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Etre signataire d’une convention de partenariat avec la Banque des Territoires, structure émanant de la Caisse des Dépôts, est en soi un acte ostensible de reconnaissance et de sérieux. Un particularisme qu’a bien relevé le président de l’Office Auxerrois de l’Habitat, Jacques HOLJO. Ce dernier a apposé son paraphe au bas d’une convention officielle synonyme de contrat de prêts à hauteur de plus de 530 000 euros. L’enveloppe a été affectée à la rénovation du Foyer des jeunes travailleurs de l’Yonne…

AUXERRE : Propriétaire du Foyer des jeunes travailleurs de l’Yonne, l’OAH a eu à cœur de conduire ce chantier de réhabilitation, le plaçant de facto en conformité avec les règles de sécurité et de confort que l’on est en droit d’attendre d’une telle infrastructure.

Lieu de résidence de près de 160 personnes (étudiants, stagiaires, demandeurs d’emploi, salariés…), le foyer a connu quelques restructurations qui s’avéraient nécessaires. L’installation de cloisons et portes coupe-feu accentue ainsi la sécurisation de la partie hébergement par rapport aux risques inhérents à la restauration.

En outre, l’édifice a été doté d’un monte personne, un précieux auxiliaire favorisant l’accès au rez-de-chaussée des personnes en situation de handicap.  

Géré par l’Association Résidence Jeunes de l’Yonne, le site comptabilise 108 logements de la chambre meublée avec sanitaires individuels de type T3. Son taux d’occupation annuelle frise les 100 %.

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Un foyer d’intégration sociale aux multiples vocations…

Le foyer des jeunes travailleurs de l’Yonne accueille une population hétéroclite de personnes, venant de différents horizons et de l’ensemble de l’Hexagone, âgée entre 16 et 30 ans.

Outre le logement, adapté aux besoins de ses résidents, l’association gestionnaire y décline une politique d’accompagnement à l’information et à l’insertion professionnelle. Ainsi qu’un panel de services complémentaires, qui comprennent des prestations d’ordre socio-éducative (activités sportives, culturelles, culinaire…).

Compte tenu de son positionnement dans le paysage de ce territoire rendu plus inclusif et attractif, la légitimité de sa rénovation coulait de source.

Bénéficiant du soutien de la région Bourgogne Franche-Comté, mais aussi du Conseil départemental de l’Yonne, de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et de la Caisse d’allocations familiales, ce programme de réhabilitation aura mobilisé l’ensemble des différents partenaires. De manière globale, ce sont 770 000 euros qui ont été injectés dans cette opération.

A titre d’exemple, la Banque des Territoires a accordé deux lignes de prêts, chacune sur vingt-cinq ans, à l’Office Auxerrois de l’Habitat. L’organisme dirigé par Eric CAMPOY est destinataire d’un prêt à la réhabilitation de 153 000 euros sur fonds d’épargne. Une seconde manne financière, un prêt à la réhabilitation des foyers des jeunes travailleurs de 385 000 euros proposé à taux fixe, complète cette convention. Précisons que ce crédit est proposé sur ressources de la Banque de développement du Conseil de l’Europe (CEB).


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Surnommée « London Eye », la jeune femme adore transformer les codes de la pratique photographique. Elle pousse le bouchon de la découverte artistique le plus loin possible dans son minutieux travail de fourmi, invitant ses admirateurs à emprunter d’ultimes retranchements intellectuels. Un exercice de compréhension qui suppose de facto de se poser tranquillement devant chaque œuvre, pourquoi pas le verre à la main comme il est proposé dans le vaste hall du Domaine BROCARD. Et surtout de prendre le temps de l’assimilation et de l’analyse de ce flot d’images, distillées sous la forme d’un kaléidoscope visuel. Permettant ainsi de titiller l’imaginaire du public…

PREHY : Etoile montante de l’approche intimiste dans la photographie d’art, Sylvie VUCIC pose ses cimaises dans un milieu viticole qui n’est pas aux antipodes de son mode d’expression habituel. Marier l’utile à l’agréable, en l’occurrence le goût et la vue, ne possède pas d’autres prétentions que de sublimer les sens corporels de l’humain. Et quoi de plus naturel et de plaisant, en somme, que de déguster un verre d’un nectar millésimé tout en se plongeant dans une œuvre pour en déceler à la fois tous les symboles et les interprétations.

L’artiste bourguignonne aime s’entourer de mystère. Déjà par la conception très personnelle et hautement sophistiquée de son travail. La cinquantaine de clichés, accueillie dans le vaste hall de l’un des domaines de référence dans le paysage de la viticulture régional, en offrent une preuve indéniable. Hors normes, Sylvie VUCIC se positionne à la limite du raisonnable. Emmenant par la main le public sur des chemins de traverse inconnus aux frontières de l’onirisme, de l’étrange, du stupéfiant et de l’insolite.

