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L’épanouissement sociétal par l’entreprise est porteur d’espérance pour Vincent PICQ (Entreprendre Bourgogne)
janvier 09, 2019Le charismatique président de l’antenne icaunaise du réseau Entreprendre Bourgogne s’est plié au sempiternel exercice de la présentation des vœux. Une cérémonie conviviale où il avait plaisir à accueillir le directeur régional Arnaud GRAVEL et la déléguée départementale, Sophie BERNARD, à ses côtés. Le message du dirigeant du groupe SCHIEVER fut, certes, succinct mais empli d’emphase et de mots bien pesés qui ont fait tilt dans les esprits attentifs de l’assistance. Un message fort qui a ravivé la flamme et l’enthousiasme d’une cinquantaine de responsables économiques présents lors de cette soirée.
APPOIGNY : Etre capable de donner de l’espérance et du bien-être autour de soi. Vif, précis et structuré, le discours du président du réseau Entreprendre Bourgogne dans l’Yonne aura surpris l’auditoire par le sens de son réalisme et le choix bien pesé de sa sémantique.
Orateur hors pair, Vincent PICQ, à la tête d’une société entrepreneuriale qui fait foi dans le secteur de la grande distribution (le groupe SCHIEVER), s’est livré à un exercice de diction concis mais adapté à la conjoncture. Celle qui envoie aujourd’hui des milliers de personnes revendiquées dans les rues.
Observant que les vicissitudes actuelles perturbaient le monde économique, Vincent PICQ a rappelé aux membres du réseau qu’ils devaient construire et partager, au titre de leurs entreprises, autour d’eux.
« Je souhaite que vous soyez aimé autour de vous par ces valeurs fortes que vous incarnez dans votre quotidien professionnel, ajouta le sémillant responsable de l’association lors de son exercice d’éloquence, vous vous devez comme objectifs pour votre raison sociale d’être encore plus performant, plus efficace et plus rentable en 2019… ».
L’empreinte des entreprises dans notre environnement…
Partant du simple postulat que l’addition de ces précédents items était de nature à pérenniser le développement de l’outil de travail, Vincent PICQ insista sur le rôle fédérateur de l’entreprise dans notre environnement.
« Son développement est synonyme de création de richesses, de formation et de possibilités évolutives pour les carrières professionnelles des collaborateurs. Sans omettre leur épanouissement… ».
Epanouissement, le mot magique était lâché. Car, c’est bien de cela que notre Hexagone a le plus besoin en ces moments délicats à traverser. Dynamique et bien gérée, une entreprise demeure un vecteur unique et participatif pour y parvenir.
« C’est vital pour la santé de notre pays, asséna en guise de conclusion le président icaunais du réseau Entreprendre Bourgogne. Avant qu’il ne formule ses vœux plus personnels et classiques à l’adresse d’un public conquis par ce discours détonant…
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Les étudiants « Génie civil » de l’IUT d’Auxerre visitent le chantier du Pôle environnemental communautaire
janvier 04, 2019Projet stratégique important, à la fois pour le développement économique de l’Yonne mais aussi pour la sauvegarde de sa biodiversité, le Pôle environnemental communautaire devrait être fonctionnel dès cet automne. Avant d’y accueillir ses premiers résidents, le chantier se dévoilait ces jours-ci aux étudiants de l’IUT d’Auxerre. Des jeunes gens, issus de la filière « génie civil », qui auront écouté avec grand intérêt les explications fournies par les équipes de la maîtrise d’œuvre sur le terrain…
AUXERRE : Programmé pour être opérationnel à la rentrée prochaine, le Pôle environnemental communautaire de l’Auxerrois a reçu la visite de plusieurs étudiants alors que le chantier bat son plein à quelques mois de sa livraison.
Encadrés par plusieurs représentants de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et de l’établissement universitaire, les jeunes apprenants ont pu à loisir s’immerger sur ce chantier qui permettra d’ériger une construction atypique.
Conçu sur l’optimisation de la maîtrise énergétique, l’édifice imaginé par l’architecte Romain VIAULT disposera des atouts modernes et nécessaires visant à préserver l’environnement et à réduire la facture d’énergie.
Un complexe à la pointe de la maîtrise énergétique…
Pour y répondre, le bâtiment de 800 mètres carrés accueillera sur une surface de 50 mètres carrés des panneaux photovoltaïques ainsi qu’une pompe à chaleur. Le projet vise la certification HQE.
Son coût global avoisine 3,5 millions d’euros. Un budget, certes conséquent, mais qui a eu la bénédiction de partenaires enclins à le soutenir financièrement. C’est le cas de l’Etat, de la région Bourgogne Franche-Comté et de l’Europe, avec l’attribution de fonds spécifiques.
Présent lors de cette visite, l’élu auxerrois Denis ROYCOURT devait rappeler lors de sa prise de parole que ce projet s’inscrivait parmi ceux qui avaient obtenu une récompense nationale en 2016 à la dépose du dossier. Le fait de construire un concept environnemental qui soit élaboré en zone inondable et dans le respect de la biodiversité a été salué par cette distinction.
Ce futur pôle possède une vraie dimension économique et sociétale. Le complexe, une fois opérationnel, s’articulera dans son mode opératoire autour de trois missions majeures. L’accueil de formations et l’ouverture à la sensibilisation citoyenne constitueront le premier axiome pédagogique. La création d’évènements participatifs en sera le second volet. Enfin, la réception de start-ups et de projets entrepreneuriaux, sous la forme d’un incubateur, contribuera à enrichir l’axe économique local.
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Yosra BOUGHATTAS : « L’entrepreneur qui a le nez dans le guidon ne peut aspirer à la pérennité de son entreprise… »
janvier 02, 2019Chercheure renommée, après une expérience solide de l'entreprise, Yosra BOUGHATTAS mène ses recherches sur la notion de compétence en France, au Canada et dans de nombreux pays. Elle nous livre un point de vue qui nous concerne tout particulièrement : quelle est la compétence spécifique d'un manager ? Une lecture d’une experte en la matière, proposée par les auteurs de « 16h44, la Minute du manager », partenaires de PRESSE EVASION, afin de vous faire progresser davantage et vous permettre de bien débuter la nouvelle année…
TRIBUNE : Intervenante de l’Université d’Artois, en qualité de chercheure, enseignante et consultante en entreprise après une expérience vécue dans de grandes sociétés privées telles que Orange ou le groupe ZANNIER, Yosra BOUGHATTAS fait autorité sur le thème du management des compétences de l'entrepreneur. A travers ces lignes, accordées lors de son interview, elle nous montre que, contrairement à nos intuitions, « la performance de l'entreprise dépend directement de la compétence de l'entrepreneur. Sa motivation ne fait que modérer ou accélérer sa performance… ».
Vous pensez que la notion de compétence entrepreneuriale est une clé du management des organisations modernes encore sous-exploitée au sein des PME ?
Oui, plusieurs études l'ont démontré. Le concept de compétence est essentiel pour les PME que ce soit pour assurer un développement solide à moyen terme ou pour prévenir des failles importantes.
Les études ont démontré que la performance d'une PME est intimement liée à la compétence de l'entrepreneur. Sa compétence est centrale pour la réussite de son entreprise. La motivation de l'entrepreneur modère la performance mais la clé est sa compétence.
Même si c’est contre-intuitif, la motivation de l'entrepreneur n'impacte que l'intensité d'apprentissage (plus ou moins vite, plus ou moins fort). Une des conséquences est que devenir un entrepreneur performant se travaille.
Comment se crée et se construit la compétence chez l'entrepreneur (et donc par ricochet la performance de l'entreprise) ?
Pour bien comprendre la compétence, il faut l'analyser dans le contexte de l'entreprise et de son projet.
Par exemple, la compétence en « prise de risque » n'est pas la même pour un entrepreneur en bâtiment que pour un start-upper dans l’informatique. Alors qu'il s'agit de deux entreprises de même taille confrontées à la même problématique de management.
Il faut ensuite faire la différence entre les compétences génériques et les compétences spécifiques : les compétences spécifiques sont liées au secteur d'activité (par exemple pour identifier une opportunité de marché dans l'immobilier, faire un choix judicieux de logiciel dans une société informatique...). Elles sont déterminantes.
Les compétences génériques (recruter, assurer la gestion...) sont moins critiques. Elles doivent donc faire l'objet d'un processus conscient et proactif de la part de l'entrepreneur. Ce processus s'appuie sur un système d'évaluation permanent.
Cela explique que l'entrepreneur qui a le « nez dans le guidon » ne peut pas aspirer à la pérennité de son entreprise et à un développement structuré.
Comment l'entrepreneur doit-il s’y prendre pour structurer un développement durable ?
L'objectif consiste pour lui à « checker », à partir des compétences génériques, celles déjà acquises et surtout les compétences manquantes nécessaires dans le cadre du développement ou de l'évolution à venir de son entreprise. L'aide de mentors, de conseils extérieurs, de coachs publics ou privés lui sera bien sûr d'un appui certain. Cette aide peut provenir aussi de collègues, à condition qu'elle s'installe dans un processus structuré à une cadence régulière, chaque trimestre.
Les compétences manquantes (par exemple acquérir une nouvelle compétence en recherche de fonds de croissance, ou développer un réseau de franchises...), une fois identifiées, pourront s'acquérir : en valorisant des compétences préexistantes chez certains collaborateurs, en recrutant de nouveaux talents sur cette compétence stratégique et en formant spécifiquement certains collaborateurs, voire en le formant lui-même.
Il s’agit vraiment d'un processus d'apprentissage entrepreneurial, très différent du processus d'apprentissage scolaire. Il demande une certaine discipline mais son impact sur la performance de l'entreprise rend cet effort vraiment payant !
On le constate dans de nombreuses PME canadiennes, habituées à ce mode de fonctionnement.
Comment mettre en œuvre ce processus dans ma PME dès demain ?
La compétence entrepreneuriale pour les nuls se définit en quatre étapes :
1° Je repère et formalise mes compétences fortes et mes besoins par rapport au développement à mon entreprise, et mon projet à moyen terme,
2° J'identifie les compétences clés à acquérir (devenir présent sur les réseaux sociaux, développer de nouvelles capacités en e-commerce, me construire un réseau en Chine...),
3° Confronter cette liste à mon entourage de confiance (associés, collaborateurs clé, accompagnateurs…),
4° Mettre en action un programme pour compléter le « chaînon manquant »
- Recruter un chinois pour supporter mon développement export dans cette zone,
Intégrer un jeune expert des réseaux sociaux,
- Former mes managers au coaching, mon contrôleur de gestion à de nouvelles techniques de reporting, etc.
Philippe CARPENTIER
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Addictologie : notre société vit désormais dans une consommation excessive de tout…
janvier 02, 2019Association pluraliste, indépendante de toute idéologie, de tout mouvement politique, syndical et religieux, l’AFDER a pour ambition de représenter les usagers quelle que soit leur dépendance. L’association regroupe des adhérents attachés à la responsabilité et la liberté dans les choix thérapeutiques. Le président national Julien CHARTIER explique la vocation de cette structure qui lutte contre les phénomènes d’addiction en France. Et plus spécifiquement, ceux inhérents à la consommation de cannabis.
TRIBUNE : En 2009, se crée de fait une association d’anciens patients d’un centre de traitement situé dans l’Aisne (APTE). Très rapidement rejointe par les anciens patients de plusieurs autres centres de traitements, l’association se mobilise et crée une structure pour et par les usagers en 2010.
Depuis, nous comptabilisons plusieurs centaines d’adhérents. En tant qu’usagers des services de santé, nous avons accumulé un nombre considérable d’expériences tout au long de nos parcours de santé et nos expériences nous ont servi à survivre à la dépendance active. La souffrance et le besoin de partager cette expérience commune nous ont poussé à créer l’AFDER, pour que les dépendants ne meurent plus de cette maladie.
L’AFDER est une association de citoyens à part entière qui veulent transmettre leur expérience de la dépendance.
Regroupant des femmes et des hommes pour qui l’entraide, le pair aidant, l’ « empowerment » sont devenus une évidence. Nous intervenons en entreprise aussi pour faire de la prévention et de l'accompagnement auprès des personnes qui en font la demande. Nous vivons dans une société addictogène où les consommations à risque ne cessent de s’accroître et nous l’observons au quotidien.
Les jeunes générations expérimentent de plus en plus de substances...
L’alcool, le tabac ou le cannabis sont des substances que l’on expérimente à l’adolescence. Il n’y a donc rien d’étonnant à voir les chiffres avancés par les études progressés : 30 % des jeunes boivent de l’alcool et 24 % fument du tabac au moins une fois par semaine. Notre société vit désormais dans une consommation excessive d’écrans. Concernant les réseaux sociaux, 26 % des 18-22 ans estiment passer plus de cinq heures par jour sur les réseaux sociaux, 10 % plus de huit heures, le phénomène est relativement nouveau. Nous n’avons donc pas encore beaucoup de recul en fonction de données antérieures. Nous savons maintenant que notre société vit désormais dans une consommation excessive de tout. C’est un enjeu à la fois médical, psychologique, psychiatrique et social, caractéristique d’une société addictogène.
Julien CHARTIER
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Maurice PIANON (CD 89) : « S’attaquer à son programme éducatif, c’est signer l’arrêt de mort du Tonnerrois… »
décembre 27, 2018Premier vice-président du Conseil départemental de l’Yonne, l’édile d’Yrouerre se dit très préoccupé par le contexte actuel du Tonnerrois. Surtout après le nouveau coup du sort qui semble s’acharner sur cette contrée. « Si l’on perdait définitivement la filière pédagogique des sciences de l’ingénieur, prophétise-t-il, ce serait une fois de plus un sale coup porté à ce secteur géographique qui ne le mérite pas... ». Une zone sectorielle qui n’est plus bénie des dieux depuis longtemps…
TONNERRE : Trente ans d’indicibles souffrances. Trois décades d’une lente et immuable agonie dont les habitants paient encore les pots cassés aujourd’hui. De cela, Maurice PIANON, premier vice-président du Département de l’Yonne et maire de la petite commune d’Yrouerre, ne veut plus entendre parler.
« Ce bassin de vie a déjà vécu l’ère de la désindustrialisation à outrance en y perdant ses entreprises (une quinzaine d’entre elles et non des moindres sont parties ou ont été liquidées), ses salariés (plus de 1 500 personnes exerçaient leur savoir dans ce bassin industrialisé et ont été les victimes collatérales de ce naufrage économique sans précédent) et son âme, explique désabusé l’élu icaunais, quant aux compétences locales, elles ont été totalement déstructurées… ».
Amer, Maurice PIANON n’a toujours pas digéré l’annonce surprenante faite par le rectorat de l’Académie de Dijon de supprimer l’une des filières essentielles au cursus pédagogique enseigné au lycée Chevalier d’Eon. Celui des sciences de l’ingénieur, qui englobe les connaissances techniques et scientifiques.
« Et que dire du rôle et du poids de l’Etat sur ce secteur ?, s’interroge l’élu du Conseil départemental, le désengagement du pouvoir étatique s’est effectué progressivement avec le départ des services de proximité, y compris dans le domaine de la santé… ».
Maurice PIANON ne manque pas d’égratigner au passage la qualité de l’offre médicale (« disparue » à ses yeux). Alors que la démographie médicale est loin de le satisfaire en l’état actuel des choses.
Un dernier bastion doit tomber : celui de la formation et de l’éducation…
L’ultime rempart dans lequel les contribuables les plus mal lotis pouvaient encore espérer et avoir la foi, celui de la formation et de l’éducation, semble vaciller sur ses bases. La faute à l’Etat, selon le premier vice-président du Conseil départemental, qui se dit désarçonné par tant d’initiatives malvenues prises envers celles et ceux qui ne possèdent pas un avenir tracé à l’avance.
« Est-ce que nous autres, les élus du Département, avons été réellement entendus depuis toutes ces années ? Est-ce que nous nous sommes intéressés à ces femmes et à ces hommes sans réel avenir ? ».
Pourtant, le Tonnerrois a connu ses heures d’espérance grâce à plusieurs projets de réindustrialisation, sortis tout droit de certains cartons.
« Las, cela n’a pas abouti aux effets escomptés, concède avec tristesse Maurice PIANON, tout cela n’était que du pipeau supplémentaire qui s’est soldé par de nouveaux échecs au plan économique… ».
Observant que ce démantèlement successif de ces clés de voûte économiques aura conduit à fragiliser davantage le tissu artisanal et commerçant de ce bassin local, l’élu n’accepte plus que des décisions soient prises à l’emporte-pièce. Sans la connaissance approfondie du territoire et la concertation auprès des élus.
« Le Tonnerrois demeure encore l’un des territoires oubliés de la Bourgogne Franche-Comté. Or, c’est un enjeu de survie qui nous anime tous lorsque l’on s’attaque à cette zone qui était naguère prospère. Toucher à ce territoire, au niveau des connaissances éducatives à prodiguer, c’est signer son arrêt de mort ! ».
Un vibrant hommage aux enseignants
Néanmoins, et malgré cet environnement délétère, Maurice PIANON salue le travail fourni par les équipes enseignantes. « Supprimer l’une de ses filières éducatives, c’est aussi les laisser pour compte, voire les mépriser, assène-t-il sans ambages, si on autorise cela, c’est envoyer un très mauvais signal aux pédagogues de l’Education nationale. Moi, je n’ai pas envie de les décourager malgré le travail accompli… ».
L’élu du Tonnerrois ne pouvait conclure cet entretien sans se désoler de la situation actuelle vécue, en parallèle, au plan du développement du numérique. Un autre paramètre qui paralyse l’activité de bon nombre d’entreprises dans l’Yonne…
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