Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Il fait bon musarder dans le vignoble bourguignon au sud de l'Yonne. La RN6 – oh, pardon la D 606, puisque cette appellation routière traditionnelle de notre pays n’est plus - ce modernisme de mauvais aloi qui considère toute tradition comme néfaste est certainement passé par là, une fois de plus - nous y emmène. Ensuite, la route dite des « Grands Crus » longe les vignes au plus près de Rully et son imposant château dans les côtes chalonnaises, Monthélie qui surplombe Meursault et Fixin la paisible...

NUITS-SAINT-GEORGES : En sortant de Nuits-Saint-Georges, se dresse l'imposante hostellerie « La Gentilhommière ». En 1995, le Michelin y mentionne un jardin avec basse-cour, quelques années plus tard la rivière à truites, au cœur de ce pavillon de chasse du XVIe siècle. Bref, l'endroit en lisière de forêt y est magnifique !

Voici quelques années (2019 ?), j'y avais apprécié une cuisine généreuse au goût du jour. On y percevait la patte d'un chef à l'ancienne, adepte d'une vraie cuisine. C'est donc en toute confiance que voici quelques jours, nous poussons - à tort - la porte de ce bel établissement.   
Nonobstant, la formule déjeuner à 35 euros, la carte est plus chère que bien des étoilés Michelin au déjeuner. Si les bonnes mises en bouche purent provisoirement inciter à l'optimisme, quant à la suite, cette dernière fut plutôt décevante.

 

Les oursins ont eu le mal de mer : pâteux et insipide…

 

En entrée, les polychromes de chou-fleur en texture et son soufflé aux oursins purent sembler une dénomination alléchante. Las, il s'agissait d'une sorte de « gloubi-boulga » et d'un ersatz de soufflé aussi pâteux qu'insipide.

Pourtant, c'est bon l'oursin (souvenir des sublimes brouillades aux langues d'oursins que réalisaient antan le chef Constant dans son « Violon d'Ingres » parisien).

Mais, là, on a comme l'impression d'une cuisine réchauffée de traiteur, lors d'une noce au service interminable...Quant au foie gras (25 euros), mon invité le définit, comme étant trop salé. 

 

 

C’était beaucoup mieux…avant !

 

Ensuite, le  pigeonneau est servi impeccablement rosé comme demandé. Il est accompagné en cette fin avril de panais (légume racine), alors que c'est la saison des carottes primeurs, navets et autres verdoyants petits pois. C’est n'importe quoi ! Du traiteur toujours, mais point d'âme culinaire…
Le fromage est bon - encore heureux ! - et le dessert autour du miel correct.
Mais, le mal est fait, pour un menu autour de 75 euros avec fromage, ce qui est beaucoup trop cher pour cette quelconque pitance.

Ah, la fois d'avant, oui mais ça....c'était avant !

Le service est souriant mais ne peut compenser cette incurie culinaire. 
Au revoir « Chef Coq », nous vous aimions jadis. Quelle injustice d'avoir comme successeur un « chefaillon coquelet », vous méritez mieux que cela !

 

 

 

 

 

En savoir plus :

 

Les - : la cuisine !

Les + : le cadre et la vue demeurent.

 

 

Contact :

Restaurant « Le Chef Coq »,

La Gentilhommière

13, Route de la Serrée

21700 Nuits-Saint-Georges

Tel : 03.80.61.12.06.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le Tremplin, ENEDIS, ORANGE, Panneau Pocket… : une quinzaine de structures institutionnelles et entrepreneuriales était à la fête, mercredi après-midi, lors d’un évènement qui leur était entièrement consacré sous l’égide de l’Association des Maires Ruraux de France de l’Yonne. Une « Journée » spéciale afin de faire connaissance, d’en savoir davantage sur les prestations et services proposés et surtout de renforcer les liens entre les représentants des collectivités rurales et des acteurs clés qui contribuent à la réussite de leurs projets.

 

APPOIGNY : C’était une première ! Illustrant la volonté de la présidente de l’AMRF de l’Yonne, Dominique CHAPPUIT, de provoquer des échanges utiles et constructifs avec celles des structures institutionnelles et entrepreneuriales du territoire qui peuvent apporter beaucoup de leur savoir à la réalisation de projets émanant des élus des collectivités locales. Une première qui en appellera d’autres ?

