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Ce sera l’une des dernières véritables apparitions publiques de l’élu. Un soir de janvier, à l’occasion de la présentation des vœux. Une cérémonie qui lui tenait à cœur depuis qu’il avait endossé la vêture d’édile de la commune. Une belle opportunité, à ses yeux, de décliner dans le détail le bilan réalisé de l’exercice antérieur et surtout de se projeter dans les douze mois à venir. Jean-Luc LIVERENEAUX a décidé de mettre un terme à son mandat de maire. De manière mûrement réfléchie…

 

GURGY : Ce n’était au début qu’une vague rumeur. Elle devait s’amplifier par la suite au fil de ces premières semaines de la nouvelle année. Le maire Jean-Luc LIVERNEAUX ferait le nécessaire de manière officielle auprès des services de la préfecture afin de donner sa démission. Une information qui a donc trouvé son épilogue, en coupant court à toutes les spéculations, avec la convocation effective au conseil municipal pour l’élection du maire, en date du mardi 27 février 2024 à 18h30. Salle Le Meunier, la succession au poste de premier élu ne sera donc plus qu’une formalité, mardi soir, pour le conseil municipal extraordinaire devant choisir le nom du successeur de Jean-Luc LIVERNEAUX.

 

 

A 70 ans, ce passionné de culture et d’économie – il avait succédé à Aurélie BERGER en 2020 lors des dernières municipales – jette l’éponge. Non pas de la vie publique puisqu’il conservera ses fonctions de conseiller municipal, de conseiller communautaire et de vice-président de l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne, aux côtés de la dynamique responsable, Dominique CHAPPUIT, mais de ce mandat de maire qui finalement lui pesait. Des divergences étaient apparues avec certains représentants du conseil municipal au fil des mois. Des ennuis de santé, aussi, en parallèle. Las, Jean-Luc LIVERNEAUX avait sans doute envie d’autre chose. Et surtout de se recentrer intérieurement, sans être trop exposé en frontal. Une décision qui peut se comprendre par les temps qui courent où les maires sont de plus en plus exposés…

 

Thierry BRET

 


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Il est des jours où il ne fait pas bon être « Père de la Nation », face à la colère de toute une profession. L’inauguration de la 60ème édition du Salon International de l’Agriculture par le président de la République s’est déroulée sous les sifflets et les huées, rythmée par les charges des forces de l’ordre et les actions musclées d’agriculteurs chauffés à blanc. Siglées de jaune pour ceux se réclamant de la Coordination Rurale ou de vert et blanc pour les adhérents à la FNSEA, avec en partage le noir de la colère…  

 

PARIS : De mémoire d’agriculteur, d’exposant ou de journaliste, jamais une inauguration n’aura connu autant d’aléas. Prévues ouvrir à 09 heures, les grilles du Salon de l’agriculture auront attendu près de deux heures pour cela, obligeant des milliers de visiteurs à patienter Porte de Versailles, avant d’être autorisés à rentrer. Leur chemin de croix ne s’est pas arrêté là, puisqu’il leur a fallu attendre le début d’après-midi pour pénétrer dans le « saint des saints », à savoir le hall 1 où étaient présents, outre les plus beaux représentants des espèces animales, un président de la République, bien à la peine depuis le début de la matinée.

Une visite à haut risque, à l’abri des regards, qui restera dans les annales. Hué, sifflé, appelé à la démission, Emmanuel MACRON n’a pas, pour autant, baissé les bras. Même si pour la veste, c’était déjà fait ! Lui qui dit « adorer » le contact avec les gens, c’est quasiment avec un garde mobile sur les genoux et en bras de chemise, qu’il a entamé le dialogue avec les agriculteurs présents autour de lui. Un discours qui ne passe pas pour certains, peu enclins à délivrer un blanc-seing à leur interlocuteur, fut-il président de la République : « malgré 400 millions d’euros annoncés, vous nous avez donné des miettes… ». Au cœur de la colère, le niveau de vie et le revenu, considérés par tous comme « indignes d’une profession qui nourrit la France » et des propos présidentiels jugés comme une « macronnade ».     

 

 

 

Les aides à l’Ukraine agricole dans le collimateur…

 

Bonnet jaune rivé sur la tête, Gildas est encarté à la Coordination Rurale et ne décolère pas depuis la levée des droits de douane en juin 2022 sur les importations en provenance d’Ukraine : « on leur donne 3,4 milliards d’euros, tout ça pour nous inonder de leurs poulets et pendant ce temps-là nos producteurs crèvent ! Que vont-ils faire demain s’ils rentrent dans l’Europe ? Nous inonder avec leur lait, avec leurs porcs… ? Ils vont nous « baiser », c’est clair ! ».

Installé au cœur de cette belle région qu’est le Pays de Redon, cet éleveur laitier ne voit là que « concurrence déloyale », à des années-lumière de la solidarité manifestée depuis deux ans à l’égard d’un pays en guerre. Une solidarité qui pèse aujourd’hui sur les exploitations nationales, confrontées à des règles de production et des directives européennes bien plus drastiques que leurs collègues ukrainiens. Le Breton au discours bien tranché est catégorique : « aujourd’hui mon lait est payé 420 € la tonne, si demain on me le paie 480 €, j’en veux plus de la PAC, j’en n’ai plus rien à faire, point barre ! ».

 

 

Un salon devenu un exutoire pour toutes les critiques…

 

De retour du pavillon de l’élevage, « on revient du champ de bataille… » (sic!). Ces agriculteurs des Ardennes et de la Marne, tous estampillés FNSEA, affichent fièrement leur pancarte : « Manu, on n’est pas là pour du bricolage ! ». Le discours présidentiel et les propositions faites dans la matinée ne rencontrent que peu d’écho : « c’est toujours pareil, de la mascarade ! ». Plus enclins à afficher, sac en bandoulière à l’appui, les couleurs d’une célèbre enseigne low-cost, jugée comme « bien plus respectueuse des producteurs que les autres, on y trouve que des produits français… ».  Une affirmation restant à prouver, dictée sans doute par le fait que ladite enseigne est depuis plusieurs années partenaire financier du Salon de l’agriculture et à ce titre, seul distributeur présent !

 

 

En ce milieu d’après-midi, le calme semblait revenu dans le hall 1, même si un cordon de CRS installés à la place d’animaux déplacés pour la circonstance (sic !), barrait toujours l’accès au secteur visité par le président. Les sifflets des manifestants ont continué à donner le ton de la journée et le débat improvisé de la matinée ne semblait pas avoir fait retomber la colère. Un président qui paraît cristalliser les haines et les critiques à en juger par les commentaires peu élogieux entendus au fil des allées, qu’ils émanent des professionnels ou des visiteurs. Des propos parfois outranciers et infondés, mais il y a longtemps qu’une partie des Français a rompu avec ce président jadis adulé, comme cette fois en 2019 où, encore haut dans les sondages, il avait fait exploser les compteurs de ses prédécesseurs, en déambulant quatorze heures durant dans les allées du SIA, dans une atmosphère bon enfant en multipliant les selfies. « O tempora, o mores »…  

    

Dominique BERNERD

 

 


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Deux ans, déjà. Pile, poil ! D’un 24 février (2022) à un autre (2024), le temps s’est donc égrené immuable, avec le même lot de désolation, d’incertitude et de tristesse. Sans que l’ombre d’une porte de sortie honorable à cette crise internationale si belliqueuse n’ait été entrouverte, même un court instant. Pas de volonté de négociations de part et d’autre. Mais, pour négocier quoi, en vérité ?

