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PAPYHAPPY se rapproche de la Banque Populaire Val-de-France : de la stratégie partenariale à l’état brut !
avril 24, 2021Première plateforme à promouvoir des logements senior dans l’Hexagone, l’entité de l’Yonne poursuit en toute sérénité son petit bonhomme de chemin. Soit son développement à l’échelle du territoire. Apparue en 2016, la société conçue par Joachim TAVARES gagne ainsi en notoriété en région Centre après s’être rapprochée de la Banque Populaire Val-de-France avec qui elle vient de contracter un partenariat…
JOIGNY : Vocation de ce rapprochement constructif pour la start-up bourguignonne : élargir le potentiel d’offres de services qui seront proposés dans son portefeuille. La cible privilégiée de cette nouvelle étape qui étoffe un peu plus le savoir-faire de la TPE : la clientèle d’un établissement mutualiste, la Banque Populaire Val-de-France, active sur le Loiret.
Créée en 2016, PAPYHAPPY développe un outil de recherche qui offre une réponse opportune aux seniors et aidants. Ce dispositif d’aide à la décision facilite l’accès à l’information et redonne le choix aux personnes âgées et à leurs familles de bénéficier d’un choix de logement en phase avec leurs attentes. Pour couronner le tout, l’entreprise accompagne également les collectivités, les assurances et les banques.
C’est dans ce cadre qu’a été conclue cette étroite osmose entre les deux partenaires. L’alliance va permettre aux deux structures de se dynamiser sur le territoire Val-de-France et de proposer des services adaptés à leur clientèle.
L’établissement bancaire présent à Gien ou à Montargis proposera à sa clientèle de bénéficier d’un bouquet de services à destination des seniors, soucieux d’optimiser leur quête de logement.
S’appuyer sur l’expertise de la start-up…
Collaboratrice de la Banque Populaire Val-de-France, Béatrice HUE livre ses impressions : « PAPYHAPPY, première plateforme collaborative et participative du logement senior nous a parue correspondre à nos attentes. À la fois digitale et humaine, cette start-up propose des conseils et un accompagnement sur-mesure dans la recherche d’un logement adapté aux besoins des seniors. Nos clients pourront donc s’appuyer sur leur expertise dans ce domaine... ».
La philosophie du fondateur de la start-up, lauréate du réseau Entreprendre Bourgogne, Joachim TAVARES fait écho aux valeurs de proximité et d’engagement solidaire de la Banque Populaire Val-de-France.
Gageons que d’autres établissements financiers de l’Hexagone ne manqueront pas de suivre les mêmes prérogatives opérationnelles envers leur clientèle âgée à l’instar de la structure du Loiret !
Thierry BRET
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La passation de pouvoir se précise chez GROUPAMA PVL : Laurent BOUSCHON bientôt installé directeur général…
avril 10, 2021En qualité de directeur du pôle Services de GROUPAMA Assurances Mutuelles, il s’était distingué sur les ondes des radios périphériques nationales pour expliciter les vertus de telle ou telle prestation. A l’instar d’un passage sur RTL en mai 2017 pour évoquer « NOE », service d’assistance aux personnes âgées. Le 20 avril prochain, il assurera la direction générale de la caisse régionale Paris Val-de-Loire succédant ainsi à Eric GELPE…
PARIS : Le futur numéro un de l’assureur mutualiste sur le secteur Paris Val-de-Loire n’est pas avare en exercices de communication. Bien au contraire ! Par le passé, celui qui a dirigé durant cinq ans le pôle Services de GROUPAMA Assurances Mutuelles a eu maintes fois l’occasion de pouvoir s’exprimer sur les médias nationaux.
Ce fut le cas, notamment, sur les ondes de RTL, où interrogé le 15 mai 2017 par la journaliste Marie-Bénédicte ALLAIRE, il répondit aux questions de l’intervieweuse sur les modalités pratico-pratiques d’un novateur service d’assistance aux personnes âgées, baptisé « Noé ».
