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Epinglé par Bruno LE MAIRE, Cédric CLECH fait chevalier de la Légion d’honneur sous les ors de la République
février 15, 2022La lumière des projecteurs médiatiques, il sait l’apprivoiser le nouveau récipiendaire de l’insigne de chevalier dans l’ordre national de la Légion d’honneur. Mais, vivre un instant magique et émotionnel sous les ors de la République représente pour lui une grande première. Conseiller départemental de l’Yonne et maire de Tonnerre, le président de MEDIA TV a reçu l’honorable distinction lundi soir des mains de Bruno LE MAIRE au ministère de l’Economie.
PARIS : Promu dans l’ordre national de la Légion d’honneur au 01er janvier 2021, Cédric CLECH qui sait mettre en scénographie des évènementiels de la vie quotidienne du fait de sa profession – il est fondateur et président de la société de communication et de production audiovisuelle MEDIA TV – était au centre de tous les intérêts lors d’une réception protocolaire concoctée dans les salons du ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance.
Edile de Tonnerre (il a évincé la maire sortante Dominique AGUILAR dès le premier tour des municipales de 2020), Cédric CLECH a ajouté à sa panoplie de jeune élu, le titre de conseiller départemental de l’Yonne, sur son canton de prédilection, le Tonnerrois où les suffrages des votants des cinquante-deux communes composant cette entité lui ont accordé leur confiance.
Plusieurs élus de l’Yonne, à commencer par la sénatrice Marie EVRARD et le ministre en charge du Tourisme, de la Francophonie et des PME/PMI, Jean-Baptiste LEMOYNE, ont assisté à cette cérémonie s’inscrivant sous le sceau de la cordialité et de la sympathie.
Une juste reconnaissance pour la sénatrice Marie EVRARD…
A la manœuvre pour la remise de cette décoration prestigieuse : Bruno LE MAIRE, en personne. Le ministre de l’Economie, des Finances et de la relance a par ailleurs rendu un bel hommage à l’élu du Tonnerrois, figure aux multiples engagements au service de l’intérêt général.
« C’est une juste reconnaissance, confiera en outre la sénatrice Marie EVRARD. Tonnerre et l’Yonne ont de la chance de posséder un élu d’une telle qualité… ».
Rappelons que la Légion d’honneur est le premier ordre national visant à honorer des citoyens français en les récompensant pour leurs mérites acquis au titre de la nation, soit de manière civile, soit sous les armes.
Il faudra désormais que Cédric CLECH s’arme de patience pendant huit ans avant de pouvoir briguer la distinction supérieure : celle d’officier de la Légion d’honneur. Largement le temps pour lui de poursuivre son investissement et de développer ses projets au service de l’Yonne…
Thierry BRET
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LINCET et LEBHAR défendront les couleurs de l'Yonne au 17ème Salon du Fromage et des Produits laitiers de Paris
février 14, 2022Ce sera la seconde région de l’Hexagone la plus représentée. Vingt-quatre professionnels de Bourgogne Franche-Comté convergeront à Paris du 27 février au 02 mars. Ils y présenteront lors du XVIIème Salon du Fromage et des Produits Laitiers le fruit de leur savoir-faire. Un coup de projecteur sur la filière qui se déroulera en parallèle du SIA, le Salon international de l’Agriculture.
PARIS : A date, ils sont déjà vingt-quatre professionnels de la filière fromagère et laitière à vouloir représenter la Bourgogne Franche-Comté lors de ce rendez-vous incontournable assurant la promotion de ce secteur agro-alimentaire. Mis en contact avec des acheteurs de la planète entière, ces spécialistes des produits laitiers et fromagers dévoileront leurs nouveautés 2022. Synonymes de nouvelles parts de marché ?
Recensant plus de mille variétés de fromages, la France est de loin le pays de référence en la matière. Chacun des territoires régionaux qui composent notre nation produit selon un savoir-faire bien spécifique des fromages.
