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La Saint-Valentin, une fête, une tradition, une légende…La célébration des amoureux est planétaire. On ne récolte pas moins à cette occasion 200 millions de roses (rouges si c’est la passion, blanches pour un amour pur et sans tâche). Et pourquoi ne pas annoncer un divorce en douceur : en lui offrant des roses jaunes ! Bref, un jour de petits cadeaux : ce sont des kyrielles de bijoux, fleurs, chocolats et le fameux dîner aux chandelles qui se profilent devant vous ! In fine, c’est douze 12 milliards de dépenses sur la planète !
TRIBUNE : Il existe une différence entre créer un besoin pour faire du business, comme avec Halloween (on a voulu relancer la fête mais ça ne mord pas), et répondre au désir de fêter la Saint-Valentin. C’est une tradition plusieurs fois séculaire ! Il y eu plusieurs saints appelés Valentins. Celui qui nous intéresse s’appelle Valentin de Terni, prêtre au Vème siècle (certains disent même IIIème siècle…). Ce cher curé brave l’interdit de célébrer des mariages. Il fut emprisonné puis tué un 14 février.
Dès qu’un bon chrétien meurt, Rome saute sur sa dépouille et lui colle une auréole ! Le gentil Saint-Valentin, tombé amoureux de la fille aveugle de son geôlier, lui décrit l’environnement, les couleurs du temps…
On raconte que grâce à Valentin la jeune fille retrouva la vue. Un pape décida de célébrer chaque 14 février la fête des amoureux, chastement bien sûr…
Cependant, on fêtait aussi le 14 février comme jour où les oiseaux commencent à s’accoupler ! Toujours en avance sur leur temps, les Anglais seraient les précurseurs de « mariés au premier regard » !
Au XIVème siècle (XVIème pour d’autres), ils décident de former des couples choisis complètement au hasard. Une tradition qui est née dans le milieu aristocratique.
Durant une journée entière, un « Valentin » et une « Valentine » doivent obligatoirement se faire de petits cadeaux, des galanteries, se dire des mots doux...
Condamner celles et ceux qui se détestent à s’adresser des mots doux…
Cette journée, appelée « Valentinage », se déroule tous les 14 février ! Dès le XVIIIème siècle, la coutume se généralise dans toute l’Angleterre. Fleurissent alors les fameuses cartes de la Saint-Valentin.
Les Britanniques partagent la tradition en Amérique du Nord qui célèbre dans la foulée le « Valentin Day » ! A partir de 1945, les G.I. répandirent, avec le chewing-gum, la fête de la Saint-Valentin.
Aujourd’hui, 64 % des Français font un geste chaque 14 février. On peut noter qu’une femme sur sept s’achète des fleurs ! Alors serait-ce la Saint-Valentin, du business dites-vous ?
Bien sûr qu’il s’agit de dépenses, comme pour n’importe quelle fête. Mais une journée pour dire « je t’aime » c’est plutôt salutaire pour renforcer le système immunitaire !
Une journée pour célébrer l’amour, c’est finalement peu de chose.
Je suggère la reprise du « Valentinage » de nos amis Anglais : choisir au hasard ceux qui sur terre se détestent cordialement et les « condamner à s’envoyer des mots doux.
Au hasard, on pourrait y trouver Palestiniens et Israéliens, Gilets Jaunes et l’Elysée, Turques et Kurdes, Russes et Ukrainiens, Hégésippe SIMON et Paul BIRAULT…
Vous voyez, en fait, que du pur hasard dans ce choix cornélien…
Jean-Paul ALLOU
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La Société des membres de la Légion d’Honneur soutient la Ligue contre le cancer : des devoirs et de l’altruisme…
février 08, 2020« Notre présence dans la société se doit d’être exemplaire… ». Ces propos, prononcés il y a quelques jours par le président départemental de la Société des membres de la Légion d’Honneur de l’Yonne, Baudouin DELFORGE, prennent désormais toute leur signification. L’illustre association a décidé de s’engager aux côtés de la Ligue contre le cancer pour apporter son aide aux personnes démunies et isolées face à la maladie…
AUXERRE : C’est une histoire de devoirs. D’exemplarité, aussi, pour ces femmes et ces hommes qui composent cette honorable structure associative. Etre à l’écoute de son prochain, tout en sachant pratiquer l’art de l’altruisme.
