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Corrélé fortement au développement économique et sociétal d’un territoire, le déploiement du numérique constitue l’un des enjeux majeurs auxquels les pouvoirs publics doivent s’attaquer de pied ferme. Or, la plupart des gouvernances étatiques s’étant succédées au fil de ces dernières années ont pris soin d’ignorer la fracture numérique, pourtant soulignée par Jacques CHIRAC. Aujourd’hui, le constat est observable avec désappointement : il nous place avec un bonnet d’âne parmi les derniers rangs des nations européennes encore inaccessibles ou presque aux vertus de la 4G. Alors que dans certaines sphères technologiques, on évoque déjà la 5G, voire la 6G ! Vice-président en charge du développement économique et numérique de la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne, Régis LHOMME est la cheville ouvrière du plateau conférence qui sera donné le 11 octobre prochain autour des évolutions alternatives usitées partout en France pour résoudre ces problématiques de couverture…

TONNERRE : Pourquoi la Communauté de communes dont vous êtes le vice-président en charge du développement économique et du numérique a-t-elle souhaité organiser cette table ronde à destination des forces vives de l’économie et des institutionnels de l’Yonne ?

Parce que nous avons des solutions simples pour donner accès à l’Internet sur des territoires délaissées par la République et qui n’ont pas de solutions à court terme. Il n’est pas besoin d’épiloguer sur le handicap que cela représente tant pour les particuliers avec la dépréciation de l’immobilier, que pour les entreprises qui nous disent que c’est le plus grand frein à leur déploiement après le bassin d’emplois…

Depuis trois ans, le Tonnerrois a déployé cette technologie préconisée par l’opérateur numérique WE ACCESS sur le territoire. Quel en est le bilan aujourd’hui ?

Globalement positif, sur les 52 communes de la CCLTB, 28 étaient en totale déshérence et sans aucun service. Nous avons donné l’accès à 16 d’entre elles. Les communes suivantes seront servies dans les mois qui viennent. A côté de cela, nous avons équipé une vingtaine d’entreprises qui étaient en souffrance, proposant soit un service standard, soit un service professionnel avec une connexion synchrone, du débit montant et descendant identique. Je souhaite aussi mentionner que nous offrons le même service aux écoles gérées par la Communauté de communes qui avaient souvent un accès Internet aléatoire, voire inexistant.

Pourquoi avoir choisi cette structure plutôt que d’être passé par l’un des quatre opérateurs historiques, spécialistes en ce domaine ?

Tout simplement parce que les territoires ruraux ne sont pas dans le radar des opérateurs historiques. Ils n’avaient aucune offre à nous proposer.

« La France est l’un des plus mauvais élèves en Europe… »

Comment analysez-vous la situation de la couverture du numérique très haut débit aujourd’hui dans notre département ? Voire en France ?

Le jugement ne peut être que sévère. La France est un des mauvais élèves de l’Europe. Elle a d’ailleurs été épinglée dans un rapport de la Commission européenne (Digital Economy Society Index 2017) avec une couverture 4G qui la plaçait au 27ème rang sur 28 pays en Europe pour l’économie numérique globale. Un autre exemple, le rapport ARIASE nous place au 18ème rang avec – par exemple – fin 2016 seulement 11 % des foyers ayant accès à la fibre. Le retard est lié aux choix des gouvernements successifs qui n’ont pas fait les efforts nécessaires, laissant les opérateurs privés devenir les maîtres du jeu.

Concernant l’Yonne, le retard est aussi évident. Après avoir réalisé que la fibre ne pourrait être installée partout, les budgets ne permettent que de la montée en débit, utilisant le cuivre, avec des résultats très divers compte tenu de l’état du réseau cuivre. Les solutions alternatives comme la voie hertzienne, facile à mettre en œuvre et à coûts contenus ne semblent pas être considérées par les pouvoirs publics. Ils sont donc mis en œuvre par des collectivités comme des communautés de communes ou des régions à l’instar de la Bourgogne Franche-Comté.

Pourquoi un tel retard alors que dès 1995 le président de la République de l’époque, Jacques CHIRAC, évoquait la lutte contre la fracture sociale et numérique ?

Nos politiques ont beaucoup parlé et peu agit. Alors que d’autres pays prenaient le problème avec plus de pragmatisme, on en paye maintenant le prix.

Dans ce dossier, vous faites figure de cavalier solitaire dans le déploiement de cet accès au numérique par la voie hertzienne. En votre qualité de collectivité, comment peut-on expliquer l’absence de subsides financiers de la part des autres grands acteurs institutionnels concernés par ce sujet (Etat, Région, Département…) ?

En fait, je ne crois pas que nous fassions réellement cavalier solitaire. Il y a en France près de 200 opérateurs alternatifs en plus des quatre structures historiques. Si nous avons choisi WE ACCESS, c’est parce que ces professionnels avaient déjà équipé avec succès d’autres communautés de communes, comme le Larzac. Concernant l’absence de subsides, nous avons eu chaque fois la même réponse. C’est-à-dire : « Nous comprenons votre problème, mais ce type d’action n’est pas intégré dans le Schéma Régional de Développement Numérique.. ». Sans tenir compte que ce schéma ne prévoyait rien pour notre territoire.

Depuis plusieurs mois, collectivités et entrepreneurs s’abonnent à votre proposition, qui s’avère moins onéreuse et plus fonctionnelle que les autres. Comment réagissent ces abonnés qui jusque-là éprouvaient de sérieuses difficultés ? Est-ce que les particuliers sont également concernés ?

Globalement le retour est très positif, même si nous devons encore améliorer le service. Cela vaut pour les entreprises comme pour les particuliers.

 « Nous sommes dans une situation d’urgence économique… »

 L’objectif avec cette démarche est-il de faire du prosélytisme à tout crin autour de ce procédé qui est au final méconnu ?

Non. Nous pensons que ce ne peut être qu’une solution transitoire pour quelques années en attendant l’évolution des technologies. Mais, nous croyons aussi que les usagers, entreprises ou particuliers, ne peuvent pas attendre. Nous sommes dans une réelle situation d’urgence économique et sociale.

Un important budget est consacré à ce déploiement. Est-ce suffisant en l’état ? Combien faudrait-il pour équiper l’ensemble de notre territoire ?

Nous faisons le maximum de ce que notre collectivité peut abonder. C’est suffisant pour le Tonnerrois. Mais, nous regrettons du peu d’intérêt des pouvoirs publics pour cette solution. Ils ont un plan et n’en sortent pas, même si – pour le Tonnerrois – ce plan ne prévoit rien de concret ; soit quelques montés en débit auxquelles nous ne croyons pas…

Pire, nous espérions de la flexibilité car nous souhaitons monter trois nouveaux pylônes. Nous étions prêts, techniquement, pour les mettre en service avant la fin de l’année. Mais, un nouveau processus administratif risque de ralentir fortement cette opération, qui se fera, mais on ne sait pas à quelle échéance dans le temps…

Qu’espérez-vous en termes de réaction et de commentaires avec cette première soirée explicative du 11 octobre ?

Je pense que nous avons le savoir-faire mais pas le faire-savoir. Si cette soirée pouvait faire prendre conscience de l’urgence de la situation, et qu’il existe des solutions concrètes. Nous souhaitons que les pouvoirs publics s’y intéressent. A ce titre-là, nous aurions atteint notre objectif.

Le numérique très haut débit représente-t-il un sérieux enjeu politique sur notre département ?

Cela me semble évident, car c’est fortement corrélé au développement économique. Si nous voulons attirer des entreprises, favoriser l’emploi et désenclaver la ruralité, cela ne peut se faire qu’en donnant à tous l’égalité devant la fracture numérique. Combien d’emplois pourraient-ils être crées dans l’Yonne par l’apport du télétravail ? Combien de nouvelles entreprises s’installeraient si elles avaient accès aux mêmes services qu’en zone périurbaines ? C’est pour moi un enjeu politique majeur et qui ne doit pas être restreint à l’axe géographique « Auxerre/Sens ».

Quelles seront les prochaines étapes que vous envisagez de provoquer pour continuer ce travail informatif auprès des usagers professionnels et personnels ?

C’est un travail de fourmi. Mais, nous continuerons. Il reste au moins douze communes à équiper. A chaque fois, nous faisons une réunion d’information auprès des habitants et des entreprises concernées. La communication de la Communauté de Communes reflète aussi cette activité.

