ardue. Le challenge est de taille. Surtout quand il s’agit d’accélérer les implantations industrielles et logistiques sur le territoire. Une mesure ô combien nécessaire pour relancer l’attractivité de notre département, en grand besoin de dynamique entrepreneuriale. Désignée sous-préfète de référence par les ministères concernés, la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne Pauline GIRADOT relève le défi. Elle en possède l’étoffe…
AUXERRE : De l’innovation jusqu’à l’industrialisation. Un cycle de vie positif et efficient afin de booster l’économie hexagonale après deux années de disette imputables à la crise sanitaire. Tel est le principe vertueux du nouveau plan de relance, voulu par l’Etat, baptisé « France 2030 ». Inédit par son ampleur et sa capacité financière, ce schéma constructif, favorable aux entreprises bénéficie de 54 milliards d’euros dans sa globalité. Avec un ruissellement qui concernera, outre les sociétés, les pôles universitaires, les laboratoires de recherche et les acteurs de l’économie.
Il y va de la recherche fondamentale, mais aussi de l’adoption de nouvelles idées de génie au niveau des produits, jusqu’à leur fabrication et leur commercialisation, le tout servi à l’estampille du savoir-faire à la française. Ambitieux projet que celui-ci…
Piloté par le secrétariat général pour l’investissement, pour le compte de la Première ministre, mis en œuvre par l’Agence de la Transition écologique (ADEME), mais aussi l’Agence nationale de la Recherche (ANR), la Banque des Territoires et BPI France, ce plan de relance grand format se doit d’être accompagné au plus près du terrain par une personne de référence dans les départements où il va se décliner à court terme.
Une ligne supplémentaire dans le cursus de la sous-préfète de l’Yonne…
Dans l’Yonne, ce visage est désormais connu. Il est incarné par celui de la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT, sous-préfète, qui est en charge d’accompagner le déploiement de ce concept tout en veillant à accélérer les implantations industrielles et logistiques sur le territoire.
Une nomination, tombée ces jours-ci, qui émane des ministères de l’Industrie et des Collectivités territoriales et de la Ruralité, avec la bénédiction du secrétariat général pour l’investissement, désireux d’assurer le déploiement de ce plan grâce à un réseau départemental de sous-préfets référents.
Cet outil a donc été lancé officiellement le 23 mars à l’occasion d’un séminaire présidé par les trois ministres concernés, Roland LESCURE, en charge de l’Industrie, Dominique FAURE, en charge des Collectivités territoriales et de la Ruralité et Bruno BONNELL, qui gère les investissements.
Une ligne supplémentaire dans le cursus de Pauline GIRARDOT qui aura pour mission, en sus de son quotidien déjà bien chargé, de relayer les informations de « France 2030 » au plus grand nombre des décideurs économiques, de détecter les projets et de faciliter l’accès des entreprises à ce dispositif – notamment celles évoluant dans les Territoires d’industrie – en pilotant ce plan.
En sus, elle veillera à mobiliser l’action étatique sur le territoire afin de faciliter l’implantation des activités industrielles, mais aussi d’assurer la recherche du foncier – le nerf de la guerre de toute nouvelle implantation ! – et le recrutement de nouveaux collaborateurs.
Bref : il y a donc du pain sur la planche pour la jeune femme qui ne manque pas d’appétit pour contribuer au succès de ses missions ! Mais, le jeu en vaut la chandelle, assurément…
Thierry BRET
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Des étoiles dans la tête après le succès au MAF Boucherie régional : « Lucie GIRARD in the sky with diamonds… »
mars 27, 2023Seule représentante féminine engagée dans la toujours très difficile finale régionale du concours de « l’Un des Meilleurs Apprentis de France », catégorie boucherie, la jeune ressortissante du Doubs, Lucie GIRARD, a su tirer son épingle du jeu, au terme de cette épreuve qui rassemblait les huit lauréats départementaux de la discipline…
AUXERRE : Qualificative pour une place en finale hexagonale – celle-ci se déroulera au palais des Papes en Avignon dans un cadre idyllique ! -, la sélection régionale de l’Un des Meilleurs Apprentis de France de Bourgogne Franche-Comté, catégorie boucherie, a livré son verdict au terme d’une âpre journée de concours.
Accueillie, une fois de plus dans les locaux du CIFA de l’Yonne – cela devient une habitude pour l’établissement auxerrois, preuve que l’excellence sait aussi s’exporter hors de nos frontières -, l’épreuve rassemblait les vainqueurs des sélections départementales, venus s’affronter dans un ultime round afin de décrocher, pourquoi pas, un billet pour le challenge national.
