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Dire qu’il ne se passe rien à la CPME de l’Yonne serait une pure gageure ! Un manque de respect vis-à-vis de celles et ceux qui, par le prisme de différents mandats, prennent sur leur précieux temps et de façon bénévole, un engagement pour défendre les intérêts des entrepreneurs et leurs outils de production. Lors de la récente assemblée générale, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne Olivier TRICON n’a pas ergoté, outre mesure, pour remettre, comme il en a l’habitude, les pendules à l’heure. Et à les régler avec exactitude à celle d’été !

AUXERRE : Par passion, par conviction, les membres de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne s’investissent dans la défense de leurs intérêts. Comment ? En multipliant la prise de mandats parmi les instances institutionnelles qui sont représentatives de notre société.

Une responsabilité quotidienne que le président du syndicat patronal icaunais met en exergue et encourage à chacune de ses interventions. Lors de la dernière assemblée générale de l’organisme, il n’a pas hésité à en remettre une couche sur le sujet. Rappelant que si certains mandats apparaissaient comme chronophages, ils n’en demeuraient pas moins fondamentaux au bon ordre de marche et à la progression sociétale de la CPME.

Réfutant la théorie infondée qu’il ne se passait jamais rien ou presque au sein de la confédération, Olivier TRICON a salué l’ensemble de ses pairs qui ont opté pour tenir ce type de missions essentielles.

« Dans beaucoup de cas, précisa le patron de la CPME départementale, c’est le chef d’entreprise qui est mis en défaut alors que les mandataires déploient toutes leurs forces, avec talents. Ils réussissent souvent à avoir gain de cause en faveur de l’entrepreneur. Même, si parfois quelques échecs sont à relever : mais, il faut en convenir cela représente un très faible pourcentage… ».

Une omniprésence et un travail assuré en profondeur…

Représentée aux prud’hommes, la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne l’est aussi au Tribunal de Commerce. Dans la première instance, Olivier TRICON avoue que la mise en place de nouveaux juges, avec les formations qui en découlèrent, ont pris pas mal de temps en 2018.

« Prendre ses marques et suivre les parcours pédagogiques tout en étant opérationnel le plus rapidement possible ont supposé une mobilisation sans bornes de nos représentant. Au Tribunal de Commerce, nous suivons tous les ans les différentes possibilités d’y intégrer des juges issus de la CPME. Mais, nous travaillons de concert avec les représentants du MEDEF… ».

Poursuivant ce tour d’horizon, le responsable du syndicat patronal de l’Yonne évoque les relations établies avec la Chambre de Commerce et d’Industrie.

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« Nous sommes partenaires avec l’organe consulaire, explique-t-il, nous intervenons sur des actions très ciblées qui concernent le milieu de l’entrepreneuriat. Tels que les RIDY ou « Monte ta boîte ». Par l’intermédiaire des mandats que nous honorons au sein de la CCI, nous avons aussi des échanges réguliers et constructifs avec le président Alain PEREZ… ».

Reste la Chambre des Métiers et de l’Artisanat où les intentions demeurent identiques aux précédentes structures. « Nos représentants restent vigilants, observe le président TRICON, ils sont en éveil pour essayer de faire avancer les choses positivement… ».

Pour aller encore plus loin dans ce travail en profondeur qui apparaît comme indissociable des missions régaliennes de la CPME, Olivier TRICON vient de confier à l’une de ses adhérentes, Florence TROTTIN, la responsabilité de la commission des mandats. Cette dernière vient de répertorier la liste de tous les mandats envisageables et possibles par le syndicat patronal sur le territoire.

Une jauge de cinquante nouveaux membres en 2018…

Fort du travail de prospection qui a été réalisé avec brio par la secrétaire générale départementale du mouvement, Emmanuelle MIREDIN, le président TRICON s’est félicité de la venue de cinquante nouveaux adhérents parmi les effectifs.

Provenant de différentes strates de l’économie, ces jeunes impétrants constituent un remarquable vivier devant assurer à court terme le flux de représentativité dont le syndicat a besoin au détour de ces nombreux mandats à occuper.

