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La remarque, à la limite d’une plaisante boutade, émane de l’un des élus du Nord de l’Yonne, soucieux de donner son avis au terme de la cérémonie protocolaire : « au moins, avec la signature du contrat « Territoires en action » entre la Région Bourgogne Franche-Comté et le PETR du Nord de l’Yonne, force est de constater que le PETR sert vraiment à quelque chose ! ». D’autant que l’enveloppe budgétaire obtenue est loin d’être négligeable avec 5,6 millions d’euros à la clé dont 800 000 euros iront directement injecter les projets de la ville de Sens. Il n’y a pas à dire : le PETR, il n’y a que cela de vrai pour aller à la quête aux subventions !

 

JOIGNY : Le coup de pouce est conséquent. Il s’établit à 5,6 millions d’euros et des poussières – le montant exact de ce soutien de la Région Bourgogne Franche-Comté au PETR du Nord de l’Yonne s’élève à 5 698 721 euros – qui font briller les yeux des élus septentrionaux de notre département.

Une manne financière, très importante, devant servir à élaborer le projet de territoire de ce secteur géographique à vocation industrielle et agricole, selon quatre objectifs : l’accompagnement des transitions écologiques et énergétiques, la promotion d’une agriculture locale et durable, l’ancrage de l’endroit en matière d’attractivité, de solidarité et d’agilité (sans doute au niveau économique) et le développement des mobilités durables et solidaires.

 

Une enveloppe spécifique affectée à l’agglomération de Sens

 

5,6 millions, la belle affaire ! Dont une partie (800 000 euros, excusez du peu !) sera affectée au bénéfice de Sens dans le cadre d’une bonification à l’estampille « ville moyenne ». Une manière sympathique d’accompagner les projets stratégiques de l’agglomération sénonaise et ceux-ci ne manquent pas, qu’on se le dise !

Faisait-il donc office de Père Noël bien avant l’heure, le vice-président de l’institution régionale en charge de la Cohésion territoriale, de la politique de la ville, des ruralités et des parcs naturels ? En tout cas, la visite de l’élu franc-comtois Eric HOULLEY – il possède à son actif une autre carte de visite en sa qualité d’édile de la ville de Lure en Haute-Saône – devait en satisfaire quelques-uns, présents parmi les institutionnels dans l’une des salles de l’hôtel de ville de Joigny, accueillant la signature d’un double accord entre la Région et le PETR du cru, à savoir le contrat « Territoires en action » et la convention « Centralités rurales en Région », avec la commune de Joigny.

Le septième vice-président de la Région ne sera pas venu les mains vides avec dans sa besace ces bonnes nouvelles pour le développement territorial. Avec cette somme de belle facture, ce seront autant de réalisations qui sortiront de terre ou qui bénéficieront d’un sérieux lifting côté rénovation, à commencer par les quais de l’Yonne de la cité chère à Nicolas SORET qui en fit brièvement l’inventaire.

 

 

 

Quatre axes prioritaires répondant aux critères de « Territoires en action »

 

« 40 % de l’enveloppe (soit 4 898 721 euros après le retrait des 800 000 euros destinés à la ville de Sens) sera consacrée à l’adaptation au changement climatique, précisera le numéro trois du Conseil régional, cela comprendra des projets de rénovation énergétique de bâtiments publics, et des aménagements urbains qualitatifs, végétalisés et multithématiques… ».

Puis, poursuivant sur sa lancée, Nicolas SORET expliquera dans un deuxième temps l’affectation des crédits dévolus à l’attractivité territoriale. « 45 % de cette enveloppe permettra de créer de nouveaux équipements exemplaires à destination des jeunes. Nous moderniserons aussi les structures existantes telles que les centres socio-culturels ou les clubs sportifs ».

La mobilité, autre vecteur stratégique essentiel de la bascule des territoires vers une transition écologique et énergétique raisonnée, verra ses actions financées à hauteur de 10 % de ces subsides régionaux. Les itinéraires cyclables seront ainsi priorisés parmi les projets. Reste le reliquat de 5 %. L’enveloppe sera dédiée à la santé…

« En injectant ces fonds dans ce domaine, souligne Nicolas SORET, nous souhaitons soutenir la construction de maisons de santé pluridisciplinaires et favoriser l’accueil de nouveaux professionnels de santé sur le territoire… ».

En sus, le maire de Joigny devait rappeler que les aides de la Région ne s’arrêtaient pas là !

« Obtenir grâce au Pôle d’équilibre territorial et rural (PETR) ces fonds ne correspond pas à un solde de tout compte de la part de la Région, devait-il ajouter à l’auditoire composé en majeure partie des élus du PETR du Nord de l’Yonne. D’autres fers sont déjà au feu nous et nous attendons maintenant les fonds européens ! ».

On connaît l’appétence de l’élu socialiste pour trouver des mannes financières qui n’ont rien de providentielles puisqu’elles sont existantes. Son seul credo qui l’anime : « avec les fonds européens, c’est simple, affirmera-t-il, il faut être le premier arrivé pour être le premier servi ! ».

A l’instar de ses coreligionnaires du nord de l’Yonne, il est déjà dans les starting-blocks !

 

Thierry BRET

 

 


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Ce devait être un déjeuner en tout petit comité, entre amis et avec Pierre, son frère aîné. « Vous serez mes invités » m'avait dit l'ami Joël FENART, tandis qu'en juin dernier je lui souhaitais une dernière fois son anniversaire. Joël était né pendant la guerre, rue Emile Zola à Sens. Très attaché à son village de Villiers-Louis, il en fut même l'édile durant deux mandats au début du siècle. Les aléas de la vie contrarièrent hélas notre projet commun…

 

PARIS: C'est donc, comme une sorte de pèlerinage à sa mémoire, que nous vînmes récemment à Paname, pour déjeuner dans cette auberge du XIème arrondissement où il eût son rond de serviette dans les années 60/70. Mentionnons tout d'abord la parfaite ponctualité ferroviaire de notre voyage, tant à l'aller qu'au retour, car tel n'est pas toujours le cas !

En terrasse d’une brasserie de la place de la Bastille – ça, c'est Paris ! - la bouteille de Sancerre blanc servie à bonne température est facturée 45 euros ! A ce tarif, ne devrait-on pas trouver des toilettes propres dans cet établissement, proche de la rue de Lappe ? En déambulant ensuite le long du marché, sis boulevard Richard Lenoir, je fus agréablement surpris de constater sur les divers étals (boucher, poissonnier, primeur...) des promotions, permettant ainsi à la clientèle de faire de bonnes affaires ! Pareille pratique me semble peu usitée sur nos marchés icaunais, dommage.

 

 

Une cuisine de grand-mère d’antan : bonjour la nostalgie !

 

Un décor des plus rococos : bienvenue rue de la Folie-Méricourt, dans cette maison, distinguée d'un « bib » gourmand Michelin, plus que centenaire. Au plafond, quelques saucissons lyonnais de la maison Sibilia semblent les témoins des agapes ici-bas. Il est midi quinze, peu à peu arrive une clientèle d'habitués. 
Bonne pioche en entrée que cet impeccable pâté en croûte de canard. L'assaisonnement est équilibré et le hachage suffisamment gros, pour offrir une belle mâche aux convives. Salade verte et plaisant chutney d'oignons rouges complètent cette bonne assiette. On pense alors  évidemment à Joël qui appréciait ce mets, symbole de notre cuisine française  de « grand-mère d'antan ». Mais, qui est  en fait terriblement actuelle.

 

 

 

Le cassoulet, une pure tradition culinaire du pays de l’ovalie !



C'est ensuite en impeccable rondeau cuivré qu'arrive le cassoulet. Cela est fort joli ! Il est bon évidemment, mais me semble un peu sec, manquant de ce jus caractéristique mêlant effluves de tomates, sucs de cuissons des viandes.  Ainsi, le confit de canard est à l'unisson de cet aspect  manquant de  moelleux. Je me souvins alors avec émotion du cassoulet dégusté jadis au « Violon d'Ingres » de l'ami cuisinier Christian CONSTANT à l'accent rocailleux du pays de l'ovalie.

 

 

Un excellent « Paris-Brest » pour conclure…

 

Ce fut un classique de la pâtisserie française pour terminer avec un bon « Paris-Brest », au fin praliné. Ce gâteau créé à la fin du XIXe siècle pour honorer la première course cycliste au parcours éponyme ! Un temps boudé à la fin du siècle passé, il revint ensuite légitimement en force dans les vitrines  réfrigérées de nos pâtissiers.

La journée se termina par un passage au célèbre « Harris-bar », où cet ancien sportif de haut niveau  passa du temps de sa jeunesse quelques troisièmes mi-temps que l'on peut qualifier de vivantes !
Au revoir l'ami. Nous n'oublierons ni ton humour caustique, ni ta lippe gourmande. Tu peux reposer en paix, ton auberge préférée est toujours là.



Gauthier PAJONA

 

 

 


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Dénominateur commun entre tous ces récipiendaires de diplômes : les efforts consentis au nom de leurs collectivités en faveur de la transition énergétique. Qu’il s’agisse d’éclairage public, de mobilité sans carbone, de services connectés facilitant la vie de leurs administrés, voire d’amélioration du cadre de vie, les dix communes plébiscitées par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) sont fières de valoriser leurs actions novatrices grâce à l’obtention du label « Terre d’Innovation »…

 

MONETEAU : Quelques minutes de présence sur scène, à peine, pour pouvoir expliquer localement les démarches et initiatives qui ont été entreprises afin d’optimiser les territoires. Des commentaires, forcément positifs – ils sont dix élus ou leurs représentants à avoir reçu la bénédiction urbi et orbi du SDEY – ponctuent cette brève cérémonie de remise de labels, ceux de la promotion 2022, de « Terre d’Innovation ».

Concept déclinable dans l’Yonne, il est devenu un véritable référent depuis plusieurs saisons grâce au Syndicat départemental d’Energies qui en est l’instigateur, désireux d’encourager les collectivités territoriales à s’impliquer davantage pour que les choses bougent enfin sur le registre de la transition énergétique.

Il faut croire que la méthode fonctionne. En effet, depuis 2021, date de la première édition de cette remise de diplômes assortie d’un esthétique trophée, les candidates (les collectivités) déposent leur dossier auprès des services du SDEY, espérant toucher le Graal de cette reconnaissance environnementale. Pour ce faire, il faudra néanmoins convaincre le jury de la pertinence de cette candidature qui se doit d’être effective et non théorique dans les faits.

 

 

Un jury de spécialistes et de personnalités…

 

Cette année, le jury était plutôt éclectique dans sa représentation. Outre Jean-Noël LOURY – le président du SDEY ne pouvait pas se soustraire de cette mission de par sa qualité ! -, y figuraient l’un des vice-présidents de la docte structure, l’ancien conseiller départemental Jacques BALOUP, Tadeusz SLIWA (de l’Université de Bourgogne), Johan BLOEM, vice-président de l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne – de la pure logique, en somme -, Charles-Antoine GAUTIER, vice-président de la FNCCR, la Fédération nationale des Collectivités Concédantes Régies et…notre confère, directeur d’antenne de France Bleu Auxerre, François GIUSEPPI.

Programmée à l’issue des XIèmes Assises de l’Energie, la cérémonie protocolaire offrit aux dix communes les plus investies en la matière cette saison de recevoir les précieux sésames des mains de la sénatrice Dominique VERIEN, heureuse de soutenir l’initiative. Outre le trophée et le diplôme, symbolisé par un document papier comme de bien entendu, les lauréats de ce cru 2023 se virent remettre un panneau signalétique du plus bel effet à poser à l’entrée de leur agglomération afin de rappeler qu’ils font partie intégrante de ce club des nouveaux élus en matière de développement durable. Signalons deux prix complémentaires, annoncés en fin de session, des prix spéciaux du jury qui ont été attribués pour encourager des initiatives innovantes (Saint-Privé et Vaudeurs).

 

 

En savoir plus :

Liste des dix communes qui sont récipiendaires du label « Terre d’Innovation »

Augy,

Cravant Deux Rivières,

Gisy-les-Nobles,

Irancy,

L’Isle-sur-Serein,

Looze,

Monéteau,

Saint-Fargeau,

Sergines,

Vermenton,

Saint-Privé et Vaudeurs reçoivent les prix spéciaux du jury.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Au fur et à mesure que son mandat avance dans le temps – c’est l’une des prérogatives de l’institution départementale -, il en a fait son cheval de bataille. La santé, via le prisme de l’amélioration de l’offre de soins et l’accueil de nouveaux praticiens, représente l’une des préoccupations majeures du président Patrick GENDRAUD. Quoi de plus naturel, en somme, de le retrouver à l’ouverture des travaux des 5èmes Journées nationales des CPTS aux côtés de la ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des professions de santé, Agnès FIRMIN-LEBODO au parc des expositions…

 

AUXERRE : Face à plus de sept cent congressistes, venant des quatre coins de l’Hexagone, il ne peut que jubiler intérieurement, le président du Conseil départemental de l’Yonne/ Juste avant de prendre la parole.

Pour un territoire qui souffre de désertification médicale – l’Yonne semble néanmoins se revigorer depuis quelque temps en se positionnant davantage dans une forme tonique de « revitalisation » comme le qualifierait si bien avec ses mots, repris dorénavant par tout le sérail institutionnel et politique, le préfet Pascal JAN –, c’est presque un comble de voir autant de professionnels de santé (et de praticiens par déduction) dans une salle mise à disposition par Centre France Parc Expo, pleine comme un œuf !

Des médecins au mètre carré, il y en a donc dans les estrades ! Alors, accueillir pour la première fois un tel congrès, en présence de la ministre déléguée en charge de l’Organisation territoriale et des professions de santé, Agnès FIRMIN-LE BODO, représente du pain bénit pour un Patrick GENDRAUD qui se démène au quotidien comme un beau diable avec ses équipes – on pense volontiers à Gilles PIRMAN en charge de la santé au CD 89 ou au docteur Bernard CHARDON – pour que les choses bougent enfin sur le territoire le plus septentrional de la Bourgogne.

« Dans l’Yonne, affirma l’orateur, nous préférons le mot « redynamisation » à désertification lorsque l’on évoque la santé. Ce n’est pas la même démarche. Redynamiser, c’est engager une nouvelle dynamique en entrant dans l’action. C’est cela que nous devons privilégier à présent, une fois le constat effectué… ».

 

Les CPTS s’intègrent parfaitement à l’échelle des bassins de vie

 

Seul à son pupitre, s’inspirant parfois de ses notes posées devant lui, écouté très attentivement par David GUILLET, président national des Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS) déjà sur le plateau, Patrick GENDRAUD brossera ensuite un tableau concis des différentes actions entreprises par l’organe institutionnel qui se coordonnent sur le terrain.

Puis, de renchérir par la formule suivante : « Puisque nous sommes novateurs à notre échelle, nous étions faits pour nous rencontrer, lancera avec boutade le président de l’exécutif départemental, se tournant alors vers le responsable national des CPTS.  

Appelant à l’optimisation de l’offre de santé de tous ses vœux, l’ancien édile de Chablis rappela que celle-ci se construisait ensemble et fédérée, « loin de la logique de concurrence ou celle de clocher ».

Un temps de pause, avant de reprendre le discours : « Nous avons tous un rôle à jouer dans cette partition, souligna Patrick GENDRAUD, à l’échelle départementale, mais aussi à l’échelle des bassins de vie. Ces communautés professionnelles territoriales de santé s’intègrent parfaitement dans cette réalité de terrain, en atteste ce qui se passe avec le CPTS Nord Yonne… ».

Satisfait par la pertinence et le mode opératoire de ce modèle, l’élu de l’Yonne poursuivit en précisant que l’ensemble du territoire devrait être ainsi couvert par ce dispositif au cours du premier semestre 2024.

 

 

Un inventaire à la Prévert de réalisations pertinentes…

 

Puis, Patrick GENDRAUD éclaira l’auditoire sur le bien-fondé des pactes de territoire. Il ne manqua pas d’apporter plus amples précisions sur le « Pacte Santé 2022/2024 », un concept voté à l’unanimité le 10 décembre 2021 par le Département et abondé de 5,4 millions d’euros.

Et l’orateur d’ajouter en toute transparence : « C’était une décision politique forte de notre assemblée, car cette thématique de la santé n’est pas de notre compétence… ».

A bon entendeur salut ! Puis, après un temps de silence, « ce pacte nous l’avions contracté au bénéfice des Icaunaises et Icaunais auxquels nous devions beaucoup plus que de simples promesses mais des actes ! ».

Aujourd’hui, les actions entreprises par le Conseil départemental portent leurs fruits. L’accueil de la première année de médecine dans l’Yonne dans les locaux de l’IUT Auxerre avec l’Université de Bourgogne, la poursuite du maillage conséquent entre maisons et centres de santé – la dernière en date a été inaugurée il y a peu à CHEVANNES -, la création d’un centre départemental de santé avec le salariat d’un médecin et d’une assistante médicale à Villeneuve-sur-Yonne, le salariat d’un autre médecin et d’une secrétaire médicale à Migennes, c’est encore le déploiement de points conseils et d’une équipe mobile de médiation santé, sans omettre le soutien financier au développement de la pratique numérique en santé dans le cadre des téléconsultations accompagnées, à la promotion du centre santé solidarité, à la mise en œuvre d’un plan marketing territorial santé à l’échelle départementale, au groupement d’employeur des professionnels de santé, et au système de bourse dont celle à destination des infirmiers en pratique avancée…

Bref, un inventaire à la Prévert et autant d’argument énoncés avec fierté par un Patrick GENDRAUD très à l’aise au pupitre et ravi de cette efficience déclinable au service des habitants.