Organisé par la Confédération française de la Boucherie, boucherie-charcuterie et traiteurs, dont les deux présidents régionaux (Eric DULAT pour la Bourgogne Franche-Comté et Bruno JEANDOT pour l’Yonne) représentaient les intérêts de la filière lors de la remise des récompenses, ce concours de très belle tenue aura donc vue la victoire d’une jeune fille, un brin timide et qui savoura son succès avec modestie.
Plébiscitée par ses pairs, et surtout par les organisateurs de la manifestation, sous l’œil expert du MOF Marc LABARDE, représentant la fameuse structure distinctive des « Meilleurs Ouvriers de France », Lucie GIRARD reçut le trophée des mains de Michel TONNELLIER, président du CIFA de l’Yonne, avant de recevoir l’accolade – la bise serait plus exact !- de Bruno JEANDOT, satisfait de cette excellente édition 2023.
Invitée à profiter au maximum de ce titre honorifique avant de disputer le rendez-vous national, la jeune Lucie s’immergera à Paris ces prochaines semaines lors d’un double stage avec des « Meilleurs Ouvriers de France » de sa spécialité artisanale pour parfaire ses connaissances. Une excellente manière de bien appréhender la prochaine échéance !
Thierry BRET
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La réussite aux examens est de 92 % : le Pôle Formation 58-89 garantit à 87 % l’employabilité des jeunes à six mois…
mars 24, 2023Solidement implanté dans le paysage icaunais depuis plus d’une trentaine d’années, le Pôle Formation 58-89 de la Maison de l’Entreprise a permis à des milliers de jeunes de découvrir le monde de l’industrie, au travers de formations de tous niveaux. Du CAP au Mastère en passant par le BTS ou la licence. Avec à la clé, un avenir professionnel assuré. Tant les offres d’emploi sont légion aujourd’hui dans ce secteur longtemps décrié et souvent méconnu…
AUXERRE: Pour sa seconde journée « Portes Ouvertes » de l’année, le site auxerrois du Pôle Formation a une nouvelle fois fait le plein de visiteurs, l’occasion pour beaucoup de découvrir toutes les vertus de l’apprentissage en alternance.
C’est en 1990 que fut créé à Auxerre l’Institut des Techniques d’Ingénieur de l’Industrie (ITII), le premier de ce type à voir le jour dans l’Hexagone, rappelle Olivier LASSAUSSE, directeur général adjoint du Pôle Formation : « il y avait alors une vraie ambition du ministère, à trouver une solution en alternance pour former les futurs ingénieurs qui manquaient vraiment à l’époque… ».
Les années ont passé. Il n’est pas rare désormais de voir les jeunes apprenants accueillis chez un maître d’apprentissage ayant lui-même fait ses classes sur le site. Si le Pôle Formation 58-89 prépare depuis sa création aux métiers d’avenir de l’industrie, l’offre s’est aujourd’hui étoffée, avec des partenaires comme EPSI, l’école d’ingénierie informatique ou l’école de management IFAG.
Plus de 3 000 personnes sont ainsi formées chaque année sur les quatre sites présents en Bourgogne (Auxerre, Nevers, Sens et Joigny), avec à la clé des chiffres impressionnants : 92 % de réussite aux examens pour plus de 87 % de jeunes en emploi à six mois au sortir de leur formation.
Dernier à ouvrir sur le site auxerrois : l’IET (Institut des métiers de l’Environnement et de la Transition Ecologique) forme aux métiers liés à l’environnement, au développement des territoires ainsi qu’au management en développement durable. Un cursus accessible à partir d’un BAC + 3, désormais ponctué depuis l’an dernier par un Mastère.
La pénurie de main d’œuvre fait grimper les salaires…
La grande force de l’enseignement dispensé ici, souligne Olivier LASSAUSSE, étant le système de filière mis en place, à l’exemple du cursus maintenance où la validation d’une Certification Qualifiante Paritaire de la Métallurgie. Cela suffit à ouvrir les portes du Bac pro et d’un BTS, avec la possibilité de poursuivre jusqu’au « Bachelor » de niveau 6 : « une réponse apportée aux jeunes pour les emmener le plus loin possible dans le niveau de formation, le tout en alternance. Quand on sort d’ici avec un BAC + 3, l’on est déjà opérationnel pour rentrer de suite dans la vie professionnelle et le taux d’employabilité s’en ressent… ».
