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Se rendre chez le 17ème du classement de Ligue 2 ne sera pas chose aussi facile pour les protégés de Francis GILLOT au soir de ce vendredi 27 octobre. Au plan comptable, cinq petits points séparent ces deux formations qui ont connu des fortunes similaires depuis le début du championnat. Même si aujourd’hui, le club bourguignon a repris quelques couleurs en se hissant à la onzième position de ce tableau pour le moins disputé. Mais après son laborieux faux pas contre le Racing Club de Lens (6 à 0), l’équipe de l’Ain aura à cœur de se racheter devant un public chauffé à blanc et en espoir de revanche. Gare à la nasse qui pourrait se refermer inexorablement sur les joueurs auxerrois si ces derniers manquaient d’humilité…

 

AUXERRE : Même si l’international polonais Ludovic OBRANIAK ne sera pas encore aligné sur la feuille de match, les footballeurs auxerrois connaissent néanmoins un net regain de forme depuis plusieurs journées. Et de méritantes victoires obtenues contre des adversaires plutôt coriaces et ayant fait jeu égal avec le team de Francis GILLOT !

Cependant, beaucoup s’interrogent sur la durée de cette dynamique actuelle. Le moral regagne petit à petit le lot des supporters. Quant aux joueurs, ils ont su démontrer sur la pelouse qu’ils étaient capables du meilleur après avoir connu le pire le mois dernier.

Le podium en ligne de mire si les victoires s’enchaînent…

Le coach a retrouvé le sourire même s’il confirme ne pas se contenter que de cela. « Nous ne sommes pas encore à 100 % de nos aptitudes, explique-t-il en conférence de presse, mais nous progressons de manière positive. Les joueurs, y compris les plus jeunes encore peu habitués à ces rencontres de haut niveau, ont su prendre à bras le corps leurs responsabilités. Les entraînements s’effectuent dans le plus grand des sérieux. Si nous poursuivons sur cette lancée, j’ai bon espoir de revenir sur les cinq ou six premiers du peloton de tête…en glanant le maximum de points ».

Il est vrai que la distance est déjà tangible entre le Stade de Reims qui caracole au sommet du classement avec ses 27 points (dix de mieux que l’AJ Auxerre), l’AC Ajaccio (second) et le Paris Football Club (troisième) et l’ensemble de leurs poursuivants. Mais, à bien analyser le haut de tableau de ce championnat : Nîmes (4ème) et Lorient (5ème) ne sont guère éloignés de l’unique pensionnaire bourguignon en Ligue 2.

« Nous avons une marge de progression importante, ajoute Francis GILLOT, et nous devenons plus serein rencontre après rencontre… ».

De là à dire que l’AJ Auxerre puisse prétendre tenir les rôles de premier choix dans cette compétition au cours de ces prochaines semaines n’est pas improbable. Peut-être, comme devait le suggérer l’entraîneur de l’équipe première, « que certains clubs du haut de tableau connaîtront une baisse de régime avant Noël…».

Se méfier du sursaut vengeur de Bourg Péronnas…

Il faudrait alors en profiter avec efficacité pour accumuler les victoires, synonymes de points salvateurs au compteur. Mais, l’étape immédiate de ce long cheminement vers les sommets se nomme Bourg Péronnas. Après le naufrage de l’équipe face à Lens (6-0), les Bressans n’auront qu’une seule envie : se reprendre avec férocité surtout devant leur public.

« Cette équipe possède de très belles qualités offensives, constate Francis GILLOT, ils vont se créer de nombreuses occasions : nous devrons alors les surprendre par des contres assassins… ».

Mais de l’avis du coach auxerrois, jouer chez eux après un tel coup de semonce ne pouvait plus mal tomber pour lui et ses hommes. L’engagement devrait être total lors de cette partie et gare à la casse côté blessures.

« Nous sommes prêts dans nos têtes afin de ne pas être surpris d’un accueil trop viril…A nous de conserver toute notre vigilance à l’arrière ».

Concluant sur l’adversaire du jour, désigné par le sort à l’occasion du 7ème tour de la Coupe de France (11 et 12 novembre), le club de Chamalières (National 2), Francis GILLOT se montre somme toute méfiant.

« C’est une compétition que j’affectionne beaucoup. Il nous faudra aborder ce premier tour avec de l’enthousiasme et de l’exigence, après on se donnera à fond pour espérer ramener ce trophée à la maison… ».

Et loquace de préciser qu’il demanderait des renseignements plus complets au président Francis GRAILLE, originaire de l’Auvergne, où évolue le club du Puy de Dôme !


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La petite structure associative, pur produit des années 1980 et de ce mouvement libérateur sur les ondes voulu par François MITERRAND, est aujourd’hui mâture et rayonne comme l’une des plus belles représentations radiophoniques du territoire de l’Yonne. Observatrice de la vie locale, assurant le suivi factuel de nombreux événements, la structure reste toutefois dépendante des fameux contrats aidés dont la récente remise en question pourrait lui être funeste si la chose en restait là. Alors que les perspectives et le mode opératoire actuels contribuent à son succès…

 

SENS : Trente-cinq ans. Pour un média local, c'est l'âge de raison. Pour un média local associatif, avoir trente-cinq ans d'existence, c’est une marque de résilience. Radio STOLLIAHC a organisé en cet honneur, une réception à la Salle de la Poterne, à Sens, où étaient invités officiels, personnalités politiques, chefs d'entreprises, acteurs des milieux culturel et sportif et bien évidemment les salariés et bénévoles ayant contribué à l'aventure STOLLIAHC.

L'effervescence ambiante a atteint son apothéose lorsque l’édile de Sens, Marie-Louise FORT a entonné un « Happy Birthday » à l'issue d'un discours où elle est revenue sur les joies et les peines que lui ont provoqué la radio locale au travers de sa couverture de la vie locale.

Une station pionnière dans le paysage de la presse départementale

« Je crois en la liberté d'expression » a conclu l'élue. En prenant à la fin des années 80 le pari de faire de l'information locale sa marque de fabrique, STOLLIAHC FM a vu passer à ses micros, plusieurs générations de politiciens, générant de nombreux débats, lesquels étaient rendus disponibles durant la soirée grâce à des archives disposées en format K7, minidisque et CD.

« Avec la libération des ondes en 1982, on a eu pour la première fois, des campagnes locales des municipales radiodiffusées » rappelait André CHAUSSAT, maire de Sens entre 1979 et 1983. La radio locale de Sens a fait ainsi partie des pionniers, avec TRIAGE à Migennes et Radio AVALLON, provoquant un changement dans le paysage et la culture du journalisme et des médias en province.

Ce rapport plus direct avec la vie locale n'est pas pour autant source de jouissance économique. La marque de fabrique de ces radios est d'avoir survécu à des périodes de vaches maigres. « Notre premier studio a été installé dans un garage à vélo mis à disposition par la SA HLM - bailleur social, ex-BRENNUS HABITAT- notre matériel a été compilé grâce au système D » se souvient Jean-Pierre HANRYON premier président de la radio locale de Sens. « On devait toujours être sur le qui-vive, on utilisait des lecteurs K7 et des platines vinyles. Il fallait toujours être prêt à appuyer sur le bouton lecture dès qu'un son s'arrêtait sinon c'était le blanc ! Et on en a souvent eu (rires) » témoigne un technicien de la première heure.

Un rapprochement salvateur avec PACIFIC FM…

À la libéralisation des ondes, l'État joignait l'obligation de ne pas réaliser de publicités. Cette loi, contournée par certaines radios dès le milieu des années 80, a rapidement créée une disparité des richesses générant des ogres nommés NRJ, Skyrock et Fun Radio, et des petits luttant pour survivre. Trouvant sa place dans la deuxième catégorie, STOLLIAHC est déjà passé aux bords du dépôt de bilan. D'où la résilience. Fin des années 80, le concours de PACIFIC FM permit de gagner du temps et des moyens. On parlait alors de Pacific-Stolliahc FM. En 1989, ce réseau national a été racheté par le groupe NRJ, forçant STOLLIAHC à retrouver une autonomie financière.

Durant la décennie suivante, avec une grille de programme complétée par des séquences de la banque de Rire et Chansons, le média Sénonais, présent tous azimuts, solidifie sa position, avant l'épisode TDF. L'opérateur, alors filiale de France Télécom, veut prendre le contrôle de l'antenne relais de STOLLIAHC. Il fallut lutter, faire valoir tout son poids dans la vie locale et mener un combat judiciaire pour obtenir gain de cause. Ce qui a été une victoire aura tout de même laissé des plumes. En 1995, la radio eu à délocaliser son siège en périphérie de Sens, au Foyer des Jeunes Travailleurs, tout en poursuivant sa quête de contenus riches et diversifiées. Le quatrième déménagement et pas le dernier…

Un horizon incertain malgré des objectifs positifs…

Depuis 2004, STOLLIAHC a trouvé demeure au 50 rue Thénard, retrouvant une présence en centre-ville. Variant à la marge son modèle économique, générant un nombre important d'évènements, brocantes et salons, STOLLIAHC, comme toutes les associations, reste dépendante des contrats aidés. Les diverses annonces de l'année a échaudé la direction.

« Si nous n'avons pas de contrats aidés, nous ne pourrons pas poursuivre nos missions » élude Jean-Louis PECHINE, président du média depuis 1999. Cette ligne directrice et ces objectifs mènent la radio à disposer à ce stade de son propre programme musical privilégiant la pop alternative et de plus de dix heures de programmes d'informations locales en semaine sans compter les émissions spéciales.

Haeckel BEKKA et Thierry BRET


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Changement de statut bénéfique pour la jeune agence de communication icaunaise ! Ayant troqué son positionnement d’autoentreprise qu’elle arborait depuis ses débuts il y a trois ans pour celui beaucoup plus confortable de SARL, la structure, pilotée par Fanny VIAUT, prend de la hauteur et gagne en maturité. La TPE ne cesse d’engranger les missions stratégiques attrayantes. D’une part, auprès du leader européen de la distribution de matériaux et produits pour la rénovation et la construction, BigMat, et, d’autre part, avec la représentation associative des commerçants et des entreprises de Quétigny (Côte d’Or), pour laquelle la jeune femme vient de concevoir le graphisme du premier numéro d’un magazine paru à près de 110 000 exemplaires…    

 

AUXERRE : Il est déjà très loin le temps de l’enseignement supérieur et des cours théoriques qui permettaient de découvrir le monde de l’entreprise ! Agée d’une vingtaine d’années, l’ex-étudiante, Fanny VIAUT, qui avait porté sur les fonts baptismaux de la création sa jeune société le 04 décembre 2015, en parallèle d’un brillant cursus pédagogique, caracole aujourd’hui parmi le peloton de tête des agences de communication bourguignonnes, désireuses de se démarquer, au plus haut niveau !

De la création à la refonte de sites Internet, à l’animation des réseaux sociaux, voire à la conception de campagnes « hardword » ou celle des fondamentaux de la communication destinés au « print » (visuels, logos, flyers et brochures), COMMUNIK & VOUS additionne les tâches tout en poursuivant sa métamorphose en écurie performante, et ce en l’espace de quelques mois.

BigMat, le club des entreprises de Quétigny et la CCI de l’Yonne comme partenaires…

Le choix d’un nouveau statut n’explique pas tout, fort heureusement. Depuis le 14 juillet (date à la fibre patriotique), la jeune entrepreneuse vit pleinement sa condition de responsable de SARL. L’apport d’une stagiaire qui pourrait déboucher sur la création d’un poste plein, donne des ailes à la communicante d’Auxerre.

Prestataire de services pour le compte de l’enseigne BigMat, poids lourd de référence dans le milieu de la distribution d’équipements et de matériaux destinés à la rénovation et la construction du bâtiment et travaux publics, et de son référent icaunais, BigMat GOURMAND, Fanny VIAUT optimise la gestion des réseaux sociaux de ce groupe pour développer sa politique de communication vers les entreprises clientes et prospectes de la société. Chargée du « community management », la gérante de COMMUNIK & VOUS rayonne sur l’ensemble du maillage territorial que compte ce groupe (plus de 300 boutiques pour plus de 4 000 collaborateurs et un chiffre d’affaires dépassant le milliard d’euros…).

La conception graphiste d’un premier magazine sur le Grand Dijon…

Et cette belle progression des activités ne se cantonne pas à cela ! En septembre, la jeune dirigeante a pris part au lancement du premier magazine à vocation commerciale et marketing du QUETIGNY Club Entreprise, « Le Mag 1 », conceptualisant les aspects graphiques et la mise en page de cet opus distribué sur le Grand Dijon à plus de cent mille exemplaires.

Enfin, et pour être tout à fait complet avec son actualité, COMMUNIK & VOUS a débuté en parallèle de cet emploi du temps hyper dense une collaboration intensive avec le pôle formation de la Chambre de Commerce et de l’Industrie de l’Yonne, sur les réseaux sociaux. Cela allait de soi !


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Devant plus de deux cents entrepreneurs du nord de la Bourgogne mais aussi de l’Aube et de la Nièvre, le leader charismatique du patronat français a ponctué son discours mobilisateur de formules optimistes afin de motiver investisseurs et décideurs à croire aux potentialités bien réelles de notre pays. A la fois sur le marché intérieur mais aussi à l’export. Taclant au passage l’ISF et l’ « incomparable » gâchis engendré par cette mesure fiscale faisant fuir les capitaux tout en saluant le retour à la confiance impulsé depuis peu par Emmanuel MACRON…

 

AUXERRE : Soixante minutes de monologue afin de brosser un état des lieux succinct de l’économie française et de ses perspectives. Tel était le support thématique de l’intervention de Pierre GATTAZ, président national du MEDEF, invité à découvrir les richesses économiques de l’entrepreneuriat dans l’Yonne au cours de la journée de ce 04 octobre, devenu historique pour les représentants locaux.

Etienne CANO, président départemental de la puissance syndicale, et le secrétaire général, Claude VAUCOULOUX, avaient bien organisé les choses en mitonnant un savoureux cocktail de réussites professionnelles à déguster sans modération, permettant à l’homme fort du patronat français de s’immerger parmi quelques talentueuses pépites du cru : FESTINS où l’utile fut joint à l’agréable aux côtés d’Evelyne et Didier CHAPUIS en goûtant les mets, RB3D et son milieu d’exosquelettes de haute technologie qui a fait de cette structure une entité d’exception internationale grâce à Serge GRYGOROWICZ et l’un des fleurons du nouveau pôle aéronautique de l’Yonne, FIGEAC, entreprise à forte valeur ajoutée pilotée par Patrice PARISOT.

« La croissance de la France ? Elle est minable depuis 2007 ! »

Puis, vint le temps de la prise de parole officielle sur l’estrade du Pôle Formation 58 89. Considérant la France comme l’un des plus mauvais pays européens en matière de lutte contre le chômage, le président du MEDEF rappelait quelques fondamentaux en matière de réussite professionnelle, sur la base des compétences et de la progression des talents.

« Le nombre d’apprentis n’est pas suffisant sur notre territoire : il est grand temps que le MEDEF réhabilite cela. Tout le monde souhaite de l’emploi. Mais, mon discours est simple vis-à-vis des élus : c’est l’entreprise et non pas le tissu associatif qui créé la richesse économique de notre nation… ».

Parcourant de long en large l’esplanade de l’amphithéâtre, le conférencier d’un soir abordera ensuite la croissance perdue de la France. « Depuis 2007, la nôtre est catastrophique en comparaison à d’autres états européens ».

Substance nécessaire à la pérennité de l’entreprise et à sa dynamique, la croissance doit se conquérir ailleurs, à l’international. « La France est l’un des derniers pays au monde à vivre en permanence dans la lutte des classes (faisait-il alors allusion, non sans une pointe d’humour, aux quelques velléités contestataires devant manifester aux portes d’accès du centre de formation ?) ; si l’on arrêtait de s’opposer continuellement, nous pourrions bénéficier d’un climat apaisé, en restaurant la confiance et en maîtrisant le chômage à 5 %... Cela serait tellement plus bénéfique à notre pays et à ses entreprises que le reste…».

60 % de jeunes souhaitent devenir entrepreneurs…

Avec ses immenses possibilités, nourries sur le continent africain mais aussi en Inde ou en Asie, la France pourrait très vite jouer les premiers rôles sur la scène mondiale. « Tous ces états éprouvent des envies de mieux vivre, mieux se soigner, mieux s’alimenter, poursuivait Pierre GATTAZ, à tous ces éléments, il faut y ajouter le développement de la téléphonie et du numérique. Les jeunes générations ne s’y trompent pas : avant, ils rêvaient de travailler dans la fonction publique, aujourd’hui, ils souhaitent être maîtres de leur destin en endossant les habits de responsable d’entreprise… car l’industrie leur offre des emplois fantastiques…».

Abordant le Code du travail et ses réformes, Pierre GATTAZ pointa du doigt la maltraitance systématique subie par le patronat en France de la part d’une certaine frange de la population.

« Pour créer de l’emploi, la présence d’un environnement de confiance est indispensable : c’est la moitié du business qui est ainsi effectué. Emmanuel MACRON possède, quant à lui, de véritables convictions entrepreneuriales. Il a parfaitement assimilé le rôle fondamental de celles-ci au cœur de notre société. D’ailleurs, les entreprises ne sont ni de gauche ni de droite : elles sont tout simplement en marche vers leur avenir, fait de prospérité… ».

Quant au cadre fiscal, il doit être incitatif plutôt qu’idéologique selon le patron des patrons et revu dans ses principes.

« Depuis 1983, une épée de Damoclès se présente en permanence au-dessus de nos têtes avec cet impôt injuste qui se nomme l’ISF. Même nos concurrents industriels ont choisi l’exil plutôt que d’être ponctionnés à n’importe quel prix. C’est un vrai drame pour le pays : des centaines de nos compatriotes se sont expatriés à Londres et au Luxembourg. Le MEDEF n’a qu’un unique objectif sur ce dossier : tuer cet impôt stupide… ».

« Il faut remettre les Français au travail… »

Alors que 50 % des patrons recherchent des apprentis, de niveau bac -3 à bac + 5, en vain, les chiffres concernant le chômage des jeunes ne cessent de décoller : + 25 % de hausse cette année. Une statistique qui provoque l’inquiétude de Pierre GATTAZ, désireux que les réformes sociales définies par le gouvernement se concrétisent au plus vite afin de rendre la confiance aux Français mais aussi aux investisseurs américains et asiatiques.

« Depuis quelques mois, le french bashing n’est plus de mise de la part des anglo-saxons : au contraire, il règne une certaine bienveillance, voire une admiration, à notre égard … ».

Mais, le taux de chômage très élevé de la population française (9 %) plombe la reprise économique : « il faut tout mettre en œuvre pour qu’il y ait des résultats en matière d’emploi, ajoute le leader du MEDEF, recréer de l’emploi passe obligatoirement par la baisse des charges. Ce combat, nous allons le continuer encore longtemps jusqu’à l’obtention de résultats… ».

Concluant son intervention en parlant de la nécessaire revitalisation des territoires ruraux, moribonds avec les commerces de centre-ville, Pierre GATTAZ souhaite que cette cinquantaine de bassins économiques oubliés bénéficient à l’avenir de zones franches, servant à les dynamiser au plan économique. Le nouveau combat du responsable du MEDEF national ?


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Malgré la présence d’une quarantaine de pays, la jeune société des cousins, Alexis et Vianney MADELIN, a réussi à tirer son épingle du jeu en empochant deux très belles distinctions à l’International Beer Challenge et aux World Beer Awards. Ces épreuves récompensaient les meilleures recettes mondiales de bières artisanales à Londres. Un joli accessit à la certification de boissons élaborées à partir des produits de l’agriculture biologique…

 CHABLIS : Les meilleures bières blondes de France se nomment « Porte Romane » et « Moulins des Fées ». Et ces recettes si sympathiques en vertu gustative, conçues paradoxalement sur une terre universellement ancrée dans le domaine viticole, proviennent de la Brasserie de Chablis, la jeune structure portée depuis plus d’un an par la famille MADELIN.

Les cousins, Alexis et Vianney, viennent encore de faire parler d’eux dans le paysage brassicole. De la manière la plus élogieuse possible. Ils ont glané deux titres honorifiques obtenus au cours de challenges internationaux qui se déroulaient il y a peu dans la capitale du Royaume-Uni.

Ces distinctions leur permettent de gagner des labels très intéressants, mettant en valeur leur savoir-faire de brasseurs qui emploie des produits biologiques référencés comme le malt, le houblon et les épices pour composer leurs recettes.

A la conquête de l’Empire du Soleil levant…

Les jurys de ces challenges qui avaient lieu en simultanée à Londres ont su apprécier à leur juste valeur les bières artisanales que les deux garçons prennent un malin plaisir à concocter. Cet ancrage territorial autour du Chablis a su séduire les importateurs du…Japon. Non seulement, les consommateurs nippons possèdent un faible pour les vins du terroir de l’Yonne mais ils semblent désormais succomber, aussi, à ses bières artisanales.

Très aromatiques, équilibrés et sans trop d’amertume, les breuvages fabriqués par les jeunes gens connaissent une forte poussée consumériste dans le pays du Sud-est asiatique. Recherchés par les importateurs, toujours en quête de nouveaux produits étrangers, les bières commercialisées sous la marque « MADDAM » (la juxtaposition des deux patronymes des cousins), rencontrent le succès chez les revendeurs de Tokyo.

Plutôt prometteur quand on sait que la SARL au capital de 10 000 euros n’a vu le jour que depuis octobre 2016 !

Les trois bières standard d’une qualité identique s’exportent vers le Japon, cible privilégiée des deux cousins, mais aussi vers la botte transalpine. 50 000 bouteilles ont été conditionnées au mois d’août, prêtes à inonder ces marchés exotiques. Mais, Alexis et Vianney n’occultent pas de leurs objectifs l’Hexagone et son fort potentiel de développement.

Augmenter la capacité de production à 100 000 bouteilles annuelles…

Qu’elles soient blondes, blanches ou ambrées, les bières MADDAM possèdent des identifications locales, ce qui n’enlève en rien leur finesse et leurs qualités. La restauration, les bars à vin mais aussi les cavistes et les épiceries fines ainsi que les chaînes de magasins biologiques constituent le cœur de cible privilégié de leur mode de distribution sur le territoire français.

Pourvue dorénavant d’une boutique, attenante au lieu de production, la BRASSERIE de CHABLIS envisage de produire 100 000 bouteilles dès l’année prochaine. L’acquisition d’un nouveau groupe d’embouteillage et de conditionnement, pouvant gérer plus de deux mille bouteilles par heure, apportera une nette valeur ajoutée à l’outil de production. En 2017, 500 hectolitres de bières artisanales ont été conçues sur l’unité de Chablis. L’enjeu de la future saison sera d’augmenter la capacité annuelle à 900 hectolitres.


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