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Après son périple à pied jusqu'au Maroc, Abder EL BADAOUI ne descend plus de son petit nuage…
septembre 04, 2019Son exploit sportif, celui de courir sur une distance de 2 500 kilomètres à travers trois pays lui permettant de relier la capitale de l’Yonne à son village natal, BZOU, au royaume chérifien aura marqué les esprits. Et tout particulièrement ceux des élus d’Auxerre qui lui remettront une distinction honorifique supplémentaire…
AUXERRE: Parti d’Auxerre sur un bon train, Abderrazack EL BADAOUI est arrivé vingt-cinq jours plus tard sous une chaleur caniculaire sur sa terre natale, le Maroc. Plus précisément, dans son petit village de BZOU, terme de son périple de titan. A la stupéfaction générale et surtout avec les honneurs des deux côtés de la Méditerranée.
Si ce fut la liesse des grands jours dans le pays de son enfance, le sympathique sportif au cœur gros comme çà (il en avait profité pour approvisionner une école primaire de multiples fournitures scolaires) recevra sûrement la même chaleur ce samedi 07 septembre lors d’une fête autour du sport, concoctée par le quartier de l’Horloge à Auxerre.
Présidente du collectif de l’Horloge, qui fédère artisans et commerçants, Corinne LACOUR sera accompagnée de l’édile Guy FEREZ et de l’adjoint aux sports, Yves BIRON. Ensemble, ils accueilleront le vaillant spécialiste de la course d’endurance de la meilleure manière qu’il se doit. En lui remettant la médaille de la Ville lors d’une cérémonie protocolaire prévue en fin de matinée. Coup de chapeau à ce vénérable sportif…
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Le Département procédera à un énième vote sur Bienvenu-Martin, ce collège qui n’en finit pas de fermer…
septembre 04, 2019Septembre revenu, la plupart des observateurs pensaient que la saga inhérente à la fermeture de l’établissement auxerrois était à ranger parmi les histoires closes de la saison écoulée. Que nenni ! Même si les 380 élèves de ce collège antépénultième érigé à la sauce Pailleron (vétusté et amiante garanties) ont été répartis depuis sur différents sites éducatifs de la capitale de l’Yonne, Bienvenu-Martin n’a pas encore mis la clé sous le paillasson. Mais, sa survie n’est qu’illusoire et dépendante de nouvelles décisions…
AUXERRE : On l’imaginait totalement fermé, il n’en est rien. On le savait perdu à brève échéance, mais il sera nécessaire de procéder encore à de nouveaux conciliabules, assortis d’un scrutin, pour condamner sine die le collège d’Auxerre de type Pailleron à clore ses portes. Sans doute, cette fois-ci, de manière définitive. Quoique !
Pourtant, Bienvenu-Martin n’accueille plus ses élèves ni ses enseignants et son corps administratif depuis quelques temps. Plusieurs mois, déjà après une série de mésaventures imputables à la vétusté des lieux. Cela a nécessité la suspension de son usage.
Ce gros navire sans âme ni personnel à son bord conserve néanmoins un capitaine qui essaie de garder le cap en vue de l’adoption de la meilleure des solutions. Surtout dans l’intérêt de ses élèves. « Ils demeurent ma priorité », concède le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD.
Tenant une conférence de presse, en préambule de la tournée des collèges de l’Yonne qui allait le conduire aux quatre coins du territoire, le chef de l’exécutif départemental ne pouvait occulter sciemment ce sujet si passionnel et passionnant sur le devenir de l’établissement du secondaire.
Or, devait-il rappeler tout de go à une assistance d’élus et de journalistes, « la fermeture de Bienvenu-Martin n’est pas de la compétence du président du Département… ».
Un dossier examiné lors de la session de reprise du Département le 27 septembre…
C’est au représentant de l’Etat, en l’occurrence le préfet de l’Yonne, d’entériner ou pas la décision via un arrêté spécifique. Il s’avère que ce dernier, Patrice LATRON, ne l’a pas paraphé. Conformément à une déclaration, datant du 06 mars 2018, où il s’était opposé à cette option.
