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Les élus jouent les Cassandre à propos de l’avenir : sont-ils prêts à faire des sacrifices dans l’intérêt de la France ?
juin 08, 2020De nombreux élus et autres dirigeants annoncent que nous devrons faire beaucoup de sacrifices afin de sortir de la crise économique à venir ! A la façon de Winston CHURCHILL, qui en 1940 durant la débâcle en Europe, avait déclaré : « Je n’ai à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur… ». Un programme de réjouissances que celui offert par Emmanuel MACRON aux Français. Ils devraient donc souffrir…
TRIBUNE : Pour sortir de la crise, il faudra travailler un peu plus. La formule est signée du patron des patrons, Geoffroy ROUX de BEZIEUX. Ce dernier souhaite revoir le temps de travail, celui des jours fériés, voire les congés payés…
Agnès PANNIER-RUNACHER, secrétaire d’Etat à l’Economie, lui a emboîté le pas : elle prévient qu’il faudra travailler davantage pour rattraper la perte d’activité liée à la crise sanitaire.
Ces beaux discours précisent, avec une bonne dose de miel, que l’on ne demande pas de sacrifices mais un joli coup de collier. Et le MEDEF d’enfoncer un peu plus le clou : « ils (il faut entendre les salariés) savent que leur entreprise et leur emploi sont menacés ». Sans commentaire.
On pourrait ajouter, pourquoi pas, à ces suggestions : le travail à partir de dix ans, dix heures de labeur quotidien, six journées de travail par semaine…
Ne souriez pas : j’ai entendu cela dans les bars bien avant leur fermeture temporaire ! Ah oui j’oubliais, il faut interdire le travail aux femmes pour juguler le chômage !
Bref : l’ombre de la dictature plane au-dessus de nos têtes : déjà, des dérogations aux limites du temps de travail ont été adoptées. Par simple ordonnance, le temps de travail hebdomadaire maximum est passé à soixante heures. Ce fameux coup de collier demandé conduit à une chute de 16 % des ressources des huit millions de bénéficiaires du chômage partiel, qu’on se le dise !
Les responsables ne sont coupables de rien…
Par le passé, les peuples ont toujours dû régler la facture de l’incompétence de leurs élus : manque d’anticipation, mauvaise gestion des crises, attachement viscéral au pouvoir individuel…Sachant que les responsables ne sont coupables de rien !
Voici donc le retour au premier plan des « vieilles lunes» de l’ère Mitterrand : « je suis responsable mais non coupable » (dixit Georgina DUFOIX à propos de l’affaire du « sang contaminé »).
Aujourd’hui, il existe une autre variante : Christine LAGARDE, l’actuelle patronne de la BCE, reconnue coupable dans l’affaire Bernard Tapie ne fut jamais condamnée selon la trilogie : « responsable, coupable, intouchable » !
Même le locataire de Bercy, Bruno LE MAIRE y va aussi de son couplet : « il faudra faire des efforts pour sortir de la pandémie ».
Selon le Parti Communiste, pour les Français c’est « la double peine » : « la crise sanitaire et en plus, une attaque des droits des salariés ».
De mieux en mieux et du plus croustillant avec Valérie PECRESSE, présidente de la région Ile-de-France qui a déclaré péremptoire au journaliste Jean-Jacques BOURDIN : « il faut que les Français acceptent de faire des dons : ils devraient céder des RTT, voire diminuer leur salaire » !
Sans vouloir jouer les « Savonarole », il est temps de demander des comptes et des efforts à nos élus ! Des coupes franches dans les budgets de l’Etat seraient par ailleurs les bienvenues.
Les propos de Valérie PECRESSE passent d’autant plus mal, que selon une étude de la revue « People with money », elle aurait touché, entre avril 2019 et avril 2020 (tout revenu confondu), près de 82 millions d’euros pour un patrimoine personnel estimé à plus de 240 millions ! Quels efforts et dons personnels, voire diminution de salaire, êtes-vous prête à consentir Chère Madame ?
Même l’Elysée se doit de montrer l’exemple dans la baisse de son budget…
D’autres économies peuvent intégrer le domaine des possibles : celui des budgets de fonctionnement des 36 000 mairies (autant que dans toute l’Europe) ; c’est beaucoup trop. D’autant que la création des Communautés de communes a alourdi les coûts. Dans le même sens : il serait bon de restreindre le nombre de parlementaires (570 pour 567 millions de budget) et de sénateurs (340 qui nous coûtent 338 millions). Rappelons que le Sénat a peu de pouvoirs, pour ne pas dire aucun ! Attention, cependant, dès que l’on veut diminuer le nombre de députés, voire de supprimer le Sénat, nos braves édiles brandissent tout de suite les spectres du « poujadisme » et du « boulangisme » !