D’origines multiples et éclectiques (militaires, serviteurs de l’Etat, de la justice, du corps professoral, de la société civile et privée, du monde de l’entrepreneuriat qu’il soit industriel ou artisanal…), les possesseurs de la fameuse « rosette » demeurent avant tout autre chose des modèles d’exemplarité. De bienveillance, aussi, vis-à-vis de leurs prochains.
Aussi, il n’y a rien de très surprenant à l’annonce faite dernièrement, lors de la traditionnelle cérémonie protocolaire des vœux accueillie dans les salons de la préfecture de l’Yonne, par le président de la section icaunaise. Baudouin DELFORGE a, en effet, fixé une ligne de conduite vertueuse pour les adhérents de la structure cette année.
Celle de se rapprocher de la Ligue départementale contre le cancer, afin de mener à ses côtés un certain nombre d’actions spécifiques dans la lutte contre les effets de cette cruelle pathologie.
Les modalités pratiques seront connues avec l’assemblée générale…
Car, c’est précisément sur le plan humain que devraient agir la vénérable entité et ses composantes qui ont dépassé les deux cents membres sur notre territoire. A savoir : l’accompagnement et le soutien aux personnes malades qui se trouvent dans des situations matérielles délicates ou physiques précaires. On pense alors à l’éloignement géographique familial pour certaines personnes isolées.
Cet engagement a été pris en présence de nombreuses sommités de notre territoire ; à commencer par le préfet de l’Yonne, Henri PREVOST, la secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne et sous-préfète de l’arrondissement d’Auxerre Françoise FUGIER, du président du Département, Patrick GENDRAUD ou de la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois, Cécile RACKETTE.
Les contours et les modalités pratiques de cette contribution solidaire devraient se définir lors de la prochaine assemblée générale de l’association.
Précisons que le président du comité de la Légion d’Honneur sur le bassin auxerrois n’est autre que l’emblématique docteur Serge TCHERAKIAN, lui-même à la tête de la Ligue départementale contre le cancer depuis moult années.
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Vitesse excessive sur l’autoroute : la gendarmerie incite les vacanciers à mettre la pédale douce !
février 08, 2020Ils sont pressés, ces automobilistes. Celles et ceux qui fréquentent le ruban d’asphalte reliant Paris aux stations de sport d’hiver ! Oui mais voilà : la vie n’a pas de prix. Et le moindre écart de comportement ou l’infime faille dans la vigilance à respecter derrière le volant peut être fatale et ternir le voyage. De façon définitive. La quarantaine de gendarmes, mobilisés dans le cadre d’une opération renforcée de vigilance routière, ce vendredi après-midi, avaient tôt fait de rappeler les règles élémentaires de bonne conduite à ces irréductibles du champignon pris en flagrant délit…
MONETEAU : Exit les pointes revigorantes de ces poussées d’adrénaline à plus de 150 km/h sur l’autoroute ! Oublié ces dépassements en accordéon, en zigzaguant d’un côté à l’autre de la chaussée ! Les droits et les devoirs de l’automobiliste reprennent leurs priorités en cette période de départs intenses en direction des stations alpestres. Comme ils devraient l’être durant les 365 jours de l’année.
Celles et ceux de ces automobilistes qui auraient omis de respecter les règles élémentaires empruntées au Code de la Route en seraient pour leur frais. Au sens, littéral du terme !
Vendredi après-midi, sur le tronçon de l’A 6 dans le sens Paris/Lyon à hauteur du péage de MONETEAU, il ne faisait pas bon contrevenir aux principes sécuritaires de base, sous peine d’être très vite rattrapé par la patrouille. Selon la formule linguistique populaire.
Mais, là, il s’agissait bel et bien d’une escouade de la Gendarmerie nationale, déployée sur le réseau autoroutier pour vous ramener à la raison, une fois les mailles du filet resserrées.
