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Considérant que le CETA, l’accord international qui doit faciliter les échanges commerciaux entre l’Europe et le Canada, est « bancal », le député de l’Yonne, Guillaume LARRIVE, s’est exprimé contre son approbation lors de la séance de vote, ce mardi après-midi à l’Assemblée nationale. Il s’en explique…

PARIS: Il a beaucoup consulté autour de lui avant de prendre, en son âme et conscience, sa décision finale. Le député des Républicains, à la conquête de la présidence nationale du parti dont il défend les couleurs, n’a donc pas validé dans les urnes de l’hémicycle du Palais Bourbon l’accord de libre-échange voulu entre l’Union européenne et le Canada.

Ce fameux CETA dont le président de la République Emmanuel MACRON se fait pourtant le garant. Mais que beaucoup de spécialistes économiques dépeignent comme étant un accord empli de chausse-trappes.

Malgré ce vote négatif, l’élu de l’Yonne reste favorable à la liberté des échanges internationaux. Oui, mais pas à n’importe quelles conditions ! Précisément, le parlementaire icaunais désapprouve les zones d’ombre qui subsistent autour de ce texte qui n’offrirait pas les garanties nécessaires en matière de réciprocité et de transparence.

Tenant à s’expliquer sur son choix lors du scrutin, Guillaume LARRIVE affirme qu’il aurait aimé pouvoir approuver cet accord entre ces deux partenaires.

« L’histoire économique de notre planète démontre que la liberté des échanges commerciaux est source d’amélioration du bien commun… ».

Un sérieux point noir qui fait de l’ombre…

Le député de la famille gaulliste n’a pourtant pas été au bout de son raisonnement positiviste. La raison en est simple : il a décelé, comme d’autres parlementaires, une zone nébuleuse en ce qui concerne la garantie sanitaire des produits carnés importés en France.

« Aujourd’hui, précise-t-il, le gouvernement français est dans l’incapacité de rassurer les consommateurs de l’Hexagone sur la dangerosité de ces viandes de bœuf. Sachant que ce cheptel a été nourri au préalable à base de farines animales… ».

Là n’est d’ailleurs pas le seul et unique problème observé par le chef de file de la droite bourguignonne. Le risque économique s’avère bien réel, celui-ci, au grand dam de notre agriculture.

Cette dernière serait directement impactée par une trop large importation de ces viandes d’Amérique du Nord sur notre sol dès demain.

« Je ne peux accepter que l’on déstabilise nos éleveurs français de viande bovine, commente-t-il, surtout si de surcroît on importe ces produits carnés de la filière canadienne élevés dans des conditions inacceptables… ».

Devant ce constat amer d’un bilan coûts/avantages qui tournerait in fine en défaveur de la France et de sa filière élevage, Guillaume LARRIVE a assumé ses responsabilités en rejetant tout de go le CETA, sans autres atermoiements.

Même si la première année d’application de ce contrat a amélioré le solde du commerce extérieur, en permettant aux sociétés françaises exportatrices de vendre leurs vins ou leurs fromages vers la « Belle province » découverte par Jacques CARTIER en 1534…


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Alors que l’Assemblée nationale a acté le report du vote du CETA, accord commercial conclu entre l’Union européenne et le Canada au 23 juillet prochain, plus de 70 organisations (notamment des ONG, associations de défense de l’environnement et acteurs agricoles)  mettent  en garde la représentation nationale sur ses effets néfastes sur le climat et nos filières agricoles. Présidente de l’exécutif en Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY fait part de son avis par le biais de cette tribune…

TRIBUNE : Si cet accord devait être signé, c’est notre capacité à légiférer en matière environnementale, sociale et sanitaire qui se trouverait obérée alors que nous empoignons à peine le combat pour le climat.

