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Est-il un féru de la fameuse chanson popularisée en 1981 par le regretté Hervé CRISTIANI ? « Il est libre, Max » ! On peut se le demander après l’analyse de sa posture politique actuelle. En décidant de couper avec fracas le cordon ombilical qui le reliait à ses mandats de « grand argentier » de l’Agglomération de l’Auxerrois et de la Ville d’Auxerre, tout en conservant ses fonctions d’élu, Pascal HENRIAT a repris son indépendance. Une autonomie utile pour se projeter vers l’avenir avec en point d’orgue une certaine échéance municipale, prévue en 2026…

 

AUXERRE: Il le dit lui-même sans ambages : auparavant, il avait des complexes à assumer ses responsabilités, désormais, il ne les a plus ! Pur « produit » intellectuel à l’estampille de la maison Jean-Pierre SOISSON, voilà le président départemental du MoDem de l’Yonne placé de nouveau sous le feu nourri des projecteurs médiatiques, depuis sa tonitruante annonce survenue il y a quelques semaines signifiant, non pas son retrait de la chose politique – on le sent d’ailleurs totalement revigoré l’élu auxerrois ! – mais de ses fonctions régaliennes d’adjoint aux finances de l’Agglomération de l’Auxerrois et de la Ville d’Auxerre.

Un « tremblement de terre » de force 6 ou 7 sur l’échelle sismique de la vie politique icaunaise qui n’a pas l’heur de le perturber, outre mesure : Pascal HENRIAT revendique et assume ses actes, surtout quand il n’est plus en phase concrète ni en harmonie intellectuelle avec la gouvernance actuelle.

Et ses choix d’augmenter, à titre d’exemple, la taxe foncière sur l’Auxerrois ou de procéder à des investissements superfétatoires qui, d’après lui, ne se justifient pas, sinon de grever durablement les budgets des entités institutionnelles dont il assurait jusque-là les finances.

Le garçon s’offre donc le luxe de reprendre sa destinée en main, tout en conservant ses prérogatives d’élu au sein des deux assemblées où il prendra toujours la parole mais avec un regard de plus en plus critique et tranché sur la vie de l’intercommunalité et du conseil municipal.

 

L’élu du futur devra être un maire de proximité…

 

Un désaccord profond que ne réfute pas le nouvel homme libre de l’Auxerrois. Cela se savait dans les coursives, le torchon brûlait depuis un moment déjà entre Crescent MARAULT, le maire-président et sa personne. Oublié la vice-présidence de l’Agglo, évaporé le poste d’adjoint aux finances, le soldat HENRIAT redevient donc un homme de base dans cette armée institutionnelle, prêt à livrer une partie d’échec politique qui pourrait bien désormais le faire travailler uniquement pour lui-même !

Il le dit d’abord à demi-mot – « pour l’avenir, il faudra un homme de transition qui possède l’expérience nécessaire au service de la ville… » -, puis, avec davantage de certitudes (« pour le prochain mandat, à partir de 2026, le maire élu devra refaire de l’argent, ce sera une nécessité afin de pouvoir désendetter la ville avec des emprunts et de la fiscalité… »). Avant de se lâcher un peu plus au fil de ses analyses, « l’élu auxerrois de 2026 devra être avant toute chose un édile de proximité, qui ait de l’empathie avec ses concitoyens, et qui propose une réelle vision pour l’avenir ».

Toute ressemblance avec l’orateur du jour ne serait-elle donc que fortuite ?!

Allez, allez, on pousse le bouchon du questionnement un peu plus loin, histoire de corroborer ces dires : « il est possible que je prenne tous ces éléments en considération, à condition de travailler avec une équipe qui se serait formée autour d’un véritable esprit d’ouverture politique pour mieux préserver l’intérêt des concitoyens… ».   

Puis, prudent et réaliste, Pascal HENRIAT le dit tout de go, histoire de jeter le trouble sur ses réelles intentions : « mais de tout cela, je n’en fais pas un dogme ! ».

Ne siégeant désormais ni dans l’opposition, ni aux côtés de la majorité, Pascal HENRIAT occupe donc un positionnement pour le moins original dans le paysage auxerrois et pas aussi inconfortable qu’il n’y paraît aux premiers abords. Un peu centriste comme son maître à penser du MoDem, François BAYROU !

Il se considère tel un indépendant. Donnant ainsi sa voix sur certains dossiers, présentés par la majorité. Comme rejetant les propositions qui ne correspondraient pas à son éthique politique.

« Je m’autorise le droit de vigilance et d’alerte sur des thèmes qui s’ils étaient appliqués, iraient à l’encontre des intérêts des Auxerrois et des habitants de ce bassin. Soucieux des deniers publics, je vais m’arroger le rôle de vérificateur du fait de ma longue expérience exercée aux finances… ».

Des paroles en conformité avec ses récentes prises de position où le conseiller départemental de l’Yonne clamait haut et fort qu’il fallait diminuer les investissements sur l’Auxerrois, et dans sa capitale où les ratios d’endettement viraient vers le rouge vermillon !

 

 

42 % de propriétaires contribuent au bonheur de 58 % de locataires !

 

Sur les motivations exactes qu’ils l’ont poussées à jeter l’éponge de manière définitive et à abandonner  ses deux mandats tout en se désolidarisant de la gouvernance, Pascal HENRIAT n’est pas tendre dans ses commentaires vis-à-vis de l’équipe en place. Il a la dent dure, façon « Aiguille d’Etretat » sur les problématiques de gouvernance et financières ! Les deux causes qui ont précipité son retrait.

« Le roi est seul et décide tout seul ! ». Bing, une première flèche décochée par l’élu à la fameuse casquette. On dirait du Shakespeare ! « D’ailleurs, renchérit-il, les élus n’existent pas et sont placés devant les faits accomplis ! ». Boum, là, c’est franchement Robin des Bois !

Peu avare dans les formules caustiques et ironiques, Pascal HENRIAT envoie ses « SCUD » comme s’il égrenait un chapelet !

« On est entrés dans une véritable aventure financière avec beaucoup de dépenses parce que l’Agglo a trop investi. Avec des hausses d’impôts à la clé, alors que le nouveau maire d’Auxerre avait promis qu’il n’y en aurait pas durant sa mandature… le maire a donc trahi ses promesses de campagne ! ».

Sur la taxe foncière, l’ex-argentier de l’Auxerrois ne s’en remet toujours pas. Les propriétaires ne vont donc pas être à la noce en 2024 avec des augmentations de près de 8 % dans la périphérie de la capitale de l’Yonne et de 15 % dans Auxerre intra-muros ! Les propriétaires représentent tout de même 42 % des habitants de cette zone. C’est eux qui financeront pour le compte des locataires ! Dans un vrai esprit de péréquation ?!

 

 

Des ratios d’endettements alarmistes !

 

Une progression haussière pour faire face, il est vrai, à l’inflation à deux chiffres imputable à une conjoncture internationale et macro-économique que personne n’a su prédire en 2022 ! On ne peut quand même pas tout mettre sur le dos de la gouvernance locale, que diable !

En revanche, Pascal HENRIAT tire à boulet en rouge sur le trop plein d’investissements de la Ville, soit une somme de 32 millions d’euros injectés dans une multitude de projets alors que le budget total ne s’élève qu’à 60 millions d’euros.

« Ce n’est pas tenable, à court terme ! Dans le mandat précédent – celui où Pascal HENRIAT était déjà aux manettes des finances sous l’ère de Guy FEREZ – le budget consacré aux investissements n’excédait pas les douze millions d’euros... ».

Oui mais, les mauvaises langues diront en substance que cela n’empêchera pas le patron du MoDem de l’Yonne de rendre aussi son tablier au maire socialiste de la ville en fin de mandat ! Autre temps, mêmes effets !

S’inquiétant de la période de désendettement de la ville, celui qui eut à gérer les finances d’Auxerre durant neuf ans estime qu’il faudra des années supplémentaires à la collectivité afin de pouvoir s’acquitter de ses dettes. Le nombre d’années était de sept en 2020 au début de la nouvelle mandature. Il est de onze ans en 2023. Les projections de 2025 l’évaluent à 13,5 années. Péremptoire, l’élu indépendant d’insister qu’à partir de 15 ans pour se désendetter, c’est la mise sous tutelle de la collectivité !

« Les ratios sont alarmistes et encore, tout n’est pas provisionné, ajoute-t-il en faisant allusion au projet de la déviation sud d’Auxerre.

Surnommant l’actuel maire-président de l’Auxerrois, « l’homme du passif », Pascal HENRIAT rappelle qu’une collectivité telle que celle d’Auxerre doit se gérer en « bon père de famille ».

Surtout pour éviter de figurer un jour sur le podium des villes de Bourgogne Franche-Comté où les hausses d’impôts vont battre tous les records ! Un mauvais signe adressé à leur développement et à leur attractivité !

Qu’à cela ne tienne, Pascal HENRIAT, bien dans ses baskets et libre comme l’air au niveau de son mental, intègre désormais le peloton des potentiels prétendants à la succession de Crescent MARAULT en 2026. L’élu du MoDem a donc vaincu ses complexes…et veut le faire savoir ! Sera-t-il entendu ?

 

Thierry BRET

 


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2007 : le Hamas prend Gaza et Israël instaure un blocus. L’Etat hébreu impose alors un embargo sur ce territoire et ses deux millions d’habitants à partir de juin. Vainqueur des élections législatives en 2022, Benyamin NETANYAHOU assure en présentant sa coalition, la plus à droite de l’histoire du pays, que son gouvernement « encouragera et développera le peuplement dans toutes les parties de la terre d’Israël », y compris en Cisjordanie. Une nouvelle mèche va être allumée…

 

TRIBUNE : La légende recoupe les mythes et chaque parti tire la couverture à lui, pour justifier sa position et son combat, pire encore, aux seules fins de manipuler les foules. De plus, un certain nombre de certitudes, historiques et bibliques sont remises en question aujourd’hui par des archéologues et des scientifiques…En peu de mots et beaucoup trop de morts, civils et militaires, voici, comment on arrive près de 5 000 ans plus tard à la guerre d’octobre 2023 !

Vers quelle solution politique peut-on réconcilier les « frères ennemis », car il s’agit bien de frères. Et si les hommes politiques mettaient de côté leur avidité du pouvoir, leur ego, et parfois leur intégrisme religieux ! Il existe en Palestine et en Israël, des femmes et des hommes qui œuvrent et vivent ensemble dans la paix et la sérénité.

Nombreux sont ceux, qui de tout bord, veulent la paix. Que l’on parle des Palestiniens et de leur diaspora, et que l’on parle des Israéliens et de ceux qui vivent dans le reste du monde. Très récemment, en Israël, nous avons trouvé une communauté de mères juives et musulmanes, qui ont souffert d’un même drame : un père, un fils, un époux, un enfant, disparu dans des combats ou des actes de terrorisme.

Unies dans une même douleur, elles se retrouvent pour échanger, communiquer et transmettre quelques secrets de cuisine. Ensemble, elles cousent, tricotent, cuisinent… Elles démontrent, par le cœur, qu’il est possible de vivre sans voir d’abord les différences, sans demander le nom du Dieu qu’elles adorent. Vivre, tout simplement dans un acte d’amour fraternel.

 

 

Quatre mille ans de vie commune sur le même territoire…

 

Depuis la récente tentative d’invasion d’Israël par le Hamas, plus rien ne sera comme avant à Gaza. Aujourd’hui, tous s’accordent pour déclarer qu’il faut créer deux états distincts, aux frontières parfaitement établies : la Palestine et Israël.