On ne le sait pas encore, vingt-quatre heures après la clôture de l’animation. Il faudra attendre sans aucun doute l’heure des bilans à l’occasion d’un débriefing à venir pour juger de la reconduction d’une opération relationnelle et didactique qui n’aura pas atteint ses pleines capacités d’accueil. Une chose est sûre : ce ne fut pas la grande foule, malheureusement, pour les instigateurs de ce rendez-vous qui avait déjà le mérite d’exister sur le papier !

 

 

Une manifestation qui a eu le mérite d’être créée…

 

Depuis la crise sanitaire, au vu d’un contexte conjoncturel particulièrement morose et en dents de scie côté moral de nos concitoyens, on s’aperçoit de fil en aiguille qu’il est de plus en plus difficile pour les organisateurs de mobiliser dans l’Hexagone les personnes lors de manifestations publiques qu’elles soient institutionnelles, économiques, associatives, voire culturelles. Il n’y a peut-être, et encore que, les seuls évènementiels sportifs qui fassent converger les foules. Ou les manifestations dans la rue selon l’actualité sociale !

Ceci dit, cette « Journée des Partenaires » de l’AMRF 89 eut l’opportunité de faciliter les échanges entre différentes structures qui prodiguent conseils et préconisations, tout en proposant des services ad hoc permettant à l’élu et à ses équipes de pouvoir honorer son mandat dans les meilleures dispositions. Ce qui n’est pas rien, en l’état actuel des choses où de plus en plus d’édiles de communes rurales envisagent de rendre leurs tabliers, de se retirer du circuit (parfois avant même le terme du mandat) plutôt que de vouloir rempiler pour un second exercice, synonyme de casse-tête chinois et de tracasseries permanentes, tant avec les administrés de plus en plus irascibles qu’avec l’administration et sa complexité coutumière d’arrière-garde. Un comble à l’heure de la dématérialisation et de la digitalisation à tout crin !

 

 

 

Un panel de personnalités qui avait des choses à dire…

 

Dominique CHAPPUIT n’a cependant pas caché sa relative déception. Elle n’est pas insurmontable, certes. Mais, sur les 230 adhérents que compte l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne – un indicateur de bonne santé, nonobstant pour la structure -, à peine soixante de ces élus qui avaient biffé sur leur agenda la date de cette réunion, accueillie à l’Espace culturel, ont in fine investi les lieux. Un peu faiblard, tout de même, au niveau de la représentativité !

Pour débuter la matinée, le conseiller départemental, communautaire et maire d’Appoigny, Magloire SIOPATHIS ouvrira les travaux, ne manquant pas de faire l’éloge de sa localité, une place forte en devenir de l’attractivité économique de l’Auxerrois, du fait de la présence de sa zone d’activités qui vient de s’enrichir d’une nouvelle entreprise, le groupe toulousain CARRERE qui devrait y implanter un parc d’activités de type « Hivepark » destiné aux PME/PMI et artisans.

On y verra aussi la sénatrice Dominique VERIEN – elle fut dans un passé récent l’animatrice en chef de cette association d’élus de territoire lorsqu’elle siégeait encore dans le fauteuil de maire de Saint-Sauveur-en-Puisaye -.

 

 

On y entendra la sous-préfète d’arrondissement d’Avallon, Naima RAMALINGOM s’y exprimer – voir l’article à ce propos à paraître -, soucieuse d’être à l’écoute des élus de proximité.

On y écoutera une Dominique CHAPPUIT, totalement investie à sa mission de présidente et fière de l’être. Elle est aussi la vice-présidente nationale de la structure, secondant au cordeau le Vosgien Michel FOURNIER depuis 2020. Un binôme qui ne pratique jamais la langue de bois quand il s’agit de dire les choses, même en haut lieu ! Un duo qui se retrouvera fin septembre lors de l’assemblée générale hexagonale du côté des sommets de l’Alpe d’Huez.

