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On le croyait profiter pleinement de sa méritoire retraite, l’ami Serge. Ayant fait valoir ses droits depuis plusieurs semaines, après avoir quitté le lycée des métiers Vauban à Auxerre, une fois le devoir accompli. Celui d’avoir su former et forger des carrières professionnelles auprès d’une kyrielle d’élèves amoureux de cette filière de l’hôtellerie, bar et restauration. Que nenni ! Installé désormais en Isère, son retour dans l’Yonne s’est effectué il y a peu par le biais de la sélection nationale des Worldskills…

 

AUXERRE : A croire que la capitale de l’Yonne lui manquait déjà ! Serge GOULAIEFF est de retour ! Oh, pas pour très longtemps, dans la cité chère à Paul Bert. Mais, suffisamment pour nous expliquer sa nouvelle existence, en qualité de consultant expert en formation des métiers de l’hôtellerie et de la restauration, ce qui lui permet de vivre une seconde jeunesse dans la peau d’un sémillant entrepreneur.

A 60 ans, le voilà qui rempile. Depuis juin, l’ancien Meilleur ouvrier de France, catégorie maître d’hôtel et arts de la table, s’affiche comme expert international. Son job ? Préparer la sélection tricolore de la catégorie service et arts de la table aux futures échéances programmées à Lyon – c’est presque son berceau vu de Bourg d’Oisans où il réside dorénavant – dans le cadre des Worldskills. Rien que ça !

Sur sa carte de visite, copieusement garnie de références et d’une présence de plus de 34 ans au sein de l’Education nationale en qualité de professeur de restaurant et de bar, Serge possède à son actif l’organisation de la sélection France et de la finale mondiale du championnat planétaire des maîtres d’hôtel. Un évènementiel dont on se souvient puisqu’il fut accueilli en juin 2018 dans son jardin, le lycée des métiers Vauban, dirigé par Capucine VIGEL.

 

 

Durant ces quelques jours immersifs au CIFA d’Auxerre, l’esthète du service et des arts de la table a chaperonné les trois meilleurs candidats de la sélection tricolore qui disputeront en 2024/2025 l’épreuve reine, soit le rendez-vous mondial à Lyon, terreau de la gastronomie et d’un certain Paul BOCUSE, ou son corollaire européen accueilli en terre du Danemark. Le troisième candidat servant de remplaçant de dernière minute en cas de besoin.

Un rendez-vous auxerrois où Serge GOULAIEFF mettra dans la balance son indéniable savoir-faire pour que les trois candidats retenus à cette sélection nationale soient le plus confortable face à leurs juges, au moment de leur série d’épreuves. Dont une en anglais.

Le coach a un rôle prédominant tant sur l’apprentissage de la technique que sur la maîtrise du mental. « Les jeunes doivent gérer plein d’émotions, de doutes et d’interrogations face à la difficulté de ces concours hors norme : nous sommes comme une seconde « maman » pour eux, aux petits soins ! ».

Trois beaux exemples de motivation à la conquête de futures distinctions internationales en somme…biberonnés par le fruit de la passion, celle de Serge GOULAIEFF !

 

Thierry BRET

 


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Les médias nous inondent de publicités qui nous vantent les mérites de voitures pour cent euros par mois, avant même les caractéristiques techniques desdits véhicules. Que cachent ces moyens de financements ? Il ne faut pas oublier que les concessionnaires touchent des commissions sur les contrats de financement, versées par les sociétés financières, parfois liées aux marques. Afin d’accompagner le développement de la voiture électrique, les sociétés financières spécialisées et les banques traditionnelles participent au développement de solutions de financement des automobiles, tant pour les particuliers que pour les entreprises.

 

TRIBUNE: Le crédit est une base fondamentale de nos économies modernes depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le crédit est né de la création des banques depuis plus de 5 000 ans, avant même l’apparition de la monnaie. Il faudra attendre le XIIème siècle pour la naissance du crédit-bail, sous la houlette des chrétiens usuriers, qui contournent l’interdiction du crédit édictée par Rome.

Si les crédits immobiliers sont en berne, la vente de voitures est boostée par les voitures électriques et hybrides. Le prix moyen d’une voiture hybride se situe à plus de 41 000 euros. Une somme conséquente surtout en période de crise économique et d’inflation. On peut noter que la location est en hausse, avec un taux de près de 50 % des acquisitions de nouveaux véhicules. Les formules locatives séduisent de plus en plus et correspondent à un réel besoin.