On peut aussi prolonger l’histoire, et faire un rêve : un seul état. Peu importe son nom. Un pays où pourrait vivre ensemble, juifs et musulmans, Israéliens et Palestiniens. Cela fait plus de 4 000 ans qu’ils vivent sur un même territoire : la Palestine ! Avant même d’être juifs ou musulmans !

 

 

Leurs rites se ressemblent à plus d’un endroit. Assez peu de différences entre la viande Kasher et la viande Allal, le porc est interdit… Ils ont tous démontré, dans l’Histoire, qu’ils pouvaient travailler ensemble. Des hommes politiques de paix, comme Itzhak RABIN, ancien Premier ministre d’Israël, avait chassé les colons juifs des territoires occupés et on comprend mieux pourquoi il fut assassiné par un juif orthodoxe !

 

 

L’utopie intègre l’histoire de ce monde…

 

Alors, on peut également promouvoir un seul état, un seul drapeau, une seule armée, une seule table avec une côte de bœuf bénie par un rabbin et un animal abattu par un musulman qui prie Allah. Ils pourront trinquer avec un verre de bon vin ou de jus d’orange. Le même Dieu, Allah pour les uns et Elohim ou YHVH (Hehovah) pour les autres. Un même fondateur, patriarche universel, Abraham. Rien ne nous empêche de faire ce rêve, car l’utopie fait aussi partie de l’histoire du monde et une porte ouverte sur ce qui n’a pas encore été essayé !

 « Ce n'est pas l'utopie qui est dangereuse, car elle est indispensable à l'évolution. C'est le dogmatisme, que certains utilisent pour maintenir leur pouvoir, leurs prérogatives et leur dominance… ». Henri LABORIT

 

Paul GUILLON

 


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Antan, cela s'appelait le « QG ». Bienvenue à Joigny, le long de ses jolis bords de l'Yonne où se trouve ce petit établissement, non loin de la belle halle du marché. Et pour la terrasse, nous saurons attendre les beaux jours ! La salle bleutée est lumineuse. La vue sur la rivière est plutôt plaisante ! Aux murs, de vieilles guitares et des 33 tours vinyle parachèvent la décoration. En semaine, la première formule proposée par ce restaurant, le menu du marché, est servie à 18 euros.

 

JOIGNY: La salle se remplit peu à peu d'une trentaine de convives. D'être seul attablé, permet d'écouter les conversations des tablées voisines. A côté, sont assis autour de la table des enseignants. Ils ne boivent que de l'eau ! L'une des enseignantes évoque alors l'un de ses plats préférés : des coquillettes au Nutella ! On comprend mieux alors le niveau plutôt faiblard des gamins !

Juste en face, un convive explique aussi que les études de sa fille leur ont coûté quelques 100 000 euros. Il dit alors à ses voisins de table, entre deux gorgées d'un chablis 1er cru l'avoir incité à se trouver aussi un job estudiantin.

 

 

Le choix des vins au verre : un plus intéressant…

 

Mais revenons à la table qui nous intéresse. L'assise moelleuse des fauteuils est plutôt confortable. Et comme de bien entendu, au « Tempo », comme ailleurs, adieu nappes, salières et poivriers ! Merci à nos restaurateurs de nous laisser - pour combien de temps encore !? - verres et couverts !

Avec le kir, le toast croustillant de rillette de poisson est bon. Il manque peut-être d'une pointe d'assaisonnement. En entrée, le velouté Du Barry (chou-fleur) est fort bon. La tuile craquante au morbier complète plaisamment ce plat. Mention plus pour le choix de vins au verre. Il permet pour l'Icaunais attablé au restaurant de goûter aussi des vins d'ailleurs. Le viré-clessé est fort bon. Le moulin à vent est en revanche plus plat.

 

 

Le ketchup se marie agréablement avec le dos de cerf

 

Peu de restaurateurs, désormais, cuisinent le gibier en saison. C'est pourtant bon. C'est le cas ici avec le dos de cerf, ketchup de betterave à la mûre,  mousseline au gingembre et légumes glacés. J'eus préféré avoir ma viande saignante mais cela ne me fut pas demandé. Du coup, elle arrive à point.  L'original ketchup est fort bon et constitue une agréable alliance avec notre cerf. La mousseline au gingembre est bonne. Quant aux légumes indiqués glacés, ils ne le sont pas, me semble-t-il. Ils sont juste sortis d'une cuisson vapeur. Mais, l'assiette matche plaisamment.

 

 

Une crème un brin trop sucrée dans la  tartelette…


Les assiettes de dessert sont plutôt jolies. Celle de la tartelette aux zestes de citron, meringue flambée au rhum n'échappe pas à la règle ! L'alliance est plaisante avec le sorbet : du joli travail à prix modique (7 euros). Peut-être, la crème de la tartelette est-elle un brin trop sucrée. Elle dénote un peu avec l'harmonie de ce bon dessert.

Peu à peu la clientèle s'en va. J'en fais alors de même, n'ayant plus de conversations à écouter autour de moi ! Il est plaisant de déjeuner en admirant le fil de l'eau, c'est le cas ici. Alors, bienvenue à Joigny !

 

 

En savoir plus

 

Les - : j'assume d'aimer le pain cuit. Mais ici, il manque d'un brin de cuisson. Cela donne au produit une mie pâteuse.

Les + : le cadre est plaisant. Vivement la terrasse estivale !

 

 

Contact :

Restaurant Le Tempo

01, Place du Marché

89300 JOIGNY

Tel : 09.87.36.86.06.

Fermé samedi, dimanche et soir.

 

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Sur le papier, l’idée est bonne. Excellente, même car il est grand temps de remettre enfin « l’église médiatique », si décriée dans notre société, au centre du village ! Par les temps qui courent, et Dieu sait que les turbulences de l’actualité n’ont de cesse de faire trembler nos équilibres vitaux, il est plus sûr de s’informer correctement auprès de sources fiables plutôt que de pratiquer la politique de l’autruche, en s’enfouissant la tête dans le sable ! Surtout, avec ce qui se passe dans le monde ou à côté de chez nous, mais cela ne nous regarde pas ! On dirait un sketch des « Inconnus » !

On ne compte plus, en effet, le nombre de nos compatriotes de tous âges et de toutes conditions sociales qui aujourd’hui ont remisé dans les oubliettes leurs téléviseurs et annulés leurs abonnements à leurs quotidiens et magazines pour se couper de tout. Du monde en général !

Certains de nos concitoyens sont devenus aussi sourds, muets et aveugles que le fameux personnage de « Tommy », le mythique opéra-rock des WHO, dans lequel le cinéaste Ken RUSSEL met en scène le chanteur du groupe pop britannique, Roger DALTREY, dans un rôle de polyhandicapé, hermétique à tout ce qui l’entoure. Une vision cinématographique déjà prémonitoire en 1975 sur les aversions des futurs habitants de la planète Terre vis-à-vis de l’information ?

A leur décharge, il est vrai que les nouvelles sont tellement anxiogènes de jour en jour que parfois il serait bon de les oublier de manière définitive…en appuyant sur le disjoncteur !

 

Un concept plus que louable sur le papier !

 

Alors, proposer l’organisation des Etats Généraux de l’Information (EGI) afin de mieux prendre le pouls de la population hexagonale afin d’établir un diagnostic pertinent sur le poids et le rôle de la sphère médiatique sur notre environnement est tout naturellement une idée à laquelle on ne peut que souscrire. Ce n’est pas tous les jours d’ailleurs qu’il nous est permis de s’interroger sur ces organes de presse qui accompagnent notre existence dans les bons et les mauvais jours d’une actualité intensément éclectique.

On doit d’ailleurs l’idée initiale au Président de la République, Emmanuel MACRON. Par un beau jour de juillet (2023), depuis l’Elysée, le chef de l’Etat a décidé de lancer l’initiative, au demeurant louable, à la manière des « Grands Débats » où les citoyens étaient invités à venir s’exprimer en totale liberté comme le chante si bien Gilbert MONTAGNE, sur la thématique choisie. Des Etats Généraux de l’Information, pourquoi pas !

L’appellation claque bien dans le vent avec son sigle (EGI). Le bien-fondé de l’évènementiel tombe plutôt à pic afin d’établir une analyse précise sur les enjeux de l’information. Et puis, il y a aussi le volet des préconisations à apporter afin de booster à l’avenir des actions concrètes qui pourraient se déployer aux niveaux européen, national, voire régional ou il ne faudrait pas les oublier au niveau départemental.

En amont du grand jour, on se frotte les mains en lisant l’énoncé de l’équation et en se disant chic : enfin, on va réconcilier les Français avec la presse et leurs médias. Sachant que ces Etats Généraux spécifiques se déroulent selon un axe de réflexion devant courir jusqu’à l’été 2024, avec d’autres rendez-vous, appelant à la délibération des propositions ou encore à leur restitution, devant se faire dans un lieu universitaire de prestige, La Sorbonne à Paris !

Même le Conseil économique, social et environnemental (CESE) – une institution intellectuelle de référence en France dans bien des domaines qui produit des avis auxquels il faut donner lecture et crédits – a apporté sa caution morale à l’exercice. C’est simple, l’organisme est partenaire de ces EGI. En outre, aux termes de ce planning nous menant jusqu’à l’été 2024, il compilera réflexions et analyses au sein d’un avis, établi par sa commission Education, Culture et Communication.

 

 

 

54 % des Français se méfient du traitement de l’actualité par les journalistes

 

Vu de notre basse-cour locale, on a aussi crié cocorico ! Pourquoi ? Parce que cette première Agora autour de l’information – petit mémo pour celles et ceux qui ne maîtrisent pas les us et coutumes de la Grèce antique, l’Agora était la place publique dans les cités hellènes qui accueillaient les débatteurs de la chose civile et politique – se déroulait dans cette bonne vieille ville d’Auxerre, capitale de l’Yonne, à quelques encablures de Paris, quand on veut bien s’en souvenir pour y organiser des évènements nationaux ! En son antre logique et légitime pour recevoir les foules, à savoir le parc des expositions de Centre France Parc Expo, AUXERREXPO ! Avec un décorum plutôt réussi au niveau de l’atmosphère.

D’ailleurs, toutes celles et ceux qui souhaitaient apporter leur contribution autour des nombreux items abordés lors de cette journée spéciale, c’est-à-dire les citoyens lambda, les étudiants, les scolaires, les milieux économiques, les retraités, les élus, les femmes et les hommes qui composent notre microcosme étaient les bienvenus à ce raout alléchant et pertinent dans sa configuration.

Parce que tous les Français ont vraisemblablement un avis sur la presse et ses diverses variantes, sachant que dans le même temps seront diffusés sur les ondes les résultats de la traditionnelle enquête proposée par NPA Conseil et Harris Interactive sur nos concitoyens et l’information.

Un chiffre à retenir, tout de même, extrait de cette étude poussée dans ses commentaires : plus de 70 % des habitants de ce pays se disent intéressés par l’actualité nationale et internationale. Mais, pour se faire un peu l’avocat du diable, ajoutons que 54 % des Français estiment que la plupart du temps, il faut se méfier de ce que disent les médias sur les grands sujets d’actualité (sic) selon le baromètre Kantar !

 

 

Mais où était le grand public invité à débattre ?

 

54 % des Français pensent que « la plupart du temps il faut se méfier de ce que disent les médias sur les grands sujets d’actualité » selon le dernier baromètre Kantar

Enfin, même les représentants de la presse étaient conviés à assister à cette manifestation devant mettre leur métier à l’honneur ! Le contraire eut été étonnant !