Une simple reddition des Ukrainiens qui aurait pour conséquence immédiate de précipiter le pays déjà exsangue et en souffrance depuis vingt-quatre mois de conflit dans les bras de son envahisseur si brutal. Ce serait la mort de la démocratie aux frontières orientales de l’Europe, la fin de la liberté de penser et d’exister dans cet état de 44 millions d’âmes qui ne sait plus à quels saints orthodoxes se vouer déjà pour retrouver le chemin de la lumière.

Une capitulation sine die aux exigences strictes, irréversibles et unilatérales du régime de Moscou qui provoquerait un coup d’arrêt définitif à la démocratie déjà mise à mal dans bon nombre d’états de la planète en cette seconde décennie d’un bien étrange vingt-et-unième siècle que l’on aurait pensé spirituel, aux dires d’un généreux  André MALRAUX, plutôt que guerrier et sanguinaire. Ce qui est le cas.

Qui aurait supposé, au démarrage de « l’opération militaire spéciale », voulue par le Kremlin, que deux ans plus tard, les choses en seraient encore là ? Personne n’aurait parié alors un kopek sur la résilience des Ukrainiens à vouloir résister et tenir la dragée haute à la seconde armée mondiale, puissante en matériels et en forces humaines ! Qui aurait imaginé que les velléités expansionnistes de Moscou, et son désir à recréer la Grande Russie impérialiste, conduiraient le monde à se projeter avec beaucoup de pessimisme dans le futur ?

 

Le torchon brûle entre l’Occident et la Russie

 

Deux ans après, rien, mais strictement rien n’a vraiment changé dans la rhétorique outrancière du maître de la Russie et de ses inféodés, proches du pouvoir. D’ailleurs, les prises de parole, cette semaine, de la plupart des personnalités vivant dans le sillage du président en campagne électorale et devant se succéder à lui-même jusqu’en 2036 ne font l’ombre d’aucun doute sur les intentions de la Russie sur la nature de ce conflit, qui n’en est même pas un à titre officiel.

L’objectif ne varie pas. Dans sa logique implacable : dénazifier l’Ukraine, renverser le pouvoir en place à Kiev, reprendre Odessa, berceau de la Russie blanche par excellence selon les références liées à l’histoire, opprimer les libertés, et bouter l’Occident et l’Union européenne du contexte. Un credo sempiternel qui ne cesse d’être ressassé parmi les révisionnistes de Moscou qui réécrivent à leur sauce et en toute impunité le cours de l’histoire.

Toutefois, 2024 plus que jamais risque d’être un sacré tournant dans les relations internationales. Le torchon brûle entre l’Occident et la Russie. Cela ne datait pas d’hier. Mais, il semble que les perspectives à venir nous promettent encore de grands moments de tensions et de « réjouissances ». Des moments qui vont être directement impactés aux élections américaines de novembre où le changement de pouvoir apparaît comme quasi inéluctable dans le contexte actuel. Des moments qui le seront aussi, bien avant, dès le mois de juin avec les échéances européennes, et une très forte poussée des mouvements nationalistes parmi les vingt-sept états de l’Union.

 

 

La France désormais dans le viseur des Russes

 

Pour autant, l’Europe peut-elle se retrouver seule en première ligne face à la menace russe si par le plus grand des hasards, nos alliés américains se retiraient du jeu ? L’inquiétude grandit dans bon nombre de chancelleries continentales aujourd’hui même si les chefs d’états des 27 demeurent soudés – en partie quand même avec les positions on ne peut plus ambiguës de la Hongrie, voire de la Slovaquie désormais -, et même si les responsables de l’OTAN ironisent sur les capacités psychiatriques de certains dignitaires russes encouragés à aller consulter.

Cette semaine est l’œuvre d’un tournant et d’un changement fondamental de ton. En France, comme ailleurs en Europe, au vu de plusieurs accords sécuritaires binationaux qui ont été signés avec Kiev. Ce fut le cas en Allemagne, en Grande-Bretagne, au Danemark, en Pologne, en Norvège ou en Finlande.

Vu de l’Elysée, le changement de ton à l’égard de la Russie est désormais sans équivoque. Le ministère de la Défense alerte ouvertement sur les capacités de nuisances de l’état russe et de ses sbires (Iran, Corée du Nord…une sorte d’axe du mal qui s’est forgé de toute pièce et en toute impunité, en contournant les sanctions économiques internationales et en livrant armes et missiles à profusion sans que leurs dirigeants ne poussent des cris d’orfraie par rapport à d’hypothétiques limites de frappes), tant au niveau de la désinformation, les réseaux d’influence, les cyber attaques ou les potentielles intimidations militaires dont nous faisons désormais l’objet.

La France figure bel et bien maintenant dans le viseur des Russes. C’est indéniable et il nous faut bien l’admettre, vu de nos clochers et campagnes, n’en déplaise à celles et à ceux de nos personnalités politiques virevoltantes qui encourageaient il y a peu encore à négocier urgemment avec le Kremlin pour mettre fin à une guerre dont on a connu le début mais où l’on ne connaît pas du tout le scénario de fin. Sauf que pour négocier, il faut être deux parties. Et agir de manière équitable, ce qui est loin d’être le cas, aujourd’hui, vous en conviendrez, dans le contexte.

Deux ans, après, la situation est plus que jamais tendue. L’ignorer serait une faute lourde et impardonnable. D’autant que les similitudes avec les années 30 sont nombreuses et que certains de nos analystes politiques et historiens n’ont pas la mémoire courte.

En 1936, la France n’avait cure des éventuels bruits de bottes aux frontières tchèques et polonaises, trop préoccupée à savourer les premières périodes de congés payés.

Laissant ainsi la place nette à un dictateur à moustache et à mèche folle qui fit basculer le monde dans l’horreur absolue.

Il ne faudrait pas que l’histoire de notre siècle se répète de la même manière, en commettant les mêmes erreurs qui nous seraient forcément fatales…Celle de la politique de l’autruche dont parfois sont si friands une certaine frange de Français…que le sort des autres n’intéresse pas.

 

Thierry BRET

  


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Programmé après les finales, le cérémonial vit la contribution présentielle des représentants du Conseil départemental, de l’Agglomération du Grand Sénonais et de la Ville de Sens, côté institutionnels. En face, plus inhabituel mais ô combien important pour renforcer les liens entre le monde de la défense et les collectivités de notre territoire, un représentant de l’armée. Jamais officialisées alors que déjà usitées, les relations de coopération entre armées et collectivités ont pris un tour nouveau avec la signature de ce partenariat…

 

SENS : Bien sûr, les amateurs de sport n’auront eu des yeux de Chimène que pour les magnifiques prestations de ces athlètes de très haut niveau devant s’affronter lors des finales nationales de ce championnat de judo militaire, accueilli une fois n’est pas coutume sur les tatamis du complexe sportif Roger Breton à Sens. Tel était l’enjeu principal de cette manifestation qui devait réunir une journée durant près de cent-vingt concurrents, en provenance des quatre coins de l’Hexagone.

Mais, d’autres, attendaient impatiemment de poser leurs paraphes au bas de documents officiels, scellant une bonne fois pour toute, un partenariat novateur et dans l’air du temps, entre collectivités et armées.

Une signature, un temps décalée par rapport au déroulé initial de ce copieux programme sportif proposé sur la journée, préférée après les finales devant récompenser les meilleurs des judokas militaires en lice dans cette compétition.

 

 

Une table et quelques chaises posées rapidement près des tatamis, puis l’installation des personnalités institutionnelles du cru (François BOUCHER, vice-président du Conseil départemental de l’Yonne, Marc BOTTIN, président du Grand Sénonais et Paul-Antoine de CARVILLE, maire de Sens) avant que les parapheurs ne circulent entre les différents signataires. A la manœuvre, coté opérationnel, le lieutenant-colonel Emmanuel VARLET, délégué militaire départemental de l’Yonne.