 

La concurrence effrénée des établissements bancaires…

 

Payer cash, c’est prendre l’argent sur son épargne et ce n’est peut-être pas la meilleure des solutions. Si vous faites plus de 20 000 km par an, vous aurez un coût d’entretien et de réparation important. Attention, bien lire son contrat, les garanties ne couvrent pas tout ! De plus, lors de l’immobilisation du véhicule, il faudra louer et payer le remplacement provisoire. Ces dispositions proscrivent de facto l’achat de véhicules électriques d’occasion : les batteries sont garanties de six à huit ans. Au-delà, le remplacement est à la charge du propriétaire.

Quant au crédit bancaire, les banques et sociétés financières (CETELEM, COFIDIS, YOUDGE…) rivalisent et proposent des taux parfois très bas. Elles se livrent une concurrence effrénée au profit des consommateurs en pratiquant parfois, un dumping sur les taux (1 %). Financer sa voiture avec un crédit présente les mêmes remarques que pour le cash. Tout dépend du type de voiture, de son utilisation et du montant du crédit sollicité. Un crédit à hauteur de 100 % devient moins intéressant qu’une location.

 

 

Les subtilités réservées à la location

 

Les formules de location gagnent du terrain par rapport au crédit classique. Reste à savoir laquelle des deux choisir entre LOA ou LLD lorsque le cas de figure se présente.

La notion de propriété en fin de contrat reste le principal critère qui différencie ces deux solutions de financement. Comme son nom l’indique, la LOA regroupe les deux sortes de clients face à l’acquisition d’une nouvelle voiture. Si vous êtes indécis et préférez reporter votre choix au terme de votre contrat, l’option d’achat est idéale pour ce cas.

La LOA est également parfaite pour vous qui avez déjà planifié à l’avance votre investissement global entre apport, budget mensuel, et surtout prix d’achat de votre voiture, tout en laissant la possibilité de revenir sur votre décision en fin de contrat. En choisissant la LLD, on paie un loyer « à fonds perdu » en quelque sorte, puisque l’on ne devient jamais propriétaire de son véhicule, qui doit impérativement être restitué au terme du contrat de location longue durée.

 

 

La LOA ou location avec option d’achat

 

Appelée souvent « leasing automobile », la location avec option d’achat ou LOA permet de circuler avec un véhicule neuf, mais aussi d’occasion depuis quelques années, moyennant un loyer mensuel, avec possibilité de devenir propriétaire en fin de contrat. Confidentielle il y a une dizaine d’années, la LOA connaît un succès exponentiel sur le marché automobile face à l’achat à crédit. Dans le cadre de la LOA, la société de crédit, qui reste propriétaire du véhicule pendant toute la durée de location, exigera une assurance tous risques. Par ailleurs, les contrats de LOA sont assortis d’un forfait kilométrique (de 10 000 à 30 000 km par an). Des indemnités peuvent être demandées en cas de dépassement.

Quant à la LLD ou location longue durée, autrefois réservée principalement aux professionnels, elle se développe progressivement pour les particuliers, 11 % l’ayant choisie en 2017 (contre 3 % en 2011). Une croissance ayant poussé les constructeurs à remplacer le tarif de leur automobile par un coût mensuel, voire promu en prix journalier (3 euros par jour pour une Dacia par exemple). Contrairement à la LOA, vous devrez également restituer le véhicule en fin de contrat et n’avez aucune possibilité d’en devenir propriétaire. En clair, la location longue durée sans apport permet de circuler à moindre frais qu’avec un véhicule neuf acheté en crédit classique, tout en sachant qu’il ne vous appartient pas et qu’il faudra le restituer en fin de contrat, ce qui n’est pas le cas avec la LOA.

Attractive donc et ne nécessitant pas toujours un apport, la LLD ne laisse cependant pas le choix des services (assurance, entretien, réparations, assistance…), car cette formule de location comprend exclusivement ceux du loueur.

 

La location, idéale quand on roule peu !

 

La location séduit de plus en plus de consommateurs, et les constructeurs l’ont bien compris. Néanmoins, lorsque l’on souhaite acheter une voiture en leasing, il est tout de même conseillé de rester vigilant vis-à-vis des offres alléchantes chez son concessionnaire ou des nombreuses publicités face à ses capacités financières. Toutefois, la location se révèle généralement intéressante si l’on roule peu et souhaite changer de voiture régulièrement. Si cela comble les flottes de véhicules professionnels en LLD, la LOA (de plus les professionnels récupèrent la TVA sur les loyers), qu’elle soit avec ou sans apport, est la solution parfaite, car elle laisse le choix au détenteur de devenir ou non propriétaire. Ce mode de financement est donc une excellente alternative à l’achat d’un véhicule en crédit classique, grâce aux services qu’elle peut inclure et à des mensualités également inférieures en général.

En résumé, voici les points-clés à retenir sur la LOA et la LLD :

  • La LOA permet de devenir propriétaire en fin de contrat.
  • La LOA est de plus en plus plébiscitée par les particuliers et les professionnels.
  • La LLD impose une restitution en fin de contrat.
  • La LLD est une solution intéressante pour la gestion de flotte automobile professionnelle.
  • La fin de contrat pour une LLD peut révéler un piège : la remise en état du véhicule est facturée de manière souvent exorbitante.
  • Les mensualités de la LOA sont moins élevées que celles de la LLD (Hors apports.

Il faut donc faire le bon choix en toute connaissance de cause et surtout bien lire toutes les lignes des contrats proposés. Les financiers ont complexifié à souhait les possibilités de financements de nos « chères » voitures. « Un financier digne de ce nom ne va pas à la Bourse, il y «vole».» Ambrose PIERCE.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Déjà que de garer son véhicule dans le cœur de ville est particulièrement délicat ce mois-ci avec la multitude de travaux en cours, se rapportant entre autres au long remplacement des réseaux de gaz, vétustes et inappropriés en termes de modernisme et d’efficience, voici que les automobilistes eux-mêmes se mettent à faire du grand n’importe quoi sur les parkings auxerrois. En témoigne cette illustration où le malheureux propriétaire de la petite Kia grise (voire au centre de la photo) pris en tenaille entre plusieurs autres bagnoles a dû ronger son frein longtemps avant de pouvoir quitter son piège !

 

BILLET : On savait que les Français, ces Gaulois réfractaires à toute évolution, faisaient montre d’impolitesse et d’incivisme au quotidien – c’est devenu un véritable sport national, une marque de fabrique tricolore, aussi bien en ville que dans les campagnes, de bon augure avant les Jeux de Paris où nos couleurs seront favorites, c’est certain aux  médailles du plus beau des métaux ! – mais là, il faut presque se pincer le bras en se demandant si tout cela est bien vrai !

Tout le monde se fout de tout et le bon sens, voire la logique pour celles et ceux qui en font encore usage à bon escient avec leurs neurones distraits par les portables et autres mondes virtuels, semble s’être évaporé pour de bon, balayé par les puissantes rafales de vent de ce mois de novembre, enfin automnal.

Imaginez la tête du possesseur de ce petit véhicule gris, d’une marque sud-coréenne placée au centre de notre illustration, lorsqu’il a voulu quitter le parking (un véritable piège d’ailleurs que cet espace de stationnement anarchique situé près du Rond-Point de Paris, dépourvu de la moindre ligne au sol faisant office d’emplacement) d’où il n’a pu s’extraire avec commodité.

 

Courir tout le temps après n’importe quoi…

 

C’est sûr : être coincé entre plusieurs automobiles, l’une devant, l’autre derrière, sans oublier celles positionnées sur les côtés, aura dû s’apparenter à une sinécure inéluctable pour le malheureux conducteur.

Le propriétaire aura dû s’en doute d’armer de beaucoup de patience (vertu que le Français ne possède pas !) et bouillonner intérieurement avant de pouvoir  s’extirper de la nasse dans laquelle on l’y aura mis. De manière involontaire, on ose espérer, ou peut-être pas, c’est à se demander  à y regarder de plus près !

Où sont donc passés les principes élémentaires du Code de la Route qui s’appliquent aux règles de stationnement ? Pressés de poser leurs « caisses » sans crier gare, n’importe où, et n’importe comment, afin de se rendre dare-dare au bureau, faire leurs emplettes, boire le petit ballon de blanc salvateur ou se précipiter sur le premier jeu de grattage venu en espérant toucher le jackpot en devenant millionnaire, nos concitoyens à force de courir après on ne sait quoi (rassurez-vous la mort sera toujours là pour vous accueillir au bout du compte !) et par manque de discernement en sont arrivés à ne plus rien respecter du tout, encore moins de l’existence d’autrui, voire de la leur.

 

 

Il faut être inconscient voire totalement c…pour bloquer un véhicule !

 

Car, tout de même, avec un peu de jugeote, pour l’automobiliste fautif de cette infraction (peu importe de savoir si c’est celui de devant, de derrière ou de côté d’ailleurs qui aura bloqué le véhicule central), ne pas s’apercevoir que l’automobiliste « piégé » ne pourrait pas bouger son véhicule est totalement inconscient. Pour ne pas dire d’autres mots empruntés au célèbre sabir fleuri du regretté Michel AUDIARD !  

Et si ce véhicule encerclé était celui d’un professionnel de santé devant assurer une intervention d’urgence, d’une mère de famille devant s’occuper de ses enfants en bas âge à la maison, de personnes malades devant rentrer à leurs domiciles pour s’y soigner, de personnes en activité devant honorer un rendez-vous capital ? On ose imaginer les conséquences par effet gigogne d’un acte aussi anodin et imbécile…

Qu’importe ! En bon égoïste que nous sommes tous, du moment que nous puissions garer notre bagnole là où il y a de la place, le reste n’est pas un problème en soi. Détrompez-vous, mesdames, messieurs : cet incivisme ordinaire et nauséabond, ce m’en foutisme indigent qui nous gangrène tous les jours dans moult domaines et nous ronge comme un cancer incurable, sera la cause de notre perte…Du moins, celle des gens intelligents et civilisés.

 

Thierry BRET

 


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En ce mois de novembre, période des produits tripiers, notre rubrique culinaire vous emmène déguster l'un des abats préférés des convives icaunais : la tête de veau. Souvent, elle est proposée au menu du jeudi. Le « Restaurant du Pont » à Cry-sur-Armançon n'échappe pas à la règle. Pourquoi ce jour-là ? J'avoue tout de go en ignorer la raison !

 

CRY-SUR-ARMANCON : La France comptait environ un millier de tripiers en 1970. Combien en demeure-t-il désormais ? Deux cents, tout au plus. Dans l'Yonne, on pense aux sympathiques frangins MAGNONI, présents sur nombre de marchés (Pont-sur-Yonne, Sens, Toucy, notamment...).

Au sud-est de notre département, à une portée d'arquebuse de la Côte d'Or, se dresse le joli village de Cry-sur-Armançon (164 habitants environ). Il est bordé de majestueuses forêts. L'Armançon y coule gaillardement.

 

 

Rendre l’hommage qu’ils méritent aux tenanciers de l’établissement

 

Le « Restaurant du Pont » est l'unique commerce villageois. Poussons-en la porte. Antan, avant que les peintures ne soient refaites, des affiches de « La Française des Jeux » indiquaient quelques gains de grattage en francs français. Rappelons en la matière ce chiffre édifiant : seuls, environ 25 % de villages ont la chance de disposer encore d'un ou plusieurs commerces.
Autour du comptoir en formica, ça discute de façon animée. Ce bistrot, c'est LE lieu de rencontres du village, et l'on ne peut que rendre l'hommage qu'ils méritent à ses tenanciers. Le jour venu, pourront-ils trouver un successeur ? En tous cas, le mâcon est gouleyant. Ce que paraît confirmer le gentil chien de la maisonnée.

 

 

La tête de veau, fière représentante du 5ème quartier et des abats blancs

 


La salle du restaurant est toute lumineuse. Elle arbore sa jaune panoplie. Quelques affiches d'albums de l'indémodable « Tintin », dont « L’Etoile mystérieuse » et son énorme champignon, décorent les murs. Les assiettes de la maison sont siglées. En entrée, le feuilleté de boudin est plutôt bon. L'autre proposition, le jambon persillé, est de conception industrielle, comme les desserts d'ailleurs. C'est un peu dommage. Mais, nous sommes venus pour le plat principal qu'est la tête de veau, fière représentante du cinquième quartier et des blancs  abats parmi lesquels les délicats ris, à contrario des abats rouges constitués par foie et autres rognons.

 

 

 

La tête de veau arrive dans des assiettes copieuses plutôt chaudes ! Sa sauce herbée est un rien acide, ce qui est plaisant avec la texture de notre mets. Autour de nous, une petite  cinquantaine de convives semblent communier avec le bel abat, tenant de ces savoureux plats populaires appréciés des connaisseurs ! L'atmosphère est plutôt plaisante en ce jeudi, et la petite fille qui fait le tour des tables est plutôt rigolote. Elle est ici comme chez elle !


Un café et voici l'heure de traverser à nouveau le joli pont de pierre. Et qu'on se le rappelle, jeudi prochain, le 16 novembre précisément, c'est le jour du beaujolais nouveau ! Mais demain à Cry, demeurera-t-il un bistrot, ainsi que  des amateurs de mets tripiers ?

 



En savoir plus :

 

Les - : on aimait ces vieilles affiches en francs français présentés sur ce mur défraîchi. Désormais, c'est plus lumineux, mais...

