Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le plan « 1 jeune, 1 solution » a été lancé par le gouvernement à l’été 2020. Il a pour vocation d’offrir la possibilité à chaque jeune d’être accompagné, d’être formé et de faciliter son entrée dans la vie professionnelle. Ce dispositif vient en aide auprès des jeunes au sujet de leur avenir qui reste particulièrement flou avec la crise sanitaire de la COVID-19.

 

AUXERRE : La mesure gouvernementale « 1 jeune, 1 solution » permet de rassurer la jeune génération et de la préparer à un avenir plus certain. Le gouvernement met trois priorités en avant dans ce dispositif : faciliter l’entrée dans la vie active, orienter et former 200 000 jeunes vers les secteurs et métiers d’avenir. Enfin, il s’agit d’accompagner 300 000 jeunes éloignés de l’emploi en construisant des parcours d’insertion sur mesure.[1]

Cela concerne celles et ceux qui souhaitent trouver un job, qui désirent participer à un évènement, qui ont besoin d’un accompagnement avec une conseillère d’orientation. Celles et ceux qui s’engagent aussi dans une mission de Service Civique ou encore qui sont en recherche d’un stage par exemple.

 

 

Le plan « 1 jeune 1 solution » séduit des entrepreneurs…

 

C’est le cas pour la SAS Joël LEFEVRE. Le concessionnaire de poids lourd DAF dans l’Yonne accueille des jeunes de classes de troisième afin qu’ils puissent découvrir le métier de mécanicien.

Mathys, un jeune garçon de 14 ans actuellement en troisième année de collège, profite de sa semaine de vacances pour découvrir le métier. Il avait déjà effectué un premier stage obligatoire dans le même secteur d’activité. Mais, il a souhaité en réaliser un second sur la base du volontariat pour satisfaire son choix.

 

 

 

 

Fabrice LEFEVRE, directeur général de la PME, souhaite recruter des mécaniciens afin d’étoffer ses équipes dans ses ateliers. Cette opportunité lui permet de former les jeunes. En moyenne générale, l’entreprise reçoit de cinq à six adolescents dans l’année en ayant pour but de les conserver par la suite. L’entrepreneur travaille pour le futur de sa société en continuant de prendre des stagiaires malgré la crise sanitaire.

 

 

 

Un simulateur pour obtenir des aides fonctionnel au 01er avril…

 

Depuis le lancement de ce plan jusqu’au 15 janvier 2021, en Nouvelle-Aquitaine à titre d’exemple, 36 434 jeunes ont bénéficié des aides du Plan France Relance : 13 247 d’entre eux ont pu profiter d’une formation en 2020.

Le 01 décembre 2020, le site du ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion a annoncé qu’au total environ un million de jeunes ont été embauchés en contrat à durée déterminée de plus de trois mois ou en CDI depuis début août.

Ce plan pour aider la jeunesse à s’insérer dans la vie active semble plutôt bien agir. Le Gouvernement a même décidé de le renforcer.

Le 19 février 2021, le Premier ministre Jean CASTEX rappelait que « cent mille offres d’emploi étaient disponibles dès le 19 février et que 300 000 offres de stages seraient disponibles au 01er mars 2021 ». 

Parmi les autres annonces faites ce jour-là par le chef du gouvernement, la création dès le 01er avril d’un simulateur qui sera mis à disposition pour accéder aux aides comme les bourses, les aides au logement et à la mobilité, etc.

 

En savoir plus :

[1] https://www.education.gouv.fr/plan-jeunes-1jeune1solution-305317

 

Jordane DESCHAMPS

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Coupler les Assises de l’Energie au traditionnel Salon de l’Eclairage public et de l’Innovation en les réunissant à la même date est une hypothèse de plus en plus pertinente pour le président du Syndicat départemental des Energies de l’Yonne, Jean-Noël LOURY. D’autant que le rendez-vous initial prévu le 03 juin devant accueillir le second évènement est désormais passé à la trappe, crise sanitaire oblige…

 

AUXERRE : Les prémices d’une sortie de crise s’échafaudent dans les têtes bien pensantes de nos gouvernants. Mais cela n’empêche nullement le lot continu de reports d’événementiels de persister dans les agendas.

Annoncé en date du 03 juin prochain, le Salon de l’Eclairage Public et de l’Innovation intègre une fois de plus la case des pertes et profits. Du moins pour un temps qui serait provisoire car la manifestation pourrait refaire surface dès l’automne, d’après les récentes déclarations du président du SDEY (Syndicat départemental des Energies de l’Yonne), Jean-Noël LOURY.

Le contexte sanitaire est encore bien trop malléable pour que la structure organisatrice de cet évènement ouvert aux élus et représentants des collectivités prenne des risques.

L’évènementiel qui avait réuni la bagatelle de plus de 350 participants l’année dernière (il était l’une des rares manifestations d’envergure à avoir été maintenue sur le parvis de la salle des fêtes des Joinchères à Venoy) devrait être décalé en octobre. La date n’est pas encore arrêtée.

 

 

 

 

Le particularisme de ce report pourrait être la tenue en simultanée des Assises de l’Energie, autre moment fort du calendrier évènementiel du SDEY.

Partant du simple postulat que la cible demeure la même (les collectivités via leurs élus et leurs techniciens interpellés par la transition environnementale et les économies d’énergie), le président Jean-Noël LOURY placerait cette année 2021 sous le sceau de la mutualisation en offrant à ce public les deux animations à une date unique.

Un concept « du deux en un » qui apparaît presque comme une évidence et qui ne demande qu’à être testé en grandeur nature à l’automne !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Depuis le 18 janvier, le Centre d’Examens de Santé de la CPAM se mue l’après-midi en centre de vaccinations contre le coronavirus. Après une montée en charge progressive des prises de rendez-vous, la tendance est aujourd’hui à la hausse avec 266 vaccinations programmées cette semaine. Une réussite saluée par le préfet Henri PRÉVOST. Il s’est rendu sur les lieux, accompagné d’Eve ROBERT, déléguée territoriale de l’ARS. Une visite à laquelle participait également le député de la circonscription, Guillaume LARRIVÉ.

AUXERRE : Ce sont les gouttes d’eau qui font les océans et dans la lutte engagée contre la COVID, chaque vaccination réalisée a son importance. Depuis quatre mois, le Centre d’Examens de Santé de la rue du Clos à Auxerre se transforme l’après-midi en centre de vaccination ARN Messager. En lien avec l’hôpital d’Auxerre qui lui fournit les doses de vaccins Pfizer-BioNtech nécessaires, renforçant d’autant le dispositif déjà mis en place.

Si la première semaine, 119 personnes de plus de 75 ans purent ainsi recevoir leur première dose, depuis début mars, l’on enregistre une montée en force du nombre de rendez-vous, avec 238 vaccinations comptabilisées en fin de semaine dernière. Un chiffre appelé à évoluer positivement, en fonction d’une demande croissante de la population, mais tributaire des doses disponibles. Avec parfois de bonnes surprises, comme cette arrivée inattendue de vaccins Moderna qui permettront dès cette semaine, de réaliser des primo injections supplémentaires. Une liste d’attente permet d’assurer la continuité dans la vaccination en cas de désistement ou de personne récusée, l’impératif étant bien de ne perdre aucune dose et ne rien « gâcher » comme dirait un célèbre entraîneur !

 

 

La Bourgogne au pied du podium du nombre de vaccinés dans l’Hexagone…

 

Au 12 avril, ils étaient 59 269 à s’être fait vacciner dans l’Yonne pour une première injection, soit un taux de couverture vaccinale de 18 %, toutes classes d’âge confondues. Un chiffre qui grimpe à 65 % pour les 75 ans et plus, la cible visée étant les 80 %. Sans surprise, c’est le vaccin Pfizer qui arrive en tête des doses injectées (71 %), suivi de l’AstraZeneca (20 %) et du Moderna (9 %).

A noter qu’au registre du pourcentage de Français partiellement vaccinés, la Bourgogne se hisse à la quatrième place des régions, avec près de 18,4 %. Plus que la moyenne nationale.


Une nouveauté : l’opération « Allez vers », lancée par la CPAM, visant à téléphoner aux 75 ans et plus, pour les inviter à venir se faire vacciner. Sur l’ensemble du département 5 534 personnes étaient concernées à mi-avril. Le but étant de franchir le cap des 80 % de vaccinés et parvenir à un taux d’immunité collective de cette tranche d’âge.

 

Dominique BERNERD

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les dates des régionales entérinées de manière définitive par le Premier ministre il y a peu, les forces en présence se lancent désormais dans la bataille. Celle menant au premier tour du scrutin prévu le 20 juin. La majorité présidentielle n’aura guère tardé avant de lancer sa campagne officielle qui faisait halte ce mardi 20 avril dans le premier des huit départements concernés : l’Yonne. C’est à Coulanges-la-Vineuse, reflet bucolique de la campagne auxerroise, que s’est tenue la conférence de presse dévoilant la liste des prétendants aux postes de conseillers régionaux…

 

COULANGES-LA-VINEUSE : Rassembler et agir bien au-delà des clivages habituels. Dans le seul et unique intérêt des citoyens de la Bourgogne-Franche-Comté, région en proie à une triple crise : la sanitaire, la démographique et l’économique. Tel est le credo fondamental et ambitieux de la liste « La Région partout et pour tous ! » dont la tête de gondole n’est autre que le maire de Nevers, le Marcheur Denis THURIOT.

