Imprimer cette page

Deux nouveaux bénéficiaires sur l’Avallonnais : le PEC, la solution d’inclusion durable dans l’emploi…

« Grâce au PEC (Parcours emploi compétences), les jeunes éloignés de la réalité du travail remettent le pied à l’étrier en bénéficiant de ce partenariat coordonné autour de l’emploi, la formation et l’accompagnement. Un triptyque gagnant qui satisfait la sous-préfète de l’Avallonnais/Tonnerrois Cécile RACKETTE… ». « Grâce au PEC (Parcours emploi compétences), les jeunes éloignés de la réalité du travail remettent le pied à l’étrier en bénéficiant de ce partenariat coordonné autour de l’emploi, la formation et l’accompagnement. Un triptyque gagnant qui satisfait la sous-préfète de l’Avallonnais/Tonnerrois Cécile RACKETTE… ». Crédit Photos : D.R.

Emploi, formation et accompagnement. Une trilogie qui sied très bien à la Mission Locale rayonnant sur l’Avallonnais et le Tonnerrois. C’est aussi le principe fédérateur du PEC. Le Parcours Emploi Compétences dont deux nouveaux signataires profitent depuis mercredi des avantages. Le recours à ce dispositif est-il une solution de recrutement efficace pour les collectivités territoriales ?

 

AVALLON : Elle se félicite de la tournure des évènements. Elle ? Ni plus ni moins que Cécile RACKETTE ! La sous-préfète inféodée à 100 % à sa mission promotionnelle de l’un des dispositifs astucieux, mettant en exergue le partenariat corrélé entre l’Etat, les collectivités territoriales (en l’occurrence dans le cas présent la municipalité d’Avallon), la MILO (Mission locale du cru) et in fine…le jeune signataire !

Deux nouveaux contrats viennent d’être validés cette semaine sur ce secteur géographique. Ils démontrent en substance que cet accord multipartite se révèle plutôt fructueux à bien des égards. D’autant que les jeunes bénéficiaires disposent d’un contrat de travail de huit mois dans leur besace, agrémentés d’un accompagnement tout au long de cette expérience afin de poursuivre la réalisation de leurs propres projets professionnels.

 

 

Des emplois proposés dans le secteur du périscolaire…

 

Bref, ce processus du deux en un judicieux qui offre une possibilité de recrutement pour les collectivités territoriales qui se prêtent volontiers au jeu. Dans l’illustration du jour, ces deux emplois ont été pourvus dans un secteur en extrême tension : celui du périscolaire.

Précisons que l’Etat prend à sa charge 80 % du salaire des jeunes recrutés qui évoluent en zone de revitalisation rurale ; ce qui n’est pas rien in fine.

Rappelons que le PEC repose sur ce triptyque emploi-formation-accompagnement. Le dispositif permet de développer des compétences transférables, un accès facilité à la formation et un suivi tout au long de ce parcours, tant par l’employeur que par le service public de l’emploi.

 

Thierry BRET