Les + : bravo aux sympathiques tenanciers de l'unique commerce de ce village.

 

 

 

Contact :

 

Restaurant du Pont de Cry

02 Rue du Moulin

89390 Cry-sur-Armançon

Tel : 03.86.55.73.09.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Pour l’un de ses ultimes tours de piste sous les projecteurs, il est parfaitement décontracté et rodé à la pratique de l’exercice, le président de CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté. Si son alter ego décisionnaire, mais directeur général de la structure, nommé en juillet, Thomas LEMAITRE découvre les arcanes d’une assemblée de territoire, accueillie dans l’Yonne ; lui, Eric COQUILLE ne les compte même plus ! C’est en affichant un large sourire qu’il s’est donc rendu au pupitre de l’estrade de l’espace culturel ayant reçu la manifestation afin de tirer les enseignements de l’exercice 2023, frappé de plein fouet par la crise économique et l’inflation…Avant d’aborder les perspectives.

 

APPOIGNY : Il ne pouvait pas manquer de saluer le travail sérieux effectué au cours de l’exercice écoulé, par l’ancien directeur général, Laurent BEURIENNE, parti au premier janvier 2023, sous d’autres cieux promotionnels du côté de la capitale. Un Laurent BEURIENNE qui aura laissé presque une marque indélébile dans le microcosme tant le personnage jouait sa partition avec maestria au sein de l’édifice CERFRANCE régional ; lui qui désormais occupe une fonction à haute responsabilité, au sein du Conseil national du réseau CERFRANCE, à Paris.

Mais, Eric COQUILLE lorgnant vers l’avenir sera aussi mettre en évidence son successeur, Thomas LEMAITRE, dès les premières minutes d’une assemblée territoriale qui s’ouvrait selon le cérémonial habituel.

Un Thomas LEMAITRE qui aura déjà un rôle prépondérant à jouer en cette période automnale en préparant la succession et l’imminent départ du président Eric COQUILLE.

En effet, ce dernier a annoncé son retrait du poste d’administrateur qu’il occupait depuis plusieurs années, en date du 28 novembre prochain, lors de l’assemblée générale annuelle. C’est-à-dire demain ou presque à l’échelle du temps !

 

Un nouveau président à la tête de CERFRANCE BFC fin novembre

 

Une manière intelligente de préparer l’avenir de la structure en mode résolument binôme, une structure spécialisée dans l’expertise comptable mais pas que puisque CERFRANCE BFC a su ajouter une multitude de cordes à son arc – c’est devenu une harpe au fil des années ! – au service des entreprises et des entrepreneurs dans leurs quêtes de rentabilité et de sécurisation financière.

Pour l’heure, rien n’a donc filtré sur le patronyme exact qui succédera au président COQUILLE en cette journée du 28 novembre. Toutefois, l’orateur profitera de sa prise de parole, face à un auditoire très attentif, pour préciser que le Conseil d’administration de la structure avait fait le nécessaire en amont pour que les deux rouages de cette indispensable courroie de transmission devant pérenniser le travail de ce leader du chiffre et du droit puissent poursuivre leur travail en toute sérénité.

 

 

Le rôle des délégués de territoire, à ne pas oublier…

 

Insistant sur la vie de ce binôme (président/directeur général), Eric COQUILLE n’hésitera pas à tresser des louanges sur ce mode opératoire très fonctionnel et à s’appesantir sur la nécessaire cohésion décisionnelle propre à ce système de gouvernance associative. Tel que l’a pratique avec succès CERFRANCE.

Sur sa lancée, le président évoqua également la réorganisation de l’entreprise – elle s’appuie sur une stratégie de développement ambitieuse depuis la fusion de 2019 – qui sera largement explicitée au cours de la soirée, trombinoscopes et cartographies en sus, avant d’aborder l’engagement politique de l’équipe.

Il sera ainsi présenté dans le détail le rôle des délégués de territoire, véritable articulation de cette société.

Dans cette longue explication de texte permettant de mieux saisir la gouvernance de la structure, Eric COQUILLE ne pouvait clore ce chapitre sans revenir une fois encore sur la nomination au début de l’été de Thomas LEMAITRE dont nous avions présenté le portrait dans l’un de nos précédents articles.

Un nouveau directeur général qui est depuis bien installé dans son fauteuil de dirigeant, choisi parmi une centaine de candidatures à l’origine. Ce qui n’est pas rien et témoigne, comme devait le préciser le président COQUILLE de l’intérêt porté à CERFRANCE par les cadres supérieurs en recherche d’ambitions…

 

Thierry BRET

 


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