Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743
Etendue à l’Hexagone : « BOX PGE » la boîte à outils de sortie de crise créée par la Banque Populaire BFC
février 04, 2021L’initiative est vertueuse. Symbolisant l’ancrage territorial d’un établissement à l’écoute des acteurs de l’économie. Somme toute, en plein marasme quant à leurs perspectives d’avenir. La crise sanitaire est passée par là. Avec son lot de désillusions et d’amertume profonde qui restent collés au palais des entrepreneurs n’ayant plus qu’un seul objectif face à eux : survivre. Un outil spécifique visant à les accompagner leur rendra-t-il le moral ? C’est sans doute là, la véritable force de la « BOX PGE » créée à leur intention…
DIJON (Côte d’Or) : Tout est question dans la phase applicative de ce concept de confiance et d’immédiateté. Confiance parce que les chefs d’entreprise ayant souscrit un prêt garanti par l’Etat (PGE) ne peuvent occulter de leur esprit le fait qu’ils devront rembourser ce subside qui les aura aidés à surmonter du mieux possible le cruel manque de trésorerie. Immédiateté parce que les procédures de remboursement doivent s’anticiper en amont avant de s’engouffrer dans ce processus inéluctable.
Or, depuis le début de ce dispositif voulu par le gouvernement, les bénéficiaires du prêt garanti par l’Etat (PGE) savent qu’ils ne pourront pas se soustraire à la seconde phase de son application. C’est-à-dire son remboursement. Une réelle épée de Damoclès, couperet acéré au-dessus de la tête des entrepreneurs, dont il faudra bien tôt ou tard résoudre la problématique.
Pour bon nombre de ces entités productives, cela ne devrait occasionner aucune difficulté notoire. Le schéma est connu de tous : dès le mois de mars, les premiers PGE seront remboursables avec différentes options envisageables. Soit l’entreprise restitue ce qu’il doit à l’Etat en soldant le dossier de manière définitive et en une seule opération. Soit, un étalement échelonné dans le temps représente une autre opportunité. Sachant que cet échéancier peut courir au maximum sur une période de cinq années.
Une boîte à outils digitale pour mieux sortir de la crise…
Faisant montre de mansuétude face à un contexte sanitaire qui perdure, le Premier ministre Jean CASTEX par la voix de son ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE, a choisi de différer de douze mois supplémentaires ce remboursement de prêt, histoire de lâcher un peu de lest dans la sphère de l’entreprenariat. Une bouffée d’oxygène, certes mais qui ne doit pas toutefois faire oublier les difficultés que connaîtront certaines structures à pouvoir s’exécuter.
C’est à partir de là que la proposition novatrice de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain justifie toute sa raison d’être. Ce sont les sociétés qui éprouveront nécessairement de sérieux embarras financiers qui sont à l’origine du concept. Son appellation se veut sobre et explicite dès sa première lecture : « BOX PGE » !
De quoi s’agit-il, exactement, au plan pratico-pratique ? C’est une boîte à outils digitale utilisée par les conseillers de l’établissement mutualiste régional, l’un des acteurs clé du soutien à l’économie des territoires.
Astucieux et réactif, ce dispositif technologique propose en instantanéité de poser un diagnostic précis sur l’entreprise à étudier. Un audit précieux qui répond à trois objectifs fondamentaux : l’anticipation, l’état des lieux réel de la structure et surtout une approche globale en matière de solutions.
Un concept qui va se déployer dans l’Hexagone…
Dans le moindre détail, tout y est analysé avec minutie. Les conséquences de la crise sanitaire sur les activités de la société, les répercussions relationnelles avec les clients et les fournisseurs, la capacité de s’autofinancer pour faire face aux aléas conjoncturels.
Bref : une étude de cas approfondie qui en bout de course donnera suffisamment d’éléments instructifs à l’un des trois cents conseillers mobilisés par la banque pour choisir la bonne option en matière de remboursement du prêt garanti par l’Etat.
