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Deux cents trente jeunes recrues manquent aujourd’hui à l’appel au Service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne pour que la structure puisse répondre avec efficience et sécurité optimale à l’ensemble de ses missions via ses 36 centres de secours et 85 corps communaux implantés à travers le territoire. Complexe, l’équation ne peut se résoudre que sur la seule base du volontariat pour cet acteur économique qui accueille déjà deux mille sapeurs-pompiers volontaires dans ses rangs. Précieux auxiliaires des 238 professionnels mobilisés tout au long de l’année pour secourir la population locale, ces néophytes tant espérés représentent une denrée rare, coincés entre leurs contraintes professionnelles, leur vie familiale et l’engagement vers cette future activité qui suppose du temps et de la disponibilité…

AUXERRE : Plus de 25 000 interventions au cours de l’année antérieure. C’est le chiffre qu’il faut conserver en mémoire lorsque l’on évoque le quotidien de ces professionnels qui bravent la peur avec générosité et défiance afin de secourir du mieux possible, et dans les meilleurs délais une population bienveillante à leur égard.

Car, le sapeur-pompier, fonctionnaire territorial de son état pour celles et ceux qui ont choisi d’en embrasser la carrière, possède une cote d’amour toujours au beau fixe parmi nos concitoyens.

Des carences à éradiquer au plus vite dans le mode de fonctionnement…

Nonobstant, la pérennité de ce modèle opérationnel usité depuis des années, c’est-à-dire ce judicieux attelage mêlant adroitement professionnels et recrues extérieures, semble s’effilocher de saison en saison, faute de combattants…du feu, pourrait-on dire. Existerait-il une crise des vocations chez les jeunes et les moins jeunes de ces volontaires aptes à rejoindre les effectifs ?

« Le plus difficile aujourd’hui, argumente le colonel Jérôme COSTE, responsable du SDIS de l’Yonne, c’est de trouver une saine compatibilité entre la vie professionnelle et le vécu du sapeur-pompier au quotidien. Sans omettre de surcroît les droits et les devoirs envers les familles… ».

Différentes raisons expliquent cette délicate situation qu’il est impératif d’enrayer au plus vite. Plusieurs territoires du département, devenus parfois des cités dortoirs, présentent une disponibilité fragile entre 7 h et 18 h. Conséquence : certains centres de secours ne peuvent plus faire partir le moindre engin sur le théâtre des opérations.

Pourtant, le Service départemental d’incendie et de secours ne manque ni de moyens financiers avec un budget annuel de fonctionnement s’élevant à 31 millions d’euros ni de matériels modernes. Le problème se situe ailleurs : l’insuffisance de la ressource humaine, mobilisable en journée, en est la principale cause.

Le 04 décembre 2017, une mission de réflexion nationale englobant les acteurs clés du secours et de la prévention devait se réunir. Objectif de ces échanges : réfléchir à de nouvelles propositions permettant de refondre le plan volontariat à destination des sapeurs-pompiers. Un chiffre sera lâché à l’issue de ces concertations : garantir un socle minimum de 200 000 volontaires en France. L’identité du projet sera simple mais compréhensible : « Volontariat 2020 ».

« De facto, renchérit le colonel Jérôme COSTE, ce plan d’actions s’inscrit pleinement dans la démarche de pérennisation du volontariat souhaitée sur notre territoire. Ambitieux, le dispositif doit nous offrir l’opportunité de consolider l’organisation opérationnelle du SDIS et de garantir un véritable service public du secours dans le département de l’Yonne… ».

Encourager la conciliation entre vie professionnelle et engagement citoyen…

De manière sous-jacente, le concept devra faire émerger des préconisations concrètes afin de concilier vie socio-professionnelle et engagement volontaire de la part du nouvel impétrant.

« Nous avons même construit une communication autour de l’axiome suivant : «  Pour maintenir des secours de proximité dans l’Yonne, ensemble facilitons le volontariat chez les sapeurs-pompiers ».

