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Ce n’est une surprise pour personne. Ni un secret de Polichinelle à enfouir dans les alcôves! Entre le monde de l’agriculture et l’assureur mutualiste, les liens sont ténus, pour ne pas dire plus. Et ce, de manière séculaire. Aussi, inviter la présidente de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA) Christiane LAMBERT au siège auxerrois du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance n’avait rien d’incongru en soi. D’autant que l’origine de cette invitation revenait aux duettistes en charge de la responsabilité de la caisse départementale, le président Pascal MAUPOIS et le directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT. Explications…

AUXERRE : A y regarder de plus près : la visite de la présidente du syndicat majoritaire du monde agricole dans l’Yonne était préparée sous le prisme de l’astuce. Voire de l’audace !

Christiane LAMBERT, présidente de la FNSEA, sortait en effet de la manifestation paysanne nationale qui avait bloqué le périphérique deux jours auparavant. Un acte social fort, marqué par de vives contestations populaires qui débouchèrent sur la présence de plus de mille tracteurs (1 086 engins pour être précis) à quelques encablures du cœur de la capitale. Une insolite image, en vérité.

Alors, comment se mettre « au vert », histoire de souffler quelque peu, avant de retourner à Paris pour y rencontrer le Premier ministre, Edouard PHILIPPE, et le ministre ayant la charge de la filière, Didier GUILLAUME, dans d’âpres négociations indispensables à la survie de ce secteur d’activité ?

C’est là que Christiane LAMBERT a dû en son for intérieur véritablement apprécier et bénir l’invitation faite, il y a déjà plusieurs semaines de cela par la Fédération départementale des caisses locales de l’assureur mutualiste de l’Yonne.

Une invitation qui était destinée sur le carton à réunir, au-delà d’une simple rencontre de football, la dame à la tête de la plus importante entité défenderesse des droits des agriculteurs, et ses coreligionnaires locaux. Objectif : valoriser une corporation en souffrance qui n’a pas été épargnée par les soubresauts impulsifs de l’actualité et positiver autour de ces femmes et ces hommes qui en défendent chèrement les valeurs.

 

 

La « Piste aux étoiles » de l’agriculture départementale…

 

Bien sûr, il y aura le temps consacré à la conférence de presse. Un exercice oratoire et complet, décliné dans l’une des salles de réception de l’assureur. Là, Christiane LAMBERT, comme nous l’avons relaté dans un précédent article, détaillera la vision stratégique de cette actualité sociale, riche en atermoiements et en doutes pour celles et ceux qui tentent de survivre comme des funambules aux aléas du climat et des marchés internationaux.

Cette conférence de presse avait la saveur d’une « Piste aux étoiles » avec une représentativité agricole éclectique intéressante : Damien BRAYOTEL, président de la FDSEA de l’Yonne, le président de la chambre consulaire de l’agriculture, Arnaud DELESTRE, Maxime BOUCHER, élu à la tête des Jeunes Agriculteurs de l’Yonne depuis bientôt un an à l’âge de 23 ans et Hervé MIVIELLE, directeur exécutif de la chambre départementale.

Il faut dire que Christiane LAMBERT a été reçue avec les honneurs dû à son rang de chef de file d’une fédération qui demeure la force de frappe syndicaliste de la corporation.

Aussi, du côté de l’invitant, la mobilisation des responsables étaient de rigueur. Présence du président de la Caisse régionale Paris Val-de-Loire, Daniel COLLAY, du directeur du groupe, Eric GELPE, accompagné de son responsable des relations publiques, François DELAISSE.

Pascal MAUPOIS, président de la Fédération départementale des caisses locales de l’Yonne et le directeur d’établissement, Jacques BLANCHOT, fermaient le ban de ces personnalités.

 

 

Plus de 1 700 agriculteurs ont convergé vers le stade…

 

Instigateur de cette visite, ce dernier s’est dit très satisfait de la tournure de l’opération, placée dans le cadre d’un partenariat avec l’AJ Auxerre. Bénéficiaire de deux soirées de gala annuelles, l’assureur mutualiste a pu profiter du derby footballistique opposant les locaux à l’US Orléans pour convier plus de 1 700 agriculteurs à l’Abbé Deschamps.

