En étroite osmose avec son partenaire, Géant Casino, le commerce de la galerie Fontaines des Clairions réitère son soutien à la campagne nationale du Téléthon pour la quatrième année consécutive. Si l’exercice 2017 était synonyme d’une récolte financière de 760 euros au profit de l’AFM Téléthon, qu’en sera-t-il exactement au soir du 08 décembre ? Responsable de la vitrine auxerroise, l’opticienne Frédérique LECOMTE se mobilise, aux côtés de ses équipes, pour sensibiliser petits et grands à une cause qui leur tient à cœur…
AUXERRE : Un petit geste, fort en symbole, pour une grande aide favorisant la recherche. C’est ce que proposent durant deux jours, le 07 et le 08 décembre, OPTIC 2000 et son partenaire, Géant Casino. Le principe est simple : il suffit de profiter de la vente de brioches pour faire montre de générosité dans le cadre de la nouvelle campagne lancée par l’AFM Téléthon.
Depuis 2014, l’opticienne de la galerie Fontaines des Clairions, Frédérique LECOMTE, décline dans sa boutique, avec l’aide de ses collaborateurs, cette opération altruiste et généreuse.
En échange de cinq euros, somme intégralement reversée sous la forme de don à l’association, petits et grands peuvent déguster une brioche fournie par la boulangerie/pâtisserie de l’enseigne de la grande distribution.
Le subside financier se destine ensuite à la recherche thérapeutique dans le domaine des maladies rares ou des pathologies génétiques de la vision.
Le réseau leader de l’optique en France s’est engagé dans ce combat, aux côtés de l’AFM Téléthon, depuis 2012. Ainsi, les opticiens de l’enseigne aux 1 165 points de vente consacrent un euro par deuxième paire vendue à la structure associative.
Partenaire majeur du Téléthon chaque année, OPTIC 2000 a ainsi permis la collecte de 6,9 millions d’euros au bénéfice de l’association.
Créée par deux figures emblématiques de la politique française, Jean-Louis BORLOO et Jean-Christophe LAGARDE, l’UDI profitera de son congrès national, programmé le 15 décembre, pour annoncer son acte de candidature aux futures joutes électorales européennes du printemps 2019. Un retour au premier plan, et sous sa seule bannière identitaire, sur le devant de la scène nationale au niveau d’un scrutin. Souhaitant une France forte dans une Europe fédérée, le parti qui avait accueilli par le passé Simone VEIL en qualité de première adhérente, est déjà dans les starting-blocks de cette prochaine campagne. Dans l’Yonne, c’est autour de la sénatrice Dominique VERIEN que les militants et sympathisants du mouvement du centre et de la droite progressiste se préparent à vivre ces échéances capitales…
AUXERRE : Impatients d’en découdre dans les urnes et de connaître la fébrilité d’une campagne électorale, les militants de l’UDI de l’Yonne ont hâte de se projeter vers l’un des enjeux essentiels de la vie politique de l’année 2019 : les élections européennes.
Soixante-dix-neuf députés européens, représentant la France, siègeront au Parlement européen, après le scrutin du 26 mai. Parmi les innovations majeures qui ont été apportées à ce futur vote, par rapport aux précédentes élections de 2014, le retour aux listes nationales et l’abolition des circonscriptions régionales.
C’est sous le prisme de cette opportunité représentative que l’UDI (Union des démocrates et des indépendants) souhaite envoyer ses propres représentants à Strasbourg et à Bruxelles. Toutefois, la patience est encore de rigueur. L’orientation définitive de ce choix sera communiquée le 15 décembre à l’issue du Congrès national. La stratégie de la formation du centre et de la droite de progrès s’étalera alors au grand jour.
Mais, selon toute vraisemblance, le suspens lié à la prise de décision ne semble pas cornélien parmi les fédérations départementales. Dont celle de l’Yonne, présidée par la sénatrice Dominique VERIEN. Toutes les structures optent favorablement pour se lancer dans la bataille. Ce serait le retour au premier plan sur la scène politique nationale pour l’UDI qui n’avait pas présenté de candidat à la présidentielle de 2017.
L’Europe, une thématique dans les gènes de l’UDI
L’idée d’une liste nationale des démocrates et indépendants du centre droit est légitimée par la position historique de ses membres. Portée sur les fonts baptismaux de la vie politique hexagonale en 2012, l’héritière de l’UDF a toujours revendiqué ses valeurs européennes à travers son indépendance, son fédéralisme et sa protection sécuritaire.
« Aujourd’hui, explique la sénatrice Dominique VERIEN, nous manquons cruellement d’Europe. A nous de la construire en toute transparence et efficacité… ».
Constatant que l’Europe actuelle ne correspond pas aux attentes des citoyens qui vivent parmi les pays de l’Union, la pensionnaire du Palais du Luxembourg désire désormais « une entité européenne forte qui puisse riposter aux menaces économiques des Etats-Unis et de la Chine ».
« La gestion des flux migratoires requiert la présence d’une Europe forte, ajoute-t-elle, lors de la conférence de presse donnée au niveau de la fédération départementale, nous devons être une communauté de nations qui confie des compétences précises au Parlement européen… ».
La défense des couleurs européennes : l’ADN de l’UDI…
Les instances suprêmes de l’Union des démocrates et des indépendants a peaufiné ces derniers mois sa feuille de route. Celle-ci s’articule autour de neuf propositions concrètes.
Elles englobent tour à tour la convergence des règles fiscales et sociales, le renforcement de la transition écologique, la défense militaire, la lutte contre le terrorisme, une nouvelle politique en faveur de l’agriculture ou la création d’un ministère économique européen.
Parmi les suggestions qui existeraient afin de ne plus être dépendant d’un dollar fort et perturbateur dans nos échanges économiques : la présence d’un euro, qui deviendrait une véritable monnaie d’échange internationale.
Quant à la motivation des adhérents du mouvement centriste (le « véritable » comme aime à le préciser l’un des partisans de l’UDI), elle est entière.
« Nous nous apercevons qu’il y a belle lurette que nous n’avons pas fait campagne dans nos rangs, confie l’ancien maire de Saint-Sauveur en Puisaye, or, même si nous ne recensons qu’une cinquantaine de membres officiels sur le département de l’Yonne, nous existons bel et bien et nous voulons le montrer ! ».
L’alliance avec le MODEM qui était la teneur stratégique lors des précédentes échéances européennes n’est donc plus d’actualité. Aujourd’hui, l’UDI souhaite faire cavalier seul et éviter toute dispersion idéologique.
Priorité à la communication physique et numérique…
Dans l’optique où le parti du centre droit irait jusqu’au bout de son cheminement intellectuel, reste à savoir quel en serait la tête de liste nationale ?
Même si les délégués des régions devraient être bien représentés parmi les 79 candidats composant la liste nationale, Jean-Christophe LAGARDE pourrait être le leader naturel, en sa qualité de président du mouvement, de cette formation.
Avant de fourbir leurs armes dans cette nouvelle campagne électorale, les militants icaunais souhaitent bénéficier d’une meilleure couverture territoriale au niveau de leur représentativité.
Le projet de création d’une cellule qui évoluerait sur le secteur septentrional du territoire figure parmi les prochains objectifs.
« Lors de notre déplacement au Congrès national, confirme la sénatrice à l’estampille UDI, notre délégation se composera d’une vingtaine d’adhérents. L’UDI dans l’Yonne ne représente pas la portion congrue du mouvement ! ».
La secrétaire nationale à la ruralité au sein de l’organe décisionnel multiplie sans relâche les axes de communication, physiques auprès des échanges nourris avec la population et numériques (plus de 1 500 vus lors d’un Facebook live) pour prêcher la bonne parole et convaincre largement autour de son périmètre. En n’omettant pas de tendre la main à la jeune génération…
A la croisée des mémoires individuelles et collectives, l’artiste franco-suisse décline un énigmatique travail visuel conçu autour du culte du souvenir. Invitant le public de l’Espace culturel de l’hôpital de Tonnerre vers un étrange voyage, entre la vie et la mort. La jeune femme propose un mix insolite de vidéo, photogrammes, peinture, collages et feuille d’or qui nous incitent à côtoyer de singuliers personnages de la vie ordinaire. Un rameur qui s’exerce à la pratique de l’aviron sur un plan d’eau. Un homme et une femme qui flânent à pas lent sur une plage. Cet espace d’éternité est à admirer jusqu’au 31 janvier 2019. S’il sublime l’existence par le rendu qualitatif de ces témoignages sur clichés, il pousse aussi à l’introspection au plus profond de soi et vers la transcendance…
TONNERRE : L’au-delà inspirerait-il l’approche artistique de la brillante Emmanuelle MICHAUX ? Petite déjà, la future professionnelle du monde des arts puisait dans un imaginaire exacerbé pour en tirer la quintessence subliminale offerte par l’image. A l’âge de 12 ans, la jeune fille, digne héritière de son père qui épousait les causes passionnelles du cinéma amateur, se projette dans sa première réalisation cinématographique. Traitant, au passage, un sujet complexe et abscons mais ô combien symbolique.
Qu’on en juge : son personnage central, une femme venue de l’au-delà, entraîne un jeune adolescent avec elle. Le mot « fin » apparaît dans les mains du garçon. Ce plan définitif clôt ce premier opus de manière abrupte.
Préserver la vie et la mémoire des êtres s’inscrit donc comme une priorité absolue dans ce travail intense, concocté par une artiste multicanale. Vidéo, photogramme, œuvres picturales, mais aussi travaux de collages et de feuille d’or représentent autant de vecteurs d’expression qui offrent la liberté et une magnificence à l’artiste, originaire de la région parisienne.
Faire ressurgir la mémoire des êtres…
Ce travail mémoriel, Emmanuelle, le dévoile aux aficionados de l’Espace culturel du séculaire hôpital de Tonnerre. Après l’exposition « Prendre Soin » (2017), celle exotique mais empruntée d’une force mystique et religieuse consacrée à l’Ethiopie de Paola VIESI, et plus récemment, « Résonance de la Couleur », à l’estampille de Caroline COPPEY (2018), voici le temps de « Réparer le Monde », une exposition troublante arborant la signature d’Emmanuelle MICHAUX.
Conçue à partir de la collection personnelle de son père, dont le regret dû à l’absence pèse de tout son poids autour de chaque pièce de l’exposition, l’œuvre d’Emmanuelle MICHAUX se distille comme des morceaux de films en super 8 par petites touches. Ce sont ces fragments de vie qui ressurgissent ainsi de façon inopinée dans ce curieux espace visuel. Sur les murs de l’ancienne pharmacie hospitalière. Mais aussi, à même le sol. Voire dans les écrans cathodiques, placés çà et là, qui diffusent en boucle vidéo et photographies.
Développant un méticuleux travail de sauvegarde, la cinéaste/scénariste insuffle de la vie à ses multiples personnages, anonymes et dont elle ne connaît pas elle-même les cheminements de l’existence, les rendant plus accessibles et plus proches encore.
Un subtil espace de résilience pour les visiteurs…
Cet assemblage de tranches de vie, mis bout à bout, créé un fascinant puzzle. Chaque brique s’intègre à la perfection parmi ce maelström de visages furtifs, joyeux, tristes, distants et secrets.
Le travail de la jeune femme n’est pas sans rappeler la méthode japonaise du « Kintsugi ». Il s’agit dans ce cas précis de réparer les porcelaines ou les céramiques brisées au moyen de laque saupoudrée d’or. Ici, les aspérités de la pellicule ne sont pas gommées. Bien au contraire, Emmanuelle MICHAUX en souligne les blessures et la fragilité. Préservant ainsi le fondement authentique de sa création.
Malgré le net ralentissement de la commande publique, le cabinet auxerrois ne cesse de faire proliférer de nouveaux projets vers le secteur privé. Aujourd’hui, les dossiers de construction, de rénovation et d’extension qui touchent les entreprises mais aussi la clientèle de particuliers, représentent 90 % de ses activités. D’excellentes perspectives sont d’ores et déjà envisageables à l’aune de 2019 avec la signature de plusieurs chantiers conséquents.
AUXERRE : Le cabinet d’architectes MC2 devrait aborder la future année 2019 avec le sourire. De l’avis de Mahieu CHEVILLOTTE, l’un de deux dirigeants de la structure, les carnets de commande, bien pourvus, offrent une belle visibilité à l’entreprise. Plusieurs projets, qualifiés d’importants par l’entrepreneur, se profilent à l’horizon.
Pêle-mêle, Mathieu CHEVILLOTTE cite les rénovations de différentes structures professionnelles en Puisaye. Mais aussi, l’agencement d’un gîte ouvert à la restauration sur le secteur d’Ancy le Franc, la rénovation d’un cabinet comptable et l’aménagement de locaux administratifs à Auxerre.
L’un des clous de ce prévisionnel mirifique sera le projet d’extension du site industriel des Remorques LOUAULT à Saint-Fargeau. Un dossier qui devrait être traité dans le courant du premier semestre.
Du côté des particuliers, plusieurs rénovations d’appartements sur l’Auxerrois s’inscrivent également parmi les priorités.
Hors de sa zone de chalandise habituelle, le cabinet d’architectes de l’Yonne assurera l’extension d’un chalet de grand standing à Méribel, avec la construction d’une piscine intérieure. Des chantiers sont aussi prévus dans le canton de Clamecy (Nièvre).
Une antériorité vieille de 16 ans et beaucoup de communication…
Réalisant un chiffre d’affaires annuel de 650 000 euros, MC2 Architectes ne lésine pas sur les moyens en termes de communication ni de développement relationnel. Véhicule sérigraphié, présence publicitaire dans les salles obscures du complexe cinématographique local, loge au sein de l’univers sportif de l’AJ Auxerre, la société de Marie-Claire GILET-CHEVILLOTTE et de son époux privilégient tous les supports pour asseoir sa notoriété dans la durée.
« Notre présence autour de l’environnement footballistique s’explique, commente Mathieu CHEVILLOTTE, grâce au système relationnel imputable à la loge du club, nous favorisons les contacts avec les influenceurs de la région. Même si ce type d’opération représente un budget conséquent à l’année, le retour sur investissement se traduit par de belles potentialités… ».
Le cabinet aux quatre collaborateurs développe depuis peu une nouvelle ligne de produit. Celle-ci est basée sur le conseil et la faisabilité d’un projet. Grâce à la mise en place de contacts directs avec un prospect, une prestation facturée à partir de 150 euros, les professionnels de la construction et réhabilitation de concepts immobiliers prodiguent leurs conseils.
La présence, récente de l’entreprise, sur le Chablisien s’est déjà concrétisée par la réalisation de jolis chantiers auprès des viticulteurs.
Pour leur 17ème rendez-vous exploratoire au sein du milieu industriel icaunais, les membres de la communauté des Positives Entreprises étaient conviés par l’animatrice de leur réseau, Christine JAN, de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, à s’immerger parmi les arcanes fonctionnels de l’imprimerie digitale, BRAIZAT Etiquettes. Accueillis par la dirigeante de la structure, Marie AUBIN, les décideurs et acteurs du monde économique de notre territoire ont pu apprécier la modernité du site et l’esprit de conquête de l’une des leurs, à la tête de cette très belle PME…
SENS : Plus d’une trentaine de personnes, des chefs d’entreprises mais aussi des cadres supérieurs et des représentants de la sphère institutionnelle, participaient à ce qui est devenu un rituel sacré depuis maintenant près de deux ans dans l’Yonne : les visites d’entreprises concoctées par la Chambre de Commerce et d’Industrie territoriale.
Agrémentée d’un sympathique cocktail, outil fédérateur d’échanges et de réflexions bien nourris, cette animation ne cesse de faire des émules depuis ses origines parmi le microcosme des dirigeants entrepreneuriaux de l’Yonne. Il est vrai que la CCI aime privilégier ce type d’actions. Dans un esprit de service et d’information auprès des forces économiques.
Ainsi, ce dix-septième rendez-vous se concentrait autour d’un secteur d’activité ayant eu à subir moult évolutions dans son approche professionnelle au fil de ces dernières années. Celui de l’imprimerie.
Une évolution digitale nécessaire à la survie de l’entreprise…
Spécialiste de l’édition d’étiquettes adhésives de petite série, et ayant comme cœur de cible des donneurs d’ordre issus de l’industrie cosmétique, de la viticulture, mais aussi des agences de communication évènementielle, BRAIZAT Etiquettes a ouvert largement ses portes afin de plonger ce public de béotiens au monde de l’impression dans le vif du sujet.
L’entreprise aux sept salariés a consenti à de nombreux investissements (près de 350 000 euros) l’année dernière pour s’équiper du dernier cri en matière d’appareillage lui permettant de réussir sa transition digitale.
Reprise par la dynamique Marie AUBIN, une figure emblématique du monde économique dans le landerneau du Sénonais, en 2009, BRAIZAT Etiquettes (voir notre prochain article) a opéré avec brio ce virage indispensable du numérique. Une étape cruciale dans son approche évolutive qui a sauvé la société de la fermeture sine die.
Aujourd’hui, l’entreprise de Sens travaille au service des plus grands groupes industriels de France, à l’instar de L’OREAL, géant de la cosmétique, mais également auprès de marques émergentes en offrant des prestations de services innovants.
Depuis peu, l’entité accueille dans ses locaux de la rue de la Fausse Rivière à Sens la marque NOMAD ATTITUD qui est positionnée sur le développement de l’impression de cendriers de poche personnalisés.