Pour se faire, le SDIS a eu recours à la fine analyse et aux suggestions créatives de la société IDXPROD et de son responsable, Yannick DAVOUSE. L’autre volet du champ d’application passera par la nécessité de créer un évènementiel où seront conviés les employeurs partenaires du volontariat citoyen. Ce mardi 27 février, à Chablis, le plan stratégique du Service départemental d’incendie et de secours entrera donc dans une autre phase. Faite également de conventions de partenariat avec des organismes économiques de poids à l’instar de la Chambre de Commerce et d’Industrie…

« Il nous apparaît fondamental de faire comprendre à l’ensemble des acteurs économiques et institutionnels que d’inciter au développement du volontariat au sein des sapeurs-pompiers n’est pas une contrainte en soi. Bien au contraire, poursuit le colonel COSTE, cela doit se vivre comme un atout inéluctable au sein de l’entreprise. Ainsi, les compétences acquises par le volontaire dans le cadre de sa formation et de ses activités opérationnelles se muent en véritables avantages pour l’employeur et pour son équipe. Il endosse en simultanée le rôle de l’employé sur lequel le dirigeant peut compter avec le sens de la rigueur, du perfectionnisme et de l’altruisme ; celui de l’agent de prévention et de sécurité capable de prendre les mesures ad hoc en cas de sinistres ; celui du secouriste expérimenté et recyclé qui peut secourir un collègue en cas de besoin et in fine c’est aussi une personne formée aux risques pouvant même être un formateur en puissance auprès de l’ensemble du personnel… ».

36 entreprises ont déjà signé une convention de disponibilité…

Reste que les absences du pompier volontaire doivent s’appréhender de manière intelligente et fructueuse entre les deux parties afin de ne pénaliser ni l’une ni l’autre. C’est peut-être sur ce critère qu’il y a un risque d’achoppement…

« Pas le moins du monde, rétorque Jérôme COSTE, un aménagement du planning de la disponibilité du sapeur-pompier peut être facilement envisagé en concertation avec le chef du centre d’incendie et de secours et, évidemment, en fonction des besoins de l’entreprise. L’employeur peut délivrer des autorisations d’absence à son salarié afin de lui permettre de participer pendant son temps de travail à des actions de formations mais surtout à des missions opérationnelles. Toutefois, ces autorisations d’absence peuvent être refusées lorsque les nécessités fonctionnelles de la société s’y opposent… ».

Fort de ces principes vertueux, le SDIS propose des conventions de disponibilité, un outil souple et adaptable, avec ses partenaires issus de la sphère économique.

A ce jour, trente-six employeurs du département ont décidé d’apposer leur paraphe au bas de ce document qui est devenu le sésame indispensable pour que  le SDIS puisse fédérer en son sein de nouveaux volontaires. 76 d’entre eux peuvent ainsi se libérer afin de grossir les effectifs des centres de secours et des corps communaux de l’Yonne dans le cadre de cycle formatif ou d’interventions réelles.

Mais, on l’aura compris : cela ne suffit pas dans le contexte actuel. Or, bon nombre d’entreprises ne connaissent pas encore les items de ces conventions de disponibilité ni même leur existence.

« Nous sommes des acteurs de l’économie citoyenne à part entière, ajoute le colonel COSTE, à la croisée des chemins au niveau de la réflexion, nous espérons beaucoup de cette première soirée évènementielle de mardi. Le monde de l’entreprise a répondu présent puisque nous attendons plus d’une centaine de représentants économiques. Le SDIS a pour vocation d’évoluer en axant sa stratégie vers la mentalité de l’excellence et de supprimer les freins au volontariat. Il ne faut jamais oublier que 90 % de nos interventions se destinent vers les personnes contre 10 % consacrées seulement à circonscrire un incendie… ».

Ce 27 février, le SDIS 89 démontrera devant ce public de décideurs que la fidélisation des sapeurs-pompiers volontaires passe aussi par l’accès à l’emploi. Une convention élaborée avec les quatre missions locales de l’Yonne sera entérinée en faveur des jeunes gens âgés de moins de 26 ans.

Quant à la Chambre de Commerce et d’Industrie, elle sera associée à cette explication de texte grandeur nature en pérennisant le volontariat des sapeurs-pompiers via un document officiel.

Celui-ci portera sur trois points : la sensibilisation des employeurs au volontariat en incitant au partenariat, le maintien au plus proche de leur centre de secours des pompiers volontaires et le développement du volontariat par des actions destinées à des stagiaires qui suivent les séances pédagogiques de la chambre consulaire.

Au mois de novembre, la CCI avait initié un premier job dating réservé aux pompiers volontaires en recherche d’emploi. Une dizaine de personnes devaient y prendre part. Grâce à ces initiatives, deux sapeurs-pompiers volontaires ont réussi à trouver un emploi et un troisième a débuté une formation de reconversion auprès des services de la CCI.

Concrétiser des solutions efficaces autour de l’emploi offre une garantie intelligente de pouvoir fixer durablement les pompiers volontaires sur leur territoire.

Afin qu’ils puissent poursuivre en toute quiétude leur missions de bons offices au service de la population…


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Cette nouvelle épreuve concoctée par le conseil d’administration de l’Association AJA, organisme présidé par Michel PARMENTIER, opposera lors d’un match de gala que l’on imagine haut en couleurs ce samedi 24 février à 15 heures sur l’annexe trois du complexe sportif de l’Abbé Deschamps à Auxerre les formations U14/U15 de l’AJ Auxerre aux jeunes pousses de ce grand d’Europe. Les excellentes relations existantes entre les représentants de la structure associative de l’Yonne et leurs homologues du club ibérique entretenues depuis plusieurs saisons expliquent l’accueil de cette affiche exceptionnelle en terre Icaunaise…

AUXERRE : Nom de baptême : Trophée de l’Avenir. Concepteur du projet : l’un des piliers de l’Association AJA qui soutient les prouesses sportives de son équipe première, mais pas seulement, Alain GEHIN, une figure emblématique de la vie entrepreneuriale de notre territoire.

En étroite osmose avec le président de l’entité associative, Michel PARMENTIER, le patron de l’hôtel IBIS d’Auxerre vient de clore la finalisation d’un projet qui lui tenait à cœur depuis plusieurs mois : assurer la réception d’une formation de jeunes footballeurs issus de l’un des clubs les plus prestigieux de la planète, le Réal de Madrid. Et cette fois-ci, le rêve devient réalité tangible avec la venue ce samedi après-midi de l’écurie madrilène version U 14/U 15 !

Des confrontations savoureuses entre les deux clubs par le passé…

Toutefois, cette rencontre quasi improbable sur le fond ne correspond pas à la première confrontation entre ces deux clubs historiques du football européen. Chacun conservera en mémoire la double opposition, mettant en exergue sur le terrain les ajaïstes aux meringués lors de la saison 2010/2011. Une double rencontre qui eut lieu  dans le cadre de l’une des poules qualificatives de la Champion’s League européenne.

Angel DI MARIA, aujourd’hui buteur du Paris Saint-Germain avait alors crucifié la défense bourguignonne à l’occasion d’un âpre match aller et offert ainsi un précieux avantage avec un petit but d’avance aux Espagnols. Ces derniers confirmèrent leur statut d’immenses favoris de la compétition quelques semaines plus tard dans l’antre mythique de Santiago BERNABEU en atomisant les pauvres bleu et blanc sur un score net et sans appel de quatre buts à zéro !

Cette fois-ci, il ne s’agira pas d’accueillir les ténors populaires de ce team envoûtant qui flirte avec le toit du monde footballistique depuis des années. Mais, la jeune génération, issue tout droit du centre de formation. Bref, la relève madrilène aura pour objectif de s’imposer face aux futurs professionnels de l’AJ Auxerre.

Une délégation de trente personnes accueillie à l’hôtel de ville

« Il y a deux ans, précise Alain GEHIN, notre équipe U 17/U 18 avait pu concéder le match à égalité parfaite sur le terrain ibérique. Dans l’idée, nous nous devions de proposer une formule retour dans un delta temporel plutôt court… ».

Les juniors ont troqué leur place pour de plus jeunes joueurs à l’occasion de ces retrouvailles pittoresques. La délégation espagnole où seront présents six coaches bénéficiera des honneurs de la convivialité auxerroise avec la visite du centre de formation (l’un des tout premiers de France), la présentation officielle sur la pelouse de l’Abbé Deschamps avant le début de la rencontre AJA/Valenciennes, et une réception solennelle à l’hôtel de ville dès le lendemain.

Rompus aux rigueurs vertueuses des exercices physiques de haut niveau, ils auront pu participer auparavant, le samedi après-midi, à ce Trophée de l’Avenir les confrontant aux jeunes Icaunais.

L’expérience, de l’avis d’Alain GEHIN, devrait être reconduite dès la saison prochaine dans le même état d’esprit, soit avec la présence des compétiteurs du Réal Madrid, soit avec d’autres équivalences du circuit européen avec lesquelles l’Association AJA entretient de bonnes relations.

Provoquer une rencontre européenne de football dans l’Yonne n’est pas chose courante : alors, ne boudons pas notre plaisir d’y prendre part en assistant aux exploits de ces jeunes gens…


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Les aficionados de jolies cylindrées, de moteurs vrombissants et de calandres rutilantes ne manqueront pas de converger en nombre lors de ce premier rendez-vous adjudicataire concocté par Me Frédéric LEFRANC, commissaire-priseur à Auxerre, le samedi 24 mars à 15 heures. Ce sera pour eux une excellente opportunité de pouvoir acquérir l’une des quarante automobiles constituant le catalogue de cette édition qui devrait en appeler d’autres à l’avenir…

AUXERRE : Magnifique lot présenté lors de cette vente si particulière, la Mercedes Pagode 280 SL pourrait se révéler être la vedette incontestable de cette adjudication. Pourvue d’une boîte manuelle, le véhicule figure parmi les plus recherchés des amateurs de berline ancienne. Mais, le modèle d’Outre Rhin ne sera pas le seul à émouvoir les participants de cette première manifestation auxerroise.

On notera parmi les pièces très intéressantes une Jaguar X 450 coupé 3,8 l de 1960, une superbe Alfa Roméo Velocce datant de 1972 avec une motorisation 2 l, entièrement restaurée par un artisan de l’Ile de France ou les deux vertueuses petites Fiat 500 (1971) et Fiat 850 (1969), embellies par l’incontournable spécialiste de la restauration automobile de notre territoire, Tony MARCHELLI.

On admirera aussi une Chevrolet Corvette, une jolie SALMSON de belle référence (1952), un cabriolet BMW 320i que le constructeur germanique a sorti de ses usines il y a trente ans, une sportive Peugeot 205 GTI (plus nerveuse), une DAIMLER motorisation V8, une Autobiancchi époque 1974 (le modèle A 112) , une Alpine Renault Berlinette, et même pour les puristes l’inusable modèle de chez CITROEN, une 2 CV conçue en 1987, un véhicule dont les collectionneurs raffolent toujours…

On notera pour le fun quelques beaux spécimens de deux roues : une Motobécane 175 cm3 ZF Sport, à l’esthétique flamboyante après sa restauration ou un side-car SOYER (1928) de 350 cm3 avec son attelage positionné à la gauche du pilote de fabrication SIMARD.

Des acheteurs originaires de Bourgogne mais aussi d’ailleurs…

Curieusement, l’officier ministériel d’Auxerre n’avait encore jamais programmé une vente aux enchères dédié exclusivement aux véhicules de collection à son calendrier. Une lacune non volontaire qui sera très vite comblée pour le commissaire-priseur de l’Yonne, et ce dès les prémices du printemps.

Cette première opération de séduction, engagée auprès des collectionneurs et investisseurs férus de véhicules motorisés typiques, se déroulera le samedi 24 mars dès 15 heures à l’hôtel des ventes de l’avenue Pierre Larousse.

Retransmise via le multimédia, cette animation devrait sensibilisée bon nombre de spécialistes de voiture de collection de la région Bourgogne Franche-Comté mais aussi des adeptes de la surenchère en provenance de l’Ile de France, de Paris et pourquoi pas de l’international. Sachant que la vente à distance est devenue monnaie courante dans ce sérail si spécifique des enchères. Il suffit pour se faire d’être préalablement inscrit sur le site, « interencheres.live ».

D’ores et déjà, les inscriptions sont ouvertes afin que toute personne désireuse de proposer un véhicule, qu’il s’agisse d’une automobile ou d’un deux roues, puisse le faire de manière officielle. Pour cela, rien n’est plus simple : il faut initier un contact avec l’expert automobile de cette vente, Jacques MORABITO, au 06.82.50.79.58 ou lui transmettre par e-mail sur la référence suivante, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., l’ensemble des informations relatives aux précieuses automobiles vendues.

Devant le succès attendu de ce premier rendez-vous, Me Frédéric LEFRANC et le spécialiste Jacques MORABITO ont convenu de développer cette typologie de vente insolite de façon régulière. Après la vente du printemps, une autre séance devrait être proposée aux nombreux collectionneurs et investisseurs cet automne. La date n’étant pas encore arrêtée…

Un marché en nette progression après le réajustement des prix…

S’il a connu une forte densification au cours des années 2010/2015, le domaine de la vente adjudicataire automobile verra les prix pratiqués autour de ces engins de rêve se multiplier par deux, voire par trois durant cette période. Une spéculation qui s’assagira au beau milieu de la décennie avec un retour à la normale et une plus sage modération.

« 2018 correspond enfin à une normalisation des enchères sur ce type de produits très recherchés par les collectionneurs, confie Jacques MORABITO, il est vrai que la multiplication des ventes à travers l’hexagone et à l’étranger aura permis d’assainir le marché… ».

Expert professionnel depuis plusieurs années, l’Icaunais travaille avec les commissaires-priseurs de Belgique, d’Allemagne et des Pays-Bas où il optimise l’organisation et la logistique de ventes aujourd’hui très fréquentées à travers l’Europe.

« J’ai eu l’heureuse opportunité de pouvoir me rapprocher de Me Frédéric LEFRANC qui gère la société AUXERRE ENCHERES, explique le spécialiste de ces voitures mythiques, le désir de développer au sein de son entité professionnelle un département spécifique à l’automobile est devenu une évidence dans son souci de diversification auprès de la clientèle… ».

Le commissaire-priseur auxerrois a su déployer divers atouts pour mettre en place une stratégie finement adaptée. A commencer par l’adoption de commissions minimales à hauteur de 10 % hors taxes applicables sur les frais des acquéreurs au lieu des 15 % usuels. Quant aux vendeurs des biens, ils ne perdent pas au change. Ces derniers percevront leur dû sous un délai record de 14 jours au lieu du délai mensuel coutumier dans la corporation…


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La future réforme de l’apprentissage et la suppression du compte pénibilité constituent deux thèmes d’importance en ce premier trimestre 2018 pour le nouveau président de la Fédération départementale du bâtiment de l’Yonne, Xavier PAPIN. Enregistrant cette actualité sous le sceau de la positivité, le nouvel homme fort du puissant syndicat professionnel n’en reste pas moins dans la vigilance absolue dès qu’il évoque les perspectives économiques réelles de son secteur de prédilection…

AUXERRE : Confortée récemment comme étant la première organisation patronale d’employeurs du bâtiment, la Fédération départementale des entrepreneurs et artisans de ce secteur d’activité demeure plus que jamais déterminée à porter haut la parole de celles et ceux qui se sont investis. Et cet état de fait tombe à point nommé, au moment où il y a une réelle envie de vouloir réformer en profondeur le paysage social de notre pays.

En matière d’orientation et de formation professionnelle, l’apprentissage inclut précisément l’un de ses chantiers essentiels auxquels vont s’atteler ces prochaines semaines les représentants de la gouvernance étatique et les partenaires patronaux et syndicaux. Lors d’une récente intervention proposée devant les membres de l’antenne de l’Yonne, le président de la FFB départementale, Xavier PAPIN a réagi à ce sujet.

Un optimisme mesuré autour de la reprise…

« Le territoire perd de nombreux emplois chaque année et nos entreprises sont en quête perpétuelle de main d’œuvre qualifiée que nous ne trouvons pas. Modifier les règles de l’apprentissage est devenu inéluctable. Nous souhaitons une véritable réactivité sur ce dossier, voire une mutualisation plus forte de tous les décideurs économiques et institutionnels… ».

Le successeur de Delphine GREMY rappela lors de sa prise de parole les enjeux essentiels du nouvel exercice « Il est exact que nous ressentons un vent d’optimisme qui souffle sur le bâtiment…..Le retour à la croissance de la construction de logements neufs atteste ce revirement des plus encourageants. Mais, cela n’est pas le seul et unique élément de cette analyse. Le terme définitif du compte pénibilité sur lequel nous nous insurgions auparavant nous permet d’entrevoir la réalité autrement… ».

Même si, un léger tassement a été observé au terme du dernier trimestre 2017 qui pourrait calmer les ardeurs des plus optimistes des observateurs si la situation devait encore perdurer.

La hausse de la TVA, la suppression du prêt à taux zéro et un marché de la rénovation un peu en deçà des espérances voulues ressurgissent à l’évidence dans les pensées des entrepreneurs du bâtiment. Ceux-ci, à l’instar du président Xavier PAPIN, prônent pour la prudence et un optimisme mesuré quant aux effets de la reprise économique tant annoncée. Même si, paradoxe, l’INSEE table sur une croissance d’1,9 % en 2018.

La baisse continuelle de l’emploi salarié et intérimaire…

« Ce qui m’inquiète le plus, précise Xavier PAPIN, c’est cette diminution constante de l’emploi salarié dans le secteur du bâtiment, notamment dans l’Yonne, y compris dans l’intérim alors que paradoxalement le coût des prix à la construction continue à progresser depuis deux ans, soit de + 2,8 %... ».

La revitalisation des cœurs de ville et la digitalisation optimale du logement seront-ils de vrais atouts de développement, permettant de remettre la machine dans le sens de la fonctionnalité ?

« L’un de ces enjeux principaux pour notre filière sera d’augmenter les prix afin de valoriser les marges tout en conservant les salariés qualifiés qui sont de plus en plus très courtisés par la concurrence car ils sont très rares sur le marché… ».

Résoudre cette équation nécessite une mobilisation implicite des pouvoirs publics et privés dans le cadre de la mise en place d’actions d’accompagnement pour répondre à ce frémissent de croissance.

« Cela aurait le mérite d’amplifier l’actuel phénomène, renchérit Xavier PAPIN, il est également fondamental que tous nos partenaires économiques tiennent leurs engagements sur les prix tout en valorisant nos savoir-faire… ».

Une belle résolution déclinée sous le signe de l’enthousiasme et qui se traduira peut-être à brève échéance par le portage de nouveaux emplois…


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Soutenant les initiatives du monde agricole et viticole depuis vingt-cinq ans, l’établissement bancaire régional a plébiscité huit acteurs essentiels de ce segment d’activité lors d’une cérémonie protocolaire de remise de prix, organisée à Beaune devant 400 professionnels. Ces récompenses annuelles n’ont d’autres objectifs que d’encourager la dynamique de l’agriculture et de la viticulture sur notre territoire. In fine, le jury n’aura eu que l’embarras du choix parmi les quarante dossiers retenus, en lutte pour l’obtention de ces précieux accessits…

BEAUNE (Côte d’Or) : Par l’intermédiaire de quatre grandes catégories (création d’entreprise agricole, initiative durable, valorisation innovation et savoir-faire technique et initiative collective), la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et du Pays de l’Ain a pu récompenser huit lauréats régionaux, qui se sont extraits brillamment d’une sélection initiale d’une quarantaine de dossiers pour glaner ces distinctions honorifiques.

Un couple d’apiculteurs de l’Yonne lauréat de l’innovation…

Concours de référence pour les professionnels de l’agriculture et de la viticulture de notre territoire, ces Prix régionaux de la dynamique agricole 2018 auront aussi salué le travail méritoire d’une structure icaunaise : l’EARL Miel de l’Yonne.

Comptant plus de 800 ruches sur leur exploitation à VILLIERS LOUIS, Céline et Julien HENRY produisent huit variétés de miel mais aussi de succulentes confiseries (madeleines, meringues, pain d’épices, jus de pommes et cidre). Le couple d’apiculteurs s’est également spécialisé dans l’élevage d’abeilles reines productrices. Ils ont obtenu l’une des deux récompenses de la catégorie Valorisation innovation et savoir-faire technique. Un item mettant en exergue les exploitants agricoles qui apportent de la valeur ajoutée à leur structure. Le second trophée de ladite catégorie a été obtenu par André-Jean MORIN, le propriétaire du Domaine de la TOURAIZE, vigneron depuis six générations. En 2016, le domaine qui assure la promotion du Vin jaune a converti totalement son activité au bio ; une exploitation qui compte aujourd’hui 13 hectares en appellation Arbois et cinq cépages.

Désignant les meilleurs parcours d'installation ou de création d'activité agricole, la catégorie des Créations d’entreprise est revenue à un jeune exploitant de 20 ans, Jean-Baptiste TAVELIN qui propose de l’élevage allaitant sur son exploitation de 155 hectares qui accueille des vaches charolaises et limousines. Aujourd’hui, il compte presque 120 vaches et 104 veaux qu’il commercialise auprès d’une coopérative agricole.

Les aspects environnementaux entrent en ligne de compte pour le jury

Le deuxième prix de cette même rubrique se destinera au GAEC DES VENTS MARESCHAL  qui assure une production de lait AOC à Comté. En 2009, Armand MARESCHAL décide de reprendre la ferme de ses parents, productrice de lait AOC Comté, à Gevresin dans le Haut-Doubs. Il s'associe avec Laurent BARBERET et ensemble, ils repensent le bâtiment d'élevage, investissent dans une nouvelle salle de traite et reprennent en parallèle 22 hectares d’exploitation. Ils produisent aujourd'hui 550 000 litres de lait et fabriquent leurs fromages.

Performance et technique, autre exemple de la dynamique agricole, valorise les initiatives des exploitants en prenant en compte des problématiques sociales et environnementales. C’est l’EARL Pisciculture de la DORME, avec une structure aquatique en eau douce, dirigée par Loïs COLLIN qui a touché le Graal. Installée dans le village de Chêne Bernard dans le Jura, cette pisciculture accueille des poissons de repeuplement et d'ornements. Sur les 132 hectares, le travail est artisanal et la priorité a été donnée à la qualité de la production jusqu'à l'éclosion et la livraison. 

Le GAEC SEUTIN est une structure agricole divisée en trois entités (élevage bovin et SARL pour l’exploitation avicole) d’origine familiale qui s’étend sur cinq sites d’exploitation de 558 hectares. Le complexe professionnel accueille près de mille animaux. La structure se démarque aujourd’hui par sa solidité financière et sa rentabilité exceptionnelle.

La production fromagère se taille la part du lion…

La catégorie initiative collective reflète toutes les prises de décisions en faveur du développement de coopératives qui optimisent un meilleur accès sur les marchés. Tout en préservant les revenus de la ferme et la sauvegarde de l’emploi.

C’est le dossier déposé par la Coopérative Bio du Val de Loue (production AOC Comté et AOC Morbier bio) qui a décroché la palme. Apparue en 1998, sous l’impulsion de six producteurs, la structure est dans une expression écologique, transformant du lait provenant uniquement de l’agriculture biologique. Avec 2,4 millions de litres, elle produit 200 tonnes de Comté et des petits fromages. La coopérative a plusieurs projets dont la réalisation de crèmes glacées.

Enfin, toujours dans la production de fromages au goût savoureux, la Fruitière du plateau de NOEZROY a su également tirer son épingle du jeu, s’octroyant le second prix de la catégorie. La structure fabrique du Comté et du Morbier avec le lait de ses producteurs et travaille 10 millions de litres de lait. Elle est située à Mignovillard et est issue de la succession de plusieurs fusions. Elle compte aujourd’hui une trentaine de producteurs répartis sur sept communes dans un rayon de trente kilomètres. Quant à la commercialisation, elle s’effectue exclusivement de manière locale auprès des magasins et des restaurants. De quoi régaler les touristes de passage…


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