L’institut VEBLEN et la Fondation Nicolas HULOT ont ainsi documenté les effets du CETA sur la hausse des émissions de gaz à effet de serre en totale contradiction avec l’Accord de Paris. Plus encore, par les conditions laxistes d’importation concédées, il organise la destruction des filières bovines françaises au profit du bœuf canadien, produit dans des conditions moins vertueuses (farines animales, activateurs de croissance, …) et insécurise notre alimentation.

Aujourd’hui, en examen au Sénat, c’est un troisième accord avec les pays d’Amérique du sud, le MERCOSUR, qui pourrait déstabiliser un peu plus notre agriculture. Avec l’importation massive de viandes et autres produits agricoles au bilan carbone catastrophique, à bas coût de salaire… quand nos éleveurs peinent à tirer un SMIC de leur exploitation.

Un risque de déstabilisation de nos territoires à vocation d’élevage…

Ce ne sont alors pas seulement les éleveurs qui pourraient en pâtir, mais les paysages, la biodiversité et toute une économie agricole, agro-alimentaire et rurale en déstabilisant des zones entières de nos territoires à vocation d’élevage.

La région Bourgogne-Franche-Comté, forte de ses atouts industriels et agricoles, limitrophe de la Suisse et au cœur de l’Europe, est un acteur éclairé du libre-échange gagnant-gagnant. 

Mon opposition, en tant que présidente de Région, à ces accords ne saurait donc être caricaturée comme du protectionnisme primaire.

Nous, acteurs locaux et élus de la Région Bourgogne-Franche-Comté, refusons que ces accords déséquilibrés sacrifient notre modèle agricole basé sur des exploitations familiales engagées en faveur des attentes sociétales de nos concitoyens (polyculture élevage,  prairie  permanente,  bien-être animal, niveau sanitaire exigeant, fermes de taille humaine, ...).

Nous refusons qu’une concurrence déloyale conduise au moins disant environnemental, social et sanitaire sous prétexte de libre-échange. Nous affirmons que le libre-échange doit être équilibré en imposant pour les produits importés la réciprocité des normes et les accords en vigueur dans les pays concernés.

J’appelle donc le gouvernement et nos parlementaires français et européens à remettre l’ouvrage sur le métier en étant à l’écoute des forces vives de la Nation.

Marie-Guite DUFAY


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Journée mondiale consacrée au nettoyage de la planète, le World CleanUp Day a trouvé par la voix des membres de la Jeune Chambre Economique des ambassadeurs très investis dans la sauvegarde de l’environnement. Le 21 septembre, cent cinquante pays dont la France disposeront de milliers points de collecte servant à valider une opération unique vécue à l’échelle mondiale. Elle se déclinera également dans l’Yonne…

AUXERRE: Préserver la planète par le prisme d’une action citoyenne et positive : tel est le principe vertueux de cette animation planétaire originale qui se décline depuis plusieurs années à l’automne. La date du futur rendez-vous est d’ores et déjà connue. Il s’agira du 21 septembre.

Ce jour-là, un mouvement de citoyens unira ses forces pour ramasser des déchets et lutter ainsi avec efficience contre la pollution exponentielle qui affecte notre environnement.

Mobiliser un maximum de volontaires autour de cette manifestation explique la tenue d’une réunion de travail, ce mardi 16 juillet, dans les locaux de la Fédération départementale du Bâtiment.

Elle aura pour légitimité de présenter les différents quartiers de la ville désireux d’y prendre part. Une majorité de conseils de quartier est favorable au déroulement de l’action.

Seront également explicitées aux côtés de plusieurs partenaires les réalisations prévues lors de ce jour de collecte organisé un samedi.

Simple, concrète, le World CleanUp Day représente une première étape à la construction de projets encore plus ambitieux en faveur de la préservation du globe.