Une façon de placer sous le feu des projecteurs le positivisme de son action adressée à ce public de fidèles et de permettre ainsi à la dirigeante de la FNSEA de faire d’une pierre deux coups : vivre pleinement sa passion du football même si son cœur de supporter penche davantage pour les deux pensionnaires de Ligue 1 que sont les « meilleurs ennemis », Lyon et Saint-Etienne, et saluer celles et ceux dont elle défend les intérêts grâce à sa mission syndicale.

Le dieu du football était de la partie. Car au terme de cette rencontre, le score paritaire de deux partout au coup de sifflet final, ne pouvait que contenter les dirigeants de GROUPAMA Paris Val-de-Loire, venant du Loiret, et ceux de l’Yonne !

 

 

 

 

 

 

 


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A la base, l’équation était simple. Pour que ce projet de construire une infrastructure pluridisciplinaire accueillant un univers de soins soit conforme au cahier des charges, la présence d’un généraliste était requise. Or, in fine, ce sont quatre médecins qui ont investi les locaux. Un cinquième, interne, devrait les rejoindre dès le terme de ses études d’ici un an. De quoi satisfaire l’instigateur du projet, le président de la Communauté de communes de l’Aillantais, Mahfoud AOMAR…

AILLANT-SUR-THOLON : Né à l’issue d’une concertation réunissant tous les praticiens du canton avec les édiles communautaires, le projet de maison de santé aura nécessité près de trois longues années de travail avant d’aboutir à son édification.

Il aura fallu obtenir la confiance de l’ensemble des professionnels de santé du secteur (pharmaciens, masseurs-kinésithérapeutes, infirmiers, ostéopathes, généralistes…) pour arriver à la concrétisation de ce qui représente désormais, et ce depuis le 15 novembre, comme une nécessité.

Lutter contre la désertification médicale intègre les priorités de bon nombre d’EPCI (Etablissements publics de coopération intercommunale) aujourd’hui. Or, l’une des parades préconisées par tous les acteurs institutionnels et ceux de la filière de santé passe par cette concentration de compétences en un même lieu. Eriger une maison spécifique devenait donc une évidence.

Plusieurs subventions furent accordées à ce concept fédérateur. Le Département, la Région, mais aussi l’Etat et l’Europe ont apporté leurs contributions financières : soit une enveloppe de 940 000 euros sur un budget total s’élevant à 1 640 000 euros.

Le reliquat relève de l’organisme communautaire, lui-même, en sa qualité d’exécuteur exclusif du projet. Il continuera de s’acquitter des charges à hauteur de 15 000 euros de manière annuelle.

 

 

Recherche dentiste coûte que coûte…

 

Répondre aux desiderata des thérapeutes représentait aussi une obligation. Ainsi, les plans de l’édifice ont été quelque peu modifiés de la configuration originelle avec l’ajout de deux bureaux.

Côté confort et praticité, un appartement a été également envisagé : il accueillera deux stagiaires ou leurs remplaçants.

Outre, les cinq généralistes cités précédemment, deux psychologues complèteront cet effectif de professionnels des soins. On notera aussi la présence d’un pneumologue, d’un masseur-kinésithérapeute, d’un podologue, de deux ostéopathes, d’infirmiers libéraux.

Un panel médical d’une rare ampleur que l’équipe constituée autour de Mahfoud AOMAR a réussi à rassembler avec beaucoup de réussite et opiniâtreté.

Seul bémol à souligner avant de rendre ce tableau idyllique : il reste encore à trouver un dentiste. La nouvelle structure dispose déjà du nécessaire en matériel et en équipement pour pouvoir l’accueillir dignement.

Parmi les évolutions possibles inhérentes à ce site new-look, l’accueil de consultations modernistes, via la pratique de la télémédecine (celle du travail et celle assurée par des spécialistes).

Maryline GANDON

 


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Portée par la Maison de la Francophonie de Bourgogne, dont on peut s’enorgueillir que le siège administratif soit implanté dans la capitale de l’Yonne, cette « caravane » culturelle et si cosmopolite a fait une halte très appréciée ce 03 décembre à Auxerre. L’opportunité fut donnée pour un public de fidèles de découvrir les talents oratoires d’un écrivain algérien, Ahmed KALOUAZ. Un esthète en la matière pour jongler avec les mots avec humanisme, en toute limpidité…

AUXERRE: Romancier et poète franco-algérien, l’invité du soir a conquis son auditoire qui a bu chacune de ses paroles avec un intérêt profond. Par sa simplicité. Par la passion de que cet auteur qui possède déjà à son actif la réalisation d’une cinquantaine d’ouvrages (romans, récits, nouvelles…), excusez du peu, dégage autour de lui, tel un halo luminescent, dans le fil de ses souvenirs.

Ceux qui remontent à sa prime jeunesse à travers le parcours cabossé de ses parents, émigrés de la première heure, qui débarquèrent sans coup férir sur le sol hexagonal dans les années 1950.

« Mon père était manœuvre dans le secteur du bâtiment et des travaux publics, confie-t-il, ma mère, quant à elle, était illettrée à la tête d’une famille nombreuse. Une étoile aux cheveux d’or… ».

A l’évocation de cette fratrie, le temps paraît suspendu dans l’une des salles de la Maison de quartier Confluences. L’écrivain se fait conteur de sa propre vie. Il en embellit de la manière orale la densité de son travail scriptural, si riche et bouleversant. Et répond avec humilité aux questions posées par la présidente du Comité départemental de la Francophonie dans l’Yonne, Marité CATHERIN.

L’après-midi, l’auteur de « Je préfère qu’ils me croient mort » aura un temps d’échange fructueux avec les lycéens de La Brosse à Venoy. Il narrera à ces jeunes apprenants orientés vers les filières agricoles le destin bouleversant d’un jeune Malien, KOUNANDI, qui s’envole de Bamako à destination de Paris avec l’espoir de devenir tôt ou tard un footballeur professionnel de prestige.

Confronté à la dure et triste réalité de l’existence, l’adolescent s’apercevra très vite que les titres de gloire ne lui étaient pas réservés…

Initiée il y a deux saisons avec des artistes de l’univers littéraire venus de Suisse, de Belgique, de Québec ou du Congo, la Caravane de la Francophonie 2019 se poursuit jusqu’au 13 décembre à travers la Bourgogne Franche-Comté.

Cinq artistes en provenance de pays francophones (Liban, Algérie, Tunisie, Côte d’Ivoire, Burkina-Faso) vivent d’intenses partages émotionnels et culturels auprès de jeunes élèves et étudiants accueillis par les établissements scolaires de la région.

L’opération a reçu le soutien du Conseil régional, de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) de Bourgogne, du Département de l’Yonne et de la Ville d’Auxerre ainsi que du Club Condorcet…

 


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Le rêve de gosse devient donc réalité pour la jeune éleveuse à peine trentenaire. Elle a touché du doigt le « Graal » de l’entrepreneuriat, encouragée par ses pairs du réseau Entreprendre Bourgogne et bien d’autres personnes issues de l’économie participative qui ont cru en elle. Si les fromages blancs et les yaourts égayeront sa gamme de nouveautés à partir de 2020, il n’empêche que les premiers produits à base de  lait de chèvres se dégustent goulûment depuis peu dans sa ferme modèle, résolument environnementale…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Le bio, rien que du bio ! C’est l’essence même de cette foi inébranlable qui anime la jeune femme dans sa quête professionnelle, elle qui n’a pas hésité à passer outre son poste de commerciale spécialisé dans la nutrition animale qu’elle tenait à bout de bras depuis huit ans. Elle l’exerçait dans la région de Niort.

Mine de rien : il y a de la pugnacité et une volonté farouches dans ce petit bout de fille qui gère aujourd’hui un troupeau de soixante-dix biquettes ! Sa mûre réflexion qu’elle avait entamée il y a déjà quelques temps s’est muée aujourd’hui en parfaite concrétisation. Son projet, ULTERIA, a donc vu le jour.

Après moult péripéties, il va s’en dire ! Après les instants de doutes inavouables qui sont le lot quotidien de celles et ceux qui entreprennent et veulent porter haut leur projet de vie.  

Ces adorables bestioles à la frimousse si maline sont devenues son sacerdoce au jour le jour. Une fièvre s’est-elle emparée de Claire GENET qui cherche à accomplir son chef d’œuvre avec cette réalisation ?

Que nenni : la jeune femme a les pieds bien enfoncés dans la terre. Comme ses chèvres qui se meuvent dans un complexe moderniste à la sauce environnementale.

Ici, comme le dirait Dieu le père, « l’animal est roi dans son royaume ». Rien que la configuration architecturale du bâtiment faisant office d’étable amélioré rappelle que la condition animale n’est pas un leurre pour celle qui doit en produire la quintessence des produits.

 

Même les chèvres mangent bio !