Quant à la dette de l’entreprise, son approche est mieux maîtrisée grâce à la finesse analytique proposée par cet outil. Dès lors, l’entrepreneur possède une vision plus en adéquation avec la réalité ce qui ne peut immanquablement que le rassurer sur le devenir de son affaire.
Dévoilée il y a quelques jours par son directeur général Bruno DUCHESNE à la presse, cette boîte aux multiples facettes analytiques représente un pur produit technologique de conception régionale.
Son déploiement auprès des autres caisses que compte l’établissement à travers l’Hexagone n’est qu’une question de semaines tant cette approche individualisée de sortie de crise, permettant de sauver des PME de l’irréparable économique, est probante quant à ses préconisations.
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
L’indéfectible soutien aux entrepreneurs : seule ligne stratégique que prône Emmanuel VEY (Crédit Agricole)
janvier 25, 2021Depuis l’instauration de ce processus solidaire, le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne a accordé plus de trois mille prêts garantis par l’Etat (PGE) à sa clientèle issue de l’entreprise. Un engagement qui représente dans les faits, et à date du 15 janvier, un montant de plus de 400 millions d’euros. Soucieux de soutenir les secteurs économiques les plus touchés par la crise, Emmanuel VEY, directeur général de la Caisse régionale, renforce son accompagnement…
DIJON (Côte d’Or) : « Le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne continuera à répondre présent pour soutenir les acteurs de l’économie, notamment ceux qui sont le plus frappés par les restrictions d’activité… ».
Le message est sans équivoque dans la bouche du directeur général de l’établissement régional. La banque va poursuivre sa politique d’accompagnement des artisans, commerçants, industriels, services et autres professionnels des filières agro-viticoles. En témoigne, un récent communiqué de presse, destiné à clarifier les choses.
D’une part, dans la gestion du remboursement du Prêt Garanti par l’Etat (PGE) contracté par plus de 3 000 de ses clients entrepreneurs, la banque propose un décalage de l’amortissement d’un an supplémentaire, conformément aux annonces gouvernementales.
Si l’octroi du PGE demeure envisageable jusqu’au 30 juin 2021, le dirigeant de la structure financière Champagne-Bourgogne se soucie également des modalités de son remboursement. Et du gain de temps supplémentaire qui a été autorisé par le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno LE MAIRE, à ces bénéficiaires.
D’autre part, Emmanuel VEY ne s’interdit pas, bien au contraire, d’étudier de manières personnalisées les modalités de remboursement des autres crédits en cours. Elargissant ainsi la palette de possibilités envers les décideurs économiques.
« Les conseillers sont mobilisés et peuvent s’appuyer sur un dispositif et des outils facilitant ».
Indéniablement, le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne n’a pas l’intention de laisser le moindre entrepreneur dans la panade, au vu de cette nouvelle prise de position stratégique.
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
L’émergence fulgurante du Bitcoin, véritable arlésienne pour la pérennité de nos systèmes économiques ?
janvier 16, 2021Impossible de parler des crypto-monnaies sans évoquer leur point de départ. Tout commence en 2008 d’un certain Satoshi NAKAMOTO, dont l’identité réelle reste encore inconnue, tant et si bien que l’on ne sait pas s’il s’agit d’une personne ou d’une corporation entière. Toujours est-il que ce bon Satoshi nous a gratifié d’un document scientifique et technique de dix pages, intitulé « Bitcoin: a peer-to-peer electronic cash system”. Une lecture complexe s’il en est pour celles et ceux qui ne sont pas véritablement versés dans les pratiques numériques. Mais qui présente et décrit le principe de fonctionnement de la blockchain.
TRIBUNE : « Blockchain » : c’est un gros mot qui n’en est pas vraiment un ! Car, c’est sur ce fameux processus que l’on entend désormais à toutes les sauces, que se base un grand nombre de crypto-monnaies actuelles. L’idée est de pouvoir servir des applications décentralisées.