Mais, c’est là que le bât a blessé dans ce rendez-vous, pourtant riche en interventions et ponctué de témoignages parfois déconcertants, surtout quand on apprend que les jeunes générations sont interpellées par les métiers du journalisme afin de devenir « influenceurs » sur les réseaux sociaux – on ne doit pas parler du même travail, c’est sûr ! - ; de grand public, il n’y avait point ou tellement peu depuis l’estrade surplombant la scène !

D’ailleurs, les références de la presse nationale ayant fait écho de l’acte un de cette « tournée des popotes » de l’information n’ont pas été tendres dans leurs manchettes après coup avec cet état de fait.

Hormis les journalistes de la sphère parisienne et francilienne, venus en nombre (peu de représentants de la presse régionale et départementale à signaler hormis la PQR locale), le grand public pour lequel cet évènement citoyen a été créé en amont était cruellement absent de ces débats. Un comble !

Bref, cette impression de l’entre soi était donc très tenace au terme de la matinée de ce rendez-vous qui aurait pu (dû) déboucher sur une vraie consultation avec les Français. Serait-ce imputable à un défaut de communication en amont ? Ou d’un réel manque d’information autour de l’évènement ! La copie est à revoir avant l’acte II…

Thierry BRET

 


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C’est donc tout sauf une surprise. Logique puisqu’il n’y avait qu’un seul candidat en lice pour briguer le poste suprême à la présidence. Celle permettant de gérer la destinée des Républicains de l’Yonne pour un nouveau mandat. Confortablement installé dans le fauteuil des responsabilités depuis 2018, l’ancien parlementaire et déjà candidat aux législatives 2027, dans la première circonscription, Guillaume LARRIVE se succède à lui-même. Sous le sceau de l’enracinement territorial…

 

AUXERRE : C’est devenu son credo, son leitmotiv, sa maxime préférée dont il nourrit sa feuille de route. L’enracinement et sa force. Un argument qui fleure bon la proximité, en étant au plus près des citoyens.

Presque un ancrage attractif qui permettrait de faire la différence lors d’une échéance électorale. Sauf que dans le cas présent, briguant seul la présidence de la famille politique à laquelle il appartient depuis des lustres (Les Républicains), le quadragénaire de la politique n’aura pas eu besoin de forcer ni son talent de tribun ni de trop étaler ses arguties pour convaincre ses ouailles.

D’autant que dans le viseur de l’inamovible président de la droite icaunaise, il n’y a pour l’heure qu’un seul objectif : la ligne bleue des Vosges, incarnée par les législatives de 2027 ! Et un désir évident de revanche.

 

 

Alors, c’est sûr, seul face à son destin, Guillaume LARRIVE a donc remporté sans l’once d’une difficulté ce scrutin interne propre à la formation gaulliste. Sur les 204 votants, étant à jour de leurs cotisations, 185 ont appuyé sur la touche favorable à l’ancien pensionnaire du Palais Bourbon – pragmatisme oblige, le vote était électronique ! -, dix-neuf personnes choisissant de voter blanc. Signe encourageant pour le natif de l'Auxerrois : pas de voix contraires !  

Sur un post, Guillaume LARRIVE devait remercier les militants LR qui lui ont accordé leur confiance et l’équipe élue, soit les délégués de circonscription (Céline BAHR, pour la première, Jordan HEITZMANN, dans la seconde et Nicolas BOURSIN, dans la troisième). Ainsi que les militants, au nombre de cinq, désignés au Conseil national des Républicains, Dominique MARY, Marie-Dominique de MEAUX, Julien ESCLAVY, Jordan HEITZMANN et Guillaume DUMAY.

Un Guillaume LARRIVE qui retrouve enfin le sourire de la victoire après avoir goûté à l’amertume de la défaite en 2022…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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