Mardi en début d’après-midi, l’édile de la Nièvre, accompagné de plusieurs représentants de la majorité présidentielle qui ont su poser judicieusement leurs jalons dans notre contrée depuis l’éclosion du macronisme, rencontrait lors d’un exercice oratoire qu’il affectionne les journalistes.

Une conférence de presse, synonyme d’explication de texte audible afin de cerner du mieux possible les enjeux de cette échéance présentée comme capitale, un an avant le grand raout électoraliste de mai 2022.

Odile MALTOFF, élue de la petite localité viticole, accueillait ses hôtes sous un sympathique soleil printanier sur le parvis de la Maison du Pays Coulangeois qui n’avait pas connu pareille réunion depuis des lustres ! Coronavirus et restrictions sociales oblige ! Un amical clin d’œil de l’astre diurne dardait de ses rayons salvateurs ces personnalités politiques au profil pourtant disparate : cela augurait-il d’une réunion de haute volée ?

 

 

Inverser la spirale du déclin de la Bourgogne-Franche-Comté…

 

Qualifié à maintes reprises de rencontre déterminante, voire historique par ses interlocuteurs dixit la formule « On se souviendra longtemps de ce mardi 20 avril ! », ce rendez-vous initial, prélude à une courte campagne électorale amputée du moindre meeting public, offrit l’opportunité au chef de file de cette liste plurielle de tester ses arguties avant d’entamer des exercices similaires dans les sept autres départements.

Première curiosité qui ne manqua pas d’interpeller les fins observateurs de la chose politique que sont vos serviteurs, c’est-à-dire les médias, la présence quasi côte à côte à la table de deux conseillers régionaux encore en poste sous la mandature DUFAY : à savoir le patron d’AGIR La Droite constructive de l’Yonne, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, et la déléguée régionale de Territoires de Progrès Muriel VERGES-CAULLET.

Siégeant pourtant sur des bancs différents dans l’actuel hémicycle régional, ces deux figures de la politique icaunaise se retrouvent « associées » et en excellente posture dans la même aventure électorale. Une constatation liminaire qui fait déjà office d’évènement !

Serait-ce l’une des meilleures traductions de ce rassemblement volontariste et non partisan concocté bien au-delà des clivages exprimés par les formations traditionnelles incarnée par le mouvement politique qui se reconnaît en Emmanuel MACRON ? 

En tout cas, l’expression « rassemblement » aura été énoncée à de multiples occasions dans la bouche de Denis THURIOT qui en parfait maître de cérémonie aura rappelé les objectifs impérieux de ce scrutin. Du pragmatisme et de l’humilité au service de tous !

 

 

 

 

 

 

Bref, ces arguments ne pouvaient que séduire l’un des membres du gouvernement, le secrétaire d’Etat en charge du Tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE, venu dans le Coulangeois, pour adouber à 100 % cette liste défenseuse du bilan élyséen.

D’ailleurs, l’élu du Gâtinais eut des mots empathiques pour le porte-étendard de la majorité présidentielle, soulignant que « Denis THURIOT n’avait pas été choisi à la tête de cette liste pour ses beaux yeux mais bel et bien par ses réussites rencontrées dans la cité ducale… ».

En filigrane, le représentant de l’Etat accorde toute sa confiance à l’avocat de Nevers pour qu’il inverse la spirale du déclin observée sur notre contrée une fois élu au poste suprême ; c’est-à-dire juguler cette régression inéluctable qui a pris la forme d’un triptyque sanitaire, démographique et économique.

La réponse du maire de la capitale de la Nièvre à ce portrait complaisant peint par le ministre fit mouche auprès de l’assistance avec un zeste d’humour et de pertinence : « Mes yeux sont de couleur marron, avec le regard de celui qui sait d’où il vient et qui sait où il va…Soit à la conquête de la région ! ».

 

 

La part belle aux jeunes et aux membres de la société civile…

 

Il était temps ensuite de dévoiler la liste des douze colistiers qui accompagneront le ticket SAULNIER-ARRIGHI et VERGES-CAULLET dans la conquête des suffrages sur le département de l’Yonne.

C’est le président d’AGIR La Droite constructive en personne qui égrena un par un les patronymes de ces candidats, les invitant pour celles et ceux qui étaient présents dans la salle, à se lever et à expliquer leurs engagements en quelques mots succincts.

Parmi les particularismes de cette mosaïque de noms à composante LREM, MODEM, AGIR et Territoires de Progrès (un assemblage de formations de centre gauche à centre droit qui s’inspire des Européennes 2019 avec Renaissance), on notera les premiers pas de Christian DUCHET, délégué général de la Fédération départementale du Bâtiment de l’Yonne, la présence du maire de Treigny le docteur Paulo da SILVA MOREIRA, celle de Victor ALBRECHT mais aussi de jeunes loups de la politique locale à l’instar de Thomas MONARCHI-COMTE ou de Nathan DOS SANTOS.