 

Ventilé, lumineux, éclairé par des LED automatisés, l’édifice qui accueille le cheptel est conçu pour économiser l’énergie nécessaire à une telle exploitation.

Quant à la nourriture des chèvres, c’est le nec plus ultra ! Au menu du jour, et ce chaque jour, des pois, des lentilles, des tourteaux de colza, du bio et du local. Le meilleur en somme, et quand on aime, on ne compte pas !

La jeune fille n’est pas une idéaliste. Ni une marginale, loin s’en faut. Elle a su s’entourer de solides compétences (celles des chefs d’entreprises expérimentés du réseau Entreprendre Bourgogne) pour l’aider à débloquer les chausse-trappes qui auraient pu entraver son sillage.

D’ailleurs, c’est grâce à deux spécimens rares de l’entrepreneuriat, Alexis NOLLET et Sébastien BECKER, le génial tandem de MOBIL WOOD (concepteur d’ameublement en bois et agenceur), que Claire GENET aura pu mener à terme son projet. Dans l’écosystème ambiant qui l’accueille, seront érigés progressivement le nouveau site de l’usine MOBIL WOOD, une école Montessori, une crèche, une exploitation maraîchère, et une maison éco citoyenne. Bref : tout un programme dédié à la mise en lumière de l’homme dans sa phase la plus subtile de la création et du vivant.

Un sacré patchwork qui n’est pas pour déplaire à la jeune femme qui propose à la vente ses premières productions depuis la mi-novembre.

 

 


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Le Conseil départemental de l’Yonne est précurseur dans le domaine. Il sera en effet le premier organe institutionnel de l’Hexagone à décliner ce dépistage cardio-vasculaire auprès de jeunes collégiens. Seuls les élèves de sixième de deux collèges volontaires seront concernés par cette expérimentation originale mais ô combien importante qui devraient se généraliser à l’ensemble des établissements scolaires de notre territoire…

AUXERRE : On se remémore tous notre entrée en classe de sixième. Etape charnière de l’existence d’un jeune adolescent qui change de pallier éducatif. C’est également à ce niveau de la scolarité que s’effectuent les premiers tests de la médecine scolaire qui portent leurs fruits. Dépistage de la vision, contrôle des malformations potentielles qui surviennent au niveau de la colonne vertébrale et tutti quanti !

La nouvelle initiative prise par le Conseil départemental de l’Yonne se situerait presque dans cette droite ligne, instaurée en France depuis des lustres. Mais, là où brille son originalité, c’est qu’elle se place sur un tout autre registre en matière pathologique : la détection des troubles du rythme cardiaque.

Alors que la chose se pratique depuis longtemps en Scandinavie et chez nos voisins allemands, personne n’avait pensé jusque-là en France vulgariser ce contrôle du rythme cardiaque auprès de cette typologie de la population. Soit les ados âgés de 10 à 12 ans.

Ceux qui pratiquent de manière intensive du sport à longueur de journée (on ne parle pas naturellement des épreuves virtuelles derrière l’écran d’un ordinateur !) mais bel et bien de disciplines où il faut courir, sauter, grimper et s’adonner à l’art de l’endurance pour tenir le choc.

L’élément moteur de ce projet, l’homme de la situation en vérité, n’est autre que le médecin référent auprès des services du Département, le docteur Bernard CHARDON.

 

 

Etendre la mesure dans les 31 collèges de l’Yonne…

 

C’est ce dernier qui a pris l’initiative de proposer à l’institution présidée par Patrick GENDRAUD ce nouveau projet qui sera mis en place à la rentrée de septembre 2020. Bien sûr avec l’absolution de l’inspection d’académie, il va s’en dire.

Deux établissements du secondaire, celui de Tonnerre et celui de Villeneuve-la-Guyard, se prêteront d’ailleurs les premiers aux tests. Ainsi, ce sont 240 potaches qui subiront un examen de contrôle indolore, sous la forme d’un électro-cardio-gramme.

Dans l’absolu, ledit examen sera assuré par l’infirmière scolaire qui aura été formée au préalable à l’utilisation de l’appareillage de mesure. L’analyse des résultats sera, quant à elle, assurée par un cardiologue.

Naturellement, les enfants ne pourront subir ce test qu’une fois l’accord parental donné. L’expérience qui a été approuvée par l’ordre départemental des médecins a pour objectif de s’étendre in fine aux trente-et-un autres établissements du territoire icaunais. Sous le sceau d’une éthique préventive

 

 

 

 


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