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Désormais bien ancré dans le paysage culturel auxerrois, le festival des Rues Barrées a pour sa sixième édition battu tous les records en termes de fréquentation. Près d’une cinquantaine de spectacles au menu et autant de petits bonheurs plébiscités par un public gourmand de rires et de bonne humeur. Belle manière pour certains, de prolonger les vacances et d’effacer des esprits, le temps d’un week-end, la morosité de la rentrée à venir…

 

AUXERRE : A les voir sillonner les artères du centre-ville, le visiteur de passage peu au fait de l’actualité auxerroise, pouvait légitimement penser qu’en cette fin d’été, avait sonné l’heure de la transhumance pour tout ce qui s’apparentait à des transats, fauteuils et autres tabourets pliants ! Mieux valait, en effet, s’être muni du précieux ustensile pour espérer trouver une place assise et assister confortablement aux différents spectacles proposés. La notoriété du festival des « Rues Barrées » ne cesse de croître au fil des années et le public venu en nombre ne s’y trompe pas, communiant dans le rire, la poésie, les arts du cirque ou bien la magie, avec des artistes porteurs de rêves.

 

 

Des « ballerines » toutes de roses vêtues rue de Paris

 

Ouvrant le bal des festivités en ce samedi après-midi, ces « ballerines » en tutu avaient fière allure, toutes de rose vêtues et aux jambes gainées de bas blancs pour mieux cacher une pilosité très masculine ! Mêlant pas chassés et entrechats, entraînant dans leur sillage, rue de Paris, tel le joueur de flûte de Hamelin, tout un flot de spectateurs. Mais gare à l’imprudent qui s’approcherait d’un peu trop près, complice éphémère bien vite entraîné à son insu dans leur danse.

A quelques pas de là, place des Cordeliers, un couple de compères au nom prédestiné, « Garçons, la note », guitare et contrebasse en main, proposait au public leurs chansons à la carte, à partager et déguster sans modération. A peine dix minutes de marche pour rejoindre rue du Pont, Joseph et Eugénie, passés maîtres dans les arts circassiens mêlant acrobaties et jonglerie. Ou comment se reconstruire après un accident du genou en une chorégraphie inspirée par le rythme et la poésie. « Dont’worry », n’ayez pas peur et laissez-vous entraîner par la chanson éponyme qui tisse le décor de leur numéro, « Be happy » tout simplement !

 

 

 

Magie, équilibrisme, humour : la recette de ce festival

 

Dans un autre registre, comment ne pas tomber sous le charme d’Edgar et sa tente à roulettes venue d’ailleurs, « Objet Public Non Identifié » aux allures de cabinet mystère ? Passé par le monde du stand-up, Stéphane AMOS n’a pas son pareil pour se lancer dans une improvisation interactive avec le public, autour de numéros de magie théâtralisés à l’humour décapant. Les festivaliers ne s’y sont pas trompés et les quatre représentations ont fait carton plein de spectateurs. Comment ne pas évoquer également la prestation des acrobates danseurs de la Compagnie « Si seulement », où, autour d’un mât chinois, un homme et une femme défient les lois de la pesanteur, semblant se fondre dans leur univers épuré au seul son des guitares… Ou bien encore ce voyage intérieur proposé par Mira’T, sur le parking de la Tournelle, jouant de sa balance, en quête des limites des lois de l’équilibre, pour mieux nous interroger sur la fragilité de la condition humaine…

 

 

Eviter à tout prix le phénomène de concentration du public

 

Si le choix de la municipalité de déplacer d’une semaine le festival pour le jumeler avec la traditionnelle braderie organisée fin août par les commerçants auxerrois est manifestement le bon et un pari réussi au vu de l’affluence constatée dans les artères du centre-ville ce samedi, les « Rues Barrées » seront-elles un jour victimes de leur succès ?

Pour preuve, les longs moments d’attente, sous le soleil parfois, pour espérer profiter au mieux et dans les meilleures conditions des spectacles proposés, face à une affluence grandissante d’année en année.

Ne vaudrait-il pas mieux programmer des numéros un peu moins longs et les multiplier tout au long de la journée, quitte à les faire se chevaucher, de sorte d’éviter le phénomène de concentration que l’on connaît aujourd’hui, avec parfois jusqu’à plusieurs centaines de spectateurs réunis au même moment au même endroit ?

 

Dominique BERNERD

 

 


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Dans un cadre d’exception – le splendide château du XVIème siècle de Looze qui par ailleurs est une propriété privée et ne se visite pas d’ordinaire -, il est judicieux de proposer un spectacle de belle envergure, histoire de marquer singulièrement les esprits. Ce sera chose faite en cette journée dominicale, aux alentours de 18h30. Dans ce havre de paix bucolique et champêtre, deux contes de Jean de La FONTAINE y seront mis en scénographie musicale à l’initiative de la Compagnie « Belles Dances ». Quand le sublime se confond avec l’onirique…

 

LOOZE : D’abord, il y a le choix des musiques. Celles qui seront délicieusement interprétées par Marianne MULLER, une esthète de la viole de gambe qui jouera tout en finesse de son instrument si spécifique que les jeunes générations ont oublié de découvrir. Extraites des répertoires de compositeurs de la période baroque, ces œuvres ont pour estampille Jean de SAINTE-COLOMBE, Marin MARAIS, DUBUISSON, DEMACHY, ABEL, HUME, sans omettre le contemporain de cette liste, le Perpignanais Bruno GINER.

 

La richesse d’un auteur qui ne se résume pas à un seul de ses contes

 

Et puis, il y a en contre-point le récit. Troublant, riche, émotionnel, érudit, qualifié jadis de licencieux par la bien-pensance de l’époque. Celle qui critiquait le fabuliste (et fabuleux !) Jean de LA FONTAINE. Une plume, un génie de la libre-pensée. Adorateur de la provocation dans ses textes ô combien d’actualité ! On se limite trop souvent à n’en connaître que l’une de ses fables les plus populaires, « La Cigale et la Fourmi », apprise dès notre jeunesse sur les bancs de l’école primaire. Quelle erreur ! Il faut se replonger sans modération dans l’œuvre éclectique et riche de cet auteur pour mieux en appréhender toutes les subtilités et les messages, livrés grâce à la malice et l’intelligence de ces « animaux » qui grâce à lui sont dotés de la parole pour mieux juger l’espèce humaine !

 

 

Les tourments amoureux transfigurent l’être humain

 

Ici, le récit émane d’une comédienne pluridisciplinaire, Christine BAYLE qui captivera à l’énoncé de ses mots dictés parfois avec une prononciation bien choisie et avec talent le public. Danseuse soliste, chanteuse, compositrice de pièces contemporaines, actrice de théâtre – elle se délecte des personnages incontournables qui parsèment les textes de MOLIERE ou de la Commedia dell’arte-, rédactrice d’articles consacrés aux grands maîtres et influences du classique, la conteuse campera sur scène tour à tour les personnages de deux contes que sont « La Matrone d’Ephèse » et « La Courtisane amoureuse » où Jean de La FONTAINE raconte avec son style épistolaire les tourments de l’amour.

L’amour, qui transfigure une veuve qui ne pensait qu’à la mort pour finalement tout oublier dès que Cupidon revient ! L’amour qu’une pauvre courtisane subit de plein fouet avec moult épreuves à accomplir afin de convaincre un jeune homme qu’elle l’aime !

Tous les personnages sont interprétés ici avec maestria par une Christine BAYLE qui se veut cocasse, gaillarde, coquine, maline aussi, en leur prêtant âme et la vie. Le tout est baigné de ces délicates ponctuations musicales, baroques ou non, où Marianne MULLER excelle avec son instrument d’un autre âge.

On redécouvre derrière l’ironie la langue unique d’un Jean de la FONTAINE que les incultes ont parfois trop vite enterré de leurs lectures (si tant est qu’ils lisent d’ailleurs !).

C’est gai, c’est beau, c’est joliment ficelé, c’est épicurien, c’est poétique et cela se déguste à satiété dans ce cadre exceptionnel comme au temps des rois au château de Looze ce dimanche tantôt !

 

 

En savoir plus :

« Le Jeune Amour » spectacle donné au château de Looze

Dimanche 27 août 2023 à partir de 18h30.

Christine BAYLE, comédienne et Marianne MULLER, instrumentiste à la viole de gambe, de la Compagnie BELLES DANCES

Réservation au 06.72.62.60.51 ou 01.48.04.85.94.

    

Thierry BRET

 


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A la fin de la semaine, « Le Rendez-Vous », restaurant connu depuis 2006 pour ses belles spécialités bourguignonnes (jambon persillé, croustillant de pied de veau....) fermera ses portes de la rue du Pont. Une autre histoire commencera alors dès cet automne  pour cet antre gourmand qui fut antan....un restaurant grec !

 

AUXERRE : Bref retour en arrière ! C'est en 1978 que la famille SAUNIER débarque dans la préfecture icaunaise : Jean-Pierre, son épouse Marie-Paule et leur fille Claire, âgée de 6 ans. Fier de son terroir bourguignon et de ses racines saône-et-loiriennes, « le Jean-Pierre » possède un beau parcours culinaire à son actif : apprentissage chez LAMELOISE à Chagny, « Le Fouquet's »  parisien, moult tables étoilées, des palaces monégasques...

Mais cette année-là, sur les affiches des élections législatives du mois de mars, c'est un autre « JP » qui par affiche interposée l'affirme : « la majorité aura la majorité ». Mêmes prénoms,  mêmes initiales, « JPS », un cuisinier, un édile-ministre....qui deviendront pote pour la vie. L'Amitié avec un grand A....ça compte chez les SAUNIER !

Voilà donc le restaurant « La Marmite » qui ouvre ses portes (désormais, c'est «L'Aspérule »). Le tiercé gagnant ? Escargots à la bourguignonne, œufs en meurette, rognon de veau à l'aligoté accompagné d'une onctueuse purée. Les clients arrivent  en nombre, beaucoup deviendront de fidèles copains.
Puis direction les quais auxerrois en 1985. Ce sera la grande aventure du « Maxime », celles aussi des belles années de l'AJA, et de ses matchs européens à rebondissement, parfois.

 

 

 

Une clientèle impatiente de découvrir la patte du chef

 

 

Le second de « JP » est alors Manu DELANNOY, un petit jeune prometteur. La rôtisserie, quant à elle, ne désemplit pas : poulet de Bresse, canettes, homards, dont les sucs étaient délicatement recueillis dans le lèche frites, un rien additionnés d'estragon, puis montés au beurre et transformés en sauce divine. Dans ces années-là, Eve, la petite sœur de Claire naît. Pourtant, le début du XXIe siècle sonnera le glas de ces belles années culinaires de Jean-Pierre SAUNIER.

En 2006, c'est le début de l'histoire conjointe du « Rendez-Vous ». Jean-Pierre et Claire...retrouvent la rue du Pont. La clientèle impatiente attend à la porte, heureuse de retrouver cette cuisine rassurante, et le coup de patte du chef ! Cervelles de veau meunière, coq au vin, roulade d'œuf au foie gras, sans oublier parfois un « p'tit » pigeonneau, pour terminer par une crème aux œufs de belle texture. Un inspecteur du Michelin complimenta d'ailleurs,  un jour le cuisinier l'excellence de sa sauce béarnaise ! 

 

 

 

 

Dix-sept années de belle complicité culinaire entre le père et sa fille

 

Le comptoir en zinc, ce conducteur de l'amitié cher au sieur Antoine BLONDIN, concourt aussi à la réussite de l'endroit : une coupelle de crevettes grises, un Saint-Bris de chez Philippe DEFRANCE et deux « blagounettes » de notre marmiton : le tour est joué ! Son paternel parti en retraite, c'est courageusement que Claire termina seule ces dix-sept années d'une belle aventure, épaulée par chef Paul.

C'est un au revoir sincère et un peu tristounet aussi que l'on adresse en ce jour à cette belle famille SAUNIER, qui 45 ans durant, régala ses convives de l'Auxerrois mais aussi d'ailleurs. Demain, demeurera-t-il des aubergistes à la SAUNIER pour nous accueillir de la sorte et nous régaler ?
Mais quelque chose me dit que l'on pourrait bientôt  retrouver Claire, dans un bel établissement, quelque part au nord d'Auxerre et au sud de Sens. Et pourquoi pas un jour prochain, oeuvrant de concert avec Eve, sa sœur : l'avenir nous le dira !

Mais, terminons notre goûteuse assiette. Au revoir, les amis. Pour sûr, vous allez nous manquer…

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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C’est presque une histoire de fantômes à la sauce britannique, of course, qui nous est proposée là par la programmation des Rencontres Musicales ! Ceux de John LENNON et de George HARRISON qui croisent l’ectoplasme de feu le compositeur anglais du XVIIème siècle, Henry PURCELL lors d’une improbable scénographie instrumentiste ! Qui sait si les deux BEATLES survivants, Paul McCARTNEY et Ringo STARR, ne seraient pas de passage sur la « Colline éternelle » pour couronner le tout !?

 

VEZELAY: Décidément, les « Quatre Garçons dans le vent » font toujours recette du côté de l’emblématique cité vézelienne. Déjà programmés en mai dernier lors d’un splendide week-end qui leur fut consacré par la Cité de la Voix, les « Fab Four » de Liverpool nous reviennent de façon mémorielle et nostalgique cet été en guise de sympathique hors d’œuvre pour l’ouverture des 23ème Rencontres Musicales ce jeudi. Un rendez-vous de haute volée que les mélomanes et férus de classique ne manqueront pas de suivre et d’apprécier durant les trois prochaines journées.

Au printemps dernier, trois journées de conférences, concerts et restitution d’un stage de chant avaient permis aux aficionados de la célèbre formation de la pop anglaise de se délecter en réécoutant, via des interprétations originales novatrices assurées par des musiciens issus de multiples horizons, les incontournables morceaux du groupe ayant vendu plus d’un milliard de disques dans le monde.

L’une de ses formations, les PALADINS, avait déjà pris part à cette belle aventure rétrospective de la carrière de John, Paul, George et Ringo. Ces mêmes PALADINS nous reviennent donc en ce jeudi 24 août en l’église Saint-Jacques-le-Majeur à Asquins pour ouvrir le bal de cette exquise farandole musicale, à consommer sans modération !

Mais, cerise sur le gâteau, les cinq chanteurs et musiciens (Jérôme CORREAS, clavecin, orgue et direction), Magali LEGER (soprano), Amandine BONTEMPS (soprano), Jean-François LOMBARD (ténor) et Arthur CAMBRELING (viole de gambe) ne se cantonneront pas à la relecture vocale et instrumentale originale des airs des « Quatre de Liverpool ». Ils y ajouteront un autre invité de marque, le compositeur anglais Henry PURCELL. Le créateur de la musique baroque à la sauce made in England ! Opéra, musique de chambre, cantates profanes et religieuses parsèment l’œuvre du compositeur dont la source d’inspiration fut les éléments stylistiques italiens et français en la matière.

Alors, serait-ce ce jour une rencontre improbable entre les BEATLES et PURCELL ? En tout cas, elle a le mérite de se mettre à nue pour le plus grand plaisir des mélomanes avertis. Ce public de Vézelay ouvert à toutes les expériences musicales…

 

En savoir plus :

Ouverture des 23èmes Rencontres Musicales de Vézelay

Eglise Saint-Jacques-le-Majeur à Asquins à 14h30

« BEATLES Baroque » par les PALADINS.

 

Thierry BRET

 


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C’est la sixième édition pour l’un de ces festivals artistiques très attendus par la population icaunaise, et auxerroise, en particulier. Du 25 au 27 août, le centre-ville de la capitale de l’Yonne va se métamorphoser pour accueillir une vingtaine de compagnies hexagonales et européennes spécialisées dans les spectacles de rue. Un supplément d’âme culturel qui fera vibrer un public qui en redemande déjà…

 

AUXERRE: C’est désormais une tradition. Chaque dernier week-end du mois d’août correspond à la tenue de ce rendez-vous, mêlant liesse et joie parfois enfantine parmi un public, toujours impressionné par les prouesses expertes de ces saltimbanques en lettres d’or. Ces artistes de rue qui écument tout l’été les grands rendez-vous hexagonaux leur permettant d’offrir le meilleur d’eux-mêmes devant le public.

Aurillac, Chalon-sur-Saône, et maintenant Auxerre intègrent ce club un peu restreint en France où les spectacles de rue prennent corps dès l’été revenu au beau milieu du patrimoine historique d’une cité.   

Porté par la collectivité, ce festival s’ouvrira ce vendredi avec le spectacle proposé par la Compagnie du Deuxième (« Animaversaire »). Il se clôturera deux jours plus tard par le programme concocté par PAKIPAYA, une compagnie apparue en 2008 et née de la rencontre de Noémie DIAZ et Adria MASCARELLI, réalisateurs, créateurs et interprètes de talent. « Shake, Shake, Shake » - la honte dans la langue de Shakespeare – en sera leur contribution physique.

In fine, nombreux seront les acrobates, danseurs, jongleurs, comédiens, chanteurs, et autres à investir les rues de la ville pour y porter le rêve et l’émotion.

 

Thierry BRET

 


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