Pur produit de la grande maison que représente GROUPAMA, Laurent BOUSCHON, âgé de 55 ans, est titulaire d’une maîtrise en droit des affaires et d’un MBA ESSEC GROUPAMA, doublé d’un diplôme de l’ICG Business School, une école supérieure de commerce.
Promu responsable du pôle Services au sein de GROUPAMA SA en 2016, le nouveau directeur régional du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance a rejoint l’entité en 1998.
A l’époque, il endossa la vêture de responsable de développement au sein de la direction Innovation Santé du groupe.
L’ancien élève de l’Institut des assurances de Lyon dirigera par la suite le développement et le commerce de la caisse régionale Rhône-Alpes-Auvergne, avant de poursuivre en montant d’un cran hiérarchique au sein de GAN Patrimoine, en qualité de directeur commercial.
De retour chez GROUPAMA SA en 2012, Laurent BOUSCHON devient directeur général adjoint de la caisse régionale dont il va désormais prendre les rênes : Paris-Val-de-Loire dont dépend le territoire de l’Yonne, seul et unique département de Bourgogne Franche-Comté à y être accueilli.
Un ultime passage en qualité de directeur général au sein de MUTUAIDE Assistance COFINTEX lui permettra d’étoffer un cursus déjà bien rempli.
Laurent BOUSCHON s’installera dans son bureau de manager régional à Olivet (Loiret) le 20 avril à l’issue de l’assemblée générale de l’établissement. Une dernière fois animée par son prédécesseur Eric GELPE dont la dernière apparition officielle dans l'Yonne fut organisée à l'automne au château de Saint-Fargeau lors d'une soirée musicale d'exception où il échangera avec le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD…
Thierry BRET
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80 % des collaborateurs exercent en télétravail : GROUPAMA répond aux contraintes de la COVID en gardant le cap
avril 07, 2021Il ne faut pas se fier à la première impression. Elle n’est pas nécessairement la meilleure des conseillères. La suite de bureaux traversés au pas de charge par la petite délégation qui en a visité le moindre de ses aspects ne signifie nullement que l’activité professionnelle y est absente ! C’est là toute la subtilité du télétravail quand il est réussi. D’ailleurs, chez l’assureur mutualiste régional, la productivité demeure excellente. Que l’on soit à domicile ou sur son lieu de travail !
AUXERRE: D’ordinaire, le siège social de la direction départementale de GROUPAMA Paris Val-de-Loire bruisse de mille sonorités. Ces signes de vie traduisent l’effervescence qui y règne.
Tapotements rapides de mains expertes sur les touches d’un clavier, réception d’appels téléphoniques sans discontinuer afin de résoudre les besoins des sociétaires, voix des occupants qui communiquent des informations : bref, c’est le rythme de croisière d’une entreprise d’assurance et de prévoyance dans son jus quotidien.
Quarante-sept personnes s’y affairent avec âpreté et se répartissent les différents espaces prévus à leur accueil.
Or, ce n’est pourtant pas la vision naturelle qu’aura aperçue le préfet de l’Yonne Henri PREVOST lors de sa récente visite des lieux.
Accompagné de Jean-Michel LOUYER, responsable de l’unité départementale de la DIRECCTE (Direction Régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités), le représentant de l’Etat se sera très vite rendu compte que cette enfilade d’espaces professionnels qu’il aura franchie en compagnie de ses hôtes demeurait vide de tout occupant.
Ou presque à de très rares exceptions. Logique, seuls neuf collaborateurs de l’entreprise mutualiste exercent encore leur activité en présentiel. Parce que leurs tâches ne sont pas transposables à leur domicile.
L’épine dans le pied du télétravail : l’isolement du personnel…
Curieux sentiment de solitude pour celles et ceux de ces collaborateurs qui avaient les yeux rivés devant les écrans de leurs ordinateurs au passage de la délégation préfectorale. Pour autant, interrogées par le haut fonctionnaire, ces personnes affichaient plutôt avec un sourire facile de l’enthousiasme à pouvoir exercer leur métier dans ces conditions si inhabituelles.
Mais, cet isolement est aussi vécu avec appréhension par une large frange des autres employés de la fameuse maison séculaire : celles et ceux qui restent à demeure. La vraie épine dans le pied de ce bel édifice qui se décline sous nos yeux et se nomme le télétravail.
Une activité qui est fortement encouragée depuis le retour du confinement de troisième génération par Henri PREVOST lui-même (à lire l’article consacré à ce sujet à paraître).
Conscient des aspects psychologiques que cette situation peu commune peut engendrer sur le moral de ses « troupes », le directeur d’établissement de GROUPAMA Yonne Jacques BLANCHOT (il est aussi lieutenant-colonel de la réserve citoyenne de la Gendarmerie nationale) a mis en place un système de rotation favorisant le retour avec parcimonie du personnel qui souhaite évacuer leur stress.
Ce n’est pas le seul outil dont il utilise les saines vertus. Les managers de la place s’appuient sur des plannings de présence en essayant de redonner un supplément d’âme dans ce lieu qui manque singulièrement de convivialité.
Exit la kyrielle d’opportunités où chacun des salariés pouvait allègrement célébrer une fête ou un anniversaire, partageant le gâteau et le verre d’un nectar de notre terroir !
Fini les accolades et les bises matinales entre collègues afin de se souhaiter la bienvenue : le monde du travail a perdu de sa superbe en termes de relations humaines. Même si quelques velléités de recréer une atmosphère chaleureuse réchauffent les âmes affectées par l’imprévisible.
A l’instar du corner café accueilli sur TEAMS et décliné à distance entre les collaborateurs.
Tous les indicateurs sont orientés vers le beau fixe…
Seul rayon de soleil dans cet univers un peu morne de tant d’absences physiques : les résultats du groupe. La productivité de l’entreprise n’a pas disparu, loin s’en faut. La qualité de service, non plus. Chacun y trouve son compte. Surtout les clients de la société assurantielle devant faire face aux problématiques, nées de sinistres automobiles.
Côté investissement, GROUPAMA Paris Val-de-Loire n’a pas ergoté sur les moyens technologiques pour équiper son personnel afin qu’il puisse exercer ses tâches dans les configurations les plus optimales.
La direction régionale a consacré une enveloppe budgétaire de 800 000 euros à la dotation des 1 600 collaborateurs en matériel numérique adéquat : écrans, unités et webcams ! D’ailleurs, d’ici peu, de nouvelles webcams seront déployées sur le territoire.
Commentaire avisé de Jacques BLANCHOT à ce propos : « La pandémie nous a fait faire des efforts colossaux en un laps de temps record ! ».
Au mois d’octobre 2020, l’entité avait proposé à ses salariés un accord d’entreprise, reposant sur le volontariat, permettant de réguler au mieux le télétravail. Accord qui concerne le personnel en contrat à durée indéterminé (CDI), d’une ancienneté de plus de douze mois.
Cet accord a fait l’objet d’un avenant au contrat de travail des collaborateurs. Clin d’œil anecdotique mais révélateur de l’art d’anticiper les choses : GROUPAMA évoquait déjà la possibilité de mettre en place tôt ou tard le télétravail, et ce à partir de janvier 2020.
Cela se déroulait il y a dix-huit mois. Depuis, on connaît la suite…
Thierry BRET
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Les disparités économiques se renforcent entre les sexes avec la crise : l’autre violence faite aux femmes…
avril 06, 2021La Journée nationale contre le sexisme s’est tenue sur Zoom en cette année 2021. Elle aura vu la participation de nombreuses femmes, représentant toute la richesse des mouvements féminins en France. Quant au thème initial retenu, il évoquait « l’argent et les violences économiques subies par les femmes… ». Un phénomène très peu connu mais ô combien en phase avec l’actualité…
TRIBUNE : Depuis un an, la crise sanitaire et économique a aggravé les inégalités femmes/hommes, en France, comme dans le monde entier. Concernant les violences domestiques, toutes les données disponibles montrent une forte augmentation en Europe, en Asie, en Australie et en Amérique.
En France, on constate 30 % d’appels supplémentaires sur les numéros de téléphone dédiés aux violences physiques.
Le chemin est long et difficile. Et si, dans l’Hexagone, des mesures ont été prises sur le plan social, l’accent reste à mettre en œuvre pour les violences économiques que subissent au quotidien les femmes.
Sur le plan de la vie privée, 20 % d’entre elles qui appellent le 3919 parlent de contrôle de l’argent du foyer par le conjoint violent, et 55 % des femmes victimes sont salariées.
L’autonomie financière est déterminante pour l’égalité dans le couple. Les outils économiques actuels, pensés par des hommes pour une société dirigée par des hommes, ne permettent pas d’intégrer l’égalité. Beaucoup de réformes restent donc à faire, pour favoriser l’émancipation économique des femmes, notamment sur le plan des aides sociales, voire du système fiscal…
Des disparités dans les aides financières au détriment des femmes…
Le « violent économètre » recense les risques économiques aux différents âges de la vie d’une femme. Dès dix ans, c’est un outil de prise de conscience pour les femmes et pour tous les parents.
« Pouvoir décider, par un choix éclairé, afin d’être actrice de son autonomie financière et économique, garantit la liberté » selon Corinne HIRSCH, Vice-Présidente du Laboratoire de l’Egalité, membre du club Femmes Ici et Ailleurs.
Sur le plan professionnel, l’accès aux financements reste difficile pour les femmes. On constate deux fois plus de rejets de demandes de prêts bancaires venant d’entrepreneures au féminin. Les réponses positives le sont pour des montants sensiblement moins importants que les prêts accordés aux hommes.
Quelques chiffres dans le domaine de la création de musiques actuelles : 17 % de femmes auteures, compositeures à la SACEM, 14 % de femmes directrices de labels de musique, 20 % des demandes de financements de projets présentés par des femmes (et dans lesquels on trouve 80 % d’hommes !).
« La solution aujourd’hui, c’est, comme je l’ai fait, de monter son propre label, avec, dans mon cas, 99 % de femmes. Cela permet de rééquilibrer la tendance, sans violences sexistes » témoigne Katel, artiste, productrice et Interprète
Il existe fort heureusement des pistes : des bonus d’aides à la production d’albums présentant une parité femmes/hommes, des programmes de mentorat au féminin. Sachant enfin qu’au niveau de l’éducation et de la formation, 55 % des filles sont dans les conservatoires de musique, pour seulement 5,4 % de femmes instrumentistes !
Sur 87 familles de métiers, 13 sont considérées comme mixtes…
C’est le cas pour les métiers du secteur de la Tech, où le niveau de sexisme est particulièrement élevé. Cela est décourageant pour beaucoup de jeunes filles d’étudier dans ces filières. En France, il n’y a que 25 % de femmes diplômées alors que ce pourcentage est en diminution ces dernières années, contrairement à l’Europe où la progression est de 23 %.
Dans les premières années de l’exercice de la fonction, beaucoup de femmes diplômées quittent les entreprises du secteur pour se réorienter.
C’est une prise de conscience qui se pose que cette non-mixité dans ces entreprises. Comme l’exemple des logiciels de reconnaissance faciale, fiables à 99 % pour reconnaître les hommes contre 35 % de taux d’erreurs pour reconnaître les femmes … Cela demande à être suivi d’actions concrètes.
Là aussi, il existe des pistes : le classement des formations scientifiques et techniques selon la proportion de femmes diplômées. 15 % seulement des directeurs d’écoles d’ingénieurs sont des femmes, un score à améliorer notamment avec la loi Sauvadet et la loi Copé-Zimmerman. L’émergence de réseaux de femmes se fait jour dans les entreprises et pour les TPE/PME dans les territoires.
Les médias et la culture ne sont pas en reste avec les disparités. Un exemple flagrant concerne la « disparition » des femmes de 50 ans et plus à l’écran… alors que 52 % de la population féminine majeure est cinquantenaire, voire plus !
Dans les fictions, en 2016 sur l’ensemble des films, seuls 6 % des rôles concernent des actrices de 50 ans et plus. Les rôles de pouvoir sont incarnés par des hommes de 50 ans et plus, à l’âge où les femmes sont, elles aussi, à l’âge de leur puissance et de leur maturité.
L’argent public doit être un moyen de promouvoir l’égalité...
Venons-en à la sphère publique, et à la distribution de l’argent public, d’une façon générale. Encore plus particulièrement en cette période de crise économique, et sur le concept de l’EGACONDITIONNALITE.
Il repose sur l’idée fondamentale que l’argent public n’est pas neutre, et qu’il doit être un moyen de promouvoir l’égalité.
Il s’agit de conditionner l’attribution de financements publics, ou d’autorisations administratives, au respect d’un certain nombre de principes égalitaires, soit en termes de parité, soit en termes d’égalité.
Brigitte GRESY, présidente du Haut Conseil à l’Egalité entre les Femmes et les Hommes, rappelle que « le HCE recommande d’appliquer ce principe depuis 2014, et qu’en raison de la crise sanitaire, des montants considérables d’argent public ont été alloués, sans avoir étudié l’impact différencié sur les hommes et les femmes de ces sommes allouées ».
Les périodes de crise ont souvent aussi permis de faire de grands progrès dans certains domaines.
Et si, c’était l’occasion aujourd’hui, d’agir concrètement, pour réduire les violences économiques faites aux femmes !
D’intégrer l’EGACONDITIONNALITE dans l’attribution des financements publics, y compris dans ceux attribuées par les instances locales, départementales, régionales ?
« Ne demandez pas aux femmes de s’adapter au monde … demandez au monde de s’adapter aux femmes » citait Gloria STEINEM. Alors, messieurs, à méditer !
Claire DOUTREMEPUICH
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Le télétravail soulève bon nombre de questions : GROUPAMA Yonne est sollicité pour y répondre !
mars 27, 2021Comment est appréhendé le télétravail dans les entreprises de notre territoire ? Alors que le chef du gouvernement ne cesse de marteler, conférences de presse à l’appui, que ce dispositif doit être mis en place à tout prix dans les sociétés qui le peuvent afin de lutter contre la propagation de l’épidémie, le préfet de l’Yonne se rendra au siège de GROUPAMA Yonne mardi pour y recueillir des témoignages…
AUXERRE : Près de 40 % des entreprises de l’Hexagone sont encore réfractaires à l’idée de développer des activités en télétravail malgré le contexte sanitaire ambiant.
Les explications tiennent en quelques lignes : manque de confiance envers les collaborateurs, problématiques au niveau de la logistique ou peu encore peu de motivation à chambouler l’organisation de l’entreprise. Pire, certains dirigeants ne se sentent pas concernés par ce dispositif.
Pourtant, les messages répétitifs de l’Etat se veulent explicites : dès lors que les activités le permettent, la mise en place du télétravail doit être réalisée par les entreprises. Objectif : freiner la circulation de la COVID-19 dans la sphère entrepreneuriale.
Accompagné de Jean-Michel LOUYER, responsable de l’Unité départementale de la Direction régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DREETS), le préfet de l’Yonne Henri PREVOST fera le point sur les diverses questions qui peuvent résulter de cette application : à savoir les droits et les devoirs des employeurs et des salariés, les risques encourus ou sur un tout autre registre, mais aussi sur les aides financières existantes.
Le représentant de l’Etat se rendra au siège icaunais de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire pour interroger son binôme de dirigeants : Pascal MAUPOIS, président de la Fédération des caisses départementales de l’Yonne et le directeur de l’établissement, Jacques BLANCHOT.
Tous deux apporteront leurs témoignages sur la manière dont est appliquée et vécue le télétravail au sein du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance…
Thierry BRET
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