En trois espaces de présentation, le tour de magie et de charme opère. Déclinant un concept novateur où vins et œuvres d’art s’imbriquent à la perfection, « London Eye » (l’œil de Londres), parce que l’artiste voue une fascination immuable à la célèbre capitale de la perfide Albion, explique les astuces et secrets qui ponctuent la fabrication de cette promenade intemporelle parmi ses œuvres. Provoquant ainsi une vraie création artistique au cœur même de l’évènement. Le « Saint des saints » de ce travail abouti.

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Une expérience créative à vivre jusqu’au 15 février…

L’artiste réinvestit le lieu avec bonheur pour la seconde fois cette saison et ce jusqu’au 15 février. S’appuyant toujours sur les aventures de ses personnages fétiches, les félins « Nina et Michka ». Mais, en y conférant une autre dimension.

Les diptyques apparaissent. La peinture conçue sur les clichés aussi. Apportant du relief, de la profondeur et un rendu qui diffère. Au contact avec les visiteurs, Sylvie VUCIC explore l’âme de ces derniers. Les sonde afin d’en extraire le moindre ressenti, la plus perceptible des impressions. Des échanges fructueux dont elle se nourrit pour mieux cerner leurs sentiments devant ces œuvres sibyllines.

Ludique, l’exercice, de pure communication, invite à l’interactivité et noue des liens harmonieux entre la photographe et son public. L’expérience y est attachante. D’autant que les vins servis et expliqués par l’œnologue Giorgia SCARDOVA optimisent cette expérience unique dont il est impératif de tester la valeur intrinsèque.


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Depuis le 01er janvier, le groupe industriel de Sens s’offre de réelles perspectives d’accroître ses parts de marché au plan national grâce à la commercialisation d’un produit novateur. Celui-ci, baptisé « NOVO GAZ » intègre l’une des segments qui faisait encore cruellement défaut à l’entreprise : le générateur à gaz de petite taille. Désormais, CHAROT lance un sérieux avertissement à l’ensemble de la concurrence avec de solides espérances au niveau des ventes auprès des installateurs…

SENS : L’année ne pouvait pas aussi bien débuter pour le groupe industriel de l’Yonne spécialisé dans la conception de ballons d’eau chaude sanitaire. Après plusieurs mois d’analyse et d’étude de faisabilité, CHAROT a enfin sorti un nouveau produit sur l’une des strates de cet imposant « mille-feuille » que constitue ce secteur d’activité à l’échelle nationale.

Le « NOVO GAZ » correspond à un générateur à gaz de nouvelle génération qui trouve une place légitime sur le segment des ballons d’eau chaude de petit volume.

« Nous possédons depuis toujours une excellente notoriété sur le marché des gros générateurs, confie Pascal CHAROT, dirigeant de la société éponyme, mais nous n’étions pas encore placés sur cette gamme de produits. Or, régulièrement, une forte demande émanait du terrain par les commerciaux qui prennent le pouls sur la réalité des besoins… ».

Lancé le 01er janvier, le nouveau produit offre de belles perspectives de vente pour l’industriel. Il concerne des cibles consommatrices de générateurs de petit volume, c’est-à-dire des salons de coiffure, des structures hôtelières articulées autour d’une vingtaine de chambres.

 

 

Un bonheur technique ne vient jamais seul…

Seconde innovation : le réchauffeur de boucle. Ce système a été élaboré pour équiper des établissements hôteliers d’une dizaine d’étages. Placé à chaque pallier, ce concept intermédiaire permet de chauffer l’eau de manière constante et tempérée à tous les niveaux d’un bâtiment. L’innovation porte sur la possibilité de changer les éléments chauffants de cette technique sans procéder à une vidange ni en modifiant l’installation.

Placé à la verticale, le système permet aux opérateurs de réaliser des vidanges avec aisance et d’extraire les impuretés se déposant dans les tuyaux.

Plusieurs ballons d’eau chaude ont subi un léger lifting technique afin de mieux correspondre aux attentes des installateurs et de leur clientèle.

A l’aide de ces nouveautés, le groupe CHAROT devrait conforter ses parts de marché, notamment sur le segment du chauffage eau chaude sanitaire qui représente à ce jour 80 % de son chiffre d’affaires. Celui-ci s’élevait à 26,3 millions l’an dernier.

 

 

 


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L’initiative fera parler d’elle, assurément. Dès que la cible d’accueil, une structure issue du milieu industriel se prêtant au jeu, aura été clairement identifiée par le concepteur de ce projet. Mais, immerger une semaine durant et dans le cadre d’une découverte réelle de la vie active au plus près des cadres et salariés, de jeunes lycéens fréquentant la classe de seconde correspond à un concept détonant et visionnaire pour le directeur du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, Marc BESANCENEZ…

AUXERRE : Serait-ce la résultante de sa propre expérience vécue par le passé que le directeur du groupe scolaire privé auxerrois souhaite mettre en exergue avec ce projet ? Toujours est-il que Marc BESANCENEZ travaille à fond à l’heure actuelle sur la mise en place d’une immersion de ses élèves, ceux de classes de seconde, dans la sphère industrielle.

L’idée ne manque ni d’originalité ni de pertinence. Il s’agira de proposer, dans un delta de cinq jours, un emploi du temps élaboré autour du cursus scolaire en corrélation directe avec les besoins réels d’une entreprise.

Des cours seraient assurés par l’encadrement et les dirigeants de l’entreprise d’accueil avec la complicité pédagogique des équipes enseignantes.

Pour l’heure, Marc BESANCENEZ n’a pas encore sélectionné la société industrielle de l’Auxerrois qui se prêterait à cette expérience totalement nouvelle dans l’Yonne.

« L’idéal, précise le directeur du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, serait une structure suffisamment importante dans son mode opérationnel qui puisse balayer les sujets éclectiques dont nous voulons aborder la présentation : l’innovation, la production, le marketing, l’export, le juridique, l’humain et la communication. L’objectif étant pour ces jeunes gens de classes de seconde de se forger une idée concrète de ce qu’est une entreprise et comment elle opère dans son environnement… ».

Afin d’optimiser cette initiative qui pourrait s’appliquer dès cette année 2019, Marc BESANCENEZ désire limiter le nombre d’élèves à une vingtaine de jeunes gens. Pour respecter la fluidité des cours et faciliter l’intégration des lycéens au plus près des arcanes du milieu professionnel. Reste maintenant à trouver l’entreprise industrielle prête à relever le challenge…


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Structure entrepreneuriale en perpétuelle croissance depuis ces trois dernières saisons, le groupe BELLIER livrera d’ici quelques jours ses premiers escaliers, des produits uniques conçus sur mesure, aux Etats-Unis, sous sa marque habituelle OEBA. La PME concrétise ainsi plusieurs mois d’intenses démarches consacrées à l’export vers le continent nord-américain. Et plus particulièrement dans l’état de l’Arizona où elle vient de prendre ses marques…

FAY-AUX-LOGES (Loiret) : Concevant des produits de belle facture, des escaliers traditionnels réalisés sur mesure à base de bois, de verre et d’inox, le groupe BELLIER entame ce mois-ci une phase stimulante de sa longue existence.

Ses deux premières commandes, des escaliers produits dans l’unité de production du Loiret, destinées à l’export seront livrées et posées sur le sol américain avant la fin de février.

Profitant d’une opportunité très bénéfique, Samuel POISSON, président de la SAS, mise aujourd’hui sur le volet de l’international pour faire croître l’outil de travail qui emploie aujourd’hui plus d’une cinquantaine de collaborateurs. Et de facto son chiffre d’affaires.

Une immersion en Arizona aura permis au dirigeant de la PME de nouer des liens stratégiques et précieux avec des architectes et constructeurs de maisons individuelles. L’objectif étant de capitaliser sur le savoir-faire de l’entreprise et les valeurs du made in France pour importer sur un marché américain aux fortes potentialités de développement des escaliers à la française.

Se situant sur la cible du moyen/haut de gamme, l’activité pourrait être soutenue à terme au pays de la bannière étoilée. En effet, peu de fabricant d’escaliers traditionnels y exercent leur influence.

 

 

 

L’ouverture d’un show-room à Phoenix à l’étude…

Représenté sur place par un consultant multicarte qui fait office aussi de distributeur, le groupe BELLIER ambitionne de réaliser un chiffre d’affaires de 400 000 euros dès le démarrage de cette nouvelle activité américaine. Du moins pour la première année. Avant d’envisager de dépasser le million d’euros de chiffre d’affaires, un objectif qui surviendrait un peu plus tard.

Développer un maillage territorial en Arizona, couplé avec l’ouverture d’un show-room à Phoenix, la capitale de cet état, permettraient très vite d’assurer la prospérité de la marque OEBA aux USA.

D’autant que les premières consultations commerciales, auprès de contacts implantés au Texas et dans d’autres états limitrophes, s’avèrent déjà probantes.

Même si le groupe ne possède pas encore d’expériences comparables à l’export, malgré une tentative qui se révéla infructueuse au Moyen-Orient il y deux ans (présence sur un salon professionnel à Abu Dhabi), BELLIER souhaite jauger le marché nord-américain afin de bien en comprendre les mécanismes. D’ailleurs, sa capacité, pour l’heure, se limite à ces projets circonstanciés en Arizona.

La PME aux 5,6 millions d’euros de chiffre d’affaires a bénéficié du soutien de BPI et de ses partenaires bancaires habituels pour consolider ce projet de développement extra-européen.


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