Une liste qui fait la part belle aux jeunes et aux représentants de la société civile. S’indexant de manière naturelle dans l’esprit du mouvement politique qui avait su porter Emmanuel MACRON au sommet de l’Olympe en 2017.

 

La liste « La Région partout et pour tous » dans l’Yonne :

Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI (AGIR),

Muriel VERGES-CAULLET (Territoires de Progres),

Christian DUCHET (MODEM)

Brigitte  BERTEIGNE,

Victor ALBRECHT (LREM)

Dominique  DUSART (LREM),

Christophe PALAZOTTO (MODEM),

Cloria JAOLAZA,

Paulo da SILVA MOREIRA (LREM),

Cécile  MIGNOT (AGIR), 

Thomas MONARCHI-COMTE (AGIR),

Hélène SAADIA (LREM)

Nathan DOS SANTOS (LREM), 

Nitousing SEEDOYAL(LREM).

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Depuis des décennies, la place de la femme dans certains secteurs d’activité connaît une part de rejet. Certaines entreprises refusent même d’embaucher des femmes qui pourraient y effectuer un travail dit « d’homme ». Pourtant, des entrepreneurs plus visionnaires traitent cette problématique en prenant le contre-pied de cette tendance discriminatoire…

 

AUXERRE : Océane, une jeune étudiante qui préparait son CAP s’est vue refuser plusieurs demandes de formations au sein d’entreprises. Anciennement affectée à une formation en gendarmerie, elle s’est reconvertie dans un tout autre registre professionnel en suivant un apprentissage de magasinière au sein de l’entreprise Joël LEFEVRE, concessionnaire de poids lourd DAF à Appoigny.

Elle avait entendu parler de ce métier et souhaitait l’essayer. De ce fait, elle a déposé plusieurs CV. Sa place dans ce corps de métier a été remise en cause plusieurs fois. Des absences de réponses, des refus ont été au rendez-vous pour la jeune fille. Un de ses CV n’a pas été accepté par une entreprise car celle-ci ne possédait pas de vestiaires spécifiques pour les femmes…  

 

 

Un réel problème de discrimination professionnelle dans l’Hexagone…

 

Se faire refuser un CV en raison de son sexe est une forme de discrimination à l’embauche. Il est par ailleurs inscrit dans le Code du Travail à l’article L1132-1, qu’« aucune personne ne peut être écartée d’une procédure de recrutement ou de nomination ou de l’accès à un stage ou à une période de formation en entreprise […] en matière de […] son sexe, de ses mœurs… ».[1]

Le secrétariat d’État chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations a publié un dossier en 2019. La conclusion serait que l’inégalité est toujours d’actualité.

D’après les résultats publiés par Eurostat et l’INSEE puis relayés par le secrétariat d’État en 2018, en France, le taux d’emploi des 15-64 ans, selon le sexe possède un écart. 68,9 % des hommes ont un emploi contre 61,9 % des femmes. La parité n’est ici pas totalement présente. [2]

 

 

Une ouverture d’esprit qui augure d’un nouvel avenir…

 

Fabrice LEFEVRE, directeur général de l’entreprise éponyme, ne voit pas les choses de la même manière. Il a décidé d’accepter Océane pour qu’elle ait l’opportunité de découvrir ce qu’elle voulait faire professionnellement.

N’ayant pas non plus de vestiaires pour les femmes, il lui a fait un aménagement afin qu’elle puisse se changer en toute intimité au même titre que les hommes.

Il n’y a aucun problème d’acceptation des femmes dans son entreprise. Il suffit d’aimer le métier et d’avoir de la volonté. Après cela, le directeur général de l’entreprise n’y voit aucun inconvénient.

Sur 220 salariés employés par la SAS Joël LEFEVRE, 20 % sont des femmes. Il assure même que cela deviendra équitable au sein de l’entreprise avec le temps. Tant qu’il y a de la demande et des compétences, les hommes et les femmes seront acceptés. Au sein de la vingtaine de concessions du groupe, celle d’Appoigny accueille le plus de femmes dans ses équipes.

Selon Océane, ces refus d’embauches vont évoluer car il y a de plus en plus de demande de la part de la gent féminine pour ces métiers qualifiés de masculin.

Les entreprises n’auront alors pas d’autre choix que de faire une place pour les femmes dans leurs effectifs.

 

En savoir plus :

[1] https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042026716/

[1] https://www.egalite-femmes-hommes.gouv.fr/wp-content/uploads/2019/05/30652-DICOM-CC-2019-essentiel.pdf

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil