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Tristan RIQUELME encourage les acteurs de la sécurité civique : filiation et générosité riment avec SPV !

« Le destin ne lui a pas permis d’être un jour sapeur-pompier volontaire mais il encourage beaucoup de jeunes gens à le devenir : Tristan RIQUELME, directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, salue la générosité et l’efficience des personnes investies dans la sécurité civique… ». « Le destin ne lui a pas permis d’être un jour sapeur-pompier volontaire mais il encourage beaucoup de jeunes gens à le devenir : Tristan RIQUELME, directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, salue la générosité et l’efficience des personnes investies dans la sécurité civique… ». Crédit photo : Thierry BRET.

Plus jeune, il aurait souhaité consacrer du temps à cette activité citoyenne. Comme le font aujourd’hui beaucoup de filles ou de fils qui emboîtent leurs pas dans les traces de leur père. Oui mais voilà : le destin en a voulu autrement. Même s’il a côtoyé de fort près le milieu militaire avant de s’engager dans la préfectorale, le directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, Tristan RIQUELME, n’aura jamais été un sapeur-pompier volontaire !

AUXERRE : Un voile de nostalgie, teinté d’un zeste humoristique, s’est manifesté lors de la signature de la convention-cadre entre le Département de l’Yonne et le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) vendredi 21 février. Et c’est au directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, Tristan RIQUELME, qu’on le doit !   

Le fonctionnaire d’Etat s’est quelque peu épanché lors de sa prise de parole en avouant que « devenir sapeur-pompier volontaire (SPV) aurait été un moment fort de son existence ».

Si et seulement si, il avait pu bénéficier d’un entourage familial déjà immergé au préalable dans cette sphère corporatiste. Ce qui n’était pas le cas.

Tristan RIQUELME n’a donc pu accomplir ce désir de jeunesse. Ce qui ne l’a empêché d’en évoquer ce souvenir avec franchise face à une assistance fortement représentative du noble corps de secouristes. Incitant ses enfants à le faire si l’occasion s’en présentait.

« Si j’avais été fils de sapeur-pompier, souligna le proche collaborateur du préfet Henri PREVOST, il aurait sans doute plus facile de suivre cette voie qui mène au SPV… ».

 

Promouvoir les SPV dans le cadre du Plan d’action 2020…

 

Le recrutement de la filière par le biais de la filiation n’est plus à démontrer, il est vrai. Puis, poursuivant sa digression orale, Tristan RIQUELME, féru d’histoire, rappela les origines des services de secours se référant au seul volontariat. Un principe hérité de la Garde nationale sous la Révolution.

Avant d’évoquer le rôle des employeurs, fondamental à ses yeux, et garant du succès d’un Plan d’action mis en œuvre depuis deux ans sur le territoire qui court jusqu’en 2021.

Jugeant efficace et performant les tâches quotidiennes des SPV dans leurs interventions, l’ancien sous-préfet d’Issoire encouragea pour conclure les acteurs institutionnels et le SDIS 89 à promouvoir ce mode de secours vers le plus grand nombre. Se remémorant l’une des célèbres citations de l’écrivain Albert CAMUS, forte de symboles : « La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent… ».