Lors de la précédente édition, la collecte aura permis de récupérer 1 500 litres de déchets recyclés, mille litres d’ordures ménagères, 70 litres de mégots, une centaine de bouteilles en verre, deux caddies et une myriade d’objets hétéroclites. La journée avait mobilisé plus d’une centaine de contributeurs heureux de prendre part à cette opération altruiste…


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L’implantation d’un pylône, permettant l’accès à la téléphonie en 4G, sur le site ouvre de réelles perspectives de développement pour l’infrastructure touristique de l’Yonne. Celle-ci reste une destination très prisée des touristes du monde entier. Ces derniers ne comprenaient pas que l’accès à Internet et aux liaisons téléphoniques leur soient jusqu’alors refusés, faute de réseau. Le Moyen-Age dans sa version la plus palpable en quelque sorte à l’heure de la modernité ! 

TREIGNY : Cela fait vingt-deux ans que la responsable du site médiéval bourguignon attendait ce moment ! Celui de pouvoir maîtriser pleinement les outils issus des nouvelles technologies de communication, et ce, à bon escient.

Autant dire que Maryline MARTIN a savouré ces instants ; ceux de l’inauguration officielle de ce premier pylône de téléphonie 4G mutualisé et financé par les quatre opérateurs historiques du secteur d’activité. Cela se déroulait jeudi 11 juillet.

La présence de deux ministres, Julien DENORMANDIE, en charge de la Ville et du Logement, et du secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, aura, n’en doutons pas,  accentué ce trait jubilatoire.

Grâce à la 4G, enfin déployée sur le chantier en perpétuel mouvement de Guédelon, ce sont plus d’une centaine de collaborateurs qui profiteront des avantages offerts par cette technologie téléphonique poussée à son paroxysme.

Que dire, des milliers de touristes qui déferlent au beau milieu de cette forêt de Treigny et qui ne seront plus coupés du reste du monde dorénavant.

Chaque saison, près de soixante mille enfants déambulent dans cet espace verdoyant à l’ambiance historique en quête de découvertes insolites. Ces sorties scolaires passionnent les têtes blondes qui se prennent à rêver pour celles et ceux qui ont l’imaginaire débridé.

Grâce au réseau téléphonique, leur sécurité sera assurée à son maximum sur le site désormais. Enfin, pour couronner le tout, la responsable du concept historique et touristique de l’Yonne envisage de la création d’une application qui informera sur les grandes étapes vécues sur le chantier.

 

 


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Quel film remarquable, ce « Petit paysan », qui a été diffusé dernièrement sur Arte ! Ce long-métrage d’un réalisme frappant est profondément dramatique. Il présente le courage et le désarroi d’un jeune éleveur français qui doit faire face à l’adversité. La dernière image de ce professionnel dont les vaches étaient frappées d’une maladie était bouleversante. L’agriculteur n’avait d’autre choix que d’abattre son cheptel. C’était un triste soir où marchant seul sur un chemin le menant à sa ferme, nous ne pouvions que partager à ses côtés son drame et son émotion….

TRIBUNE : Le procès des dirigeants impavides de France Telecom est significatif des dérives de l’économie contemporaine : « le malheur aux vaincus de Brennus » devient le « malheur aux humbles », à celles et ceux qui travaillent, qui ne sortent pas d’une grande école mais qui depuis des siècles font la France.

Face à la vague de suicides provoqués par une stratégie mercantile et inhumaine, le président de France Telecom avait eu cette phrase d’un cynisme et d’un mépris absolus : « Le suicide devient une mode dans cette entreprise ! ».

Mais parle-t-on des suicides qui frappent le monde agricole ? Ils sont bien plus nombreux que chez l’opérateur en téléphonie. Car, ils sont répartis sur 550 000 km², où ils passent totalement inaperçus.

Ecrasés par le rouleau compresseur de l’économie dite moderne, de la productivité à outrance, de la mondialisation impitoyable, les agriculteurs subissent les maux communs à ceux qui se battent pour survivre, y compris le poids de la solitude.