Objectif de ces signatures : la valorisation d’opérations citoyennes en faveur de la jeunesse. Via le prisme du civisme et des notions véhiculées par la symbolique militaire. Entre le droit de mémoire, les valeurs du patriotisme, l’encouragement à la découverte culturelle ou à la pratique du sport, cet accord qui ne se cantonne pas au seul Sénonais puisque possédant une dimension départementale supposera à l’avenir le renforcement de manifestations dans d’autres villes de l’Yonne à l’instar d’Auxerre.

 

Thierry BRET

 

 


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Tous les services de l’Etat se sont donnés rendez-vous aujourd’hui à Châtel-Censoir afin de formaliser la feuille de route départementale de ce projet ambitieux. Un rendez-vous marquant qui permettra de mettre en lumière tous les moyens mobilisés en faveur du plan « France Ruralités », la continuité légitime de l’Agenda rural, entamé en 2017. Revitalisation médicale, développement des circuits courts, accès aux services publics, sécurité de proximité, aide à l’ingénierie : l’inconditionnel soutien de l’Etat devant se matérialiser…

 

CHATEL-CENSOIR : Nom de code du projet, « France Ruralités » ! Présentation de son contenu, ce vendredi 23 février, à la salle des fêtes de la petite bourgade, chère à son édile Olivier MAGUET ! La feuille de route départementale de « France Ruralités », à la sauce made in Yonne, va donc être déflorée par le représentant de l’Etat de notre territoire, le préfet Pascal JAN, lors d’une conférence de presse où seront abordés tous les aspects pratico-pratiques de ce plan ayant pour objectifs de valoriser l’attractivité territoriale de nos contrées rurales. Attractivité ? L’un des credo préférés de l’ancien recteur, installé dans le fauteuil préfectoral, depuis deux ans, déjà.

Dans l’Yonne, trois déclinaisons ont été retenues pour guider l’action des services de l’Etat : l’habitat et le cadre de vie, le travail, enfin, l’épanouissement en zone rurale. Des axes qui se concrétisent par dix-huit mesures, fixant autant d’objectifs concrets à réaliser afin de répondre aux problématiques du quotidien des Icaunais. Dans le cadre d’un plan de travail mené en étroite concertation avec les associations des maires du département. C’est pourquoi le préfet Pascal JAN est accompagné dans sa démarche explicative, de Dominique CHAPPUIT, présidente de l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne et de Mahfoud AOMAR, président de l’Association des Maires de l’Yonne.

 

 

L’aide à l’ingénierie est incorporée au programme

 

Seront évoquées les opportunités concrètes à mettre en place autour de la revitalisation médicale – les contrats locaux de santé -, de la mobilité (déploiement de solutions locales de mobilité inclusive soutenues grâce au Fonds Vert), la sécurité de proximité (mise en exergue d’un plan d’action spécifique décliné par la gendarmerie nationale), le développement des circuits courts avec les projets alimentaires territoriaux ou encore le renforcement des accès aux services publics, via l’optimisation des espaces France Services.

Reste l’aide à l’ingénierie. Elle figure également en bonne place, au cœur de cette feuille de route pour permettre aux collectivités de développer tous leurs projets. Des aides qui concernent les domaines de l’urbanisme, de l’aménagement du territoire ou le volet économique.

Sur ce registre, notons qu’un Forum de l’ingénierie sera proposé courant avril avec le concours du Conseil départemental afin de favoriser le jeu relationnel entre les élus et leurs administrations, avec l’ensemble des acteurs ressource de l’ingénierie publique à l’instar de l’ADEME, CEREMA, Banque des Territoires, CAUE, ANCT, etc.

Côté humain, précisons que deux chargés de mission ont été recrutés par les services de la préfecture au titre du dispositif « Villages d’Avenir ». Ils vont accompagner 76 communes de l’Yonne dans leur réflexion tandis que quatorze collectivités bénéficient déjà de l’appui de VTA, des Volontaires Territoriaux Administration.

 

Thierry BRET

 

 


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