« Restons mobilisés, dynamiques et optimistes pour l’avenir, devait-il conclure, dans cette mission qui est devenue la nôtre. C’est ainsi que nous gagnerons sur le terrain de la santé ! ».

Rideau ! Longuement applaudi, Patrick GENDRAUD pouvait regagner le fauteuil qui l’accueillait pour la première table ronde du jour. Tant qu’il y a des choses positives à dire sur la santé, dans son département de prédilection, le président ne compte pas son temps de présence sur une manifestation !

 

Thierry BRET

 


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Il est encore inédit en région Bourgogne Franche-Comté, ce concept vertueux qui a pour vocation d’améliorer, grâce à l’intelligence artificielle, la collecte et le traitement des déchets des collectivités ! Nom de baptême : FICHA. Raison sociale de cette startup originaire de Grenoble, la pose de puces dans les poubelles afin d’en améliorer le tri et le recyclage ! Cinq de ces équipements insolites vont être inaugurés ce mardi dans le Grand Sénonais, pour l’habitat collectif géré par le bailleur social, DOMANYS…

 

SENS : Voilà une petite structure entrepreneuriale qui n’est pas à court d’idées ni d’imagination visiblement pour arrondir ses fins de mois ! Elle se nomme FICHA, est native de l’Isère et depuis 2020, a su se faire une honorable place au soleil, dans le registre de la collecte et du tri des déchets. Ses deux créateurs, des ex-étudiants d’une école de commerce à la fertile créativité habitant à Grenoble ont convaincu les partenaires financiers de recevoir une belle levée de fonds afin de se développer dorénavant à l’international ! C’est dire si l’Hexagone semble conquis par tant d’ingéniosité ! Adepte de l’IA (intelligence artificielle), FICHA utilise la haute technologie pour en doter les poubelles afin d’en faciliter le tri et le recyclage.

Une technologie qui va servir désormais à la collecte des déchets de la Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais. Ce mardi, aux alentours de 16h30, le président de l’Agglo septentrionale de l’Yonne Marc BOTIN inaugurera ce dispositif en compagnie de la directrice de DOMANYS, Karine LASCOLS.

Ces équipements, au nombre de cinq, habilleront des conteneurs de tri sélectif en habitat collectif à Paron et à Sens. Ils permettent ainsi de sensibiliser et accompagner l’usager dans sa gestion de déchets en scannant chaque déchet déposé dans la benne. Grâce à cette intelligence artificielle, le tri devient interactif et ludique. Il permet de réduire les erreurs et d’améliorer également la propreté du local, contenant les poubelles. 

 

 

 

Du ludique et de la pédagogie, avant de recevoir des récompenses

 

Afin de pouvoir utiliser les « cocons FICHA », les habitants devront télécharger une application qui leur permettra de recevoir des informations relatives à leurs gestes de tri. Des animations seront mises en place pour encourager tous les habitants à participer et donc à trier leurs emballages. 

Ainsi, sous le prétexte de l’angle ludique, de la pédagogie sera ainsi faite ! A chaque bon geste, l'usager collectera des points et à chaque palier atteint, il recevra des récompenses offertes par des partenaires locaux (centre nautique, théâtre, Intercom, cinéma…) et nationaux (Carrefour, Darty, Cinéma Pathé, marques cosmétiques zéro déchet…).

Chez FICHA, le duo d’entrepreneurs se frottent les mains. Les bailleurs sociaux, à l’instar de DOMANYS, sont leurs clients car ils souhaitent accroître la propreté dans leurs résidences. Quant à l’aspect ludique généré par cette application, il est encouragé grâce à ces récompenses. De quoi joindre l’utile à l’agréable et d’optimiser la qualité de salubrité des résidences en moyenne de 45 % à 96 %, voire davantage dans certains endroits ! Un nouvel objectif à atteindre pour le Grand Sénonais et DOMANYS ?

 

Thierry BRET

 


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