En définitive, nous souhaiterions réellement une prise de conscience des pouvoirs publics qui devraient apporter davantage de soutien, pas seulement financier lorsque qu’une collectivité est dans l’obligation de se substituer à l’Etat pour un enjeu d’une telle importance.


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Plantés il y a déjà une décennie, les vingt rangs de vignes, constitués de différents cépages, égayent de manière naturelle l’immense place centrale du groupe scolaire d’enseignement professionnel auxerrois. Hormis les aspects décoratifs et verdoyants, ils donneront naissance à la première cuvée de ratafia, faite maison, la saison prochaine. La vendange a été assurée par les élèves ces jours-ci dans le cadre d’un projet pédagogique…  

AUXERRE : L’obtention à terme d’une centaine de bouteilles de ratafia devrait permettre aux élèves du lycée des métiers d’Auxerre de s’exercer aux techniques de la viticulture au cours de cette saison.

Inscrivant un énième projet pédagogique à la liste non exhaustive des thématiques qui s’enseignent au sein du lycée VAUBAN, la direction a décidé de valoriser la vingtaine de rangées, plantées sur le site et composées d’un assemblage de cépages : gamay, pinot noir, chardonnay, aligoté, melon bourgogne, etc.

Il s’agira, sous la houlette d’un représentant du corps professoral, de produire la toute première cuvée de ratafia. Ce breuvage sucré et légèrement alcoolisé à l’estampille du lycée VAUBAN !

Une production qui se dégustera sur place…

Aidé en cela par un viticulteur du cru grâce à une convention de partenariat, l’initiative se vit aujourd’hui dans le cadre d’un véritable projet pédagogique. Il a pour but l’optimisation de cette vigne si caractéristique puisque implantée dans l’enceinte du complexe éducatif. Une stratégie que devait confirmer la proviseure Capucine VIGEL ayant adoubé le concept.

Si la vendange, récente, a été assurée par certains lycéens, ce sont les travailleurs à mobilité réduite et atteints d’un handicap de l’IME Auxerre qui en assurent régulièrement l’entretien.

Ce ratafia se consommera sur place. Une partie de la production étoffera les possibilités de dégustation du restaurant et bar d’application, « La Gourmandise ». En revanche, il n’est pas prévu de la commercialiser en dehors de l’établissement. Ni de l’exporter !

 


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L’ancien commerçant de la rue du Pont à Auxerre, Faysal OUAZARF, créateur et entrepreneur dans l’âme, vient de céder son entreprise après en avoir assuré sa prospérité depuis 2014. Toujours à l’affût de nouvelles expériences, le jeune homme a profité de la période estivale pour accroître son potentiel de connaissances professionnelles. Il a choisi de rejoindre le pôle de conseillers de BGE Nièvre Yonne sur notre territoire, en y apportant son savoir-faire et un certain regard du milieu entrepreneurial…

JOIGNY : Précurseur de l’offre coffee-shop dans l’Yonne, Faysal OUAZARF a eu l’opportunité de se distinguer dans le microcosme auxerrois depuis novembre 2014. Ce jeune créateur d’entreprise ne regrette pas l’expérience qu’il a vécue pleinement aux côtés de son cousin, Yassin, dans le quartier du Pont. Même si aujourd’hui, il s’en est éloigné.

Propriétaires du premier coffee-shop à avoir conquis une large clientèle très demandeuse de cette offre innovante en matière de consommation à Auxerre, les deux garçons vont connaître le succès de façon quasi immédiate.

Invité à venir s’exprimer devant un parterre d’une cinquantaine de décideurs économiques et de porteurs de projets, Faysal OUAZARF a évoqué longuement ce parcours professionnel atypique.

Une intervention appréciée au BGE Club …

Profitant de cette vitrine offerte par la rentrée du « BGE Club » au « QG » à Joigny, le jeune homme a retracé le cheminement de l’aventure « BENNYSHAKER » qui lui aura permis d’aboutir à ses désirs. Et de développer un modèle économique acceptable autour de la vente de pâtes et de cupcakes, les spécialistes culinaires de l’enseigne.

Le témoignage de Faysal OUAZARF prit ensuite une autre tournure. Avant le terme de celui-ci, le jeune homme annonça qu’il avait cédé son affaire durant l’été. Avant de se projeter vers de nouvelles perspectives qui ne sont pas pour lui déplaire, manifestement.

L’ex-stratège du « BENNYSHAKER » devient le nouveau conseiller en création d’entreprise de l’organisme BGE. Il sera affecté notamment sur le secteur d’Auxerre, en renforcement de l’équipe existante.


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Organisé par le Comité régional des certificateurs publics (CRCP) VAE, une conférence explicative sur la déclinaison pratique de la validation des acquis de l’expérience (VAE) collective a eu lieu sous la forme d’un after-work à la Pépinière d’entreprises de Joigny. Une soirée d’information à laquelle était associée la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, gestionnaire du site…   

JOIGNY : Tout savoir ou presque sur les aspects pragmatiques de la VAE Collective et ses modes de financement. Intéressante pour les responsables des pôles Ressources Humaines et les entrepreneurs eux-mêmes, cette explication de texte concise a pu se dérouler ce jeudi 20 septembre dans les locaux de la Pépinière d’entreprises du JOVINIEN. A l’initiative du CRPC, le Comité régional des certificateurs publics.

Conseillère en VAE au sein du CIBC Bourgogne (Centre de bilan de compétences régional), Frédérique NIKA, exégète en la matière, a présenté Florine BOUCHARD, chargée de mission au Comité régional des certificateurs publics VAE qui, durant deux heures, examina les caractéristiques de ce procédé qui s’inscrit en lien direct avec les enjeux des récentes réformes de la formation professionnelle. Notamment sur le bilan à six ans des collaborateurs des entreprises tout secteur confondu.

Habituée de ce type d’exercice, la jeune femme a eu le loisir de présenter dans les moindres détails les principes opératoires qui existent sur le territoire de la Bourgogne Franche-Comté.

Une démarche intelligente qui ne peut qu’avantager les entreprises

Cette animation avait déjà été orchestrée avec sérieux et professionnalisme en décembre dernier lors d’une précédente rencontre organisée à Sens que Floriane BOUCHARD avait portée.

Travaillant en complémentarité avec le CIBC, l'intervenante principale de la réunion, Florine BOUCHARD, détailla les possibilités de financement de cette formation (elle peut être cofinancée avec l’aide des OPCA), les avantages et intérêts pour les entreprises qui adoptent ce processus pédagogique, ainsi que les facteurs essentiels se rapportant à la réforme de la formation professionnelle qui était encore à l’étude auprès des parlementaires avant sa promulgation le 05 septembre dernier.

« N’oublions pas, devait-elle préciser, que la VAE permet de sécuriser le parcours professionnel des salariés et de les fidéliser à l’entreprise qui éprouve le besoin d’enclencher cette démarche intelligente… ».

Au terme de cette séance de réflexion, poursuivie de questionnements habituels, un kit de communication complet sur la VAE en entreprise fut remis aux participants.

Une seconde journée d’information sera par ailleurs proposée le mardi 02 octobre dans les locaux de la CCI à Sens avec le concours de l’AFPA.

 

 


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Tirant les enseignements de trois années de mise en œuvre effective sur le terrain des bienfaits de l’Internet hertzien comme solution d’alternative crédible en matière de numérique très haut débit, la Communauté de communes « Le Tonnerrois en Bourgogne » proposera un plateau conférence le jeudi 11 octobre. Celui-ci, destiné à accueillir les décideurs économiques et institutionnels du territoire icaunais, voire aubois, se déroulera au Domaine GRUHIER à Epineuil à partir de 18 heures. De nombreux utilisateurs, chefs d’entreprises, collectivités et élus, viendront expliquer de leurs témoignages pertinents la fiabilité de ce système qui permet d’offrir à moindre coût et avec un réalisme efficient le très haut débit de manière satisfaisante…

TONNERRE : L’idée de partager autour de soi la parfaite maîtrise de cette technologie et de le faire savoir au plus grand nombre germait dans les esprits depuis plusieurs semaines déjà.

Vice-président en charge de l’économie et du numérique au sein de la Communauté de communes « Le Tonnerrois en Bourgogne », Régis LHOMME, encouragé par sa présidente Anne JERUSALEM, elle-même élue au sein du Conseil départemental de l’Yonne, en a donc validé le principe ces jours-ci.

En fin d’après-midi du jeudi 11 octobre, l’organisme institutionnel sera l’organisateur d’une rencontre explicative, ouverte exclusivement aux forces vives de  l’économie du territoire icaunais.

La thématique en est liminaire : il s’agira pour les donneurs d’ordre de ce concept participatif de dresser le bilan de trois années d’utilisation effective de solutions hertziennes en matière de développement du numérique très haut débit sur le secteur. Une préconisation technologique qui s’apparente comme une opportunité alternative crédible, économique et fonctionnelle pour les entreprises qui l’emploient déjà à bon escient. Et ces dernières commencent à être nombreuses à l’avoir adoubée sur cette zone géographique.

Le principe de ce rendez-vous, le premier de la sorte mais qui pourrait se renouveler l’année prochaine, est d’apporter un éclairage exhaustif sur les possibilités technologiques usitées et recommandées par la communauté de communes territoriale.

Une table ronde participative pour expliquer les principes vertueux du système…

Invités à s’exprimer et à débattre lors d’une table ronde, une petite dizaine d’entrepreneurs mais aussi de représentants de collectivités narreront leur propre expérience liés à ce sujet. Ces témoignages instructifs se complèteront de phases introductives sur les difficultés observées sur le département en matière de couverture numérique et les carences de l’Etat pour les résoudre.

Grâce aux procédés techniques mis en place par la société WE ACESS, localisée en Normandie dont le PDG, François HEDIN, présent lors de cette rencontre, explicitera les principes, de plus en plus d’entreprises du Tonnerrois bénéficient de cet atout numérique de haute qualité en matière de couverture. Cent cinquante abonnés profitent déjà de ce système, peu onéreux pour leur budget. L’objectif de la Communauté de communes « Le Tonnerrois en Bourgogne » est d’atteindre très vite les 500 utilisateurs.

Se servant de relais quasi naturels (châteaux d’eau, pylônes publics, toits d’édifices religieux, fermes…) pour véhiculer la fibre par ondes radio, l’organe institutionnel du Tonnerrois (ce dernier engobe 28 localités) se fait le chantre de ce modernisme opérationnel accessible auprès de tous les concitoyens.

Alors que paradoxalement, il existe une grosse méconnaissance informative autour de ce procédé numérique par la voie hertzienne et de ses vertus, bon nombre de sociétés (et non des moindres sur le Tonnerrois) ont opté pour le choix d’un abonnement. Un sésame qui leur ouvre toutes grandes les portes de l’avenir et de la pérennité technologique sans avoir à subir les sempiternelles contraintes de faiblesse de réseau ou de présence de zones blanches néfastes à leur développement économique. Les entreprises industrielles telles que  ARBEO, TMS, DUMAS, JPG ou ROY n’ont pas hésité à opter pour ce judicieux système pour un coût modique dont leurs responsables sont aujourd’hui très satisfaits.

S’appuyer sur les réseaux des influenceurs pour prêcher la bonne parole…

Dès lors, on aura compris la volonté des forces dirigeantes de la communauté de communes. Faire savoir au plus grand nombre, et pas seulement aux entrepreneurs et collectivités du Tonnerrois, que ce système est fiable et adaptable en toutes circonstances.

Sans aides de quiconque, l’organe exécutif a par le biais d’un autofinancement volontariste de 400 000 euros décidé d’équiper les 28 communes intégrées dans sa zone. A ce jour, 19 bourgades ont reçu les équipements nécessaires pour profiter de cette manne technologique qui n’est pourtant pas tombée du ciel.

Viable de manière économique, le système préconisé par WE ACCESS s’adapte particulièrement bien aux zones rurales, les grandes oubliées dans la lutte contre la fracture numérique que dénonçait déjà en son temps (1995) le président Jacques CHIRAC. Des secteurs géographiques où les opérateurs historiques ne se précipitent pas pour trouver des solutions appropriées et rapides car elles ne sont pas suffisamment rentables.

Dernier point : nos voisins du Loiret se sont engouffrés depuis plusieurs mois dans ce type d’aménagement assuré par l’entreprise normande. Quarante-cinq communes se disent très satisfaites des prestations numériques très haut débit proposées. Alors, pourquoi ne pas privilégier la même méthodologie par chez nous ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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