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Humeur : un hacker à la sauce icaunaise à l’origine des attaques contre France Travail

« Parmi les trois personnes interpellées dans la récente attaque des données informatiques de France Travail (ex-Pôle Emploi) figure un ou une native de l’Yonne, âgé(e) de 23 ans. Un potentiel candidat à l’embauche pour une start-up en manque d’un spécialiste du digital ?! ». « Parmi les trois personnes interpellées dans la récente attaque des données informatiques de France Travail (ex-Pôle Emploi) figure un ou une native de l’Yonne, âgé(e) de 23 ans. Un potentiel candidat à l’embauche pour une start-up en manque d’un spécialiste du digital ?! ». Crédit Photo : Thierry BRET.

Qui a dit que la jeunesse de l’Yonne n’était pas douée avec la pratique du numérique ?! Personne, espérons-le ! Parce que les derniers développements liés au fait divers, relatif aux attaques informatiques perpétrées contre France Travail (ex-Pôle Emploi) ces jours-ci démontrent que parmi les trois personnes à l’origine de ces méfaits ayant perturbé 43 millions de données, l’une n’est autre qu’un jeune natif…de l’Yonne !

 

HUMEUR : La seule information identitaire disponible par la presse et émanant de la procureure de la République de Paris concernant notre surdoué de la chose digitale, est la suivante : il ou elle est natif/native de l’Yonne !

Année de naissance certifiée, 2001 ! Donc, un jeune homme ou une jeune fille, afin de respecter la légitime parité, qui est donc âgé(e) de 23 ans ! Bravo, avec de la suite logique dans les idées, c’est une jolie carrière de hacker à la sauce icaunaise qui semble lui être destinée !

A ceci près que les trois personnes interpellées par les forces de l’ordre, dont notre adepte du « dark web » et de l’informatique illicite, sont mises en examen. Avec une certitude, c’est que le piratage informatique de données coûte cher en France. Surtout les informations concernant des millions de personnes, transitant par les services de France Travail !

 

 

C’est le 08 mars dernier que les opérateurs de l’agence nationale pour l’emploi avaient procédé à un acte de signalement auprès de la CNIL, la Commission nationale de l’Informatique et des Libertés. Les faits de piratage dataient de février et de mars.

Bref, notre « vedette » locale risque donc de sentir le vent des fourches caudines lui souffler aux oreilles une fois que la justice sera rendue. Et de ne pas retoucher un clavier et une souris d’ordinateur avant longtemps ! A moins d’être embauché par une entreprise locale en quête d’un expert numérique, ce qui fera au bout du compte un demandeur d’emploi en moins ! Une manière de boucler la boucle, non ?!

 

Thierry BRET