Une ruralité dont il faut défendre ardemment les valeurs prégnantes – 97 % de la superficie de l’Yonne, a contrario de la France (88 %), est rurale, soit 44 communes sur les 423 qui y sont implantées - : cela représente 66 % de la population icaunaise. Bien loin des 33 % de la population française qui intègre cette catégorie.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La ministre déléguée chargée de l'Organisation territoriale et des Professions de santé Agnès FIRMIN LE BODO est venue constater par elle-même les efforts du Conseil départemental de l’Yonne dans le domaine de la santé. Au programme : une visite des CPTS (Communauté Professionnelle Territoriale de Santé) de Chablis et de Saint-Clément. En sus, la maison de santé pluridisciplinaire des Champs-Plaisants…

 

SENS : La ministre déléguée chargée de l'Organisation territoriale et des Professions de santé Agnès FIRMIN LE BODO était en visite dans l’Yonne en fin de semaine. Une feuille de route avec des objectifs conformes aux souhaits du gouvernement qui envoie en ce moment ses émissaires sillonner le pays pour prêcher la bonne parole. A Sens, cette visite officielle faisait ni plus ni moins écho à une présentation, il y a environ deux mois, du « Pacte Santé » du Conseil départemental de l’Yonne porté par Gilles PIRMAN, vice-président en charge de ce dossier et adopté en décembre 2021. Un dispositif qui a surtout pour vocation de pallier la désertification médicale dont le département est victime depuis de nombreuses années.

 

Des problèmes de santé nés d’un accès aux soins défaillants dans les années 70…

 

« Je ne crois que ce que je vois » aurait déclaré la ministre lors de sa visite au sein de la Maison de santé des Champs-Plaisants selon l’élu de l’Yonne. Un petit affront tout de même aux élus territoriaux lorsqu’on sait que le département n’a pas du tout la compétence santé. La ministre aurait au moins reconnu qu’il s’agit d’ordinaire d’une compétence d’Etat, toujours d’après l’élu. Car si l’initiative est tout à fait honorable, le Conseil départemental s’est placé aux commandes d’un tel projet avant tout pour compenser les manquements dudit Etat.

Au total, 5,5 millions d’euros ont été engagés pour ce projet colossal qui réunit de nombreux acteurs locaux comme les ordres des professionnels de santé, avec des démarches administratives allégées grâce à un travail collaboratif et transversal entre les différents services.

Gilles PIRMAN ne se prononce pas sur l’absence d’implication de l’Etat dans ce projet. Il reconnaît cependant que « les problèmes auxquels nous sommes confrontés sur notre territoire sont bien issus d’une gestion de la question de la santé et de l’accès aux soins de l’Etat qui est défaillante depuis les années 70 ».

 

 

 

 

Une politique publique voulue par le Département qui n’existe pas ailleurs…

 

 

Mais le président semble préférer se concentrer sur les bienfaits du projet qui seront effectifs sur le long terme.

« La situation du département par rapport à l’offre médicale est telle, aujourd’hui et sera telle demain, que le Conseil départemental a choisi de créer une politique publique ».

Une politique « qui n’existe pas ailleurs », tient à préciser Gilles PIRMAN, qui consiste à la fois à accompagner les professionnels de santé existant sur le territoire, à attirer de nouveaux praticiens et à organiser les soins autour du médecin, ou parfois sans médecin grâce à la télémédecine, à la télé-expertise, ou encore avec un partenariat avec le SAMU.

Sur le premier objectif, le déplacement de certains libéraux vers d’autres structures situées dans la même ville représente-t-il réellement une plus-value ? A cela, Gilles PIRMAN répond que certains risquaient de s’exiler dans d’autres départements. « Ils ont trouvé des conditions de travail matérielles ou collégiales qu’ils n’avaient pas précédemment ».

Le vice-président ajoute également que « les professionnels de santé ne veulent plus travailler seuls ».

 

 

Un Pacte Santé gagnant/gagnant pour tout le monde…

 

Le Pacte Santé prévoit aussi une aide matérielle dédiée aux étudiants en fin de cursus universitaire. En échange, ceux-ci s’engagent à exercer dans l’Yonne pour une durée de cinq ans.

« On a signé les premiers contrats d’installation par ce biais. Ça fonctionne ». S’ajoute une aide à l’installation de 12 000 euros. Le Département a également lancé un autre dispositif « qui permettra d’aider de jeunes Icaunais dans leurs études de médecine, dès la deuxième année, en échange de quoi on leur demande dix ans d’exercice sur le territoire ».

 

Floriane BOIVIN

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Elles et ils sont bord de l’épuisement. De la dépression qui s’installe de manière sournoise. Voire, pire encore si l’on n’y prend pas garde. D’ailleurs, les chiffres révélés par la DREES sont proprement édifiants. Sur les onze millions d’aidants familiaux recensés dans l’Hexagone, un tiers décède avant les personnes aidées pour cause d’extrême fatigue. Il y a donc urgence à réagir et surtout à agir ! Et à sensibiliser sur les solutions de répit existantes. Telle est la vocation du Forum, proposé par l’UDAF 89 et ses partenaires ce jeudi 27 avril à Ligny-le-Châtel…

 

LIGNY-LE-CHATEL : « SOS pour des Terriens en détresse » ! Le regretté Daniel BALAVOINE aurait pu destiner ce refrain – l’un des morceaux phare de l’opéra rock de Luc PLAMONDON et Michel BERGER diffusé en 1977 (« Starmania ») – aux aidants familiaux de notre pays. Eux qui ne savent plus où donner de la tête afin d’assurer du mieux possible en leur âme et conscience la gestion quotidienne et harassante d’un proche atteint d’une lourde pathologie ou d’un handicap sévère vivant à domicile. Les aidants familiaux – ils sont plus de onze millions répertoriés dans notre société – souffrent le plus souvent en silence et parfois dans l’oubli.

Pire, la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques (DREES) livre une enquête accablante sur les causes de la mortalité – importante – de ces personnes altruistes qui se consacrent au bien-être d’un être cher dans notre pays : cela représente un tiers des décès en France, imputable à une extrême fatigue. Les aidants n’en peuvent plus dans leur quotidien d’assumer et sont à la limite du burn-out, si ce n’est de l’inévitable épuisement…

 

Mettre un sérieux coup de projecteur sur un statut méconnu : celui d’aidant familial…

 

Face à cet enjeu de santé public dont on parle peu dans les médias, sollicitée par l’association « CANDA » – la structure œuvre dans l’accompagnement de toutes personnes fragilisées par l’isolement -, et soucieuse de respecter sa convention d’objectifs triennale 2022/2025, l’UDAF de l’Yonne (Union départementale des associations familiales), entourée de ses multiples partenaires, a donc décidé de s’investir et de porter haute la voix de ces aidants familiaux lors d’un forum – premier du nom – accueilli le 27 avril prochain dans la localité de Ligny-le-Châtel.

La genèse de cet évènement se veut simple : réunir tout un après-midi, via une table ronde et plusieurs stands d’information – ils seront une douzaine au final – tout un florilège d’acteurs et de structures qui ont des choses à dire sur la thématique du jour, apportant au passage solutions, conseils et préconisations au public qui franchira la porte de la salle des fêtes où s’installera ce forum.

Vendredi matin, la plupart des participants planchaient avec extrême sérieux et méthodologie sur le déroulé précis et le contenu de ce rendez-vous qui sera ouvert au public le jour J. Une séance de travail qui fut animée par la doublette Isabelle AUBOUEIX, cheffe de service et encadrante de l’UDAF Yonne et Margaux HENRION, la nouvelle responsable de la communication.

 

Pléthore de partenaires pour faire toute la lumière sur les dispositifs de soutien…

 

Au-delà de cette manifestation importante et soutenue par les organes institutionnels de référence de la santé sur notre territoire – le Conseil départemental, la MDPH, la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie)… -, l’objectif est bel et bien de démystifier en faisant toute la lumière grâce à cette délivrance abondante d’informations sur ce statut de l’aidant familial, encore trop méconnu de nos jours par une large majorité de Français.

L’un des aspects essentiels de l’animation sera aussi de mettre au profit du savoir toutes les connaissances sur les solutions de répit qui existent sur le département de l’Yonne. D’où la présence remarquée ce jour-là de structures associatives telles que France Alzheimer 89 et UNAFAM (Union nationale de Familles et Amis de personnes malades et/ou handicapés psychiques), mais également d’entités qui possèdent un poids évident dans ces orientations vers les structures de répit que sont OPALE, OASIS ou la DAC.

Quant à l’UDAF 89, présidée par Benoît VECTEN et dirigée par Jean-Pierre MASCLET, elle profitera de cette opportunité physique et relationnelle – les organisateurs espèrent beaucoup de monde issue de la sphère familiale, étudiante mais aussi sanitaire – pour mettre en exergue deux de ses services que sont l’information et le soutien aux tuteurs familiaux (ISTF) et l’accompagnement numérique, avec de la théorie et beaucoup de pratique à la clé lors de séances pédagogiques visant à initier les publics à une meilleure utilisation de l’univers digital.

 

En savoir plus :

Forum Accompagner et soutenir les aidants familiaux

Salle des fêtes de Ligny-le-Châtel

8 rue du Château

Jeudi 27 avril 2023

De 14h à 16 h

Table ronde avec la présence de la Maison départementale des Personnes Handicapées de l’Yonne (MDPH), le service d’aide au maintien à l’autonomie (SAMA), la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM), l’association des soins palliatifs de l’Yonne (OPALE 89), la plateforme relais d’accompagnement des aidants (OASIS 89), le dispositif d’appui à la coordination de l’Yonne (DAC 89), le Conseil départemental de l’Yonne, Harmonie Mutuelle – la structure abordera la question de la prévoyance -, etc.

A partir de 16 h

Stands d’information à disposition du public et échanges en direct avec les intervenants.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Peut-on encore investir en bourse malgré les fluctuations importantes enregistrées sur le CAC 40 et malgré les chutes vertigineuses du cours de certains secteurs comme les start-up, en mars dernier ? Quel est l’avenir des boursicoteurs face aux plus gros investisseurs institutionnels (encore surnommés les « ZINZINS »), capables d’intervenir à la nanoseconde ? Quelle est la limitation des risques ? Existe-t-il des possibilités de gérer de modestes portefeuilles face à ces géants de la spéculation financière, qui, grâce aux algorithmes et logiciels performants, simulent, voire anticipent le comportement des investisseurs ? Eléments de réponse…

 

TRIBUNE : Qu’est-ce que l’indice CAC 40, comment fonctionne-t-il ? Le CAC 40 est un indice boursier calculé à partir du cours des actions de certaines sociétés cotées à la Bourse de Paris. Elles sont au nombre de quarante et chacune est affectée d’une pondération en fonction de son poids dans l’économie. Il s’agit de l’indice le plus connu. À sa création en 1988, l’acronyme « CAC » signifiait « Compagnie des Agents de Change ». Aujourd’hui, il signifie « Cotation Assistée en Continu ». La valeur d’origine, au 31 décembre 1987, était fixée à 1 000 points. Depuis, le CAC 40 avait connu son plus haut niveau en 2000, le 04 septembre, avec 6 944,77 points. Ce niveau s’explique par une bulle spéculative portant sur les sociétés technologiques. L’indice a ainsi fait face à trois krachs boursiers majeurs : le premier à la suite de l’éclatement de la bulle Internet en 2001 et 2002 ; le deuxième en 2008 au cours de la crise des « Subprimes » ; le troisième en 2020, avec pour déclencheur la pandémie de la COVID 19.

 

Le yoyo du CAC ne cesse de surprendre les marchés…

 

A 7 396 euros le 12 avril dernier, le CAC 40 enregistre une variation de près de 12 % depuis le mois de janvier : 7 463 au plus haut et 6 624 au plus bas ! Il a même dépassé depuis la barre des 7 500 points !