Si les secteurs de l’informatique, du management et de l’ingénierie ont aujourd’hui parmi les formations proposées, le vent en poupe, d’autres peinent à recruter, à l’instar des métiers liés à l’usinage : « le plus souvent, le jeune sortant de 3ème ne sait pas ce qui se cache derrière et en a une image encore négative. A ses yeux, c’est difficile, c’est sale, c’est bruyant ! On se bat contre ça alors que ce sont de véritables niches notamment en aéronautique, où la demande des entreprises est grande… ».
Une pénurie de main d’œuvre qui fait grimper les salaires : « un bon soudeur, un bon chaudronnier, peut très vite atteindre les 3 000 euros par mois ». Autre secteur en tension, celui de la formation continue à l’adresse des salariés ou des demandeurs d’emploi, où l’on peine à monter des groupes de travail : « il y a clairement un avant et un après COVID à ce sujet et l’envie d’aller en formation a fortement chuté. Aujourd’hui, quand on lance une promo pour des CQPM, que ce soit en soudure, en maintenance ou en conduite de ligne, réussir à réunir dix personnes est devenu très compliqué… ».
Responsable de ce département mais aussi de l’insertion auprès d’un public souvent éloigné de l’emploi, Laure MINCHENEAU connait bien le phénomène : « aujourd’hui, il y a toute une frange de gens sous les radars et une autre qui s’imagine ne pas être « en capacité de ». C’est à nous d’aller les chercher, les rassurer, les accompagner et même si l’on a parfois l’impression que la montagne accouche d’une souris, avec un engagement économique colossal au regard du nombre de sorties positives vers l’emploi qui en résulte, chacune a son importance, conduisant la personne à retrouver de la dignité dans le travail et l’autonomie… »
On ne tarit pas d’éloges sur le système de l’alternance en vigueur…
Attendant patiemment dans le hall que son ancien formateur se libère, Lucas est présent ce matin-là pour lui donner quelques nouvelles. Bac Pro Maintenance Equipements Industriels en poche, cet Auxerrois s’est depuis, « exilé » à Dijon, ayant fait le choix de s’orienter vers un BTS Electro Technique.
Lui aussi ne tarit pas d’éloges sur le système d’alternance en vigueur : « je recommande à 100 % ! C’est sans pareil pour découvrir le monde de l’entreprise, ses contraintes, ses avantages, avec la présence rassurante d’un maître d’apprentissage qui est vraiment là pour nous épauler… ».
Sympathique et plein d’allant, cet ancien apprenant du Pôle formation 58-89 confesse un parcours un peu chaotique au sortir de l’adolescence et l’enchaînement de « petits boulots » : « je me suis vite rendu compte de l’instabilité de la chose à long terme et quand un membre de ma famille, passé lui aussi par ici, m’a proposé de le rejoindre et commencer une formation en alternance, j’ai dit oui ». Sans grande conviction au début reconnaît-il et puis un jour, le déclic : « je me suis rendu compte de choses dans le monde de l’industrie dont je n’avais absolument pas idée et le hasard a vite fait place à la passion… ».
Avec un tel bagage, nul doute que lui non plus ne devrait pas avoir trop de mal à se trouver un employeur une fois entré dans la vie active. Un « mariage » réussi, souligne d’un sourire Olivier LASSAUSSE : « c’est le terme que l’on emploie dans notre jargon interne pour évoquer l’association d’un jeune et d’une entreprise et l’on s’efforce à faire le moins de divorces possibles ! »
Dominique BERNERD
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Jérôme LEGAVRE (LFI) : « Emmanuel MACRON est plus « Jupiter » que jamais, mais un « Jupiter » bien amoché… »
mars 22, 2023De passage à Auxerre, à l’invitation de la NUPES pour une soirée débat suivie par de nombreux militants, le député de La France Insoumise Jérôme LEGAVRE s’est prêté au jeu de l’interview. Sans langue de bois…
AUXERRE : Aujourd’hui, la seule question est arithmétique : combien de députés sont prêts à voter une motion de censure « transpartisane » ?
« Franchement, je n’en sais rien. Le 49.3 aggrave considérablement la crise à tous les niveaux et amplifie le rejet de la réforme. Chez beaucoup de députés, y compris du groupe Renaissance, ça ne passe pas, même si je vois mal ces députés aller jusqu’à voter la motion de censure. Ne rêvons pas non plus ! Mais par ailleurs, j’ai vu que de manière assez habile, je dois dire, le Rassemblement National a indiqué qu’en cas de dissolution consécutive à une motion de censure, les députés LR qui l’auraient votée ne verraient pas contre eux de candidat du RN, tout cela peut peser…
Le divorce est-il aujourd’hui consommé entre les institutions et les citoyens ?
« Oui, le Président a complètement coupé les ponts ! Mais c’est extrêmement dangereux pour différentes raisons, la première étant qu’en agissant ainsi, il déverse des litres de kérosène sur une situation déjà incandescente. Son gouvernement est carbonisé (sic !). Et je note que la Première ministre assumant jouer le rôle de fusible, la colère se dirige directement sur le chef de l’Etat… Tout le monde aujourd’hui retient une chose, c’est que ces institutions sont particulièrement riches en procédures permettant de contourner les votes et de passer par-dessus la volonté de la majorité, y compris au Parlement. Et donc, inévitablement, cela choque surtout à un moment où la population n’en peut plus…
Vous semblez personnaliser le débat. Pour vous aujourd’hui, l’ennemi, c’est Emmanuel MACRON ?
« Mais bien sûr ! Puisque, encore une fois, le gouvernement étant carbonisé, la décision d’aller jusqu’au bout, quoiqu’il en soit, quoiqu’il en coûte, ne relève uniquement que du chef de l’Etat. Plus « Jupiter » que jamais mais un « Jupiter » quand même bien amoché, même si lui est peut-être le seul à ne pas en avoir conscience…
Propos recueillis par Dominique BERNERD
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Coup double pour la Mission Locale d’Auxerre ! L’organisme a pu s’adjoindre les services de structures spécialisées dans la formation mais aussi des employeurs lors du premier forum qu’il organisait autour des métiers du sport et de l’animation. Un évènement initial qui en appellera forcément d’autres avec comme thématiques de référence la santé, la logistique ou le transport…
AUXERRE : Effervescence à la Mission Locale d’Auxerre, mercredi après-midi ! Tout d’abord, il y a eu le coup de feu, dès l’ouverture des portes aux alentours de 14 heures. Une ruée vers l’or ou presque pour de nombreux jeunes gens, sélectionnés au préalable par l’établissement, pour qu’ils participent à ce forum, premier du nom, qui désormais à rythme mensuel permettra aux personnes en recherche d’un job de se confronter à la réalité du monde du travail face à des employeurs.
Mais, pas que visiblement, puisque plusieurs organismes de formation participaient aussi à cette manifestation pédagogique. On peut citer sur ce registre-là « FORM API », les « FRANCAS », etc.
Un rendez-vous qui va se décliner tous les mois…
Une première initiative qui s’est donc muée en succès pour la Mission Locale, avec plus d’une cinquantaine de jeunes adultes, filles et garçons, bien décidés à glaner le maximum d’informations sur des métiers qui séduisent toujours, ceux de l’animation – on notait la présence des Scouts de France parmi les potentiels employeurs – ou ceux de la filière sportive.
Informer la jeunesse (la tranche des 16/25 ans) sur la découverte des filières professionnelles demeure une priorité pour la Mission Locale. En donnant vie à ce rendez-vous qui essuyait ainsi les plâtres, l’établissement souhaite le pérenniser dans le temps, changeant de thème à chaque rencontre une fois par mois.
S’inspirant d’une prime ébauche sur les métiers de la brasserie et de la restauration, la Mission Locale d’Auxerre a voulu réitérer l’expérience en la consolidant, lui donnant plus de corps et de matière en accueillant en ses murs organismes formateurs et employeurs.
Le thème du sport en clin d’œil à Auxerre et à ses disciplines…
Cette opportunité de pouvoir échanger avec des professionnels et des responsables de centres de formation a plu à l’ensemble des participants. A l’instar des organisateurs. Ces derniers prévoient d’ailleurs d’étoffer davantage le plateau d’invités à l’avenir, en délocalisant pourquoi pas le prochain évènementiel à la Maison de quartier de la Ruche, à quelques encablures de leur siège.
Quant au choix des métiers du sport, il ne s’est pas fait par hasard, selon Tristan TEORE, en charge de la communication au sein de la Mission Locale.
« Cela dépendait de nos partenaires et de leurs disponibilités, explique-t-il, et puis, c’était un clin d’œil astucieux à la ville sportive qu’est Auxerre ! ».
Certains employeurs proposaient des postes à pourvoir à ces jeunes gens, issus de n’importe quel niveau scolaire. Il suffisait d’être motivé, mercredi après-midi, pour ne pas repartir bredouille mais peut-être avec un judicieux sésame, donnant accès à la vie active…
Thierry BRET
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