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L’agenda électronique devrait à terme supplanter le traditionnel document papier, outil de référence des dirigeants et cadres pour la prise de rendez-vous. Même s’il sert encore de produits d’appel pour la plupart des grandes marques positionnées sur le marché, sa remise en cause n’est plus qu’une question de temps. Aussi, Daniel DURAND est prêt à proposer l’alternative digitale qu’il a conçue. Il ne lui manque plus que les partenaires économiques pour concevoir son projet…

 

AUXERRE : Les premières semaines de septembre s’annoncent chargées pour le responsable de la structure de DAND CONCEPT. L’ancien chef d’établissement scolaire de Migennes, reconverti aujourd’hui dans la création d’agendas et de calendriers papier, désire mordicus adapter le schéma applicatif de ses produits à la digitalisation. Question de bon sens : selon lui, l’agenda papier va perdre de sa superbe au fil du temps.

La notion d’agenda partagé fait déjà florès chez les adeptes du multimédia qui ont bien compris les subtiles possibilités d’utilisation pouvant être faites grâce à cet outil. Oui, mais voilà, les acteurs traditionnels de ce segment d’activité se montrent encore rétifs à toute idée de changement. Ils croient en la pérennité de leurs produits, conçus et commercialisés depuis de très nombreuses années alors pourquoi faudrait-il tout remettre en cause en matière de stratégie ? Reste le poids du consommateur, de sa fidélisation à une marque, à un produit ou à un service ; cela peut faire la différence en bout de course.

Une approche linéaire du temps qui passe…

Daniel DURAND a redéfini les codes d’utilisation de l’agenda classique. Ce bon gros pavé parfois très onéreux car vendu en version luxe que l’on se procure à chaque renouvellement de saison. Il a travaillé la présentation et la mémorisation de la gestion du temps, de manière pratico-pragmatique, linéaire et étale prenant exemple sur une journée du quotidien. Il y a trois ans, DAND CONCEPT en proposait une première mouture. Sur le papier. Mais, modernisme oblige, le créateur du concept a eu conscience que ce principe devait exister en numérique.

« L’un des arguments ayant de l’intérêt pour une oreille attentive, c’est bien l’agenda partagé où par le biais d’un empilage de contenus imputable à l’emploi d’un ordinateur, il est possible de superposer les plannings professionnels, familiaux et personnels de différentes personnes en simultanée. On imagine alors le gain appréciable apporté à la manière dont nous gérons le temps qui défile » précise-t-il.

Des rendez-vous fructueux pour le devenir du projet ?

En quête d’un technicien informatique qui lui transformerait sa version papier en données numériques, Daniel DURAND recherche surtout un allié économique qui l’aiderait au développement du nouveau concept. A charge à ce partenaire de vendre l’application et d’en assurer sa notoriété.

Ses prochains rendez-vous auprès de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne ou du réseau YONNE NUMERIQUE, organe qui fédère les professionnels de ce secteur sur le territoire, apporteront peut-être des pistes tangibles propres à nourrir ses réflexions.

L’innovation ne peut se faire sans avoir pris au préalable le pouls du terrain. Et des experts. C’est en substance le message clair que le nouveau gouvernement adresse aux professionnels de l’habitat en proposant une large concertation nationale ouverte jusqu’au 10 septembre à laquelle ils sont invités à répondre…

 

PARIS : Plusieurs dossiers importants attendent les ministres dès la rentrée. Ceux qui concernent l’aménagement ou l’assouplissement de la loi SRU devraient être abordés en priorité lors des premiers Conseils des ministres. Il s’agira pour l’équipe d’Edouard PHILIPPE de peaufiner les grandes lignes de la nouvelle stratégie en matière de logement en France. Un dossier sur lequel le Gouvernement est très attendu par les milieux professionnels et de nombreux corporatismes.

Dans le cadre de la préparation de cette feuille de route qui marquera les directives de l’ère MACRON, le ministre de la Cohésion des territoires, Jacques MEZARD et le secrétaire d’Etat auprès de ce même ministère, Julien DENORMANDIE, ont souhaité lancer une concertation nationale cet été, afin de remonter l’ensemble des propositions émises par les professionnels du secteur mais aussi du tissu associatif et des élus au plus proche des territoires. Cette enquête grandeur nature devra trouver son terme au 10 septembre.

Répondre aux objectifs prioritaires…

Cette concertation induit des échanges techniques et informels avec les différents acteurs de ce segment d’activité mais aussi l’administration. Plusieurs centaines de contributions ont déjà été remises au sortir de la période estivale. Analysées, celles-ci permettront in fine d’apporter les arbitrages qui s’imposent.

Réalisée en ligne, la consultation a pour vocation de répondre à divers objectifs prioritaires. A commencer par le besoin d’accélérer la production de logements sociaux en zone tendue. Mais également de faciliter l’acte de bâtir en simplifiant les normes de construction ainsi que les procédures administratives souvent très nébuleuses. Naturellement, promouvoir la rénovation énergétique des ménages les plus modestes intègre ces objectifs définis par Matignon. A l’instar du développement numérique employé sur ce secteur. Le parcours résidentiel des jeunes ménages, et plus précisément celui des plus jeunes, actifs ou pas, s’inscrit dans cette feuille de route pensée dans toutes les strates de l’Etat. Enfin, le volet de l’insertion n’est pas occulté puisque le Gouvernement souhaite qu’il se développe d’abord par le logement.

Prônant la carte de la mixité sociale et celle d’un logement salubre pour tous, le Gouvernement entend bien s’appuyer sur les recommandations des spécialistes avant de définir dans le détail sa stratégie. S’il réaffirme son attachement aux principes sociaux de la loi SRU, il devrait tenir compte du plus grand nombre d’avis émanant de la commission nationale présidée par Thierry REPENTIN, président de la CNAUF (Commission nationale de l’aménagement, de l’urbanisme et du foncier), pour statuer sur ses futures modalités d’application.

Réunis le 28 juin dernier dans l’enceinte du Conseil régional à Dijon, plus de 150 représentants des collectivités territoriales de Bourgogne Franche-Comté ont pu évoquer les principes de la contractualisation qui lieront, sur la période de 2018 à 2020, les territoires et la Région. Une explication de texte nécessaire et souhaitée par la présidente Marie-Guite DUFAY…

 

DIJON (21) : Initiative intéressante que celle qui a eu lieu au début de la période estivale dans notre contrée. Le temps de la concertation et des échanges constituait l’ordre du jour de cette première rencontre, baptisée « Conférence des Territoires », et voulue par la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté.

Marie-Guite DUFAY désirait la mobilisation du plus grand nombre d’acteurs possibles ce jour-là : elle n’aura pas été déçue ! Ce sont plus de 150 représentants des collectivités territoriales qui avaient effectué le déplacement dans la capitale régionale pour écouter le contenu de ce projet de contractualisation, liant leurs territoires à la Région.

Avec le concours du vice-président en charge de l’aménagement du territoire, Eric HOULLEY, la présidente abordera les nombreux aspects de ce rapprochement, en ayant le soin d’insister sur le respect des équilibres et les vertus du développement solidaire.

Les principes prioritaires de cette contractualisation territoriale à venir sur les trois prochaines années seront ensuite largement commentés au cours de la séance de travail.

Une enveloppe de 235 millions d’euros à la clé

Point par point seront évoqués la solidarité avec une priorité donnée aux territoires les plus fragiles ; l’équilibre et l’équité appliqués selon un leitmotiv inaliénable (« pour un euro investi dans l’urbain, un euro investi dans la ruralité ») et la prise en compte de la transition énergétique, vecteur essentiel de ce programme triennal.

« Nous ne pouvons pas seulement échanger, dans le cadre de la conférence territoriale de l’action publique (CTAP), avec les représentants des plus grandes collectivités. J’ai à cœur de dialoguer avec l’ensemble des territoires. Cette nouvelle instance doit être, en quelque sorte, le « Parlement des territoires ». Je souhaite en effet mener avec tous une concertation régulière, dans un souci permanent de proximité » devait-elle déclarer.

D’autres réunions devraient permettre de découvrir davantage de détails techniques dès l’automne. En additionnant les fonds structurels européens, dont elle est désormais gestionnaire, sans omettre sa propre intervention, la Région Bourgogne Franche-Comté offrira ainsi l’opportunité aux territoires de pouvoir investir 235 millions d’euros pour leur avenir…

Seule organisation professionnelle représentative des 28 600 entreprises du paysage reconnue par les pouvoirs publics en France, l’UNEP a pour principales missions de défendre et promouvoir les intérêts de la profession, souvent soumise à rude épreuve en matière de concurrence. Proche de ses adhérents, l’antenne régionale de cet organisme procédera à la signature d’un accord partenarial avec une entreprise de l’Yonne, PMB (Pierre Mureuse de Bourgogne), dans le cadre de la journée spéciale consacrée à la pierre naturelle de ce territoire…

 

CREANCEY (21) : Le jeudi 07 septembre sera une excellente manière de bien débuter la nouvelle saison pour Franck FURTIN et Laurent TUCCINARDI. Respectivement président régional de la délégation Bourgogne Franche-Comté de l’UNEP (Union nationale des entreprises du paysage) et gérant de la société PMB (Pierre Mureuse de Bourgogne) implantée à MOLAY (Yonne), les deux hommes profiteront de ce rendez-vous officiel pour apposer leurs signatures au bas d’un document. Celui-ci validera une convention de partenariat ô combien importante pour l’entrepreneur.

Mis en place afin de renforcer les liens professionnels entre les deux parties, cet accord contribuera à intégrer davantage dans son environnement local la société PMB. Cette entreprise ayant réalisé plus de 800 000 euros de chiffre d’affaires en 2016 possède de belles perspectives de développement

Son dirigeant bénéficiera d’une part de l’expertise professionnelle de ce puissant réseau dont les engagements de services ont été certifiés selon le référentiel QUALI’OP depuis 2006 et AFAQ 26000 (RSE) obtenu en 2014 ;  et d’autre part, cela se traduira par l’apport de tarifs préférentiels pour les adhérents de l’UNEP Bourgogne Franche-Comté sur une large gamme de produits proposés par l’entreprise de Côte d’Or.

Auparavant, cette cérémonie protocolaire sera précédée par une matinée technique autour de la pierre naturelle de Bourgogne. Le programme s’articulera avec des démonstrations de pose de pavés et murets en pierre sèche, mais aussi des échanges entre les professionnels du paysage. Précisons que 70 % de ces entreprises artisanales n’emploient pas une dizaine de salariés…

Le chantier de modernisation de l’établissement scolaire de Dijon Longvic se poursuit. Fin septembre, près de 80 % des travaux d’aménagement de l’édifice principal qui accueille plus de 1 200 élèves chaque année seront ainsi réalisés. Preuve que le centre de formation prônant les vertus de l’alternance et de l’apprentissage continue sa mue en accentuant le trait sur les possibilités offertes par le numérique…

LONGVIC (21) : Livré au mois de décembre si les caprices de dame nature ne jouent pas les trouble-fêtes d’ici là, le bâtiment administratif du CFA La Noue offrira une vision de modernité et de praticité à ses nombreux visiteurs. De prime abord, à ses utilisateurs prioritaires, à savoir le corps enseignant et le personnel administratif du site. Débutée il y a déjà plusieurs mois, la première tranche de cette vaste réhabilitation de l’endroit arrive à son terme.

Cette opération de 4,9 millions d’euros aura permis au CFA La Noue de rénover ce bâtiment pour lui donner une fonction optimale vers le numérique. Désormais, et en optimisant sur son ergonomie, l’établissement de Côte d’Or pourra y développer davantage d’enseignement et de formation, via un nouveau centre de ressources multimédia, un laboratoire de langues étrangères et une salle informatique prévue pour des accueils en sous-groupes ou pour des individuels.

Mi-juillet, le CFA La Noue a obtenu un nouveau référencement en qualité de centre de formation continue destiné à accueillir des adultes après avoir répondu à l’ensemble des attentes du DATA DOC, organisme vérificateur. Avantage pour l’établissement dirigé par Alain TOMCZAK : être certifié en tant qu’organisme pouvant répondre à toutes les contraintes et suivis de cette typologie de stagiaires.

Quant aux deux bâtiments devant recevoir de l’hébergement, ils doivent encore se bonifier jusqu’à l’été 2018. Le premier sera composé de 99 chambres individuelles. Le second à vocation hôtelière puisque les 49 chambres créées proposeront à leurs occupants chambre à coucher et kitchenette. Fonctionnant sur le principe d’une réservation hôtelière, ces locaux cibleront en priorité les étudiants qui suivent une formation supérieure.

Rappelons que l’enveloppe budgétaire de ces deux internats s’élève à 5,9 millions d’euros. Le modèle économique choisi se veut original puisque le remboursement s’effectuera sur une période de quarante ans grâce aux loyers versés par les résidents. Le bailleur social en sera VILLEO pour la partie hébergement des jeunes tandis que les prêts ayant permis la réalisation de ce chantier proviennent pour partie de la région Bourgogne Franche-Comté et de l’Etat.

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