Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Soucieux d’optimiser la qualité et l’efficience d’un double recrutement pour le compte de la société qu’il dirige, Eric VRAIN, directeur de BRIE FGI s’est appuyé sur la nouvelle plateforme d’aide à l’emploi, POSITIV’EMPLOI pour atteindre son objectif. Opérationnel depuis quelques semaines, l’outil numérique piloté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et soutenu, entre autres, par la Communauté du Grand Sénonais, a su séduire l’entrepreneur qui en a apprécié l’aisance d’accès. La pertinence de sa CVthèque représente un précieux auxiliaire pour ce dirigeant qui se plie depuis longtemps aux exigences du savoir-être plutôt que du savoir-faire. Explications…

SENS : Le recrutement est devenu une source récurrente de cauchemar pour tout entrepreneur qui se respecte en France ! Il n’y a pas le potentiel escompté parmi les nombreuses candidatures reçues en matière de qualification professionnelle. Qui n’a jamais entendu autour de lui cette rhétorique incessante qui revient constamment en boucle parmi le cercle de ses connaissances professionnelles !

Pourtant, depuis peu, un rayon de soleil darde, en y diffusant une petite lueur d’espoir, les bureaux embarrassés de lettres de candidature des spécialistes de la R.H. et des chefs d’entreprises, eux-mêmes.

Le nom de ce sésame tient en deux mots : POSITIV’EMPLOI ! La plateforme numérique a été conçue par CLEVERCONNECT (le groupe exégète dans la discipline qui est connu pour sa filiale Météo Job). Elle est pilotée dans le département de l’Yonne par le service emploi de la Chambre de Commerce et d’Industrie, via l’une de ses composantes, Cécile NOIROT.

Or, l’une des figures prégnantes de l’économie territoriale apporte aujourd’hui son témoignage sur la bonne fonctionnalité de ce site bien différent des autres. Pas étonnant que depuis son lancement, survenu en avril, POSITIV’EMPLOI ait reçu l’adoubement de plusieurs partenaires institutionnels, dont la Communauté du Florentinois, et surtout celle du Grand Sénonais, partenaire historique du concept.

Directeur des agences auxerroise et sénonaise de la société BRIE FGI, filiale du puissant groupe DESCOURS & CABAUD (13 500 collaborateurs répartis sur plus de six cents points de vente pour 3,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires), Eric VRAIN est l’un des utilisateurs de ce nouvel outil. Il y a peu, il a eu recours à ce service optimal pour embaucher deux technico-commerciaux. Un exercice qui lui a procuré une vraie satisfaction.

« J’ai apprécié le nettoyage régulier des offres d’emploi… »

« Toute initiative nouvelle en matière de recrutement me parle, explique-t-il, car je le confirme : rechercher un nouveau collaborateur représente un vrai casse-tête chinois dans l’univers de l’industrie. Début mai, j’ai eu vent de la création de ce nouveau site numérique. Le contact avec la personne chargée de ce dossier, Cécile NOIROT, de la CCI, s’est avéré très positif. La plateforme est facile d’accès, d’une grande qualité ergonomique au niveau de sa configuration. J’ai surtout apprécié le nettoyage récent effectué autour des offres d’emploi dans la CVthèque. Offres qui ont une pérennité de trente jours. Avec la présence de candidats sérieux, ayant une réelle appétence à pratiquer une veille active de leurs recherches. Bref, j’ai observé qu’un candidat sur trois recherchait vraiment une autre voie professionnelle dans leur carrière. Pour la plupart, elles sont âgées de 30 à 40 ans. Cela aussi confère un sérieux crédit à la notoriété de ce site… ».

Convaincu par la simplicité tangible du concept, Eric VRAIN procède à deux embauches à l’issue d’entretiens qui se sont révélés très enrichissants.

« Je les attends encore car elles sont toutes les deux en préavis ! Mais, je sais m’armer de patience… ».

L’un de ses deux postes est spécialisé dans la maintenance de la chaîne de fabrication. L’autre se positionne sur la protection individuelle. Mais dans les deux cas, le directeur de BRIE FGI se fie à ses impressions. Bonnes en l’occurrence car il y a belle lurette (une quinzaine d’années désormais) que l’entrepreneur n’embauche plus que des futurs salariés en fonction de leur savoir être plutôt qu’un savoir-faire.

« Ce précepte me paraît légitime. On s’intéresse à la personne et non pas à sa formation. Dès la poignée de main, je ressens si le néophyte possède les capacités nécessaires pour tenir le job… ».

L’apport du CV parlant sera un grand plus…

Humaniste dans l’âme, le patron de BRIE FGI sait d’ores et déjà qu’il utilisera de nouveau la plateforme en vue de futurs départs en retraite qui se profilent à cinq ans dans son entreprise.

« Deux nouveaux postes se dessinent à horizon 2020, confie-t-il, et puis à terme, il devrait y avoir une dizaine d’embauches supplémentaires à gérer sur les sites d’Auxerre et de Sens. Forcément, j’emploierais la même méthode de recrutement… ».

L’apport de l’image, à l’aide d’une vidéo présentant les potentialités du candidat, le séduise. CLEVERCONNECT pense ajouter cet additif dès 2020, rendant son concept technologique évolutif.

Quant au soutien apporté sur le projet par l’agglomération du Grand Sénonais, Eric VRAIN juge cette intervention institutionnelle très positive.

« L’industrie locale représente un pôle d’intérêt pour la Ville de Sens tout comme les partenaires institutionnels qui se déploient sur ce secteur. Je suis par ailleurs un fervent adepte des petits déjeuners de l’économie, instaurés par la ville. A l’instar des brunchs organisés par la Chambre de Commerce et d’Industrie. Vous savez, on ne retrouve nulle part ailleurs en Bourgogne ce type d’initiative pro-entreprenariat. C’est important pour nous autres, acteurs de l’économie, de s’y retrouver… ».

Un article réalisé en partenariat

avec la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais et de la Ville de Sens.

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il aura fallu des heures et des heures de travail. De l’abnégation et de la méticulosité, aussi, pour agencer avec astuce et méthodologie le sous-sol d’un pavillon qui fait office aujourd’hui de vitrine commerciale. Exit le garage ! La pièce ne reçoit plus d’automobiles. Désormais, elle s’ouvre sur une banquette d’accueil qui facilite la réception de la clientèle. Un espace contigu offre un décorum qui évoque l’environnement professionnel de la propriétaire des lieux. Pas de doute : il s’agit d’un institut prodiguant soins du corps et esthétisme. Bienvenue dans l’univers d’AYFER BEAUTE ! Un commerce supplémentaire à mettre au crédit de la commune d’Appoigny ; ce qui réjouit amplement son édile, Alain STAUB…

APPOIGNY : Arrivée en France au beau milieu de l’année 2010, la jeune femme, originaire d’Antalya, la fameuse station balnéaire érigée au bord des eaux couleur turquoise de la Méditerranée, ramène dans ses valises un lourd handicap. Certes, celui-ci n’est pas physique, fort heureusement. Mais, la jeune fille, alors âgée de 24 ans, souffre de ne pas maîtriser le moindre mot de la langue de Molière. Elle ne sait pas l’écrire non plus par ailleurs. Comment alors envisager avec une once de sérénité un avenir décent dans ce nouveau pays qui lui ouvre pourtant ses bras ?

C’est l’une des personnes extérieures de son cercle familial et qui la connaît fort bien, Frédérique NIKA, madame « VAE » (valorisation des acquis de l’expérience) sur le département de l’Yonne (CIBC Bourgogne) qui la décrit avec justesse : « Ayfer, c’est une bosseuse incroyable ! C’est le parfait modèle d’une intégration réussie avec en plus à la clé l’ouverture d’une entreprise ! Je l’ai suivie durant son parcours de formation : elle dégageait une sacrée énergie et une volonté sans faille…».

2018 : Ayfer YILMAZ relève le défi. Un peu fou, néanmoins, mais tellement stimulant au plan personnel. Bien sûr, elle aura su profiter de toutes ces années qui précèdent sa prise de décision pour assimiler notre langue et la parler dès lors avec perfection. Un zeste d’accent, joliment méridional, nous rappelle les origines turques de la jeune femme.

Professionnellement, Ayfer travaille dans la restauration. Elle y pratique le service. Mais, ses desiderata se situent ailleurs. Courage, volontarisme et pugnacité forment un solide socle de référence intérieure. C’est cela qui va la propulser un jour qui n’avait rien d’ordinaire à la découverte d’une filière professionnelle qui lui titille l’esprit depuis si longtemps. L’art de prodiguer des conseils de beauté et des soins d’esthétisme.

Le plus des cadeaux de son époux : l’aider à accomplir son rêve d’esthéticienne…

Intégrée au CIFA de l’Yonne, la jeune femme suit les cours spécifiques à cette discipline qui y sont donnés. Brillante, Ayfer YILMAZ sort du centre de formation dédié à l’apprentissage son diplôme de CAP esthéticienne dans la poche !

Le rêve de gosse, trop longtemps enfouie dans sa mémoire, peut s’exhumer petit à petit pour devenir une réalité palpable.

« Toute petite, je me voyais dans ce rôle d’esthéticienne, précise la jeune femme tout sourire mais une larme d’émotion au fond de la voix, j’ai été aidée par mon époux, Ramazan, qui m’a encouragé à poursuivre le chemin que j’avais choisi… ».

Son mari lui fera aussi le plus beau des cadeaux en injectant une enveloppe de 20 000 euros dans l’aménagement du pavillon familial. Devenu depuis une vitrine commerciale aux larges amplitudes horaires (sept jours sur sept mais uniquement sur prise de rendez-vous).

Spécialiste de l’épilation sans fil (une technique qu’elle dévoile à l’aide d’une vidéo tournant en boucle dans le salon), Ayfer YILMAZ a convié famille et amis pour inaugurer son nouvel outil de travail.

Plusieurs personnalités issues du sérail politique local (Robert BIDEAU et Malika OUNES, conseillers départementaux, Mourad YOUBI, conseiller municipal d’Auxerre…) ont salué l’excellence de cette initiative.

Le maire d’Appoigny, Alain STAUB, se félicitant de la création de cette enseigne supplémentaire dans sa localité.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le président du Sénat Gérard LARCHER revient dans l’Yonne ce lundi 24 juin. Trois mois après sa dernière visite. Donnant une suite favorable à l’invitation lancée conjointement par la sénatrice Dominique VERIEN et le député Guillaume LARRIVE. C’est le couple Evelyne et Didier CHAPUIS qui accueillera la délégation sénatoriale dans l’une de ses unités de production du groupe des FESTINS de Bourgogne. Une excellente opportunité pour l’un des chefs de file des Républicains de découvrir l’un des fleurons de l’artisanat de l’Yonne et de pouvoir s’entretenir avec des acteurs de l’économie…

APPOIGNY : Mais qu’est-ce qui justifie la venue du troisième personnage de l’Etat, à savoir le président du Sénat Gérard LARCHER, dans les locaux de l’entreprise FESTINS de Bourgogne ?

A la question, brut de décoffrage, posée à son dirigeant, l’artisan entrepreneur Didier CHAPUIS de répondre avec ce zeste d’humour qui le caractérise si bien : « C’est simple : c’est la courte distance de quatre kilomètres qui sépare notre unité de production de l’axe autoroutier ! ».

Celles et ceux qui connaissent ce puriste de l’art de vivre à la française et se délectent volontiers de ces savoureux canapés lors des mondanités qui ponctuent les rendez-vous liés à l’actualité institutionnelle et économique de notre département le savent très bien.

FESTINS est devenue en l’espace d’un peu plus de deux décennies une entreprise modèle et référente en la matière. Celle du traiteur et de la réception goûteuse !

 

 

Sur le site de la maison mère, à Chemilly-sur-Yonne, dans lequel en 2015, alors ministre du Travail, ce même Gérard LARCHER avait déjà découvert les multiples facettes culinaires de ce faiseur de recettes succulentes. Aujourd’hui encore, elles font florès. Parmi les collectivités et les entreprises qui ont recours à ses services. Mais, également, auprès du commun des mortels, qui est soucieux de magnifier une cérémonie nuptiale ou un anniversaire.

Sur le site d’Appoigny où se rendra ce lundi 24 juin l’une des figures emblématiques des Républicains. C’est là, aux côtés d’Evelyne et Didier CHAPUIS, ainsi que de leur fils, Mathieu, directeur commercial et instigateur de la nouvelle marque de produits prêts à consommer, « TOCTOQUE », que le troisième personnage de l’Etat se plongera dans les arcanes de cette belle aventure humaine et professionnelle. Soit dit en passant : une réussite.

Répondant de manière positive à l’invitation de la sénatrice de l’Yonne, Dominique VERIEN, et du député de la première circonscription icaunaise, Guillaume LARRIVE, le président du Sénat a donc biffé sur son agenda que l’on sait très garni ce rendez-vous qu’il donne aux milieux économiques de l’Yonne.

Un programme tiré au cordeau en trois points…

C’est le deuxième déplacement que Gérard LARCHER réalise ce semestre dans la partie la plus septentrionale de la Bourgogne. Il avait honoré de sa présence, le 23 mars dernier, l’assemblée générale de l’AMF, l’Association des maires de l’Yonne, présidée par Mahfoud AOMAR.

Concrètement, cette visite sera ponctuée de trois temps forts selon les détails fournis par le communiqué de presse, tombé en début de l’après-midi.

La visite de l’entreprise FESTINS de Bourgogne (plus exactement de sa filiale, « Au Plaisir des Mets » qui prépare les plateaux repas servis à bord des lignes ferroviaires du Thalys et de l’Eurostar) débutera ce déplacement.

Puis, au même endroit, sera proposé un échange de plus d’une heure avec les forces vives de la sphère économique départementale. D’ores et déjà, une centaine d’entrepreneurs y sont attendus.

Enfin, l’après-midi se déroulera au Centre culturel de Saint-Georges-sur-Baulche. Là, Gérard LARCHER s’entretiendra avec les édiles et élus de l’Yonne. Un échange, certes moins économique mais que l’on imagine aisément plus constructif au plan institutionnel. Voire politique…

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Les élus de l’opposition de la ville d’Auxerre ont procédé à la restitution de leur grande enquête d’opinion initiée il y a déjà quelques mois. Soutenue par les instances départementales des Républicains et du centre droit, l’initiative a eu reçu un accueil favorable de la part de la population. Plus de six cents réponses ont ainsi été collectées en l’espace de deux mois et demi. Elles ont donné naissance à une analyse fine et pertinente des souhaits des habitants de la ville qui se disent inquiets pour le devenir de leur agglomération. La mobilité, la dépendance, l’attractivité reviennent, entre autres, parmi les thèmes récurrents qui posent interrogation…

AUXERRE : Première observation à propos de ce sondage grandeur nature, concocté par les élus de l’opposition d’Auxerre : la pyramide des âges est très représentative. Qu’ils soient issus de la jeune génération ou bénéficiant du statut de personnes âgées, les Auxerrois qui se sont prêtés au jeu de ce questionnaire offrent une vraie représentativité démographique.

Second point, non dénué d’intérêt : ce ne sont pas uniquement les habitants du centre-ville qui ont fourni les réponses. Circulant via les réseaux sociaux ou remis en main propre lors de contacts directs avec le public, les documents ont ainsi essaimé vers une large frange de la population locale. Y compris vers les quartiers périphériques.

Le résultat, tel qu’il a été présenté par les élus, Elisabeth BILLEBAULT et Jean-Pierre BOSQUET, a atteint les espérances des concepteurs de cette initiative. Celle-ci avait été adoubée par les instances des Républicains et du centre droit de notre territoire.

Autre enseignement : le nom de code de cette restitution. Elle a été baptisée « Auxerre au cœur ». Il n’est pas besoin d’être devin en la matière pour appréhender les réels enjeux de cet exercice consultatif.

Une base de travail pour la stratégie du futur candidat…

Ce retour d’information tel qu’il a été dévoilé pour la première fois face à un panel d’Auxerrois (la plupart des personnes présentes étant issues de la corporation des commerçants) servira de trame de réflexion à la ligne politique établie par le futur candidat de l’opposition de la droite et du centre droit aux prochaines municipales du printemps 2020. En l’occurrence, le candidat tout désigné à porter le flambeau de ce projet de reconquête de l’hôtel de ville : Crescent MARAULT.

Sa présence parmi l’assistance n’était donc pas fortuite. Bien au contraire, l’ancien maire de Saint-Georges-sur-Baulche qui brigue le fauteuil d’édile de la ville d’Auxerre, a pu largement commenter les éléments instructifs délivrés par cette enquête exhaustive.

Explicité sous la forme de tableaux analytiques (un travail besogneux de fourmi selon Jean-Pierre BOSQUET qui devait en extraire la quintessence informative), le rendu de cette enquête abordera les points essentiels de ce que peut ressentir un échantillon vivant dans la capitale de l’Yonne.

« Certains des Auxerrois se sentent résignés et observent le déclin de notre agglomération, déplore Jean-Pierre BOSQUET, ils sont conscients que les choses ne vont pas dans la bonne direction. D’autres expriment leurs réelles inquiétude sur des items importants que sont la mobilité, la sécurité, la dépendance, l’attractivité économique, les transports… ».

Présentée de manière initiale lors de cette réunion publique, cette photographie des attentes locales fera l’objet d’autres rendez-vous avec la population. Une façon légitime de poser petit à petit les jalons de la future campagne électorale qui se peaufine avec réflexion dans l’état-major des Républicains.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« Travailler plus pour gagner plus…». La rhétorique fit sensation sous la gouvernance du président Nicolas SARKOZY. Mais, le Premier ministre initial de l’ère MITTERRAND, Pierre MAUROY, nous asséna dès 1981 qu’il était beaucoup plus sage de travailler moins. En aménageant par exemple le temps de travail. Il fut alors amputé d’une heure symbolique, passant de 40 à 39 heures  hebdomadaires. Avant que ne s’engouffrent dans la brèche Martine AUBRY et Lionel JOSPIN. Tous deux optèrent pour une diminution plus drastique de la durée du labeur en France. Ainsi naquirent les incontournables 35 heures dont tout le monde se fit écho autour de nous mais que personne n’adopta jamais dans les pays occidentaux ! Peut-être, entendrons-nous bientôt fleurir à nos oreilles la formule suivante : « Travailler moins et gagner plus »...

TRIBUNE : Aujourd’hui, nous avons maintenu la semaine de 35 heures. Toutes les statistiques le confirment : nous sommes le peuple où l’on travaille le moins en Europe et où le chômage est le plus élevé. Dont acte. 
Donc qui va travailler plus ? Là encore, l’égalité ne règne pas.

La Cour des Comptes pointe régulièrement du doigt les abus que l’on trouve parmi certains organismes publics, parapublics et autres sur le plan du temps de travail. Il y a quelques années, Zoé SHEPARD, fonctionnaire d’une administration régionale, écrivit un livre au titre provocateur : « Absolument débordée !».

Elle décrivait le rythme de travail dans l’administration de la région où elle avait la chance, sinon de travailler, du moins d’être présente et de toucher un salaire à la fin du mois.

Évidemment, ce livre connu un relatif succès et fut à l’origine d’un profond scandale. Que pensez-vous qu’il arriva ?

Après sa publication, on aurait pu penser que les présidents de Région se seraient réunis pour faire effectuer un audit sur le travail dans leur administration respective. Afin de prendre les mesures qui s’imposaient pour valoriser une productivité quelque peu désastreuse. Ne rêvez pas !

L’auteure de l’ouvrage fut mise à pied pendant quelques mois. Souvenons-nous que Guy BEART chantait en son temps : « Il a dit la vérité, il faut l’exécuter… ».

Le mot « égalité » serait-il hermétique à une application dans le travail…

L’émission « Capital » a dénoncé les formidables inégalités de situation qui règnent entre des employés qui effectuent le même travail. Suivant qu’ils fassent partie d’une grande structure ou bien qu’ils soient employés d’une TPE, voire d’une structure indépendante. Le mot « égalité » qui, en France, est écrit sur tous les bâtiments publics et apposés sur tous les documents administratifs demeure, et on ne peut que le déplorer, vide de sens.

Pour travailler plus, je préconise une solution simple et facile. Mais, pour cela, voyons comment est rythmée la vie des hommes et des entreprises en France. Le début de l’année n’est pas le 01er janvier mais bel et bien le 01er septembre après la longue trêve estivale. A la rentrée, la France se remet péniblement au travail. Mais, moins de deux mois plus tard, ce sont déjà les vacances d’automne. Début novembre, la tâche reprend doucement mais, attention, à partir du 15 décembre, les fêtes de fin d’année se profilent à l’horizon. On entend alors cette antienne : « on verra ça, après les fêtes !». Pathétique !

Tirer un trait définitif sur les ponts serait souhaitable…

Début janvier, une fois passée la trêve des confiseurs, c’est le retour au boulot. Sans conviction, aucune. Arrivent ensuite les congés de février. On repart tant bien que mal. Mais attention, les fêtes de Pâques se manifestent avec les absences habituelles, une fois de plus, liées aux zones géographiques. C’est une pagaille sans fin pour toutes les strates de l’économie française.

Puis, « le Grand Cirque national » recommence : ce sont les jours fériés innombrables avec ponts et viaducs à profusion. Enfin, en bout de course, la mi-juin réveille en nous d’insondables envies qui refont surface : l’été est là !

La période qui court d’avril à septembre constitue un vrai désastre économique. Les vacances et les ponts s’incrustent dans les esprits, cassant le rythme indispensable pour conserver l’efficience professionnelle.

Ce que je préconise ne coûte rien. Cela n’exige aucun sacrifice des Français. Mieux, cela pourrait rapporter gros à qui veut l’entendre ! Il faut tirer un trait définitif sur les ponts sans supprimer les jours de congés.

La fête du Travail ne tomberait plus le 01er mai mais le premier lundi de mai. Puis, comme l’avait pratiqué le président Giscard d’Estaing, sans que personne n’y trouve à redire, l’anniversaire de l’Armistice de la dernière guerre, le 08 mai, serait supprimé.

Si l’on a peur d’un mouvement contestataire de « Gilets tricolores », on appliquerait alors la règle à l’instar du 01ermai. C’est-à-dire que ce serait le deuxième lundi de mai et l’on appellerait cela la fête de la réconciliation franco-allemande. Le jour férié de l’Ascension serait déplacé au vendredi. Il ne serait plus figé de manière systématique dans le calendrier, un jeudi. Il suffirait d’une entente tacite avec le Vatican pour que ce principe puisse s’animer. D’ailleurs, qui connaît encore en France la signification exacte de l’Ascension ?
Enfin, puisque le lundi de Pentecôte a été supprimé de manière ambigüe, engendrant un flottement caractéristique dans les entreprises, faisons en sorte que ce jour-là ne soit plus un jour férié pour tous les Français. Fonctionnant à géométrie variable, son application représente une véritable absurdité pour le commun des mortels qui essaient d’y voir clair !

Espérons que tôt ou tard la bien-pensance du grand think tank gouvernemental que représente « France Stratégie », puisse apporter des réponses concrètes sur un sujet qui divise et concerne les Français…

Emmanuel RACINE

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil