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Accusant un léger différentiel de 2,57 % à l’issue du premier tour de ces échéances électorales partielles face au favori divers droite Mahfoud AOMAR (33,80 % pour 360 voix), l’élue UDI de Saint-Sauveur en Puisaye et présidente de l’association des Maires ruraux de l’Yonne a su combler son retard au terme d’un second tour à suspense, s’octroyant 36,62 % des suffrages, soit 390 voix, en bénéficiant d’un excellent report de voix. Et aussi du recul inattendu de la candidate des Républicains, Aurélie BERGER (20,75 % pour 221 voix), qui échoue dans sa tentative en terminant sur la troisième marche d’un scrutin âprement disputé. Mille cent grands électeurs avaient été appelés aux urnes en ce dimanche 17 décembre qui propulse une élue centriste au Sénat…

AUXERRE : Battue lors des précédentes Sénatoriales de 2014, Dominique VERIEN a enfin obtenu sa revanche sur l’adversité. Pugnace, la conseillère régionale de l’Yonne, maire de Saint-Sauveur en Puisaye et active défenseuse des intérêts des édiles des communes rurales du territoire de l’Yonne n’aura donc jamais abdiqué dans sa quête pour accrocher ce fauteuil dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg qu’elle briguait avec beaucoup de volonté il y a déjà quatre ans.

Agée de 52 ans, l’élue de Puisaye peut donc s’enorgueillir d’avoir réussi son pari de succéder, forte de ses 390 voix, à Henri de RAINCOURT qui avait pris soin de démissionner le 30 septembre dernier afin de respecter la législation en vigueur sur le non-cumul des mandats.

Bien calée entre ses deux adversaires directs à l’issue du premier tour, et en préservant les écarts avec Mahfoud AOMAR qui virait en tête, Dominique VERIEN conservait ainsi toutes ses chances de renverser la tendance quelques heures plus tard. Le temps que se fassent et se défassent les alliances ; le temps aussi que les états-majors de la politique du sérail départemental adressent leurs consignes en faveur de tel ou tel candidat aux grands électeurs, amenés à s’exprimer grâce à ce scrutin.

Trente voix de retard à rattraper pour l’élue de l’UDI…

Et le grand perdant à ce jeu stratégique sera le président de l’association des maires de l’Yonne, Mahfoud AOMAR, qui malgré les trente voix d’avance exprimés sous son nom au seuil de ce premier tour indécis, verra son capital fondre comme neige au soleil à la conclusion de ce vote. Tandis que la suppléante naturelle d’Henri de RAINCOURT, Aurélie BERGER, voyait son score se figer inexorablement aux alentours des 220 voix sans jamais pouvoir progresser davantage. Les deux autres candidats, Gilles SACKEPEY (CRCE) et le frontiste Julien ODOUL faisant de la simple figuration avec respectivement des résultats plus que modestes, respectivement de 6,85 % (73 voix) et beaucoup plus surprenant pour un département qui adoube parfois les idéologies du FN, 1,97 %, soit 21 voix. Pour mémoire, rappelons que La République en marche et le Parti socialiste ne participaient pas à ces joutes sénatoriales, puisque les deux formations ne présentaient aucun candidat.

La désignation de Dominique VERIEN à la chambre haute du Parlement n’obligeait pas l’élue de Puisaye à quitter la Région. « Je ne pouvais pas conserver de poste exécutif, explique-t-elle, c’est pourquoi je ne peux plus être maire de ma commune mais je deviens conseillère municipale d’une commune de moins de mille habitants. Cela n’entre pas en ligne de compte dans le cumul de mandats. J’ai le droit de conserver le mandat de conseiller régional mais, comme je m’y étais engagée pendant la campagne, j’avais annoncé qu’en cas de victoire aux sénatoriales, je démissionnerai… ».

Une promesse de campagne tenue qui permet à Aurélie BERGER, maire de Gurgy, de reprendre du service à la Région, boulevard de la Trémouilles à Dijon…


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Malgré un léger différentiel de – 4 recrues par rapport à l’exercice antérieur de 2016, l’armée de Terre aura converti grâce à l’opiniâtreté des responsables du Centre d’information et de recrutement des forces armées (CIRFA de l’Yonne) 86 dossiers de candidature avec à la clé un contrat d’engagement auprès de la jeune génération sur 457 demandes d’information préalables. 39 % de ces choix conduisant à une carrière professionnelle de 1 à 10 ans s’effectuent vers le corps de l’infanterie, arme blindé et cavalerie, 36 % en forces de soutien (logistique, télécommunication, restauration, maintenance…) et 25 % en forces d’appuis (artillerie, génie, sapeurs-pompiers de la Brigade de Paris…). Un bilan très satisfaisant selon l’adjudant-chef Bruno NIRLO, à la tête du CIRFA, qui présentait les contours de cet engouement lors d’une cérémonie de signatures de la nouvelle promotion de décembre…

AUXERRE : L’armée de Terre recrute et forme chaque année de nouveaux militaires. Ce n’est un secret de polichinelle pour personne puisque de nombreuses campagnes de communication inondent à rythme constant les médias depuis plusieurs mois. Et leur impact sur la frange juvénile de la population est considérable.

Agés de 18 à 25 ans, filles ou garçons indistinctement, diplômés ou sans qualification, ces jeunes gens, issus de toutes les strates sociales de notre société décident de s’engager sur des périodes temporelles à géométrie variable, de une année à dix ans, selon leurs appétences à vivre de nouvelles aventures. Mais, celles-ci ne représentent pas un coup de folie passagère. Mûries, réfléchies, déterminées, le plus souvent en accointance avec le soutien de la famille ou des proches, ces décisions ne sont pas prises à la légère.

Le désir de servir la patrie et de vivre de vraies aventures avant tout…

Œuvrer pour une noble cause, la défense de la patrie et apporter sa contribution à l’honneur de la France, constituent les premiers arguments émis par ces militaires en herbe qui ne manqueront pas de s’aguerrir au contact de leurs supérieurs hiérarchiques pendant leur formation de soldat. Viendra ensuite le temps de la spécialisation au cours de séances formatives intenses.

Car, l’armée de terre, entreprise à part entière, possède une kyrielle de possibilités d’épanouissement professionnel au gré des spécialités qu’elle propose.

« Que l’on soit dans les transmissions, les cuisines, affectés au service médical, comptable et administratif, à l’électricité ou au génie, ce ne sont que des postes à forte responsabilité mêlant obligatoirement rigueur et discipline, explique Bruno NIRLO, en charge de la signature d’une dizaine de nouveaux contrats d’engagement afin de ponctuer le bilan 2017.

Plusieurs acteurs de la vie institutionnelle et économique permettent justement de diriger ces jeunes gens, marqués par les tragiques événements liés aux attentats, de servir la France. Qu’il s’agisse de Pôle emploi, des Missions locales mais aussi des forces de l’ordre (gendarmerie, police nationale, sapeurs-pompiers…), tous relaient abondamment les informations distillées à large échelle par les forces des armées françaises. Aujourd’hui, 15 000 postes sont à pourvoir pour ces jeunes gens issus de la génération Z qui désirent embrasser une carrière professionnelle.

 

Un impact économique indéniable sur un territoire…

« Vous savez, ajoute l’adjudant-chef avec le sens pédagogique qui est le sien, ces nouvelles recrues perçoivent un salaire garanti compris entre 700 et 1 300 euros nets chaque mois. Le temps de la durée de leur contrat qu’ils peuvent en outre proroger très facilement s’ils en éprouvent l’envie. Logés, nourris à titre gracieux, ces jeunes comprennent immédiatement la réalité de l’impact économique qui s’offre à eux. Prenons l’exemple de ces 86 nouveaux contrats validés en 2017, cela représente au bas mot 97 000 euros nets de dépenses effectives mensuelles sur le seul département de l’Yonne lors des retours en permission ! ».

Certaines entreprises, partenaires, l’ont parfaitement assimilés et gardent aussi sous contrat des jeunes gens désireux de rejoindre l’armée jusqu’au terme de la procédure d’engagement qui peut courir sur plusieurs mois. C’est le cas de Mc DONALD'S et du spécialiste du traitement téléphonique commercial, la société ARMATIS.

Quant au bilan 2017, il permettra à l’un des jeunes gens de niveau bac +5 d’être incorporé en qualité d’officier en qualité d’architecte ; huit autres personnes iront grossir les effectifs des sous-officiers (ils sont bacheliers) et 77 signataires, ne bénéficiant d’aucune qualification à niveau baccalauréat, deviendront des militaires du rang. Notons que la télécommunication pour 10 % d’entre eux et la logistique (8 %) retiennent l’intérêt des choix en priorité. Réparties sur l’ensemble du territoire national, ces jeunes recrues ont délibérément choisi leurs affectations. Dont une en Allemagne…

Les zones de recrutement de notre territoire se partagent équitablement les origines de cette passion : 38 % des recrues 2017 sont natifs du secteur de Sens, 31 % proviennent d’Auxerre et de ses environs tandis que 25 % vivent dans l’Avalonnais. A signaler que 6 % de ces jeunes pousses viennent des départements limitrophes.


 


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Le spécialiste de la filière blé, farine et pain de Côte d’Or a joué les généreux donateurs le 05 décembre dernier à Paris lors du gala de Noël de l’association, lui remettant un chèque d’une valeur de 22 800 euros. Un moment magique, empli d’émotion et d’optimisme pour cette structure associative qui mène un combat quotidien aux côtés des enfants victimes de la cruelle pathologie et de leur famille. Ce geste solidaire a été salué par Benoît HUVET, directeur général du groupe qui s’est spécialisé dans la conception d’ingrédients et solutions technologiques à forte valeur créative. Cela n’empêche nullement ce poids lourd de l’agro-alimentaire de se parer aussi de la vêture du Père Noël…en déposant une somme aussi importante au pied du sapin des petits malades…

PARIS : Vive émotion au soir du mardi 05 décembre sous les projecteurs du Palais des Congrès de la capitale. C’est en ce lieu prestigieux que l’association caritative « Tout le monde contre le cancer » organisait son traditionnel gala de fin d’année, en présence de nombreuses personnalités et artistes, devant un public composé de plus de cinq mille personnes.

Au cours de cet événement solidaire, le directeur général de la société EUROGERM, Benoît HUVET, qui était accompagné de la directrice de la communication Emmanuelle DEROSSI, gagnait la scène pour remettre un chèque de la somme de 22 800 euros au profit de la structure associative. Un geste qui devait générer un tonnerre d’applaudissements.

C’est sous le couvert de la judicieuse initiative des Trophées de l’innovation EPIX d’Or que la référence des solutions nutritionnelles de Bourgogne soutient depuis plusieurs années l’association nationale. Grâce à la mise en place d’une cagnotte remplie généreusement par les salariés de la structure professionnelle et les partenaires de cet événement annuel.

Afin de récompenser les meilleures initiatives de valorisation de la filière, EUROGERM, via ARPEGES l’institut à vocation scientifique et pédagogique, a lancé ces fameux trophées mettant en exergue l’innovation.

En 2018, les EPIX d’Or, appellation sympathique de ces trophées, poursuivront leur soutien à l’association caritative et continuera à organiser l’événementiel « Toques en Truck », le premier food truck introduit au cœur d’un univers hospitalier…


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Même si la tâche s’annonce particulièrement ardue sur l’île de Beauté lors de ce déplacement périlleux face à l’Athlétic Club d’Ajaccio ce vendredi 15 décembre, le successeur provisoire de Francis GILLOT veut y croire. Pour l’avant dernière journée de la phase aller du championnat de France de Ligue 2, les Auxerrois, qui occupent une peu glorieuse seizième place après dix-sept rencontres, auront néanmoins maille à partir avec l’un des artisans majeurs du top cinq de cette compétition. Sauf si les attaquants retrouvent de leur superbe et surtout le chemin des filets…

AUXERRE : Un terme est revenu sans cesse dans les propos tenus par David CARRE, l’entraîneur de l’équipe B promu au poste de remplacement provisoire du coach Francis GILLOT en début de semaine : humilité ! Lors de la conférence de presse d’avant-match, le responsable de l’organisation du jeu s’est voulu à la fois rassurant sur les intentions de son équipe, pourtant ballotée le 08 décembre dernier face à la Berrichonne de Châteauroux (1-2), et surtout mesuré dans la modestie.

Après ce nouveau revers à domicile, la crise aura donc été fatale à Francis GILLOT dont le schéma tactique ne semblait plus correspondre à la situation actuelle. A la surprise générale. Nommé à le suppléer, au moins jusqu’à la trêve, l’entraîneur de l’équipe B de l’AJ Auxerre David CARRE a dû user de beaucoup de psychologie pour insuffler la confiance à son groupe, en proie à de sérieux doutes après la nouvelle déconvenue sportive.

Mettre à mal les pronostics favorables aux Corses

Pragmatique, humble, mais aussi clairvoyant, David CARRE n’incrimine personne. « Nous avons travaillé toute la semaine nos séances d’entraînement en insistant sur la confiance que nous devons retrouver devant les buts, expliqua-t-il, dans la motivation et l’enthousiasme. Certes, la phase aller de ce championnat ne nous a été guère favorable jusque-là, mais après la bascule, il restera encore dix-huit rencontres pour nous refaire la santé et repartir d’un bon pied… ».

Rappelant que la composition du groupe se structure avec 50 % de joueurs issus du centre de formation, David CARRE évoqua ce sentiment d’appartenance et de fierté de ses poulains. Souhaitant qu’ils soient conquérants en Corse, ce dernier aimerait clore l’année 2017 avec un panache en mettant à mal la faveur des pronostics plus enclins à voir l’équipe ajaccienne remportée la victoire que l’inverse.

« Nous avons aussi des arguments à faire valoir au niveau de notre jeu, concède-t-il, lors des phases préparatoires de la semaine, les garçons se sont montrés réceptifs aux enjeux. Même si l’AC Ajaccio est très forte… ».

Aborder cette rencontre à l’instar d’un match de coupe…

Simplifier et sécuriser le jeu, avec plusieurs changements dans la composition du groupe dès le début de la rencontre intègrent les éléments stratégiques de David CARRE.

« Je souhaite que chacun prenne ses responsabilités, espère-t-il, j’attends que nous produisions du jeu avec beaucoup d’humilité mais aussi avec les moyens de nos ambitions. Réussir serait un point collectif bienvenu ! »

Il est vrai qu’arracher les trois points de la victoire juste avant la trêve des confiseurs serait salutaire pour les observateurs. L’AJ Auxerre abordera cette partie comme un match de coupe où le couperet peut tomber à tout instant et dans une approche psychologique différente des autres rencontres.

« Il y aura aussi de la crainte mais aussi le désir de réussir un grand coup à l’extérieur en créant une énorme surprise…, conclut-il.

Rien d’impossible pour le nouvel entraîneur du club qui veut s’extraire de toute pression néfaste avant ce rendez-vous néanmoins capital.


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Sécuriser les parcours professionnels des demandeurs d’emploi et des salariés du particulier employeur dans la région Bourgogne Franche-Comté représentait l’ambitieux objectif de cette signature de convention tripartite, survenue il y a quelques jours à Dijon. Le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Pôle emploi et la Branche professionnelle des salariés du particulier employeur ont paraphé les documents officiels qui les lient désormais à ce partenariat valorisant le soutien à la professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile autour des métiers de la petite enfance et de la prise en charge du handicap dans une contrée particulièrement propice…

DIJON : Océane CHARRET-GODARD, vice-présidente du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté et Frédéric DANEL, directeur régional de Pôle emploi n’ont pas hésité un seul instant à l’issue de cette cérémonie protocolaire et des commentaires avisés de l’ensemble des intervenants à apposer leurs signatures au bas des pages des documents officiels. Ceux qui entérinaient cette convention importante et inédite, permettant de sécuriser les parcours professionnels.

Depuis plus d’une vingtaine d’années, IPERIA L’Institut, fort de la confiance des branches professionnelles des assistants maternels et des salariés du particulier employeur, conçoit et déploie le dispositif de professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile en forte croissance depuis une décade. L’institut est d’ailleurs devenu au fil des ans le référent incontournable de ce secteur d’activité par le truchement de son expertise et ses conseils prodigués dans le cadre de cette professionnalisation.

Aussi, était-il tout naturel de retrouver ses représentants aux côtés des partenaires institutionnels de ce protocole d’accord mis en place depuis peu. Partant du postulat qu’emploi et formation correspondent aux clés de la dynamique économique territoriale, chacun devait souligner les aspects fondamentaux de ce nouvel engagement.

Un enjeu collectif pour répondre à de véritables besoins identifiés…

Ainsi, la vice-présidente de la Région restait persuadée « que la loi sur la réforme de la formation professionnelle en 2015 a sans aucun doute révolutionné les choses avec l’apparition de la notion de compétences ». « Plus former et mieux former, c’est devenu une priorité pour le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, devait-elle rappeler à l’assistance. Cette convention symbolise les modes de coopération au service de la sécurisation des parcours professionnels des demandeurs d’emploi sur notre territoire… ».

Un item que ne démentait pas Frédéric DANEL, le directeur régional de Pôle emploi. « L’effort autour de la qualification pour un retour progressif vers l’emploi doit être encore plus important dans notre contrée car le niveau de formation est plus bas qu’à l’échelle nationale. Certes, devait-il poursuivre, l’emploi à domicile intègre les secteurs économiques qui recrutent le plus mais paradoxalement, ils éprouvent beaucoup de difficulté à pouvoir le faire… ».