Le président François HOLLANDE avait promis de passer de vingt-deux à treize régions pour économiser la bagatelle de dix milliards d’euros. Or, la Cour des Comptes annonce un dérapage de 207 millions d’euros. Résultat : cela nous coûte aujourd’hui plus cher qu’autrefois !
Tout le monde est concerné par les coupes budgétaires, même le président ! L’Elysée reçoit 105 millions de dotation : elles sont en augmentation de 3,7 millions pour 2020 ! Crise oblige…
Dans notre constitution, l’épouse du Président n’a pas de statut officiel. Brigitte MACRON dispose, outre de bureaux à l’Elysée, de six autres lieux de rendez-vous place Vendôme, de quatre collaborateurs dont un chef de cabinet et de sept collaborateurs détachés des équipes du président pour le seul courrier ! En plus, elle dispose d’une coiffeuse-maquilleuse. Combien cela coûte-t-il au global à la France ? On ne le sait pas : une grosse partie des dépenses de l’épouse du Président est intégrée dans le budget total de l’Elysée…
Alors Mesdames et Messieurs, chères et chers élus, si chers à nos portemonnaies, quels efforts individuels et collectifs (sans oublier vos équipes de collaborateurs en tout genre) êtes-vous prêts à consentir réellement ? Quels dons et quelles réductions de salaire êtes-vous prêts à offrir à la nation ? Vos efforts seront présents dans les urnes, à n’en pas douter ! La déliquescence des mœurs et celle des institutions, l’immoralité de certains élus, les gabegies budgétaires à répétition peuvent porter au pouvoir des nationalistes et des fondamentalistes anti-démocraties !
Jean-Paul ALLOU
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Le PS suspend six adhérents pour un semestre : il réaffirme son total soutien à Guy FEREZ…
juin 08, 2020Parce qu’ils appelaient publiquement à voter en faveur de la liste « Auxerre Ecologie La Ville Envie », six adhérents du Parti socialiste de l’Yonne ont été écartés pour six mois de leur formation politique. Le bureau fédéral du PS a choisi de soutenir le maire sortant Guy FEREZ au second tour des municipales. Une décision qui a fait l’objet d’un vote et obtenu l’aval de la direction nationale…
AUXERRE : La sanction est finalement tombée en fin de semaine. Le bureau fédéral du Parti socialiste de l’Yonne a donc opté pour la suspension durant un semestre de six de ses adhérents après que ces derniers se soient ralliés publiquement à la cause de Florence LOURY et de Denis ROYCOURT, leaders de la liste « Auxerre Ecologie La Ville Envie ».
Une liste qui occupait la troisième position au soir du premier tour des municipales le 15 mars.
En dépit des décisions démocratiques prises par le parti de gauche (à savoir le soutien accordé au maire sortant pour le second tour à l’issue de votes favorables avec l’aval du Premier secrétaire national Olivier FAURE), les six trublions du PS local avaient appelé à faire élire le duo écologiste au nom de leur formation politique. Une position contraire à la déontologie suivie par le Premier secrétaire fédéral de l’Yonne, Mani CAMBEFORT.
Pire, aux yeux de ce dernier, ces six adhérents ne désavouaient pas le maintien de la liste écologiste au deuxième tour prévue le 28 juin.
Avec le risque, de surcroît, d’inciter à davantage de divisions et de favoriser par ricochet l’élection du candidat Les Républicains/UDI Crescent MARAULT en embuscade après être arrivé en tête (37 %) au premier tour.
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C’est dans un contexte tout aussi particulier que le confinement que l’enseigne a pu accueillir ses premiers clients ce mercredi 03 juin. Installé dans la zone commerciale au sud de la ville, le commerce de restauration rapide a pu enfin ouvrir ses portes au lieu de la date fatidique du 17 mars qui marquait le début du confinement en France.
SENS : C’est une nouvelle ville à conquérir, choisie pour son attractivité, mais dans un contexte difficile. L’implantation de ce fast-food constitue un véritable challenge pour le franchisé Gian-Marco AMENDOLA. Celui-ci possède déjà un restaurant de la même enseigne à Bourges depuis 2016.
L’enseigne KFC tente sa chance, et bientôt Burger King à Saint-Denis-lès-Sens, là où régnaient autrefois les trois McDonald’s de Lilian MICHEL.
Gian-Marco AMENDOLA se montre plutôt confiant pour ce qui est d’obtenir sa part de marché. Pour lui, la spécialité de l’enseigne, unique sur le territoire, ne peut être qu’un atout majeur.
« Il n’y a que KFC qui propose du poulet fait sur place, du poulet non reconstitué… ».
Cette vitrine vient donc étoffer l’univers de la restauration sénonaise, présente à hauteur de 3,5 % parmi les autres secteurs d’activité. Même si ce domaine est loin d’égaler le secteur immobilier (24 % des entreprises sénonaises), la restauration rapide semble rester une valeur sûre.
En tout cas, les Sénonais étaient au rendez-vous. Beaucoup plus que ne l’avait prévu le patron d’ailleurs.
Privilégier l’évolution interne des salariés côté promotion…
Cette période de déconfinement où logent encore quelques mesures restrictives n’a pas freiné la population, bien décidée à faire honneur au roi du poulet frit, notamment avec le drive qui a connu un franc succès.
Certains de ces consommateurs avaient déjà fait l’expérience de l’enseigne dans d’autres villes. Ils se disent ravis de la retrouver à Sens, surtout les mécontents de son concurrent direct, le McDonald’s dont la prestation laisserait, selon eux, à désirer.
La quarantaine d’employés a reçu de nombreuses consignes avant l’arrivée des premiers clients, notamment sanitaires. C’est, semble-t-il, le début d’une aventure plutôt conviviale, avec la possibilité de monter en grade pour les salariés.
« Ma politique est de privilégier une évolution interne » précise Gian-Marco AMENDOLA. Mais une épine, autre que le report de l’ouverture, est venue se loger dans son pied. Le chef d’entreprise n’a pas pu embaucher la cinquantaine de personnes prévue au départ. En cause : la fébrilité des candidats.
Le patron du fast-food pense que beaucoup d’entre eux s’étaient désistés en raison de l’épidémie de SRAS CoV-2. Une situation qui devrait bientôt évoluer.
Floriane BOIVIN
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Un million d’enfants est concerné par les Vacances apprenantes : l’été studieux de la jeunesse s’esquisse…
juin 06, 2020Plutôt studieuse que farniente la future période estivale des enfants et adolescents cette année ! Ainsi en a décidé le ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse Jean-Michel BLANQUER qui dévoilait ce samedi matin à Paris aux côtés de Julien DENORMANDIE et de Gabriel ATTAL les diverses facettes du programme « Vacances apprenantes » dont les quartiers sensibles seront prioritaires…
PARIS : C’est dans les salons du ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse, rue de Grenelle, qu’a eu lieu ce samedi matin la présentation du copieux programme dont sera bénéficiaire un million d’enfants et d’adolescents cet été. Un processus validé par le gouvernement pour lutter avec efficience contre le décrochage scolaire qui est lié à la longue période de confinement.
Le concept baptisé « Vacances apprenantes », de quoi réjouir les frimousses joyeuses des têtes blondes qui n’en demandaient pas tant depuis leur retour en classe (!), bénéficiera d’une enveloppe budgétaire de deux cents millions d’euros.
Le dispositif, gratuit, sera toutefois réservé aux plus modestes des familles. Et en particulier, à celles et ceux de ces enfants qui vivent dans les quartiers dits « sensibles ». Bon nombre de ces gosses n’ont pas emprunté le chemin de l’école depuis le 15 mars dernier, date du début du confinement.
Le ministre de l’Education nationale a ensuite détaillé son plan lors d’une conférence de presse, autour d’une stratégie qui s’articule selon les principes vertueux de vacances épanouissantes et éducatives.
En terme clair, il s’agira pour les participants à ce dispositif de joindre l’utile à l’agréable, c’est-à-dire s’amuser et profiter des joies inhérentes aux congés d’été sans omettre de remettre la blouse le temps d’une séance pédagogique instruit de manière officielle.
Le gouvernement table sur la pratique des colonies de vacances, des écoles ouvertes et autres centres aérés pour que la jeunesse rattrape les manques intellectuels perdus durant près d’un trimestre. 250 000 départs en colonies seront ainsi financés par l’Etat dont deux cents mille seront réservés aux enfants des familles les plus modestes.
Toutefois, il a été précisé que les « enfants ayant décroché de l’enseignement à distance faute d’équipement numérique » seraient également prioritaires pour suivre ces camps de vacances éducatifs.
Les centres aérés à vocation pédagogique devraient accueillir 300 000 enfants. Le développement de jeux à orientation éducative y serait favorisé dans le cadre de la remobilisation scolaire.
2 500 écoles, collèges et lycées pourraient ouvrir cet été…
Quant à l’ouverture des établissements scolaires cet été, elle n’est pas exclue. Jean-Michel BLANQUER souhaite mobiliser près de 2 500 écoles, collèges et lycées dans les villes et les territoires ruraux.
On sait également que des activités de soutien scolaire, des cours d’éducation physique et des actions culturelles compléteront le dispositif pour 400 000 élèves.
Enfin, pour être tout à fait complet sur ce dossier, il faut savoir que 50 000 jeunes âgés de moins de 17 ans pratiqueront l’école ouverte buissonnière cet été. Soit à la campagne, soit sur le littoral. Histoire de se familiariser avec la nature et la découverte du patrimoine local.