C’est-à-dire des applications ne dépendant pas d’un tiers qui régira des opérations et autres transactions (par exemple, une application qui gérera le stockage de fichiers, des courses automobiles, des transactions financières, etc.). C’est en quelque sorte un nouveau modèle pour créer, financer et opérer des services de softwares mais décentralisés – un mot très important dans le concept des crypto-monnaies.
Les concepteurs et gestionnaires de ces fichiers seront récompensés par de la monnaie virtuelle comme un Bitcoin. Les crypto-monnaies préservent ce que les autres monnaies ne peuvent pas offrir : le contrôle, la centralisation…
Par l’absence de règles et d’autorité reconnues, elles font entrer ainsi l’anarchie dans la finance et les moyens de paiement ! On a même vu un footballeur demander à être payer en Bitcoin…
Si les crypto-monnaies relativement classiques mettent l’accent sur la décentralisation ainsi qu’une résistance absolue à la censure, certaines ajoutent une couche supplémentaire au mélange déjà bien complexe : l’anonymisation. Pour un modèle basé sur la blockchain classique, l’identité des deux parties qui prennent part à une transaction n’est pas inconnue. Elle est simplement cachée derrière les différentes clés qui servent à faire la transaction. La brèche est grandement ouverte aux cartels qui veulent blanchir l’argent de la drogue, aux organisations terroristes qui achètent des armes et aux fraudeurs fiscaux !
La confiance absolue dans ses nouveaux systèmes est de rigueur : du risque à l’état pur !
Le Bitcoin : la démocratisation de la spéculation…
La crypto-monnaie la plus connue, c’est également celle qui est née avec l’invention de la blockchain. Le Bitcoin est donc décentralisé, sans l’intervention d’un organe tiers, avec l’historique de toutes les transactions passées, recensées dans la blockchain. Il fait énormément parler de lui pour sa progression continue et son actuelle valeur, en face du dollar. À l’heure où l’on écrit ces quelques lignes, un seul Bitcoin représente près de 40 000 dollars américains, ce qui n’est pas rien quand on sait qu’à l’origine, il tutoyait à peine les cent dollars.
Si le Bitcoin ne sert pas vraiment aux transactions en France (contrairement à d’autres pays aux systèmes financiers défaillants), rien que le posséder est l’utiliser en quelque sorte. Le Bitcoin a une valeur parce qu’il demande des ressources pour le générer. La démocratisation du Bitcoin entraîne des usages, des pratiques, et peut-être son émergence comme une monnaie à part entière.
Le tout étant, comme pour l’or en son temps ou le dollar actuellement, de pouvoir créer la confiance. Cette dernière est le point de départ de la reconnaissance de la valeur dans un système monétaire, mais aussi de son utilisation dans les opérations courantes. D’où une certaine forme de spéculation à la base. La démocratisation de la spéculation, elle, peut largement provenir de l’engouement persistant autour des cryptos, quitte à ne pas avoir la moindre idée du domaine et de spéculer sur la simple base d’une valeur attribuée à un moment « t ». Elle fluctue, et peut éventuellement donner une plus-value à l’arrivée, en revendant ses actifs.
A l’heure où nous publions ces lignes, la crypto-monnaie continue son envolée historique et vient de prendre 10 000 dollars en cinq jours. Le prix du Bitcoin a dépassé 40 000 dollars jeudi dernier pour la première fois de son histoire, profitant de l’optimisme des marchés lié à la certification de l’élection de Joe BIDEN aux États-Unis, et poursuivant sa spectaculaire envolée des dernières semaines. La principale crypto-monnaie, en hausse de 6,52 % sur la séance, après être montée peu avant à environ 40 380 dollars, sur un marché extrêmement volatile depuis deux mois.
« Un seuil important de prix a été atteint et le Bitcoin, décentralisé et non dépendant des banques centrales, a fait ses preuves en tant qu’actif », estime Naem ASLAM, analyste d’Ava Trade.
« Maintenant tout le monde connaît le Bitcoin et tout le monde en veut un bout… ajoute-t-il, sachant que les particuliers peuvent en acheter une portion. Il précise cependant que « ce sont les investisseurs institutionnels qui mènent la danse de cette envolée ». Les « investisseurs institutionnels », encore appelés « les zinzins » par les spécialistes, sont les banques, assurances, sociétés financières, SICAV… C'est-à-dire un niveau de risques et de volatilité importants au niveau du particulier.
Une évolution foudroyante imputable aux résultats des élections américaines…
Le prix du Bitcoin a battu record sur record fin 2020. Poussant de nombreux observateurs à conseiller la prudence aux investisseurs individuels face à une envolée qui pourrait faire craindre une bulle avec une correction à la clé.
« Les investisseurs continuent à monter dans le train des crypto-monnaies qui semble gagner de plus en plus d’intérêt, maintenant que l’économie américaine est bien partie pour bénéficier d’un plan de relance budgétaire de l’administration BIDEN lors de ses cent premiers jours », remarque Edward MOYA, analyste d’OANDA. Il remarque que les systèmes de courtage à haute fréquence pourraient déclencher des prises de bénéfices si la tendance haussière perd de son souffle autour du seuil de 41 500 dollars. Même si bon nombre d’analystes s’attendent à ce que la dynamique se poursuive jusqu’au seuil de 50 000 dollars, avant ce que beaucoup estiment être une inévitable correction. Autre précisions : le nombre total de Bitcoins est fixé dès l’origine à 21 millions.
Attention à la retombée qui va faire très mal !
Même si certains analystes pensent que la tendance haussière peut encore progresser (pour qui roulent-ils donc ?), il risque d’y avoir « des pleurs et des grincements de dents » lors de l’inévitable chute brutale !
« Ça commence à être inquiétant, c’est plus du tout le marché d’il y a quelques semaines, la correction est inéluctable », renchérit un analyste européen qui souhaite garder l’anonymat. Encore un « zinzin » !
Pour plusieurs acteurs du marché, le Bitcoin représente une forme d’or numérique, un moyen de se prémunir de l’inflation qui pourrait être créée par les mesures monétaires ultra-accommodantes adoptées par de nombreuses banques centrales, dont la fameuse réserve fédérale américaine (FED) en tête.
Les analystes de JPMORGAN estiment que le Bitcoin pourrait atteindre 146 000 dollars, à condition que sa volatilité s’apaise pour attirer des investisseurs qui préfèrent pour l’instant l’or, plus stable.
Justement, dire qu’on peut se prémunir de l’inflation grâce au Bitcoin, c’est un non-sens ! Face à un euro devenu pléthorique, injecté à tout va par la BCE, nous devrions avoir une inflation forte ! Où est passée cette nouvelle arlésienne ? Ni dans l’alimentaire ou les biens de consommation.
Alors dans les bulles immobilières, sur les marchés financiers et autres bourses, mais progressivement sur l’or et les métaux rares comme le lithium ! Et…les cryptomonnaies dont le Bitcoin…
Pour certains, le Bitcoin s’inscrit dans une véritable révolution capable de faire chuter nos pays et de faire évoluer les paradigmes du système monétaire et financier actuels !
La spéculation sur le Bitcoin ? Amateurs et petits porteurs s’abstenir !
Jean-Paul ALLOU
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
L'agence de Brienon fait peau neuve : le Crédit agricole ne change pas d’un iota sa politique de rénovation…
décembre 23, 2020Place Emile Blondeau, la vitrine commerciale de la « banque verte » s’est refait une beauté. Une cure de jouvence dont profite depuis peu la clientèle locale. Elle s’inscrit dans le programme de rénovation des agences selon les codes du nouveau concept déployé en Champagne-Bourgogne. Un mode opératoire qui fait la part belle à l’ergonomie et à la digitalisation des services.
BRIENON-SUR-ARMANCON : Alors que certains établissements bancaires éprouvent de plus en plus de difficulté à conserver leur présence physique dans le paysage territorial, d’autres, en revanche, poursuivent leurs investissements en matière de modernisation de leurs locaux. Y compris en zones rurales.
C’est le cas, précisément, de l’une de ces structures dont le milieu champêtre demeure l’une des clés de voûte de sa stratégie commerciale : à savoir, le Crédit agricole.
L’établissement aura mis un point d’honneur à clore l’atypique année 2020 en continuant sa politique de rénovation de ses points de vente sur le département de l’Yonne. A l’instar de ce qui se passe ailleurs parmi les autres territoires de sa zone de chalandise : l’Aube, la Côte d’Or et la Haute-Marne.
Disposant au total de 143 vitrines d’accueil pour sa clientèle, l’entité financière régionale vient de réhabiliter l’une d’entre elles à Brienon-sur-Armançon.
Une agence où travaillent six collaborateurs dirigée par un binôme paritaire, Boris JAYET, directeur et Séverine ROBE, directrice déléguée.
Des espaces repensés selon des types de besoins…
Pourvue de trois nouveaux univers propices à renforcer les liens avec la clientèle, l’agence de la Place Emile Blondeau a été relookée par des artisans du cru. Un principe fondamental pour le donneur d’ordre qui veut faire fructifier la dynamique économique locale à chaque chantier.
Lumineuse, fonctionnelle, spacieuse, l’agence facilite l’accueil, le conseil et l’expertise dans un souci de confidentialité et de praticité. La technologie y tient sa place avec la présence d’une borne interactive, la signature électronique sur tablette ou l’efficience des automates innovants. Toutefois, la relation humaine n’est jamais très loin. L’assistance et les conseillers peuvent apporter leur savoir-faire à tout moment.
Néanmoins, pour celles et ceux qui ne souhaiteraient pas se rendre sur place pour y effectuer une opération, compte-tenu du contexte sanitaire, précisons que les solutions à distance offrent des possibilités complètes via les applications à découvrir sur le site www.credit-agricole.fr/ca-cb.
Thierry BRET
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99
Prêts Garantis par l’Etat : la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté joue les prolongations…
décembre 15, 20202 370 PGE (Prêts Garantis par l’Etat) ont été octroyés par l’établissement financier régional depuis la mise en place de ce système visant à soutenir les activités de la sphère entrepreneuriale et économique de notre territoire. Le choix de proroger d’une année supplémentaire le report d’amortissement du capital vient d’être validé par la banque à l’intention de ses clients qui en feraient la demande…
DIJON (Côte d’Or) : 284 millions d’euros ont été accordés par la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté sur l’ensemble du territoire pour aider les acteurs économiques à affronter le délicat contexte imposé par la crise sanitaire. Une intervention qui s’est concrétisée dans le cadre des Prêts Garantis par l’Etat (PGE).
Or, afin de maximiser la souplesse de ce système né de la volonté étatique, l’établissement financier a décidé de prolonger le report d’amortissement du capital d’une année supplémentaire pour celles et ceux des entreprises, collectivités et professions qui en exprimeraient le besoin.
Un moyen de donner une bouffée d’oxygène salvatrice aux décideurs économiques, très éprouvés en cette période d’incertitude.
Concrètement, la banque régionale propose à ses clients de débuter le remboursement du capital de leur PGE à partir de 2022.
Conséquence : chaque bénéficiaire du PGE ayant souscrit ce dispositif en avril 2020 pourra décider de commencer à amorcer le capital de son prêt dès avril 2021 ou à partir d’avril 2022.
Dans un souci de simplification de ces démarches administratives, ce choix pourra être statué directement sur l’espace de banque en ligne, www.caisse-epargne.fr.
L’ensemble des chargés d’affaires de la banque est fin prêt pour accompagner les détenteurs de PGE dans leur choix.
Rappelons, qu’au niveau national, les banques du groupe BPCE (Banque Populaire et Caisse d’Epargne) ont attribué plus de trente milliards d’euros de PGE à près de 200 000 bénéficiaires.
Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99