   


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En atteignant 97,4 millions d’euros au 31 décembre 2018, la Banque Verte améliore de 1,9 % son résultat net par rapport à l’exercice antérieur. Proposant un coût du risque maîtrisé, l’établissement régional peut faire progresser les encours de sa collecte grâce aux dépôts à vue et par le biais de l’épargne bancaire. En particulier, celle qui est déclinée grâce aux livrets et à l’épargne-logement. Rentable et performante, la banque régionale n’en obtient que du satisfecit de la part d’une clientèle de plus en plus fidélisée et en pleine croissance…   

DIJON (Côte d’Or) : Décortiquer les ingrédients statistiques fournis par le service de presse du Crédit Agricole Champagne Bourgogne au lendemain des deux assemblées générales ordinaires perpétrées à Troyes et  à Dijon permet de mieux appréhender la situation économique réelle de l’établissement. Que dire à l’énoncé de ces chiffres flatteurs qui traduisent avec exactitude le bilan précis d’un exercice 2018 plutôt revigorant ?

Primo, le Crédit Agricole Champagne Bourgogne se porte bien. Secundo, les indices de satisfaction obtenus auprès de sa clientèle de particuliers et de professionnels excellent. Tertio, plusieurs seuils de référence, en particulier l’indice IRC qui est en hausse, atteignent des niveaux historiques. Bref : tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes du côté de cette banque qui ne cesse de cultiver son ancrage territorial en y soutenant l’investissement.

Les multiples assemblées générales, relayées à l’échelle des quatre départements où sont implantés les services de la structure entrepreneuriale, regorgeaient de sociétaires ces dernières semaines. Montrant que le fil d’Ariane entretenu avec dextérité entre le banquier et son client est loin d’être rompu.

A l’heure du numérique à tout crin, le leitmotiv de l’ingénierie à l’estampille de la Banque Verte n’est-il pas le suivant : « 100 % digitale, 100 % humaine ». Alors que la satisfaction est indissociable à son succès, le Crédit Agricole régional gère aujourd’hui un portefeuille de plus de 27 000 clients. Beaucoup bénéficient de multiples services et prestations déclinées par l’une des 144 agences de ce réseau de proximité.

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Des crédits toujours en progression…

Avec un montant global de 1 959 millions d’euros, la courbe des crédits enregistre une progression de 2 %. Un état de fait qui prouve que l’établissement financier souhaite rester un acteur et un partenaire économiques au premier plan dans sa zone de prédilection.

Dans l’absolu, ce sont les particuliers qui bénéficient de cette manne qui n’a rien de providentielle. Notamment pour concrétiser des projets liés à la consommation et à l’habitat. Viennent ensuite les entreprises. Celles-ci ont des besoins en équipement et en trésorerie.

Dans les faits, les encours des crédits ont connu une augmentation de 4 % au terme de 2018.

Mais, 2019 n’est pas encline à une inversion de tendance. Bien au contraire, l’optimisation de nouvelles offres (EKO, Bien vivre à domicile, Trajectoires Patrimoine) impulsent de nouvelles opportunités pour ce réseau bancaire désireux d’apporter des réponses concrètes et efficientes à sa clientèle. Le Crédit Agricole dispose de capacités suffisantes pour abattre la carte de l’adaptabilité.

Grâce à ce pragmatisme mis en exergue par les 1 707 collaborateurs du groupe, le réseau maintient son cap. Malgré un produit net bancaire en retrait de 2,3 %, imputable au faible niveau des taux d’intérêt et du renforcement de la sinistralité de l’assurance-dommage. Le PNB s’élève à 337,5 millions d’euros. Quant aux charges de fonctionnement, elles sont maîtrisées (+ 1,7 %).

Reste l’analyse de quelques chiffres clés qui rassérènent sur l’état de santé de l’établissement. Deux milliards d’euros de nouveaux crédits ont été octroyés dont 800 millions d’euros destinés aux financements des entreprises, agriculteurs et collectivités publiques. Le nombre de contrat d’assurances de biens et de personnes s’établit à 373 461 euros. Quant à l’épargne collectée, elle représente 17 175 millions d’euros. Soit 29,11 % de parts de marché en collecte bilan au mois de décembre 2018.