Surprise ! Arrivé à la bretelle d’Auxerre Nord, le conducteur fautif n’avait plus qu’à se laisser guider benoîtement par un représentant des forces de l’ordre. Jusqu’au PC pour y recevoir la sanction : quelques points en moins à soustraire sur le décompte de son permis de conduire et la douloureuse en plus, sous ses aspects pécuniaires.
Des actions déclinées durant les cinq prochains week-ends
Appuyées par les services de la SAG de Dijon (Section aérienne de gendarmerie), les forces de l’ordre ont pu bénéficier lors de leur première sortie qui coïncidait avec le départ des vacanciers de la zone francilienne d’un hélicoptère. A bord duquel, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST put aisément apprécier les moyens techniques mis en place en survolant la zone autoroutière surveillée.
D’autres moyens étaient également engagés : l’équipe rapide d’intervention, les motocyclistes, les véhicules banalisés, les radars embarqués…Tout cela était mis en exergue sous le regard aiguisé et attentif du colonel Renald BOISMOREAU.
Ce dernier précisa qu’en secteur police, des contrôles routiers étaient également mis en place entre 15 h et 18 h, à Auxerre et à Sens, afin de bien cadenasser les axes prioritaires du territoire.
Rappelons que les causes principales des accidents de la circulation sont imputables aux fautes d’inattention, aux conduites addictives, à la vitesse trop élevée, voire inadaptée à la configuration routière et au non-respect des règles de priorité.
L’Yonne a conclu l’année 2019 sur un très lourd bilan : 41 personnes ayant perdu la vie. Un triste record pour un département français…
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L’INAO recule sur son projet : les élus bourguignons vent debout contre l’adoption d’une nouvelle aire géographique
février 08, 2020La mobilisation générale de la classe politique bourguignonne aura finalement porté ses fruits. A l’instar de la manifestation pacifiste organisée devant les grilles de l’Institut national de l’origine et la qualité (INAO) à Montreuil-sous-Bois où se pressaient ce jeudi 06 février près de cinq cents viticulteurs opposés au projet de révision de la zone géographique pour l’AOC Bourgogne. Si plusieurs avancées ont été obtenues au terme d’une rencontre avec les responsables de l’organisme, la vigilance reste de mise. Plus que jamais, la défense du patrimoine viticole et de ses professionnels demeurent d’actualité dans les esprits…
MONTREUIL-SOUS-BOIS: Bourgogne : un. INAO : zéro. A l’issue de la rencontre d’une délégation d’élus régionaux durant près d’une heure ce jeudi 06 février au siège de l’INAO, les dirigeants de l’institution administrative, organe sous l’égide du ministère de l’agriculture, ont confirmé la suspension sine die du projet de nouvelle aire géographique pour l’AOC Bourgogne. Un état de fait qui avait été déjà acté la veille.
Conséquence immédiate : la présentation analytique du dossier a été retirée de l’ordre du jour du comité national de l’organisme présidé par Christian PALY. Si la décision a satisfaite les élus bourguignons dans un premier temps, ces derniers l’ont jugé encore trop insuffisante, compte tenu du désaccord grandissant qui s’est installé depuis le début de cette crise avec les vignerons de Bourgogne.
Accompagnés des représentants de la filière viticole, les élus bourguignons ont pu exposer en toute liberté leurs arguments face au président du Comité national des appellations d’origine relatives au vin, Christian PALY.
La délégation était composée de François PATRIAT, sénateur de Côte d’Or, Marie-Guite DUFAY, présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, Didier PARIS, député de Côte d’Or, du sénateur Jérôme DURAIN, de la Saône-et-Loire, d’Alain JOYANDET, sénateur de Haute-Saône, Rémy REBEYROTTE, député de Saône-et-Loire ou encore de Yolaine de COURSON, députée de Côte d’Or.
Quant au département de l’Yonne, il avait pour porte-étendards la sénatrice Noëlle RAUSCENT, Michèle CROUZET, députée de la troisième circonscription et Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, ancien maire de Chablis dont le vignoble est menacé par cette décision pour le moins insolite. On notait aussi la présence de Guillaume LARRIVE, député de la première circonscription de l'Yonne.
Précisons qu'avant d'avoir été reçus par la direction de l'INAO, la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN, le député André VILLIERS et le conseiller régional et président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, battaient le pavé aux côtés des manifestants devant les grilles de l’INAO. Dans une ambiance bon enfant sans qu’il y ait eu le moindre heurt.
Des premières garanties significatives mais…
Première certitude : aucune des soixante-quatre communes de Bourgogne ne perdra son appellation AOC.
C’est un véritable soulagement pour les viticulteurs des terroirs hétéroclites comme ceux de l’Auxerrois, du Tonnerrois, du Châtillonnais, du Mâconnais, de Dijon ou de Chablis.
Deuxièmement, aspect plus regrettable pour les élus de la délégation : une nouvelle commission d’enquête ne sera pas mise en place avec le renouvellement de ses membres. Un point d’achoppement qui pourrait être compensé grâce à l’implication personnelle de Christian PALY dans les futurs travaux de ladite commission.
Ce dernier a fait savoir par un communiqué de presse publié dès jeudi soir que « le Comité national n’aurait jamais entériné la sortie de secteurs aussi emblématiques que le Chablisien, le Châtillonnais et le Dijonnais de la zone Bourgogne ».
Toutefois, les élus bourguignons souhaitent désormais une meilleure concertation de la commission de l’INAO avec l’Organisme de défense et de gestion de Bourgogne (ODG), « jusqu’alors inexistante ».
« Tant que nous n’aurons pas obtenu des avancées claires de la part de l’INAO, explique le texte officiel de la délégation bourguignonne, adressé aux médias, la mobilisation professionnelle, territoriale et politique demeure totale dans notre région au nom de notre histoire, nos terroirs et l’identité de notre appellation d’origine contrôlée Bourgogne… ».
Une décision qui discrédite le principe même des appellations d’origine…
Reste que la remise à plat de cette décision de délimiter les aires géographiques de Bourgogne et du Beaujolais requiert un travail de fond et pas seulement approximatif, compte tenu des enjeux importants qu’elle engendre.
En effet, un quelconque rapprochement entre les deux vignobles pourrait induire les consommateurs en erreur quant aux caractéristiques, qualités et origine du produit. Historiquement distinctes, ces deux régions viticoles possèdent leurs propres savoir-faire ancestraux. Ce qui discrédite le dispositif même des appellations d’origine.
Enfin, sur un plan purement économique, le risque de surproduction est à craindre. Cela pourrait alors créer un déséquilibre entre l’offre et la demande des vins sous appellations bourguignonnes. Et permettre ainsi des productions massives en Beaujolais du fait de la délocalisation de la production vers cette contrée. Ce qui aurait un effet destructeur sur l’identité même des vins de Bourgogne.
On le voit, face à de tels arguments, la vigilance devient plus que jamais le mot d’ordre prioritaire dans la gestion de cet épineux dossier…
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« Ignorer l’Intelligence Artificielle, c’est prendre le risque de la subir… » : Vanessa DEPRET-BIOUT l’affirme…
février 07, 2020L'intelligence artificielle ne remplacera pas les managers mais les managers qui l'utilisent remplaceront ceux qui ne l'utilisent pas. Résolument optimiste, cette jeune femme a été élevée à la culture de l'utopisme. Débutée dans le domaine de l'événementiel, sa brillante carrière se poursuit aujourd'hui dans celui de la communication. Lorsque le groupe BNP PARIBAS l'encourage à nourrir son potentiel d'innovation, Vanessa saisit l'opportunité de s'immerger au CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas. Avec l'idéalisme et la modestie qui la caractérise, elle revient vers notre contributeur, Philippe CARPENTIER (16h44) sur ce voyage décisif.
TRIBUNE : Ce voyage modifie-t-il votre vision du management. Comment ?
En effet, certaines présomptions que j'avais sont devenues des certitudes pour moi. D'abord, j'ai vraiment compris à quel point les innovations vont vite, et que ce monde-là n'attend pas. La délégation chinoise présente à Las Vegas était la quatrième en termes de représentativité. Signe de la place prépondérante qu'elle a acquise. Airbnb est devenu le premier provider de chambres sans hôtel et Uber le premier transporteur sans voiture. La capitalisation des NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber), inexistants il y a quelques années, est aujourd'hui supérieure au PIB de la France. BlackBerry, premier sur le créneau des smartphones professionnels il y a quelques années, a quasiment disparu de la scène.
Tout le monde peut être disruptif. Innover est une nécessité pour survivre sur le marché. Nous n'avons pas conscience de la façon dont les choses évoluent, en termes de direction comme de rapidité.
Je croyais savoir, je connaissais par exemple la loi de Moore selon laquelle la puissance des ordinateurs double chaque année, tandis que leur coût diminue. Mais comme dans la légende de « Sissa », on n'appréhende pas assez le caractère exponentiel des choses. Selon cette légende, Sissa aurait demandé au Roi des Indes, pour le récompenser d'avoir inventé le jeu d'échecs, d'être payé un grain de riz pour la première case, deux pour la deuxième, quatre pour la troisième, etc. Le roi aurait accepté sans mesurer l'importance de la récompense, ruinant ainsi son royaume, la 64ème case valant plus de 9 milliards de milliards de grains de riz !
Des perspectives d’innovation incroyables se sont-elles faites jour lors de ce salon international ?
Oui. IBM, par exemple, travaille sur Watson, un logiciel auto-apprenant impressionnant. Son premier ordinateur quantique réalise en une seconde ce que nos ordinateurs font en 10 000 ans ! Et que nous réserve la puce quantique d'Intel ? Face à Huawei, inexistant il y a quatre ans, l'Iphone va-t-il subir le même sort que BlackBerry ? S'installer dans une voiture électrique et autonome fait prendre conscience que des évolutions qui semblent hypothétiques font en fait déjà partie de notre monde.
Dans le domaine médical, l'évolution en termes de prédiction des pathologies pourrait constituer un progrès majeur. Une start-up vient d'inventer des chaussettes dont les capteurs préviennent le diabète !
Enfin, j'ai compris que l'intelligence artificielle est inéluctable.
Justement, qu’est-ce que cela va changer dans notre quotidien ?
Son potentiel est immense. L'ignorer, c'est prendre le risque de la subir, alors que bien contrôlée, elle favorise l'intelligence, libère du temps pour créer, pour imaginer, pour écouter les autres... Elle sera positive. Elle peut être à notre service et ne pas servir qu'à nous remplacer. C'est notre responsabilité de nous y intéresser. Elle est inéluctable mais ne peut pas tout : l'Homme n'est-il pas le plus doué pour émouvoir ou donner des frissons ?
Quels sont les souvenirs marquants de ton passage au CES ?
Il y a eu la rencontre avec le patron de NISSAN, qui explique comment la data va modifier la communication. Il est persuadé que la capacité à faire ressentir et à projeter le client dans les usages à venir est une clé de réussite. Quand tu peux faire vivre et ressentir ce que sera la voiture dans deux ans, tu as pris une avance, décisive. Et celle avec un manager de Google qui a montré comment la data sera reliée aux émotions. Voir une start-up expliquer comment, à partir d'un simple fichier Excel de cinquante noms, elle peut créer en quelques minutes cinquante vidéos personnalisées. Est-ce effrayant ou génial ?
J'ai été étonnée de la place majeure de la France, malgré la taille modeste de son marché, et enfin, impressionnée par la qualité des présentations, par l'usage systématique de la vidéo et par le talent des orateurs lors des présentations. À importer chez nous !
L'Application
Programmer son benchmark personnel : inscrire dans son agenda deux heures par mois pour aller voir ce qui se passe ailleurs (association professionnelle, TedX, Internet...).
Mobiliser tout ce qui est à portée de clic :
- Copier, adapter avec un œil critique.
- Découvrir de nouveaux modes de management.
Philippe CARPENTIER
www.deciderjuste.com
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