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Pessimisme s’abstenir. Toutes les anecdotes contenues dans cet ouvrage de 250 pages ne sont que joyeuses et rafraîchissantes. Elles traduisent la vivacité d’esprit de leurs auteurs. Un panel d’une cinquantaine de personnes dont la moyenne d’âge s’élève à 85 ans ! Ayant collecté leurs sources par le prisme de petits groupes de parole dans les maisons de retraite, voire au domicile des personnes âgées, ces deux consultants en entreprise réalisent avec ce livre un solide référent sur le devoir de mémoire. Cerise sur le gâteau : vu sous la lorgnette positive !

AUXERRE : Le titre de l’opus prête à interrogation. Pourquoi avoir choisi comme intitulé liminaire l’assemblage de mots suivants : « Yvonne ne veut pas partir ». Serait-ce parce que cette personne est en partance de son domicile afin d’être hébergée en maison de retraite ? Ou, plus énigmatique, ce départ qu’il est nécessaire de refuser serait-il celui qui mène vers les confins de l’existence, voire au passage vers l’au-delà ?

Loin d’être mortifère pour autant, le document produit à quatre mains par ces deux humanistes, pétris d’émotions positives, se veut avant tout réjouissant. Il compulse les souvenirs joyeux de nos aînés qui se remémorent des faits vécus sur le territoire de l’Yonne.

Dix-huit mois durant, le tandem formé par Dominique COJAN et Jean-Eric FRAY se met à l’œuvre. Les auteurs investissent les établissements qui accueillent les personnes âgées afin d’y collecter leurs meilleurs souvenirs. A Perrigny. Mais aussi, à Saint-Sauveur-en-Puisaye, à Joigny, à Chablis ou à Sens. Au total : c’est une cinquantaine de seniors qui cautionnent le concept sans s’effrayer le moins du monde de la démarche...

 

Des témoignages obtenus par le support de groupes de parole…

 

« La manière de procéder était simple, concède Dominique COJAN, qui accompagne les personnes dans leur recherche de confiance en soi, nous avons enregistré à l’aide d’un dictaphone des heures de témoignages… ».

A la seule condition pour demeurer dans l’éthique du projet initial : que ceux-ci soient joyeux ! Plongés dans leurs souvenirs parfois les plus lointains, les témoins choisis au gré des pérégrinations des auteurs participent sans renâcler à ce travail collectif.

« L’émotion de ces séances a été intense, confie Jean-Eric FRAY, expert en accompagnement d’organisations pour lesquelles l’engagement est le moteur de la réussite, le but de cette opération est de susciter auprès des plus jeunes une réelle appétence à aller voir et écouter leurs parents ou grands-parents. Une démarche à accomplir autour d’une seule et unique question : « qu’est-ce qui t’a rendu heureux dans ton existence ? ». Ces éléments informatifs courent sur des décennies et des lieux disparates les uns des autres… ».

Bref pour aboutir à l’objectif de ce devoir mémoriel, Dominique et Jean-Eric invitent leurs témoins à s’épancher autour d’un univers bien défini. Ce sera le cas avec les métiers, les voyages, l’amour.  

 

 

Le soutien du Conseil départemental pour en faire la promotion…

 

Contactés parce que la thématique intègre leurs compétences, plusieurs élus du Département applaudissent l’initiative. Vice-présidente en charge des personnes âgées, Isabelle JOAQUINA se satisfait de la publication de l’ouvrage, sorti des presses de l’imprimerie LABALLERYE à Clamecy. Le président de l’exécutif icaunais, Patrick GENDRAUD, en fait de même.

« Ce livre représente une vraie prise de conscience du devoir que nous avons envers nos aînés et du plaisir à trouver dans l’écoute de ces mémoires vivantes encore joyeuses. Je fais le vœu qu’il soit lu et qu’après sa lecture, on comprenne un peu mieux la richesse du grand âge… ».

Le livre trônera par ailleurs en très bonne place lors du prochain Salon des seniors, évènementiel organisé, entre autres, par le Conseil départemental à Auxerre les 11 et 12 octobre.

Initiative non dénuée d’intérêt : « Yvonne ne veut pas partir » a été édité chez La Huppe Messagère, une jeune société portée sur les fonts baptismaux de la création en 2019. La structure favorise l’expression d’auteurs contemporains en matière d’art et de culture.

Les duettistes envisagent désormais de porter à bout de bras la communication et le marketing après la publication de cet ouvrage. Des séances de dédicaces se multiplieront au cours de ces prochaines semaines dans les librairies à travers le territoire.

Quant à la date du 27 octobre, elle est déjà à biffer sur les agendas. Logique, elle correspond au fameux festival, FESTILIVRES, à Monéteau où le public pourrait bien être tenté de mieux connaître ces seniors que parfois ils ignorent.

 


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Depuis longtemps, l’édile de Sens en rêvait ! A chaque visite consentie sur le site de la zone portuaire, elle espérait s’asseoir tôt ou tard dans la cabine de pilotage aux commandes de cet engin de chantier aux dimensions hors norme. Mais, cette fois-ci, Didier MERCEY, patron de LOGI YONNE, lui a permis d’accéder à ce désir pour le moins insolite : aux manettes du HYSTER, la présidente du Grand-Sénonais a assuré durant sa démonstration !

GRON : Sous le regard admiratif et étonné d’un parterre de personnalités venues inaugurer la nouvelle ligne de fret conteneurisée entre le Vietnam et la France, Marie-Louise FORT s’est livrée à un petit exercice dont elle n’a pas coutume !

Aux côtés du conducteur de cet engin au tonnage impressionnant, madame le maire a troqué le temps d’un exploit mécanisé authentique sa vêture d’élue pour manœuvrer l’appareil sur la zone d’embarquement des conteneurs.

 

 

 

 

Mieux, elle a pris part, avec l’aide bienveillante de son copilote, à un exercice de manutention qui n’avait rien de factice. Celui-ci consistait à placer sur la barge en partance pour le port d’Ho Chi Minh l’un des volumineux conteneurs, renfermant de l’orge destinée à la production de bière, produite dans l’Yonne.

Munie de ses indispensables artifices sécuritaires, Marie-Louise FORT, une fois descendue de l’imposant appareil, confia qu’elle avait vécu là une expérience de pur bonheur, s’apparentant à un rêve de gosse. Conduire et manœuvrer un engin de chantier. Son vœu est enfin exaucé.

 


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Le talent des jeunes artisans n’attend pas le nombre des années pour pouvoir s’exprimer. Une épreuve sélective à l’échelle du territoire icaunais, relevant du concours du Meilleur apprenti de France de la filière boulangère, a rappelé que l’abnégation, le sérieux et le travail se récompensaient de la plus belle des manières. Grâce à l’obtention de précieux accessits, synonymes d’avenir...

AUXERRE : Certains se risquent dans l’aventure. D’autres, non. Ont-ils tort ? Sans doute ! Car, participer à une sélection départementale qualificative pour les finales régionales du concours des Meilleurs apprentis de France ne peut que procurer émulation et joie. Celle de se confronter à des candidats qui jaugent ainsi leur capacité technique, manuelle et intellectuelle lors d’un défi de belle envergure.

Olivier FAUVERNIER, Kebe ABDOULAYE et Tom SEMNONT ont-ils abordé de la sorte ce challenge professionnel qui les a amenés à concourir les uns contre les autres pour décrocher la lune ? Motivés, les jeunes gens ont eu à se confronter à un cahier des charges drastiques lors d’une compétition obsédante de huit heures.

Le cadre de ce concours, le Centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage de l’Yonne (CIFA), ne pouvait que leur réserver le meilleur des accueils. D’autant que tous ces valeureux prétendants au sésame suprême et à la qualification régionale ont gagné leurs galons de futurs boulangers en fréquentant formateurs et maîtres de stage. Ceux qui exercent au sein de cet établissement ayant comme credo quotidien la pratique de l’excellence.

 

 

 

 

Des candidats prometteurs issus du CIFA de l’Yonne…

 

Président la cérémonie protocolaire de la remise des prix, Michel TONNELLIER, porte-étendard médiatique du fameux site éducatif, insista sur le volontarisme de ces jeunes gens qui n’hésitent pas à se remettre en cause pour approfondir leurs connaissances. Suivront-ils les pas de l’un de leur condisciple, le brillantissime Alexis PEZIN, couvert de bronze lors du concours MAF national de 2016 ? Peut-être !

Quant au directeur de la célèbre maison qui a su se distinguer par bien des égards sur d’autres registres (Défi gastronomique IRON Cook, Virtual Store, le restaurant d’application le Com des Chefs…), il n’a pas tari d’éloges sur le savoir-faire inculqué en cet antre. Celui de la maîtrise aboutie des moindres gestes techniques qui permettent aux futurs diplômés de pouvoir prétendre ensuite intégrer rapidement la vie active.

Tous issus du CAP, les trois candidats ont su retenir la leçon. Au vu de leurs appétissantes productions qui comprenaient pain de campagne, pain nutritionnel, création boulangère salée, brioche, pâte levée feuilletée base du croissant et des pains au chocolat ou encore baguette de tradition française.

Bravo, jeunes gens, vos prestations confirment votre talent : vous ne serez jamais dans le pétrin, foi de boulangers professionnels, membres du jury !

 


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Confiant, Gian-Marco AMENDOLA n’en démord pas. Faisant fi des habituelles tracasseries administratives qui ont retardé son projet d’implantation dans l’Yonne – qui n’en subit jamais dans ce beau de France lorsqu’il désire entreprendre ! –, le franchisé de la célèbre enseigne de restauration rapide américaine (Kentucky Fried Chicken) espère accueillir ses premiers clients d’ici décembre. Explications…

SENS : La phrase, il l’a martèle à maintes reprises durant l’entretien qu’il nous a accordé. « Le KFC sera opérationnel à Sens d’ici la fin de l’année 2019… ». Méthode Coué, certitude absolue ou volonté inexpugnable de rendre fonctionnel au plus vite son outil de production ?

Quoi qu’il en soit, le franchisé de la future enseigne de fast-food, attendu avec grande impatience par toute une frange de consommateurs en pénitence de ne pouvoir savourer les spécialités de poulet frit à la sauce made in USA, a des fourmis dans les jambes.

Il a surtout hâte de démarrer au plus vite l’aventure : celle qui procure de l’adrénaline et de l’enthousiasme, à tout bon entrepreneur qui se respecte !

Le professionnel de la restauration (il évolue dans cette bulle depuis plus de deux décennies) joue la carte de l’optimisme : les premiers coups de pioche devant contribuer à la prochaine édification du bâtiment seront donnés d’ici la fin de ce mois. Celui-ci recevra ensuite en ses murs le fonds de commerce. Le bâti, érigé sur une surface d’environ 300 mètres carrés, pourrait accueillir ses premiers visiteurs avant le terme de l’année.

Gian-Marco AMENDOLA possède déjà une autre vitrine commerciale à l’estampille de KFC. Celle-ci est implantée dans la capitale du Cher, à Bourges, depuis 2016.

« Je souhaitai me développer vers la région Centre, voire un peu plus à l’est, confie le chef d’entreprise qui a jeté son dévolu sur le Sénonais. L’attractivité et la dynamique de ce territoire m’ont convaincu de poser mes jalons ci… ».

Dans un premier temps, le dirigeant s’était intéressé à l’Auxerrois. Mais, le manque de possibilité foncière telle qu’il la concevait et la proximité avec l’Ile-de-France l’ont très vite ravisé sur son choix initial. C’est finalement la ville emblématique des Sénons qui a obtenu son onction.

 

 

Une stratégie de conquête mûrement réfléchie…

 

Toutefois, Gian-Marco AMENDOLA n’occulte pas la possibilité à moyen terme de venir tâter de nouveau le pouls de la faisabilité opérative d’Auxerre. Pour valider l’installation d’un troisième point de vente.

Aujourd’hui, le projet nécessite un investissement budgétaire qui oscille entre 1,5 million et deux millions d’euros. Même si cette boutique serait moins importante que celle ouverte à Bourges (Sens ne possède pas l’attractivité comptable de la ville de Jacques CŒUR), le restaurant bénéficierait du décorum de dernière génération de KFC.

Ce dont profiterait volontiers la centaine de clients pouvant se sustenter en même temps dans l’établissement.

L’un des sponsors atypiques de l’équipe de France de football championne du monde est devenu en l’espace de plusieurs années un poids lourd de la restauration rapide.

Ses principaux concurrents demeurent BURGER KING et Mc DONALD’S, déjà implantés dans le département. Précisons que BURGER KING s’installera à Saint-Denis-les-Sens au premier semestre 2020.

Avec cette ouverture, KFC comptabiliserait environ 250 établissements en France. Sachant que le groupe américain envisage le doublement du nombre de ses magasins d’ici cinq ans.

Ciblant en priorité les familles et les adolescents, amateurs patentés de fast-food à longueur de saisons, Gian-Marco AMENDOLA ne dédaigne pas s’orienter dans sa stratégie merchandising vers les professionnels. Notamment la clientèle au profil commercial de type VRP.

 

KFC à Sens équivaut à une cinquantaine d’emplois à la clé…

 

Reste l’emploi. La présence de la marque d’Outre-Atlantique sur le Sénonais se convertit en une cinquantaine de nouveaux postes créés. Ce qui est un argument non-négligeable dans le contexte d’aujourd’hui.

La Mission locale, Cap Emploi et Pôle Emploi ont été mobilisés dans cette quête qui consiste à rechercher ces collaborateurs et encadrants.

Comme le confirme Gian-Marco AMENDOLA : « le processus d’embauche, toujours d’actualité, est long, voire complexe. Au-delà des diplômes, je suis davantage sensible aux mises en situation autour des véritables compétences de l’individu… ».

D’où le recours à la MRS, système ayant déjà fait ses preuves chez Pôle Emploi. La méthode de recrutement par simulation est déjà abondamment usitée dans d’autres univers corporatistes tels que l’industrie ou la viticulture. KFC ne pouvait pas faire autrement que d’en bénéficier.

Un article réalisé avec le concours de la Communauté du Grand-Sénonais et de la Ville de Sens.

 


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La région Rhône-Alpes Auvergne a reçu des crédits de l’État approchant les neuf milliards d’euros pour subventionner l’implantation de panneaux solaires. Entre les retraites, les Gilets jaunes qui tentent de nous rejouer l’acte II de la pièce, les élections municipales qui se profilent, les éclats de BOLSONARO, l’affaire FERRAND qui pourrait devenir une nouvelle affaire de RUGY : le gouvernement ne sait plus où donner de la tête. Alors, il y a l’écologie pour nous sauver et surtout, faire diversion. Dans la panoplie « écologico-électorale » s’inscrit donc l’installation de panneaux solaires, hic et nunc !

TRIBUNE : Et les perches, que viennent faire les perches là-dedans ? Pour avoir souvenance des perches, il faut approcher la soixantaine. Les perches ! Il ne s’agit ni des poissons d’eau douce, ni des longs bâtons de ceux qui tentent de sauter très haut. Les perches ; ce fut une marotte d’EDF après 1973. Pourquoi donc ? Faisons un saut dans l’Histoire. En octobre 1973, une coalition de l’Égypte, de la Syrie et de l’Irak franchit le canal de Suez et avança vers Jérusalem. Tsahal, l’armée israélienne se ressaisit et marcha vers Le Caire. L’ONU, les Américains, les Russes dirent : « Les enfants ça suffit. Que chacun retourne sur ses positions antérieures... ».
On croyait que l’affaire était terminée. Pas du tout. Les Arabes se rappelèrent « qu’ils avaient du pétrole sous les pieds ». Et ils multiplièrent le prix du pétrole par trois. Les Européens et, à un moindre degré, les Américains, découvrirent que le pétrole ce n’était pas comme l’air. C’était un bien qu’il fallait payer. Ce fut un réveil brutal. D’autant plus que quatre ans plus tard, ils reçurent un deuxième coup de massue dans les réservoirs de leurs automobiles et dans les cuves de leur chauffage. Le pétrole avait triplé une deuxième fois.


Se soustraire du joug énergétique du Moyen-Orient… 


C’est à cette époque que l’on ferme la parenthèse de cette période unique dans l’histoire économique de l’humanité qu’on appelle « les trente glorieuses »’. Mais à l’époque on n’en avait pas encore conscience. On a simplement constaté que le pétrole appartenait aux Arabes, entre autres, et qu’il fallait le payer.

« Quand on n’a pas de pétrole, il faut avoir des idées », disait-on à l’époque. Donc, des ingénieurs eurent l’idée des perches. Les perches, c’était un système pour pomper les calories des nappes phréatiques. Perches par-ci, perches par-là : on voyait partout des publicités sur les perches. Donc on plongeait hardiment ces appareils dans l’eau et on captait sans retenue les calories.
Seulement voilà, quand on a absorbé toutes les calories d’une nappe phréatique, il ne reste que des frigories ! Ça, c’est un phénomène naturel auquel nos brillants ingénieurs n’avaient pas songé. Et tous les braves « gogos », qui avaient adopté sans retenue les perches, se retrouvaient Grosjean comme devant !

Des perches autrefois, aujourd’hui des panneaux solaires… on a repris la rengaine. Certes, direz-vous, le soleil, ce n’est pas une nappe phréatique. Il va luire encore pendant des milliards d’années. Donc la comparaison n’est pas justifiée. En êtes-vous si sûrs ?

 

Dépendance à la Chine au niveau des terres rares…

 

Savez-vous à partir de quoi fabrique-t-on les panneaux solaires ? À partir des terres rares. D’où viennent les terres rares ? Essentiellement de Chine. La Chine extrait 80 % des terres rares et en raffine 90 %. Donc, à l’heure actuelle nous sommes vis-à-vis des terres rares, totalement dépendants de la Chine. Comme nous étions dépendants des Arabes pour le pétrole lors des crises de 1973 et 1977. Or, nous, les Européens et les Français en particulier nous n’avons pas de réserves significatives de terres rares… guère plus que de pétrole !
De plus, le développement de mines et d’usines métallurgiques de terres rares est aussi complexe que coûteux. En effet, l’extension de la production est bridée par la faible teneur du minerai, qui suppose une extraction extensive, et la difficulté de séparer des produits mystérieux qu’on appelle les lanthanides, (il y en a 15 !) auxquels on ajoute l’yttrium et le scandium.

Et maintenant, le coup de grâce : tout ce processus est très consommateur d’énergie et source de pollution énorme pour l’environnement. Dernière question : que fera-t-on de tous ces panneaux quand ils seront hors d’usage ? Vous voyez, on n’est pas sorti de l’auberge !

Entre perches et panneaux, c’est un véritable imbroglio !

Emmanuel RACINE

 


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