Expliquant que cette convention tripartite représentait une formidable opportunité, le signataire de ce protocole d’accord appelait à une intense mobilisation suite à cet engagement entre les partenaires et à une mutualisation des moyens, notamment ceux visant à s’informer sur les besoins de ce secteur d’activité afin de pouvoir sensibiliser de manière optimale les demandeurs d’emploi à ces métiers.

Une activité économique en forte progression et porteuse d’emplois…

Vice-présidente de la Commission paritaire nationale de l’emploi et la formation professionnelle (CPNEFP) de la branche professionnelle des salariés du particulier employeur, Marielle BROUARD effectuait un focus intéressant sur la réalité de ce secteur qui recense plus de 64 000 particuliers employeurs et plus de 59 000 salariés en Bourgogne Franche-Comté. Attractifs aujourd’hui, les métiers de la famille le seront encore plus demain en présentant de réelles opportunités de développement économique équitable entre zones urbaines et zones rurales. Les projections sont simples : à horizon 2030, près de 45 000 nouveaux postes seront à pourvoir d’où la nécessité impérieuse d’y adjoindre de véritables dynamiques en termes de professionnalisation.

« Entre 2012 et 2016, constatait Marielle BROUARD, nous comptabilisons plus de 5 500 départs en formation continue en modules courts sur l’offre prioritaire de notre branche et celle des assistants maternels du particulier employeur et 1 500 parcours de certification… ».

Innovantes et actives, les branches du particulier employeur ont pu instaurer le titre d’assistant maternel/garde d’enfants qui œuvre à la reconnaissance des professionnels de ces métiers. « Celles qui le désirent peuvent même se spécialiser dans la prise en charge du handicap grâce au certificat de qualification professionnelle assistant maternel/garde d’enfants handicap qui a été mis en place récemment, souligna Véronique DELAITRE, la présidente de la même commission.

Déjà une application concrète de ce dispositif dans la Nièvre…

Se qualifier sur les problématiques inhérentes au handicap doit aussi permettre aux demandeurs d’emploi de bénéficier de solutions novatrices. La prise en charge de ces publics fragilisés au domicile intègre le cœur de métier des professionnels de la petite enfance. La création d’un certificat de qualification professionnelle handicap de spécialisation a traduit cette volonté ; d’une durée de 175 heures, il vient compléter les compétences générales sur la petite enfance déjà acquises par les stagiaires au cours de leur formation assistant maternel/garde d’enfants.

« Depuis 22 ans, saluait Anita POUPARD, présidente d’IPERIA L’Institut, nous n’avons jamais cessé de croire en l’importance de renforcer l’attractivité des métiers qui constituent le secteur de l’emploi à domicile : c’est-à-dire assistant de vie, assistant maternel, garde d’enfants et employé familial. Nous avons aussi noué des partenariats constructifs dont le socle repose sur ces certificats de professionnalisation handicap. L’un dans la Nièvre qui concerne un parcours long permettant à des demandeurs d’emploi de suivre un parcours de formation complet (le titre d’assistant maternel/garde d’enfants et le CQP handicap de l’enfant). L’autre en Côte d’Or qui concerne l’obtention du certificat de professionnalisation handicap adulte. Ce cursus se rapporte aux personnes déjà détentrices du titre d’assistant de vie dépendance. Grâce à ces deux spécialisations, les opportunités professionnelles se renforcent et existent mais elles ne rencontrent pas forcément les publics formés… ».

Mais, les choses devraient évoluer positivement à l’issue de la signature de cette convention tripartite puisque les futurs certifiés spécialisés disposeront dorénavant des savoirs et des savoir-faire pour prendre en compte les spécificités de chaque situation de handicap, adaptant au passage leur accompagnement aux besoins des particuliers employeurs ou des enfants au sein de leur domicile.

Enfin, Magali CAZENEUVE, directrice opérationnelle de l’INFA Bourgogne Franche-Comté Grand Est, expliqua le solide partenariat mis en exergue entre les branches professionnelles et IPERIA l’Institut, depuis plus de vingt ans. « Nous dispensons à l’heure actuelle plus de 50 modules de formation. Par exemple, depuis le 25 septembre, une dizaine de stagiaires sont ainsi formés à la Fondation INFA de Nevers au métier d’assistant maternel/garde d’enfants avec un CQP handicap enfance. Ce programme pédagogique est mené à titre expérimental dans le cadre des nouvelles actions co-construites par IPERIA L’Institut, Pôle emploi et le Conseil régional. Il se terminera à la fin du mois de février 2018… ».


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