Présente lors de la prise de parole du président GENDRAUD, l’inspectrice d’Académie, Annie PARTOUCHE, a pu fournir des explications complémentaires sur le cheminement de ce dossier. Celui-ci fera l’objet d’un vote le 16 septembre du Conseil départemental de l’Education nationale, le CDEN. Le résultat de ce scrutin sera ensuite transmis au Département. Ce qui génèrera de nouvelles discussions parmi les 42 élus de l’hémicycle. L’avis du CDEN à analyser constituera l’un des éléments attractifs de l’ordre du jour de la session de rentrée, le 27 septembre à la Pyramide d’Auxerre.
L’objet de ces discussions devant nourrir un nouveau vote où les élus de l’Yonne auront à prendre position entre le choix de fermer ou de maintenir le collège. Une nouvelle fois, devrait-on ajouter.
Et à l’issue de ce scrutin, ce sera au préfet Patrice LATRON, comme sur un air de déjà vu, de prendre ou non la décision de condamner les portes de l’établissement.
On n’ose à peine imaginer ce qu’il adviendrait de la gestion de ce dossier épineux en cas de refus du représentant de l’Etat…
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Du cousu main pour l’Office Auxerrois de l’Habitat : Sainte-Geneviève dispose de son agence moderne…
septembre 04, 2019Débutés en février, les travaux d’aménagement du nouveau point d’accueil de l’organisme dans le quartier Sainte-Geneviève s’achèvent. Sur une surface de 240 mètres carrés, une dizaine de professionnels pourront y exercer d’ici peu leur savoir-faire et accueillir les locataires et demandeurs de logements…
AUXERRE: Dire que le site de réception de la nouvelle agence de l’OAH ne serait pas situé dans un endroit propice aux activités du bailleur serait une pure galéjade !
Implanté au beau milieu d’un quartier où résident près de 3 500 bénéficiaires de logements loués par l’organisme, ce point de contact nécessaire est à l’évidence synonyme de lieu de convergence idoine pour celles et ceux qui s’acquittent chaque mois d’un loyer correspondant à leur habitat. Mieux que le précédent local qui existait jusque-là, rue Ingres, devenu un tantinet vétuste et inadapté au fil des ans…
La physionomie du lieu parle d’elle-même. Ergonomique, fonctionnel, ouvert vers l’extérieur, l’Office profite ici d’un ancrage favorable au développement de son savoir-faire et de ses activités.
A commencer par celles qui intègrent sa fonction quasi régalienne : accueillir de la manière la plus agréable et confidentielle possible les locataires de Sainte-Geneviève.
Une réhabilitation du site mûrement réfléchie…
Dans l’absolu, et cela traduit toute la subtilité créative du maître d’œuvre, JMF Ingénierie, représenté par son responsable, Joël FOUGEREAU, il aura fallu métamorphoser le rez-de-chaussée de l’édifice. Exit l’ancienne loge du gardien ! Deux espaces beaucoup plus saillants abritent désormais la zone de réception du public. De prime abord, le lieu ouvert à tous. Dans le prolongement de ce premier sas, une pièce aveugle qui garantit la totale confidentialité et la discrétion des échanges.
Les deux niveaux supérieurs contiennent les bureaux de la dizaine de collaborateurs qui s’affaireront d’ici peu en ces murs. Certains nous remémorent que nous nous trouvons bien en présence de classiques appartements : ils disposent encore de leurs balcons.
Les travaux d’aménagement de cet office délocalisé au plus près des habitants auront durée six mois. Ils ne sont pas tout à fait terminés. La pose de caméras de surveillance est prévue ces prochains jours ; elles garantiront une extrême sécurité pour le personnel, pouvant parfois être confronté à des contacts virils.
L’enveloppe globale de ce chantier s’élève à 191 688 euros TTC. Pour le financer, l’Office Auxerrois de l’Habitat a eu recours à l’emprunt : plus de 182 000 euros. L’équivalent d’environ dix mille euros de fonds propres a été injecté dans le projet.
Précisons, en dernier point, que l’OAH aura bien fait les choses auprès des personnes à mobilité réduite. Une rampe d’accès facilite leur venue.
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Energie : et si nous financions le plan d’achat du cycle du carbone de la forêt amazonienne…
septembre 02, 2019La forêt amazonienne est incandescente. Elle brûle, elle se « déforeste ». Comme Madame, selon Bossuet, « Madame se meurt, Madame est morte ». Le poumon vert mondial se dégrade de jour en jour. Bientôt, on pourra dire : « la forêt amazonienne est morte… ». Gabriel Garcia MARQUES écrivait jadis : « Chronique d’une mort annoncée ». Mais, quand même, pour retarder l’échéance, envoyons tout de même ces 20 millions de dollars pour éteindre dès que possible ce sinistre et sauver cet espace si nécessaire à la vie…
TRIBUNE : Jair BOLSONARO, président en exercice du Brésil, ne veut pas de ces 20 millions de dollars de l’aide internationale. D’une part, il ne désire pas d’aumône. D’autre part, la forêt amazonienne est au Brésil. Ce qui veut dire à la fois qu’elle est située au Brésil et qu’elle appartient au Brésil. C’est-à-dire aux Brésiliens dont il est le président. D’ailleurs, Donald TRUMP, président des États-Unis, le soutient et lui a même donné un satisfecit : « Vous faites très bien… ». C’est qu’il s’y connaît en incendies. Il avait déjà donné de judicieux conseils lorsque le feu s’était déclaré à Notre-Dame de Paris. Il mérite à ce titre le sésame suivant : celui de « premier pompier du monde » !
Et la forêt amazonienne dans tout ça ? Expliquons brièvement les choses. Au collège, les adolescents découvrent le cycle du carbone. C’est fascinant. On nous apprenait que les plantes jouaient un rôle essentiel dans ce cycle immuable. On découvrait la vie dans les cours intitulés « biologie ». Ce mot bio est devenu à la mode : agriculture bio, légumes bio, yogourts bio, énergie bio, voitures électriques bio…, « to be bio or not to be ».
Conserver la forêt pour le bien de l’Humanité…
Or, sans la forêt amazonienne, « le monde n’est plus bio » nous disait-on, car elle joue un rôle essentiel à l’échelle planétaire pour le cycle du carbone. Sans forêt amazonienne, nous mourrons tous asphyxiés par nos propres déjections industrielles. Signalons au passage que la France se lamente d’avoir perdu depuis quarante ans deux millions d’emplois industriels. Etaient-ils des emplois industriels « bio » ?
Donc, Messieurs les Brésiliens du pouvoir exécutif, vous devez conserver la forêt amazonienne pour le bien de l’Humanité. Vous êtes les garants du cycle du carbone pour la survie de l’espèce humaine. Et comme nous serons bientôt dix milliards sur Terre, vous voyez tout de suite votre immense responsabilité. Rappelons que vous n’êtes pas les seuls : en Afrique et en Asie, il y a aussi d’immenses forêts équatoriales que l’on pille sans scrupules.
La forêt amazonienne est ce qu’on appelle une ressource naturelle. Les Brésiliens n’y sont pour rien. Elle était déjà là quand les Portugais ont débarqué au XVIe siècle. Ils ont commencé la déforestation pour planter du café et nous leur achetons leur café, soit dit en passant.
Mais revenons à la forêt amazonienne. C’est une ressource naturelle, avons-nous dit. Au même titre que le pétrole. L’acier si utile pour produire nos automobiles ; les terres rares que l’on trouve en Chine pour fabriquer des panneaux solaires qui vont assurer la transition énergétique ; les métaux très précieux pour l’industrie, dont beaucoup sont enfouis dans les sols africains. La liste des ressources naturelles est sans limite.
Faire des propositions concrètes pour sauver la forêt…
Or, ces ressources naturelles, nous les achetons. Personne n’y trouve rien à redire. Les Arabes qui ont, comme disait le général De Gaulle, « du pétrole sous les pieds », en ont multiplié le prix par quatre en 1973. Ils ont refait le même coup en 1977. Personne n’a rien trouvé à redire à cela. Tout le monde a payé sans rechigner. Il en est de même pour toutes les ressources naturelles : on paye et c’est naturel.
Alors, si l’on achète le pétrole aux Arabes et à d’autres d’ailleurs, et toutes les ressources naturelles partout où il y en a, pourquoi n’achetons-nous pas aux Brésiliens le cycle du carbone de la forêt amazonienne ? Pour quelles raisons les Brésiliens seraient-ils garants pour l’Humanité de l’équilibre écologique de la planète à titre gratuit ? Ne trouvez-vous pas finalement que ce serait dans l’ordre des choses ?
Soyons concrets : l’Europe doit réfléchir sans délai à cette question. Les partis écologistes de l’Europe entière doivent établir un plan d’achat du cycle du carbone amazonien.
Écologistes de tous pays, unissez-vous et soyez en adéquation avec vos idées : sauvez la forêt amazonienne non pas avec des discours mais avec une proposition concrète.
« Ça représente des milliards » direz-vous. Et alors ? Croyez-vous que la transition écologique n’exige pas des efforts considérables, notamment financiers. On n’a jamais rien sans rien en ce bas monde…
Emmanuel RACINE
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RABASKA reconduit son épreuve de bûcheronnage sportif : une histoire de « gros bras » et de rapidité…
septembre 02, 2019Unique vitrine commerciale à s’être positionnée sur la pratique des disciplines en extérieur (camping, escalade, running…), la structure de l’Yonne se distingue aussi dans ses choix de visibilité vers le grand public. Après un premier test prometteur l’an dernier, RABASKA reconduit le 12 octobre prochain le trophée national du bûcheronnage sportif autour d’une vingtaine de spécialistes. Certains ayant déjà intégré l’équipe de France…
AUXERRE: Combien était-il la saison dernière à la même époque en zone commerciale des BREANDRES où est accueillie l’enseigne RABASKA ? Une, voire plusieurs centaines de spectateurs ? Un millier peut-être ? En tout cas, l’engouement fut à la hauteur de la brillante animation inédite proposée ce jour-là. Celle-ci aura suscité curiosité et effets de surprise garantis parmi des suiveurs peu habitués à de pareilles démonstrations de force.
Assister à une épreuve officielle de bûcheronnage sportif n’est pas chose courante sur le territoire bourguignon. Sans doute, la partie franc-comtoise de notre région est-elle un peu plus encline du fait de sa typicité forestière à y organiser quelques concours similaires.
Grâce à l’initiative pertinente du tandem qui pilote le devenir de la société (Vincent DUPUIS et Quentin THOUVENOT), l’Yonne s’est donc dotée d’une catégorie sportive novatrice qui vient y proposer avec parcimonie pour le moment ses animations. Le succès fut tel en 2018 que le renouvellement de la seconde édition ne semblait être qu’une évidente formalité.
Une quarantaine de billes débitées en un temps record !
Ainsi, le 12 octobre, ce trophée de l’an II permettra à une vingtaine de musclés d’en découdre autour de billes de bois dont il faudra négocier la découpe dans les meilleurs délais. Le choix des armes est possible entre ces concurrents aguerris : haches, scies, et tronçonneuses !
S’il est vrai que le bûcheronnage sportif n’intègre pas encore les catégories sportives les plus prisées par les médias audiovisuels, il s’avère que depuis quelques années, une chaîne spécialisée, « L’Equipe 21 », diffuse les images étonnantes de ces exploits surhumains.
D’une dimension de 40 X 60 cm, les billes de bois travaillées consciencieusement par les athlètes ne pèsent pas lourd face à leur pugnacité. Une quarantaine d’entre elles seront ainsi débitées pour les besoins de l’épreuve le jour J, en ce fameux samedi automnal où les organisateurs espèrent une large mobilisation du public.
Ils ne sont d’ailleurs pas les seuls. A commencer par l’autre éminence grise de cette compétition à ne réserver qu’aux adeptes vertueux de la musculation. Alexandre MEURISSE, membre de l’équipe tricolore, est le régional de l’étape. A la tête d’une entité associative liée au projet du jour, « les Bûcherons des plaines de Bourgogne », le sportif icaunais promeut à chaque sortie sa discipline. Lui-même est devenu un homme public : ses commentaires techniques sont très appréciés des fidèles de la chaîne d’information de l’Equipe 21.
Sur un tout autre registre, le rôle des partenaires demeure primordial ; ne serait-ce que pour soutenir et encourager l’essor de ces initiatives fédératrices auprès du grand public. Une dizaine d’entre eux ont été approchés par les responsables de RABASKA. Croyant dur comme fer au développement populaire de ce rendez-vous si spécifique à l’avenir…
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