 


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Concocté par les trois chambres consulaires de notre territoire (Agriculture, Commerce et Industrie, Métiers et Artisanat), l’évènement aura le mérite d’éclairer les jeunes pousses en quête d’une orientation pédagogique, devant les mener à embrasser une carrière professionnelle. Et quoi de plus formidable pour un adolescent que l’apprentissage et l’alternance pour faire de sa vie une réussite en matière d’intégration…

AUXERRE : Du CAP au diplôme d’ingénieur, il y en aura pour tous les goûts ! Et toutes les appétences intellectuelles. Proposé ce samedi 06 avril dans l’enceinte du parc des expositions d’Auxerre, ce rendez-vous offrira une excellente opportunité pour celles et ceux qui sont à l’heure des choix. C’est-à-dire l’ensemble des élèves soucieux d’embrasser l’une des filières professionnelles les menant tout droit à un métier et à une carrière dont ils seront fiers.

Co-organisée par les trois acteurs institutionnels majeurs de l’économie du territoire, les chambres consulaires, la manifestation bénéficie également du soutien de la Région. Mais, aussi du Fonds social européen (FSE) et de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois.

L’an passé, l’évènement n’était pas passé inaperçu aux yeux du public ciblé. Plus de 1 600 visiteurs avaient arpenté les travées du parc des expositions auxerrois en recherche de l’indice suprême pouvant orienter leur choix.

Car, l’un des enjeux de cette animation est de pouvoir apporter les réponses idoines aux interrogations multiples de ces jeunes gens, fraîchement émoulus du système scolaire traditionnel et peu au fait des arcanes des milieux professionnels.

Un salon 100 % pratique pour donner un maximum de réponses…

Plus d’une quarantaine de participants ont déjà validé leur bulletin de présence sur cette quatrième édition. Des entreprises en quête d’apprentis dévoileront en parallèle un certain nombre de besoins sur l’espace Recrutement. Précisons que des offres d’emploi en alternance alimenteront les possibilités offertes auprès des futurs candidats.

Bâti sur le concept « Un lieu, trois espaces pour faire le bon choix… », ce salon « Fiers d’être apprentis » mettra à la disposition des visiteurs, accompagnés ou pas de leurs parents, de profiter de son lot d’information sur les métiers, la validation de projet, la recherche d’une entreprise.  

En outre, les entrepreneurs recevront les renseignements utiles et judicieux devant les aider à l’embauche d’un apprenti.   

Salon de l’apprentissage et de l’alternance 

AUXEREXPO,

Samedi 06 avril 2019

Inauguration à 11 heures en présence de Jean-François LEMAITRE, président de la délégation Yonne de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat interdépartementale Côte d’Or, Nièvre, Saône-et-Loire et Yonne, Arnaud DELESTRE, président de la Chambre d’agriculture de l’Yonne et Alain PEREZ, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.

 


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S’appuyant sur l’expertise et les compétences de Pôle Emploi Auxerre, le géant de l’industrie touristique et des loisirs à l’international organise deux jours durant des séances de recrutement dans la capitale de l’Yonne. A l’instar de celles déclinées dans le reste de l’Hexagone. Objectif : pourvoir dans l’instantanéité mille postes qui viendront grossir les rangs de cette vitrine incontournable des arts de vivre à la française. Quarante-quatre personnes en quête d’emploi ont ainsi répondu à leur convocation au premier jour de cette session. Seule une quinzaine d’entre elles bénéficieront d’entretiens individuels leur permettant d’affiner leur profil pour exercer un job parmi la centaine de métiers proposés…

AUXERRE : Après Besançon et Dijon, Auxerre est donc la troisième étape de cette séance de recrutement tous azimuts concoctée par Pôle Emploi pour les besoins du Club Méditerranée à travers la France. Chaque année, le poids lourd du tourisme mondial propose au rythme des trois saisons principales (printemps, été, hiver) ces rendez-vous qui lui permettent in fine d’accroître son potentiel de collaborateurs. Mais, c’est bien la première fois que le site de l’organisme public auxerrois accueille l’une de ces sessions. Avec à la clé, plus d’un millier d’emplois à pourvoir dès que possible !

Le but étant d’alimenter le potentiel de G.O (gentils organisateurs) et G.E (gentils équipiers) de trois villages opérationnels en France : l’un en Savoie, l’autre près de Grasse et le dernier situé à La Rochelle.

Après la projection d’un moyen métrage de 45 minutes expliquant les valeurs du Club Med et l’éclectisme de ses différents métiers (une centaine environ y est exercée), vint le temps ensuite des entretiens individuels. Pour celles et ceux qui avaient une réelle appétence à se projeter à plus long terme vers ce projet.

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Près de cent cinquante candidats sélectionnés en amont…

Les services de Pôle Emploi Auxerre n’ont pas ergoté sur les moyens pour ce rendez-vous matinal. Conviant ainsi près de cent-cinquante demandeurs d’emploi à prendre part à cette séance collective. Quarante-quatre personnes se présentaient en début de séance. Certaines avec de réelles motivations comme cette jeune femme qui postulait pour une fonction d’hôtesse d’accueil, se plaignant que la plupart des entreprises de l’Yonne ne recrutaient plus cette typologie de métier. Cette dernière participera d’ailleurs aux entretiens individuels, menés par le chargé de recrutement de la direction des ressources humaines du groupe, Joe BOULVERT.

L’an passé, le Club Méditerranée devait recevoir plus de 100 000 demandes de candidature. Ces prétendants espéraient exercer un emploi dans l’un des 70 villages de vacance que le groupe possède de part et d’autre du globe.

Si la maîtrise de l’anglais et du français demeure indispensable, les postulants peuvent aussi posséder des connaissances appréciables en portugais (du fait de la forte fréquentation de la clientèle brésilienne), du russe et du mandarin. Quant aux offres, elles restent éclectiques et nécessitent des prérequis en matière d’expériences et de diplômes selon la catégorie professionnelle (cuisine, petite enfance, administratif, hôtesse d’accueil, commerciaux, chef de rang dans l’hôtellerie-restauration, professeur de sport…).

Evolutifs, ces postes peuvent aboutir à l’obtention de plusieurs contrats à durée déterminée. Mais, aussi de pouvoir prétendre à des CDI, en France comme à l’international. Majoritairement, les métiers issus de l’hôtellerie et de la restauration représentent le plus fort contingent de nouvelles recrues (51 %). 41 % des filières porteuses d’emploi proviennent du domaine sportif et des loisirs auxquels il faut ajouter le secteur de la petite enfance et de la famille. Enfin, un reliquat de 8 % correspond aux métiers supports s’identifiant à ceux de la vente et de l’administratif.

 

 


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La planète se réchauffe. Oui, de temps en temps, elle se refroidit. C’est vrai aussi. Sur la base de ce constat, à ce jour les discussions sont plutôt enflammées. Ce qui ne va pas contribuer au maintien de la température de la planète en dessous d’un seuil vivable. Donc une des questions qui se posent est : quelle est la contribution humaine à ce sujet ? Cette question m’a amené à investiguer plusieurs thèmes, comme par exemple : combien de pétrole et de charbon l’homme a-t-il carbonisé depuis 1800 ? Combien de CO2 a-t-il rejeté dans l’atmosphère ? Quelle est la part de la contribution thermique des activités humaines au final ? Voici des éléments de réponse…

TRIBUNE : Mon propos n’est ni de convertir qui que ce soit dans une croyance ou l’autre, simplement apporter une contribution à la réflexion du moment. Je dois pour cela, et tout d’abord, remercier une personne qui se reconnaîtra sans doute à la lecture de ces quelques lignes, si elle en a l’occasion.

En effet, dans le cadre des réunions publiques liées au « Grand Débat », un interlocuteur m’a qualifié, après mon intervention, de climatosceptique. Ceci m’a poussé non pas à une introspection ni à une analyse psychiatrique, mais à quelques calculs dont je présente ci-après les résultats.

Je laisse le soin au lecteur de vérifier ceux-ci. Les connaissances requises sont d’un niveau de collège (calcul du volume d’eau des océans) à un niveau lycée maximum (chaleur requise pour chauffer la marmite), puis un niveau licence peut-être pour les compositions de la matière, plus un peu de bon sens (je ne connais pas le niveau d’études pour cela !).

Elévation de + 1,26°C depuis 1830 : contribution thermique maximale des activités humaines + 0,0162°C.

Ainsi, en Mtep (Mega Tonnes équivalent pétrole), l’homme a extrait de l’ordre de 196 000 Mtep de pétrole et 172 000 Mtep de charbon depuis 1830. Par ailleurs, le volume d’eau des océans et de toutes les mers adjacentes est de 1,337E+21 litres (1,337*10…00…00 = soit « Un » et « 21 zéros » derrières ; là, avec ce nombre de zéros, on n’est peut-être pas au litre près, même s’il a plu hier quelque part sur la planète, je ne vais pas en tenir compte !).

Ainsi, imaginons que l’on mette toute l’eau de la planète dans une casserole et que l’on chauffe celle-ci avec tout le charbon et le pétrole extrait depuis 1830, la température monterait de ……… 0,0027°C ! Moins de 3 millièmes de degré !

Cependant, comme l’on sait aujourd’hui que la température des océans est invariable à plus de 700 mètres de profondeur, limitons notre casserole à cette hauteur et faisons bouillir la marmite toujours avec la même source d’énergie. On atteint alors l’élévation faramineuse de …. 0,0149°C !

Reprenons le même raisonnement pour réchauffer l’air. Là, le résultat serait de 2,91°C ! Cela commence à parler. De même si toute cette énergie ne servait qu’à réchauffer la terre sur 15 mètres de profondeur (invariante en deçà), on aboutirait à une élévation de température de 0,45°C.

Par conséquent, si l’on veut déterminer l’équilibre thermique résultant de toute cette énergie chauffant l’air, la terre jusque 15 mètres de profondeur et l’eau à 700 mètres de profondeur, on obtient une élévation de température moyenne de 0,0147°C, soit moins de 1,5 centièmes de degré.

Donc, si le système planète est une cocotte fermée et que toute l’énergie développée par l’homme reste dans la cocotte, on voit bien que cet aspect énergie thermique des combustibles fossiles ne peut justifier une élévation de température de + 1,26°C depuis 1830. On peut ajouter à ce raisonnement les centrales nucléaires, depuis cinquante ans en cumul, elles ont ajouté à cette énergie environ 10,5 % du total et l’on en déduirait une élévation de température de 0,0162°C.

De plus, ces chiffres sont majorant car tout le pétrole extrait n’est pas transformé en énergie thermique (exemple les sacs plastiques). De même que l’énergie électrique de source nucléaire ne finit pas uniquement en chaleur. Par exemple, lorsque vous élevez une tour en béton ou en bois, il y a transformation en énergie potentielle au fur et à mesure de la superposition des étages.

Il s’agit de l’effet de serre du Co2 !

Donc, le constat +1,26°C découle peut-être de l’effet de serre imputable au CO2. Regardons cela de près.

Comme l’on connaît la composition atomique du brut extrait en moyenne, du charbon, on peut déterminer combien de Co2 maximum on produit sur une hypothèse de transformation totale des atomes carbones en molécules de CO2. Là encore, le calcul va être majorant car même si rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme…mais tout ne se transforme pas en Co2 !

Donc, un calcul majorant aboutit en 2016 par exemple à une émission de Co2 de 37,57 GTCo2 (giga tonnes de Co2) pour une valeur officielle de 34,2 GTCo2 cette année-là.

Ainsi, le cumul est de 1750 GTCo2 environ de 1830 à 2018. Est-ce là la cause de l’effet de serre annoncé ?

Reprenons pour cela le dernier rapport du GIEC qui mentionne que de 1998 à 2012, la température moyenne de la planète a évolué de +0,04°C par décennie.

Sachant que la température moyenne, que les divers observatoires internationaux indiquent, était de + 0,271°C en 1998 par rapport à la moyenne de référence, et qu’en 2018 elle était de + 0,364°C, on est bien sur une tendance de + 0,044°C/10ans. On notera au passage que sur 21 ans d’observation, une projection amènerait à + 0,44°C en un siècle, ce qui est dix fois moins que les projections officielles du GIEC.

Si l’on regarde sur cette même période les émissions de Co2 par l’homme, en cumul de 1998 à 2018, il a émis plus de 40 % du total recensé depuis 1830. Ainsi, si l’effet de serre n’est pas saturé, l’augmentation de Co2 devrait s’accompagner d’une augmentation significative de température. Or depuis 1998, la température a cru de 0,65 % du thermomètre Celsius (soit 3,3°/00 °K de l’échelle thermodynamique), alors que le Co2 a augmenté lui de 40 %, donc 60 fois plus). On devrait alors conclure à la saturation du phénomène, plus de Co2 n’entraînant pas plus de température.

Si l’effet de serre est saturé, la température ne peut que croître, indépendamment du taux de Co2. Au fur et à mesure que s’accroît l’énergie du système planète, alors qu’en 2016 on relevait + 0,57°C mais en 2017 la température était redescendue à + 0,46°C et en 2018 à + 0,364°C. On en conclut que l’effet de serre n’est ni saturé ni insaturé du fait du Co2. Une des conclusions logiques qui en découle est que l’effet de serre imputable au Co2 est très largement surestimé, sans aller conclure qu’il n’y a aucun lien de cause à effet.

Où est passé tout ce Co2 ?

Maintenant, si l’on suppose que tous les atomes de carbone de toutes les énergies fossiles (il faudrait y ajouter le bois, c’est vrai) se combinent avec l’oxygène pour former du Co2, alors l’homme a émis dans l’atmosphère depuis 1830 l’équivalent de 319ppm et depuis 1980 l’équivalent de 159ppm. Or de 1980 à 2018, la concentration de Co2 dans l’atmosphère est passée de 330ppm à 410ppm.

Ainsi la concentration de Co2 dans l’atmosphère a augmenté de 85ppm alors que l’homme en a émis 159ppm de plus. Où est la différence sur seulement 39 ans ? Le GIEC base en partie ses hypothèses sur le fait que le temps de résidence du Co2 dans l’atmosphère est de cent ans.

L’homme en émet donc beaucoup plus que ce que l’on retrouve dans l’atmosphère. La température monte beaucoup moins que les modèles informatiques sensés modéliser tout cela. Cela commence à faire beaucoup de questionnement sur la doctrine officielle. Le lecteur notera au passage qu’il n’est pas question sur le site de Légifrance d’une loi de « transition écologique », mais d’une loi de « transition énergétique ».

En guise de conclusion…

Les chiffres ne reflètent absolument pas les explications régulièrement admises quant à l’évolution du climat. L’urgence est donc à la sagesse, au recul, et à la recherche.

Notamment, tout progrès en matière d’économie d’énergie (on n’a pas de pétrole mais paraît-il des idées), de réduction d’émission de polluants (à justifier, ici le Co2 ne semble pas très polluant, même sous l’angle de l’effet de serre) et de préservation de la biodiversité ne peut qu’être bénéfique. Si ceci ne conduit pas à l’asphyxie économique. J’incite le lecteur intéressé à se pencher sur la notion du « pari de Pascal ».

Cependant, je crois (il s’agit là d’une croyance, pas d’une connaissance) qu’il faut se garder de l’approche qu’avait publiée un des principaux rédacteurs du quatrième rapport du GIEC (ce qui suit est une connaissance pas une croyance) : « si vous voulez des crédits pour faire de la recherche, il faut proposer aux peuples et aux gouvernants des scenarii catastrophes ».

Je finirais par demander à tout lecteur de bien vouloir m’éclairer sur les erreurs de raisonnement que j’aurais pu commettre dans ces développements ; ceux-ci se basent uniquement sur des ordres de grandeurs.

Comme tout calcul, la sensibilité à certains paramètres peut être importante. Par exemple, si vous estimez que la profondeur des océans affectée par la chaleur émise du fait de l’activité humaine n’est que de 10 mètres et non pas 700 mètres, vous obtenez une élévation moyenne de température de la planète depuis 1830 de 0,5°C et non pas 1,5 centièmes de degré.

Toutefois ce résultat ne justifie toujours pas les + 1,26°C constatés depuis 1830.

Denis MOUGEOLLE

 

 


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