Gloire aux valeureux paysans nourriciers de la France

Depuis quinze siècles, les paysans de France ont nourri le peuple. Ils ont payé l'impôt, ils ont fourni les soldats qui ont défendu notre territoire pied à pied, de Bouvines à Verdun, puis ils sont devenus ouvriers, acteurs de la révolution industrielle dans des conditions de vie si bien décrites par Victor HUGO et Emile ZOLA. Enfin, après 1945, lors des Trente glorieuses, ils ont créé « l’or vert » de notre territoire. Une véritable industrie de pointe, de la terre nourricière à l’industrie agroalimentaire, sans oublier notre gastronomie de renommée mondiale.

Grâce à la conjonction d’une nature généreuse et du travail constant et méticuleux de nos paysans, notre pays était un paradis en Europe. Si bien que nos voisins allemands ont forgé ce dicton : « Heureux comme Dieu en France ».
Mais la France est en train de perdre la bataille de l’agriculture : « l’agriculture française se meurt ». « Elle n’est point encore morte », comme « Madame » selon Bossuet. Mais, elle en prend le chemin : revenu dérisoire de la majorité des agriculteurs, prix de vente inférieurs aux prix de revient, exploitants et salariés agricoles dans la précarité. Bref, un sombre tableau de la réalité.

Mais comme ils ne se battaient pas encore assez contre des difficultés qui les submergent, une commissaire européenne qui ne sait probablement pas distinguer un cheval d’un âne, a décidé d’imposer aux paysans français une concurrence déloyale. Comment ne pas voir que les paysans français assujettis à de multiples charges, à d’innombrables règlements, à des contrôles sans fin, tandis que leurs homologues d’Amérique latine,  ne sont point enserrés dans un tel carcan et ont des salaires et des charges sociales dérisoires voire même inexistantes, sauf, bien sûr, la minorité de riches exploitants !
Malgré la somme de règlements sanitaires qui règnent en France, nous avons déjà eu et continuerons d’avoir toutes sortes de scandales alimentaires. Que va-t-il se passer avec des importations massives de pays où toutes ces règles sont quasi inexistantes ? Même si elles existent un peu sur le papier, nous savons tous qu’elles ne sont pas appliquées car il y règne une corruption généralisée.
En Amérique latine, environ 50 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. On ne sait combien ne mangent pas à leur faim. Probablement un très grand nombre ne goûte que très rarement à la viande. On pourrait penser que l’objectif premier des dirigeants d’Amérique latine serait de nourrir leur population convenablement avant d’exporter leurs produits agricoles en Europe.
Quelle idée candide !  Non, les millions de tonnes de viande bovine ne sont pas faites pour nourrir la population d’Amérique latine mais pour venir inonder les marchés européens et pousser à la faillite et au désespoir les éleveurs français. Les vaches blanches du Charolais sont connues dans le monde entier mais les éleveurs du Charolais et, bien sûr, de toutes les régions de France sont en proie à de grandes difficultés.

Sauver la planète en exportant des produits agricoles à l’autre bout du monde

Ajoutons encore : on ne parle plus que de sauver la planète, de réduire les émissions de carbone, de limiter les transports polluants. Et que fait-on ? On va transporter des millions de tonnes de viande et de produits agricoles sur des milliers de kilomètres à l’autre bout de la planète !

La Commission Européenne interdit la fusion de la branche transport de Siemens et d’Alstom mais un ayatollah de la concurrence veut mordicus aggraver la situation des paysans européens et en particulier celle des paysans français qui est sous ses fourches caudines.

Savez-vous combien gagne un Commissaire européen, quels sont ses avantages innombrables, quel est le montant de sa retraite et à quel âge il la prend ? Renseignez-vous ! Et comparez leur somptueux traitement et tous leurs avantages avec le revenu d’un paysan français, le montant de sa retraite et la protection dont il bénéficie ou, plutôt, dont il ne bénéficie pas !

Car, ce dernier ne subsiste que dans la précarité la plus totale face à l’adversité. Et après cela, étonnez-vous que le Rassemblement national et ceux qu’on appelle les populistes voient leurs flots d’électeurs grossir à chaque élection…
« Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! » disait Madame Rolland. « Libre concurrence, que de crimes on commet en ton nom ! »…

Emmanuel RACINE

 

 


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