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Est-ce véritablement une surprise ? A y regarder de plus près, pas vraiment ! Tant la jeune fille est pétrie de talent. Dix-neuf printemps, à peine, et déjà un sacre qui n’a rien avoir avec le printemps (les mélomanes y retrouveront leur compte !). Un titre de « Meilleur apprenti cuisinier de France » qu’il aurait été logique de féminiser, en guise d’hommage à la nouvelle impétrante. Ayant fait ses gammes au CIFA d’Auxerre, berceau de l’excellence en matière d’apprentissage, Lily-Rose MARTENS (elle possède déjà le prénom d’une star) est la quatrième concurrente de la gent féminine à s’imposer dans ce glorieux concours. Respect !

 

LYON (Rhône) : Le regard est malicieux. Le visage, encore juvénile. Normal, Lily-Rose MARTENS n’a pas encore vingt ans ! Pourtant, son patronyme fait ce jour la une de la presse régionale et de la presse spécialisée dans les arts de la table. Celles qui évoquent les portraits des récipiendaires de ces trophées et autres défis des plus significatifs en matière de gastronomie.

Dans le cas présent, il s’agit du concours du « Meilleur apprenti cuisinier de France », porté par les Maîtres Cuisiniers hexagonaux. Un accessit prestigieux, que les esthètes de la bonne table savent apprécier à sa juste mesure. Une jeune troyenne, immergée au sein du centre interprofessionnel de formations d’apprentis d’Auxerre – ce fameux CIFA de l’Yonne que tout le monde nous envie ! – vient de se distinguer de la plus belle des façons. En faisant la nique à ses douze autres camarades, finalistes de cette épreuve de renommée, en étant sacrée « reine de France » !

 

 

Une « reine » qui aura su jouer sur les deux tableaux du pouvoir suprême, en vérité. Le titre honorifique qui devait l’attendre au terme de cette compétition difficile pour le mental et âpre au niveau physique. Mais, aussi le premier prix obtenu sur la conception du plat principal, un pavé de sandre et pochouse de brochets, accompagné de son gâteau de farce de sandre. Rien que de l’écrire, noir sur blanc, on en a déjà le palais qui salive (véridique !). Comment le jury, composé de professionnels épicuriens, aurait-il pu résister ?

Une surdouée, Lily-Rose ? Peut-être ! Déjà, le CAP cuisine, elle l’a décrochée une fois le baccalauréat en poche en un an au lieu des deux saisons habituelles, nécessaires à son obtention. Un petit prodige que les formateurs du CIFA suivaient de très près. Préparant à date la mention complémentaire en dessert dans l’établissement que gère son père à Troyes (« La Toupie Midi O’Halles »), la jeune fille intègre désormais le Cercle, non pas des poètes disparus, mais de ces jeunes cheffes plébiscitées pour leur talent. Une étoile est née. Gageons qu’elle brille longtemps dans la voûte céleste de sa corporation…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Décor dans son jus et plats en sauce ! C'est l'équation gagnante de ces institutions bourgeoises ou populaires, mais toujours sincères : bienvenue au « Bon Georges », au cœur de la capitale hexagonale, dans le IXème arrondissement, surnommé le « quartier des assurances » ! Meilleurs vœux gourmands pour cette année nouvelle qui débute…

 

PARIS : Direction « Paname » ! C’est si facile d'accès en chemin de fer, comme il se disait antan ! Pas à dire, mais « Le Bon Georges » possède une vraie âme. Les tarifs, malgré une formule-déjeuner à 26 euros, sont plutôt parisiens. Mais, les produits servis sont d'une qualité extrême. Autour de nous, c'est le monde reconstitué en quelque sorte, avec des touristes venus du Brésil, des Etats-Unis ou encore de la plus proche Espagne ! Tous lorgnent sur les œufs mayo qui sont proposés à 9 euros à l'ardoise.

Quant à la carte des vins, elle est opulente et parfois inattendue. Comme avec ce Côte d'Auvergne de Boudes (un vin de Boudes, rien ne boude comme l'atteste le dicton local) qui constitue une agréable surprise en bouche. Mais, aussi un bon rapport qualité-prix.

 

 

 

Le pavé de foie de veau : le classique de la maison

 


L'apéritif est servi sans aucun accompagnement à grignoter. Ce qui au regard des tarifs pratiqués semble un geste aussi peu commercial que mesquin. Cela n'honore pas vraiment nos restaurateurs. L'assiette d'œuf poché arrive impeccablement chaude. Cette entrée est très généreusement servie, entre gros lardons et champignons, et l'on se régale en ce jour humide de fin d'automne. Le genre de plat qui revigore le convive, si besoin était.

En plat, l'un des classiques de la maison, c'est le pavé de foie de veau, agrémenté de sa purée, bien dressée dans de jolies assiettes, qui changent des trop sempiternelles assiettes blanchâtres. C’est un plat qui donne envie d'y planter généreusement sa fourchette. Ici les cuisiniers proposent aussi du gibier en saison (ça aussi, cela se raréfie, dommage car c'est plutôt bon, si l'on est amateur !).

 

 

 

 

Vive les légumes de saison comme les choux de Bruxelles

 

Dans cette maison où l'on mijote, rissole et rôtit, le pavé de biche n'échappe pas à la règle. Il est servi avec une sauce onctueuse, un rien acide (cela facilite la digestion) et accompagné de légumes de saison, dont châtaignes et verdoyants choux de Bruxelles (délicieux légume de saison, un brin laissé pour compte désormais...).

On aimerait en saison, goûter dans cette bonne table, le lièvre à la royale, sûrement LE mets le plus abouti de la Gastronomie française. Ce sera pour l'automne prochain.

En dessert, le marron a droit de cité. Il est à côté du plus classique moelleux au chocolat, qui ici, cohabite avec le dessert emblématique et reconnu de la maison : la mousse au chocolat.

La prune de Souillac (alcool fin et délicat) accompagne ici le café, comme un réconfort ultime,  d'avant la pluie extérieure ! Finalement,  « Le Bon Georges », c'est un « p'tit » coin de la France gourmande, ni plus, ni moins...

 

 

 

En savoir plus

 

Les - : c'est un peu mesquin de ne rien offrir avec l'apéritif ! Une rondelle de saucisson, une gougère, que sais-je encore ? Et surtout, que l'on ne nous évoque pas un surcoût engendré...

Les + : la savoureuse cuisine est emmenée par un service aimable et professionnel. Bravo pour la maîtrise de l'anglais : nos touristes étrangers apprécient.

 

 

Contact :

 

Le Bon Georges

45, rue Saint-Georges

75009 PARIS

Ouverture 7/7, terrasse aux beaux jours

Tel : 01.48.78.40.30.

La formule-déjeuner est proposée à 26 euros.

Métro : station Saint-Georges (ligne 12).

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Le record de fréquentation est battu. Avec 60 416 entrées, obtenues sur la seule saison écoulée, l’Abbaye Saint-Germain est devenue l’un des piliers du tourisme auxerrois. Conformément aux objectifs ambitieux que s’étaient fixés en début d’année la Ville d’Auxerre. Les raisons de cette recrudescence du nombre de visiteurs ? Le partenariat liant le site médiéval avec le Centre Pompidou et les expositions qui en découlent…

 

AUXERRE : On nous annonce d’ores et déjà de nouvelles surprises ! Elles sont promises par le service Communication de la Ville. Une saison 2024 à peine naissante, qui pourrait donc être toute aussi dynamique que celle qui vient de s’écouler.

En tout cas, le partenariat avec le Centre Pompidou parisien et une programmation soutenue de rendez-vous culturels et artistiques dont les fameuses Conversations, cycle de conférence de haute volée chère à Céline BAHR et à l’ancien député, Guillaume LARRIVE, ont fait des merveilles en termes de fréquentation de ce site patrimonial exceptionnel.

 

 

Les chiffres viennent de tomber. Pour l’année 2023, ce sont 60 416 personnes qui ont ainsi rendu une visite plus que de courtoisie à ce glorieux vestige de l’Histoire, un chiffre qui permet de dépasser les ambitions initiales du début d’année établies à 60 000 personnes.

Le précédent record de fréquentation remontait à 2019, juste avant la crise sanitaire avec 55 000 entrées. Le monument phare de l’histoire d’Auxerre bénéficie du souffle novateur donné par le projet de rénovation (où en est par ailleurs la campagne participative autour de la souscription permettant de contribuer au financement des travaux ?) et de la Cité de la Parole et du Son. De bon augure pour le rayonnement touristique de la capitale de l’Yonne et de son département.

 

Thierry BRET

 


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Il va nous manquer. Son indéfectible sourire. Sa gentillesse, aussi. Celles et ceux qui le côtoyaient lors de rendez-vous ponctuels organisés avec la presse dans ce lieu magique ayant pour vocation de ressusciter l’esprit de ces Gaulois si réfractaires à l’idée de se faire envahir par Jules CESAR (MuséoParc) ont eu beaucoup de peine à l’annonce de la terrible nouvelle. Triste manière de débuter l’année. Sébastien PITOIZET, diplômé du Master EUROMEDIAS de l’Université de Bourgogne à Dijon, et pro de l’image a rejoint Vercingétorix et les fiers combattants d’Alésia, de manière si brutale que l’on ne peut qu’en pleurer…

 

ALISE-SAINTE-REINE : La date restera gravée dans les mémoires. Celle du 04 janvier 2024. Alors que les mails qui s’amoncellent sur les ordinateurs ne contiennent que des messages de vœux et de souhaits éclectiques auxquels il faudra répondre, un communiqué de presse, émanant de Christine MULLER-WILLE, la responsable des relations presse du « MuséoParc » d’Alésia capte l’intérêt. Il y est question d’hommage de toute l’équipe à…Sébastien PITOIZET. Un joli portrait de ce dernier, réalisé par Sonia BLANC, ornemente le document. Etrange. En effet, c’est plutôt Sébastien qui propose d’ordinaire des clichés. Notamment ceux de ce site touristique très prisé des passionnés d’histoire, de Romains, de Gaulois. Depuis 2011, déjà. Epoque à laquelle le garçon a souhaité rejoindre la structure de Côte d’Or qui a aujourd’hui le vent en poupe en termes de fréquentation et d’attractivité. Lui, le natif de l’Auxois.

Sébastien PITOIZET nous a donc quittés. De manière soudaine, juste au sortir des fêtes. C’est brutal. A 35 ans et dans un tragique accident de la circulation. Président du site touristique de Côte d’Or, Marc FROT n’a pas de mots. Laurent BOURDEREAU, directeur des lieux, non plus. Toute l’équipe de ce musée pas comme les autres qui draine petits et grands dans l’univers de nos racines hexagonales est consternée.

 

 

Une récompense en 2018 pour une vidéo…

 

Chargé de communication et webmaster, le garçon a travaillé aux côtés de sa responsable, Stéphanie FOCE, à l’évolution de la stratégie de communication de cet établissement depuis son ouverture. Un collègue, forcément très apprécié de tous. Cool dans son attitude, amateur de rock option métal, d’histoire (nécessairement dans un tel lieu), Sébastien prenait à cœur chacun des projets sur lesquels il intervenait. Une implication qui fut récompensée en 2018 en remportant le trophée « Cerclecom » de la meilleure vidéo diffusée sur les réseaux sociaux avec l’équipe de communication du MuséoParc d’Alésia.

Soucieux de transmettre son savoir-faire et de rester au plus proche des évolutions de son métier, Sébastien PITOIZET assurait des cours au sein du Master Communication numérique des organisations de l’Université de Bourgogne à Dijon. Douze années de son existence à accueillir stagiaires et apprentis au sein du musée côte d’orien, au service de la notoriété du site.

C’est sûr : son sourire et sa faconde nous manqueront. Son travail photographique, aussi. Une année 2024 qui ne pouvait pas aussi mal débuter…

 

Thierry BRET

 


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Reconnaissons-le tout de go ! Parfois, passer devant un établissement kébab n'attire pas forcément le chaland : sorte de viande tournante incertaine, odeurs improbables. Bref, cela ne suscite pas forcément l'envie. Rien de tout cela, ici : bienvenue au restaurant « Gazi Grill » près de Sens ! Les locaux sont propres. Et, l’odorant buffet fait envie. Le tout doublé d'un accueil aimable et souriant. Vite ! Attablons-nous …

 

SAINT-DENIS-LES-SENS : L'apéritif local, c'est le raki ! De l'anis gras (au Liban, son proche cousin se nomme l'arak et l'ouzo en Grèce) : il s'impose de fait. Ensuite, on choisit viande ou poisson, incluant le plantureux buffet d'entrées variées, mais aussi de légumes d'accompagnement.

Le buffet d'entrées est délicieux mais aussi pimenté : moutabal (purée d'aubergines), poivrons marinés, salade de gros haricots bien assaisonnés. Il y a l'embarras du choix. Et même une bonne soupe en ce jour frisquet. Le vin est-il turc ? C'est du yakut, ressemblant peu ou prou à du Côte du Rhône générique,  plutôt plaisant. Comme il n'y a plus de bouteille, il nous fut servi en deux demies bouteilles, passons.

 

 

Que les frites, congelées, étaient médiocres…

 


En plat, mon choix se porte sur les köftes (orthographe non garanti !). Ce sont des boulettes ou galettes de viande hachée et assaisonnée. Au Liban, ce mets est souvent servi avec une sauce tomate aux oignons, ce qui l'agrémente. Grillé, c'est bon aussi. Mais, il est dommage de servir ce plat avec de médiocres frites congelées. Elles auraient mérité le bannissement perpétuel, alors que le buffet propose de la cuisine faite maison bien meilleure, en guise d'accompagnement : estouffade de légumes, riz à la tomate, etc. Quant au pain local, il se complait avec les mets. C'est déjà ça !

 

 

 

 

Des desserts bien trop sucrés et agréables au goût…


Les desserts orientaux, on  le sait, sont un brin sur-sucrés. Dans la pâtisserie française, ce n'est plus la tendance du moment, loin s'en faut ! L'avuc dilimi (baklava à la pistache) n'échappe donc pas à cette règle séculaire, alors que l'on peut penser que moins chargé en sucre, cela serait meilleur. Mais, il nous faut nous adapter, c'est ainsi.

Un agréable moment de partage dans cet établissement lumineux, où il fait bon s'attabler, plus proche des bords de l'Yonne que du détroit du Bosphore !
Joyeux Noël à tous,  et à l'année  prochaine !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : enlevez-nous ces frites congelées, elles ne sont vraiment pas bonnes !

Les + : le service est aimable et souriant. Quant aux légumes servis sur le buffet, ils sont bons.

 

 

Contact :

 

Restaurant « Gazi Grill »

04, Rue des Wagons

89100 SAINT-DENIS-LES-SENS

Tel : 03.86.64.95.86.

La formule du déjeuner est à partir de 18 euros. Le parking est aisé.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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