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Un façonneur de territoire fier de l’être et de ses résultats : le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne soutient les initiatives locales…

« Il veut être un acteur à part entière du développement de son territoire en le « façonnant » et en lui redonnant ses lettres de noblesse au nom de l’attractivité : le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne est présent sur tous les grands sujets sociétaux propres à améliorer le quotidien des acteurs institutionnels et économiques, tout en répondant aux besoins de la clientèle de particuliers. Une stratégie ambitieuse qui a été largement explicitée par son directeur, Emmanuel VEY et son président, Jean-Yves REMILLET, lors d’un rendez-vous avec la presse… ». « Il veut être un acteur à part entière du développement de son territoire en le « façonnant » et en lui redonnant ses lettres de noblesse au nom de l’attractivité : le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne est présent sur tous les grands sujets sociétaux propres à améliorer le quotidien des acteurs institutionnels et économiques, tout en répondant aux besoins de la clientèle de particuliers. Une stratégie ambitieuse qui a été largement explicitée par son directeur, Emmanuel VEY et son président, Jean-Yves REMILLET, lors d’un rendez-vous avec la presse… ». Crédit Photo : Thierry BRET.

« Agir chaque jour dans l’intérêt de nos clients et de la société ». Liminaire et simple, le crédo s’affichant sur la page de garde du dossier de presse 2025 du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne pourrait se passer de tout commentaires. Ou presque ! C’est un résumé succinct qui en dit pourtant long sur la volonté du groupe bancaire régional de rester l’un des leaders de la filière sur l’ancrage territorial et son développement. Même si le contexte économique et sociétal fait grise mine (et ce ne sont pas les atermoiements successifs de la classe politique sur le budget qui inversent la tendance), la « Banque Verte » parvient à maintenir le cap en cette année 2025, complexe y compris à l’international, après avoir obtenu 91 millions d’euros de résultat l’an passé. Un bilan positif dont l’entreprise veut faire profiter pleinement tous les acteurs économiques et particuliers évoluant sur son terrain de jeu géographique préférentiel…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est sa raison d’être. Son leitmotiv privilégié. Son moteur, aussi, qui anime l’existence de près de 1 800 collaborateurs répartis dans 128 agences commerciales. Et côté carburant, pour alimenter cette belle mécanique sans qu’elle n’ait à connaître d’imprévisibles soubresauts, les idées et les projets ne manquent pas ! De l’imaginaire fécond et bien palpable qui constitue le socle organisationnel de ce « projet d’entreprise », seconde édition, qui permet de donner l’opportunité à chacune et à chacun des acteurs du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne de jouer un rôle d’importance dans l’avenir de cette contrée qui est la nôtre (même si la Bourgogne se limite dans le cas présent aux seuls départements de la Côte d’Or et de l’Yonne), celui de « façonneur ».

Il y a un aspect très artisanal dans cette expression que ne cesse de rappeler quasi en boucle durant toute sa présentation Emmanuel VEY, le directeur général de la Banque Verte régionale lors d’une rencontre des plus cordiales avec la presse autour d’un déjeuner. Un choix noble du mot qui n’est pas anodin, en somme. Un façonneur n’est autre qu’une personne qui peut former à n’importe lequel matériau. Mais qui peut aussi modeler les choses à sa convenance. Selon ses propres objectifs et ses véritables orientations. Voilà ainsi toute la subtilité sémantique de ce terme qui a pris en l’espace de quelques années toute son importance au niveau de la stratégie communication d’un groupe entrepreneurial qui ne cesse de poursuivre ses investissements sur ce double territoire qui est le sien, la Bourgogne et la Champagne.

 

Un ADN mutualiste au service du territoire

 

Cette chose que les acteurs de l’établissement bancaire aiment justement à façonner à satiété, c’est l’innovation. On la retrouve dans les évènements et les projets forts portés aux quatre coins de ces départements sous influence de la banque (Aube, Côte d’Or, Haute-Saône et Yonne), mais également dans l’investissement et l’entrepreneuriat. Et pas uniquement sur les seuls domaines traditionnels de cette enseigne séculaire, l’agriculture et la viticulture.

Ce façonnage à la sauce CA s’applique aussi sur l’implication des collaborateurs mais également des sociétaires – ils sont à date 304 555 personnes ! – à nouer des liens relationnels de proximité avec la clientèle de cette structure commerciale, qui s’élève aujourd’hui à près de 606 400 clients. Qu’ils soient particuliers, professionnels, associatifs ou collectivités.

Le tandem à la barre de ce vaisseau amiral naviguant sur les « mers de Bourgogne et de Champagne » - c’est une image naturellement ! – composé de Jean-Yves REMILLET, président du CA et Emmanuel VEY, son directeur général, n’aura cessé de le marteler durant ce rendez-vous annuel avec les journalistes : « Notre ADN mutualiste est un atout majeur pour générer de l’impact positif sur nos départements grâce à l’engagement de nos sociétaires, de nos administrateurs (960) et nos collaborateurs pour apporter des réponses aux grands enjeux sociétaux, environnementaux et sociaux de notre contrée… ».

 

La rénovation des agences : une priorité !

 

Quant aux chiffres (c’est la moindre des choses de pouvoir les évoquer lorsque l’on s’intéresse de près aux résultats d’un établissement bancaire !), ils sont dans le vert ! L’épargne collectée n’a jamais aussi florissante (21 882 millions d’euros) soit une hausse de 2,7 % par rapport à l’exercice antérieur avec une dominante caractérisée sur les livrets traditionnels (y compris les PEL) et l’assurance-vie. Les prêts (14 192 millions d’euros) permettent de financer très largement les projets des particuliers (48 %), mais également les perspectives de développement du tissu économique (22 %) et les indépendants (8 %), sans omettre évidemment le secteur historique de l’agriculture avec 18 % de dossiers clients réalisés en 2024. Les collectivités pointant à 4 %.

On retiendra dans cette photographie chiffrée de 2024 que le produit net bancaire de l’établissement – l’équivalent de son chiffre d’affaires – s’est élevé à 363 M euros et que le résultat net dépasse 90 millions d’euros, se situant avec exactitude à 91,6 millions d’euros. Les capitaux propres de la banque étant de 2 207 millions d’euros…

Autant de latitudes pour mieux incarner son rôle de soutien majeur aux projets et initiatives de notre territoire. A l’instar de ceux catalogués dans les registres de la transition énergétique et climatique – il y a urgence à la suite de la récente période caniculaire ayant frappé la France ! -, mais aussi technologies avec l’IA et les data, ainsi que les programmes immobiliers et fonciers, notamment dans le cadre de la rénovation des agences du groupe. Précisons, par ailleurs, que la part de marché de la Banque verte sur le secteur de l’habitat est toujours plus importante avec près de 30 % des financements régionaux.

A propos de la rénovation de ses vitrines commerciales, Emmanuel VEY a rappelé la stratégie inhérente à l’entreprise. « Nous avons rénové une centaine d’agences sur les cent-vingt que compte notre territoire de prédilection, la centième agence rénovée cette année fut celle de Sens dans l’Yonne… ».

En sus, il faudra ajouter pour cette année la transformation totale du siège social dijonnais avec un projet baptisé tout simplement « Métamorphose » ! Devant durer plus de trente mois, le chantier débutera dès septembre prochain et nécessitera plus de vingt millions d’euros de travaux.

Autre tendance forte à horizon de ces trois prochaines années : accroître de cent mille clients supplémentaires les portefeuilles déjà bien garnis des collaborateurs ! Un défi que l’encadrement de la banque est prêt à relever.

Se définissant tour à tour comme la banque du conseil, de la famille et du territoire, le Crédit Agricole Champagne-Bourgogne raisonne autour de l’attractivité et du développement de notre région. Une preuve supplémentaire afin de corroborer ces dires : la banque vient de créer une filiale d’investissement dédiée au nom de « CACB’INVEST ». A date, 160 millions d’euros ont déjà été injectés sur des projets orientés vers la transition environnementale ou l’agri-voltaïque. On notera aussi dans les premières réalisations des projets de méthanisation. C’est simple : pour Emmanuel VEY, cette filiale doit porter les investissements du Crédit Agricole à 250 millions d’euros dans les prochaines années. N’est-ce pas là la meilleure manière et la plus concrète d’accentuer la démarche de façonneur irrésistible de l’établissement ?

 

Thierry BRET