Réservé exclusivement aux professionnels (dommage pour les férus des pâtes affinées !), ce dix-septième rendez-vous sera accueilli Porte de Versailles durant une quinzaine de jours, en parallèle avec le Salon international de l’Agriculture. Du producteur aux consommateurs, en quelque sorte !
Avec ses 250 exposants, 8 500 acheteurs et 56 pays représentés, ce salon mettra en lumière les pépites gustatives et olfactives, entre autres, des professionnels de notre territoire. Dont l’Yonne puisque les établissements LINCET, producteur de chaource AOP, brillat-savarin IGP et autres fromages bourguignons, y participeront. Le groupe LEBHAR, fabricant d’emballages en carton pour les fromagers, sera du voyage également. La société de Sens emplie près de 300 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 35 millions d’euros.
La Côte d’Or (4), le Doubs (6), le Jura (8), la Haute-Saône (2) et la Saône-et-Loire (2) enverront également des représentants artisanaux et industriels.
En savoir plus :
Le Salon du Fromage et des Produits laitiers
27 février au 02 mars 2022
Porte de Versailles Paris
Thierry BRET
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L’élue a reçu deux têtes d’affiche des Républicains à Monéteau : casting national autour d’Arminda GUIBLAIN !
février 14, 2022Rêve-t-elle à l’instant « t » lors de la prise de ce cliché unique à une destinée politique nationale ? S’imagine-t-elle intégrer un gouvernement d’alternance où le président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent WAUQUIEZ occuperait l’un des portefeuilles attribués par la cheffe de l’Etat Valérie PECRESSE ? Ou seraient-ce les ors du Sénat et la bonhomie de son président Gérard LARCHER à son endroit qui pourrait l’émerveiller ? Rien de tout cela, en vérité, pour l’élue de Monéteau !
MONETEAU : « L’idée de partager avec vous tous ce moment est une réelle opportunité et une véritable chance. Qu'est-ce qui nous lie aujourd'hui ? Une femme. Et pas n'importe quelle femme. Valérie PECRESSE, candidate à la présidence de la République. Partageons ensemble cette ambition à ses côtés ! ».
La brève introduction de Madame le maire de Monéteau et conseillère départementale de l’Yonne a su faire mouche pour chauffer la salle auprès d’une assistance toute acquise à la cause du jour : le soutien inconditionnel à la présidente de la Région Ile-de-France, engagée dans la course à l’Elysée.
Organisé par le Comité départemental « L’Yonne avec Pécresse ! », ce rendez-vous du début d’après-midi (il ne démarrera finalement qu’après la demi-heure traditionnelle de retard) ne pouvait être lancé que par l’hôte de cet évènement, la première élue de la commune périphérique d’Auxerre, Arminda GUIBLAIN.
Sans sourciller, cette dernière s’avança vers la scène du SKENET’EAU sous la lumière vive des projecteurs tandis que les quatre orateurs du jour (Dominique VERIEN, Guillaume LARRIVE, Laurent WAUQUIEZ et Gérard LARCHER) s’installèrent tranquillement dans les fauteuils leur étant réservés face au public.
On connaît la suite. L’édile de Monéteau, peut-être un brin intimidée (?), n’en dira pas davantage pour introduire le quatuor présent dont les deux coprésidents des comités de soutien nationaux favorables à l’égérie de la droite et du centre droit.
Un moment de grâce unique, sans doute pour Madame le maire, qui sur le parvis du complexe de loisirs immortalisera ensuite à jamais cette rencontre avec deux des figures nationales des Républicains sur visionnage numérique.
Sans aucune prétention politique, c’est sûr !
Thierry BRET
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Une dotation horaire globalisée synonyme de dégradation de l’enseignement : le rejet des élus du CA de Jean BERTIN
février 14, 2022La froidure d’un « petit matin d’hiver », comme le chantait si bien en souvenir de sa période scolaire Gérard LENORMAN en 1975, était bel et bien au rendez-vous de ce rassemblement protestataire devant les grilles du collège de Saint-Georges-sur-Baulche. C’est sur une toute autre musique, celle plus tendance de SOPRANO, qu’enseignants, parents d’élèves et leurs représentants ont interprété un air de révolte pour faire entendre leurs réclamations.
SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : « Faut lutter » ! Dès les premières paroles de ce texte scandé par la quarantaine de manifestants – des professeurs, représentants de parents d’élèves et membres des familles venus soutenir ce rassemblement aux grilles du collège Jean Bertin malgré le mordant d’une température glaciale – le ton était donné !
Pas de place réservée à la poésie et aux souvenirs nostalgiques de la période scolaire : adaptée d’un morceau du répertoire de la star du rap SOPRANO (« Le Coach »), sa réécriture avait pour objectif de faire mouche par la virulence de ses propos et de son engagement à revendiquer contre le système éducatif.
Banderole déployée sur les grilles de l’enceinte pédagogique, morceaux de carton brandis à bout de bras soulignant les messages essentiels, haut-parleur brancher à quasi saturation pour porter la voix des organisateurs : rien ne manquait dans cette panoplie contestataire contre la dégradation des conditions d’études et de travail.
« Nous dénonçons la perte de moyens qui a pour conséquence de provoquer la surcharge des classes ce qui risque de mettre en danger la scolarité des élèves présentant des signes de faiblesse et de fragilité… ».
Une politique de contraintes budgétaires au détriment de la qualité de l’enseignement…
En substance, la dotation horaire globalisée (DHG) est dans le viseur des protestataires. Insuffisante, voire décevante, elle n’est certainement pas à la hauteur des enjeux en matière de lutte contre le décrochage, paradoxalement l’une des priorités de la politique éducative de la gouvernance.
Oui mais voilà, sur le terrain, le son de cloche tinte différemment selon les manifestants, contrairement à la gesticulation médiatique autour de ce sujet.
« Nous sommes en total désaccord avec cette gestion approximative de l’éducation. Elle ne repose aujourd’hui que sur des contraintes budgétaires et une volonté d’optimisation et de rentabilité…. ».
Des principes qui sont contraires à la qualité de l’enseignement, et à l’intérêt des élèves et des familles.
Et la chanson de reprendre à l’unisson des quarante « choristes » en colère : « Faut entasser les ados pour ne pas dépenser, faut faire taffer les ados sans budget ».
Si la dotation d’heures actuelle est maintenue par l’académie, des problèmes surviendront en termes de capacité d’accueil de certaines classes. Sachant en outre que les calculs effectués ne prennent pas en compte les élèves de l’ULIS (unité localisée pour l’inclusion scolaire) prévu au nombre de huit dès l’an prochain, ainsi que des AESH (accompagnement des élèves en situation de handicap) qui les assistent.
Le retour des classes surchargées : le cauchemar des enseignants…
Autre problématique observée localement : celle qui est née de la fermeture du collège Bienvenu-Martin survenue à Auxerre en 2019 avec pour effet corollaire l’accueil d’élèves en situation de REP (Référentiel de l’éducation prioritaire) qui est largement dépassé.
On l’aura compris : les représentants élus des personnels enseignants au conseil d’administration du collège et les représentants des parents d’élèves craignent la hausse exponentielle des effectifs de ces classes, augmentation observée chaque année. Une tendance qui ne s’inversera pas à l’avenir. La récente ouverture d’une classe au sein de l’école primaire locale ainsi que la venue de plusieurs familles, installées sur la commune, le confirment. Le nombre d’élèves par classe ne peut que progresser et dépasser le seuil limite.
Précisons que la prévision des effectifs est déjà évaluée vers la hausse lors de la future rentrée de septembre, aux alentours de 670 collégiens.
« Trente élèves dans une même classe paraît que c’est la normalité, surchargé veut dire normal, je ne comprends plus mes cours de français… ».
La chanson se poursuit avec ces couplets révélateurs du mal-être persistant qui affecte le milieu de l’Education nationale
A commencer par les enseignants eux-mêmes. Ils espèrent une progression de leurs effectifs.
« Logique, nous constatons une tendance accrue à la conversion des heures postes en heures supplémentaires. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Avec 7 % d’élèves en plus pour 6 % d’heures postes en plus et 19 % d’heures supplémentaires par rapport à l’année dernière… ».
Vers une classe supplémentaire accueillant les élèves de troisième ?
Or, cela nuit à la bonne fonctionnalité de certains collègues contraints à effectuer un complément de service sur un, voire plusieurs établissements alors que les besoins en heures sont bien présents au collège de Saint-Georges. Un état de fait qui impacte l’enseignement délivré aux élèves.
Quant à l’ouverture d’une classe supplémentaire sur le niveau de troisième, elle est souhaitée par les personnes protestataires. « Il faut que l’ensemble des disciplines puisse bénéficier de conditions pédagogiques convenables ».
Reste le demi-poste d’infirmière supplémentaire, déjà opérationnel au sein de l’établissement. Son maintien aurait pour avantage de proposer une ouverture maximale de l’infirmerie sur la semaine entière.
Si la direction de l’établissement n’a pas souhaité réagir à chaud à ce rassemblement, organisé jeudi, dans la rue, peut-être que Vincent AUBERT, le directeur académique des services de l’Education nationale sera plus enclin à répondre par l’affirmative à la demande d’entrevue des manifestants. La balle se trouve désormais dans le camp du DASEN de l’Yonne.
« A Saint-Georges, on se bat, à Saint-Georges, on se bat », conclut la chanson !
Thierry BRET
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« L’Aile ou la Cuisse » : le plaisir des papilles exulte au « Rive Gauche », grand oublié du guide Michelin !
février 12, 2022Il fait beau en ce mardi de février. Un vol de grues passe au loin dans le ciel bleuté. Bien qu'elles ne disposent pas encore d'Internet, on peut penser que leur retour annonce la fin de la froidure hivernale, qui hélas n'a pas vraiment eu lieu d'ailleurs. Bientôt midi, et l'assurance en poussant la porte d'une des meilleures tables icaunaises, de se régaler une fois de plus. Bienvenue au Rive Gauche à Joigny…
JOIGNY : C'est feu Michel LORAIN (trois étoiles au Michelin en 1986), surnommé le chef bâtisseur par ses équipes qui contribua à la construction de ce bel établissement, voici une trentaine d'années. Sa dynamique fille, Catherine, en fut longtemps à la tête, la laissant désormais peu à peu, à un véritable binôme de professionnels : Anne-Claire JOUBERT, côté salle, et son mari, Jérôme en cuisine.
La salle est confortable. Quant à la terrasse surplombant la rivière, elle semble cligner de son œil taquin, en nous susurrant « à bientôt » ! Edwige est la souriante maître d'hôtel de la maison.
Cette ancienne élève du lycée des métiers Vauban à 'Auxerre arriva gamine ici, et sut y gravir les échelons à la force du poignet. En 2020, sous la férule de chef « Jéjé », elle contribua largement à cette belle seconde place, lors de l'exigeant concours national de la meilleure brigade de France, après avoir durant les entraînements découpé moult poulardes de Bresse.
A peine le temps de le commander au menu, qu'un impeccable « américano » surgit avec d'onctueuses gougères. Durant ce laps de temps, arrive un quatuor de copines souriantes. Pauline y est la reine du déjeuner, fêtée dignement, en trinquant avec un « coteau du Layon ». L'aînée de la tablée ouvre alors son enveloppe de feuille de paie : « quoi 168 heures alors que j'en ai fait 170… se plaint-elle, rapidement consolée par une rasade de vin moelleux !
Pendant ce temps, Edwige et sa mini-équipe installent les nouveaux arrivants. Tiens, un trio de mise en bouche atterrit sur cette table bien dressée ! Le chef aime les poissons bleus (maquereau ou sardine en saison), il y en a ! Un mot sur l'excellent pain fourni par la boulangerie locale « La Gerbe d'or ». C'est quand même autre chose que l'industriel « coup de pâte » auquel trop de tables ont désormais hélas succombé.
Le délice des sauces qui accompagnent les produits de la mer…
L'entrée est aussi fine que délicate : marinade de Saint-Jacques et céleri boule, avec une rémoulade de radis d'hiver et de baies roses (clin d'œil au soleil des tropiques !). Une belle alliance avec le bourgogne blanc générique de la côte de Beaune, choisi par notre maître d'hôtel.
Trois amies arrivent ensuite à la table voisine. Elles sont pressées, très pressées évidemment. Voyons ! Lorsque l'on est quelqu'un d'important : c'est ainsi ! A la commande, elles déconstruisent tous les plats, avec force rasade de ce soda made in USA que je ne citerai point ! L'une d'entre elles est en arrêt maladie, mais a plutôt bon appétit. Comme le disait feue ma grand-mère : « l'appétit, c'est la santé ! ». Alors…
Demeurant dans l'océan, par table jovinienne interposée, c'est au tour d'un délicieux ragoût d'encornets et de crevettes grises, sauce chablis de s'attabler ! Un plat qui a de la mâche, mention spéciale pour la sauce, aussi onctueuse que goûteuse. On le sait, mais passé antan par de belles tables étoilées (« Le Père Bise » à Talloires, « Stéphane DERBORD » à Dijon...), le chef Jérôme JOUBERT est un véritable saucier, pour le plus grand plaisir de la clientèle.
Un établissement « délaissé » par le Michelin : une hérésie !
Le plat suivant est un peu un historique de la jeune maison. Pas pour l'entrecôte-échalotes, impeccablement saignante, mais pour son accompagnement que l'on doit à Chris, l'un des fidèles seconds de cuisine. Il s'agit d'un aligot filant, spécialité du jeune papa.
Que les puristes aveyronnais me pardonnent : certes sans tomme fraîche de Laguiole. Ce jour-là, ce véritable délice fut servi au comté. Parfois Chris le prépare au soumaintrain, voir en annexe la recette de ce fils de restaurateurs bordelais !
Le dessert est l'œuvre de Céline, la chef pâtissière : un tiramisu bourguignon dans lequel l'acidité du cassis vient se confronter à la douceur sucrée du biscuit. C'est bon le cassis ! Et pas uniquement en kir ! Pour Noël, je fus très agréablement surpris par la bûche marron-cassis de la pâtisserie QUIRIE, sise à Malay-le-Grand.
Toutes les tablées de copines sont parties. A mon tour d'en faire de même, après un bon déjeuner, gentiment servi ! Et je l'écris à nouveau : « Le Rive Gauche » est une table injustement délaissée par le guide Michelin, qui l'a depuis 2021, supprimée honteusement de sa sélection. D’ailleurs, on aimerait mieux en comprendre les objectifs actuels, entre les cités de D1 (Lyon, Courchevel, Cannes...) et l'immense restant du territoire de France !
En savoir plus :
Les + : table confortable et de qualité. Chambres à l'unisson et au goût du jour.
Les - : jadis, au « Rive Gauche », les tables étaient nappées. C'était joli. Oui mais ça, c'était avant ! Comme nombre d'autres établissements, ce bon restaurant a désormais succombé au moderniste set de table. Ben, tant que l'on ne nous impose pas la serviette en papier, assortie de couverts en plastoc, dignes d'un plateau éco de compagnies aériennes !
Premier menu à 29 euros avec un verre de vin et café.
La recette de l’aligot au soumaintrain
Pour quatre personnes :
1kg de pommes de terre à chair ferme
300 g de soumaintrain au lait cru
500 g d’emmental râpé de bonne qualité
Beurre et crème fraîche
Faire cuire les pommes de terre à l’eau salée, les égoutter puis les écraser en purée et en y ajoutant crème et beurre,
Tailler le soumaintrain en très fines lamelles, puis à feu doux l’ajouter à la purée avec l’emmental râpé en mélangeant avec une spatule en bois.
Mélanger la masse jusqu’à l’obtention d’une pâte lisse qui se détache des parois de la cocotte en faisant des fils.
Contact :
Le Rive Gauche
Hôtel/restaurant
Chemin du Port au bois
89300 JOIGNY
Tel : 03.86.91.46.66.
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Gauthier PAJONA
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