Une aide ponctuelle exceptionnelle de trente millions d’euros sera attribuée par l’Etat aux collectivités territoriales qui désirent financer ce dispositif. Sachant que douze millions d’élèves sont scolarisés en France.
Reste le principal levier à ce plan pour qu’il fonctionne correctement : le nombre suffisant d’enseignants mobilisés sur la base du volontariat.
Idéalement, le gouvernement aimerait s’appuyer sur la présence physique de 25 000 professionnels pour que les 400 000 scolaires qui suivront le programme en école ouverte le fassent dans de bonnes conditions. Soit cinq fois plus qu’actuellement en période scolaire.
Mais, le SNES-FSU, syndicat national des enseignants du second degré, a déjà fait savoir qu’il n’était pas du tout convaincu par la pertinence de ce programme « vacances apprenantes ». Logique, il a le malheur de tomber en pleine période estivale !
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Sa nouvelle ligne de produits est lancée avec Le BORVO : Fabien PAIRON le magicien ose les recettes stérilisées…
juin 06, 2020Astucieux prétexte que celui du calendrier julien qui place la fête des mères et celle des pères en cette période printanière de la saison. C’est en ces instants de félicité familiale qu’a choisi le Meilleur ouvrier de France (MOF) des charcutiers-traiteurs 2011 pour se rappeler à notre bon souvenir. Et à celui, surtout, des épicuriens et autres gourmets qui empruntent son sillage depuis ses débuts. Un come-back culinaire plein de succulence et de savoir-faire…
CHEMILLY-SUR-YONNE : Le concept s’apparente presque à un nouveau défi gourmand. Tant le garçon possède l’audace nécessaire pour y parvenir et sait se subjuguer pour donner le meilleur de lui-même jusqu’au fond de l’assiette.
Concevoir une nouvelle ligne de produits autour de spécialités gastronomiques conditionnées en gamme de bocaux stérilisés requiert de l’appétence dans la maîtrise du moindre geste technique effectué.
Un tour de main que possède le coordonnateur et enseignant de la célèbre Ecole hôtelière de Lausanne (Suisse) qui n’en a pas oublié pour autant les préceptes d’Escoffier.
Il suffira pour s’en convaincre de déguster quelques-unes de ces recettes intégrant sa nouvelle ligne de produits baptisée « Charcuterie Fine ».
Des saveurs délicates dont on peut se sustenter dès l’entrée, sous la forme de terrines, mousses et autres recettes à tartiner. Mais aussi, de plats cuisinés devant faire le bonheur des férus de bonne chère.
L’eau vient à la bouche à la simple lecture de la carte qui dévoile les atouts de cette collection savoureuse : blanquette de veau aux graines de moutarde, cuisses de canard confites à la sarriette, confit de joue de bœuf à la bourguignonne ou encore le poulet de la maison MIERAL à la chablisienne. Pour cette dernière recette, Fabien PAIRON s’est rapproché du fameux producteur de volailles de Bresse pour en garantir toute la qualité.
D’ailleurs, l’artisan le précise : « Toutes ces créations ont été réalisées sans additifs, ni conservateurs et autres colorants ajoutés. Elles ont été stérilisées donc elles sont à conserver à température ambiante… ».
Pour l’anecdote, cette gamme de recettes en bocaux est en cours de certification auprès des services du Collège Culinaire de France. Mais, les récents évènements liés à la présence sur notre territoire du coronavirus ont quelque peu retardé les démarches.
Des produits élaborés et distribués par Le BORVO…
Le projet a été élaboré avec l’étroite complicité de Daniel RAYMOND et de son fils, Benjamin. Une figure emblématique de l’artisanat et des arts de vivre à la sauce de l’Yonne que l’on ne présente plus. Ensemble, ils ont développé cette gamme de recettes en bocaux qui sont distribués par la société de CHEMILLY.
« En fait pour la petite histoire, précise Fabien, j’aime bien cette maison icaunaise « Le BORVO », avec qui je partage mes racines. Aussi, je souhaitai apporter mon soutien à cette structure via cette action pour lui donner aussi un joli coup de projecteur en cette période complexe pour les artisans, les restaurateurs, les hôteliers… ».
On l’aura compris : il y aussi derrière ce geste beaucoup d’altruisme et de générosité de la part du Meilleur ouvrier de France originaire de Villeneuve-sur-Yonne qui aura conçu ce projet dans le pur jus du bénévolat !
« Vous savez, ajoute-t-il en souriant, je me fie le plus possible à une maxime quand je réalise de nouveaux projets : « On peut sortir un bourguignon hors de la Bourgogne mais on ne peut pas sortir la Bourgogne d’un bourguignon ! ».
Une formule joliment dite qui démontre l’autre facette intime de ce personnage au cœur gros comme ça !
En savoir plus :
Commandes possibles de cette gamme de produits sur la boutique en ligne : www.boutique.leborvo.fr
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