La Bourse de Paris, comme l’ensemble des bourses mondiales, subit en permanence les interférences d’autres bourses, des différents marchés financiers, des prévisions de croissance du pays, des indices de prix, du taux de chômage, du cours du pétrole…

Pour les sociétés cotées, les résultats trimestriels, les projets d’investissement, les conflits sociaux, les cours des matières premières vont interférer en permanence sur les cours de bourse et surtout sur les anticipations de certains investisseurs. Autre donnée importante sur les marchés financiers : les taux directeurs des Banques Centrales (la BCE pour l’Europe). En effet, les augmentations de ces taux peuvent limiter les investissements (crédits plus chers). D’autre part, face à l’instabilité des taux, il faut surveiller les taux pratiqués sur le marché obligataire. Une obligation est un titre de créance qui rapporte un intérêt et est (en général), sans risque pour le capital placé. L’action est un titre de propriété qui permet de voter aux assemblées des actionnaires, de participer aux bénéfices via les dividendes, mais de perdre son capital !

Ne jamais oublier la règle concernant tout placement : la rentabilité est proportionnelle au risque. Lorsque les taux du marché obligataire sont élevés, les investisseurs délaissent les actions au profit d’un placement plus rentable et moins risqué : les obligations !

 

 

Mesurer ses gains potentiels dans des secteurs porteurs…

 

En matière de conseils boursiers, le « satisfait ou rembourser » n’existe pas ! Pas plus du côté des journalistes spécialisés que pour les experts en tout genre. Retenez que les conseillers financiers des banques n’ont pas le droit de donner des conseils pour investir en bourse : leur responsabilité serait alors engagée…

Des règles simples sont à connaître. Tout d’abord, il faut garder un certain niveau de liquidités afin d’effectuer les arbitrages nécessaires et de répondre à des investissements opportuns. Il est important de se fixer, action par action un niveau de plus-value et s’y tenir : si vous fixez à10 % votre gain, il faut vendre et réinvestir. En affaire, il est important de savoir prendre son bénéfice.

Avant de cibler des entreprises, il convient de mesurer les gains potentiels dans les secteurs les plus porteurs : le « biotech», l’hydrogène, un secteur en pleine explosion, idem pour les entreprises liées aux semi-conducteurs. Les mines de lithium comme « ALBEMARLE » sont appelées à un bel avenir et à garder en fond de portefeuille…

 

 

 

 

S’accompagner de connaissances médiatiques poussées…

 

 

Les entreprises endettées (dans une mesure prudente) sont privilégiées en période d’inflation. On doit aussi s’intéresser aux dividendes versés chaque année et à leur évolution… Attention, la date prévue du versement des dividendes impacte le cours de bourse : plus on se rapproche du versement et plus le cours sera élevé.

Il faut également avoir accès à des sources d’informations fiables ; des revues spécialisées comme « Forbes », « Bloomberg » en version Europe, « Capital », « The Economist »… Des sites d’informations boursières en temps réel : les plateformes de trading en ligne, comme « Pro Real Time Trading » ne sont pas gratuites.

Les journaux quotidiens comme « Le Monde » ou « Le Figaro » ne sont plus suffisants. Quant aux données concernant la santé financière des entreprises (niveau de fonds propres, d’endettement par rapport aux fonds propres, niveau de liquidités, perspectives de dividendes…), elles sont lisibles par les spécialistes.

Il est possible aujourd’hui d’ouvrir des comptes et de donner des ordres de bourse directement en ligne : ici encore attention aux frais.

La bourse, c’est du risque ! En théorie, on peut tout perdre, et ce sont nécessairement des placements dit de « long terme ». Réaliser des plus-values boursières à court terme est une utopie !

Alors, si vous vous dites que tout cela est trop complexe et trop risqué, il est temps de rejoindre les « addicts » du livret A : sans risque et disponible en permanence !

Le temps du Palais Brongniart, de la cotation à la criée et à la craie sur tableau noir, d’une « Corbeille » qui en son centre était garnie d’un tas de sable, permettant aux agents de change d’écraser les mégots de leurs cigares est désormais bien terminé.

On raconte qu’un agent de change, les jours de bourse très chahuté, téléphonait à sa secrétaire afin que la baignoire, contigüe à son bureau soit remplie : il prenait son bain tout habillé !

Aujourd’hui, plus d’agent de change, mais un Palais Brongniart devenu est un musée. Plus de bain non plus. Juste une douche froide garantie pour les boursicoteurs mal avisés…

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil