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La forêt amazonienne est incandescente. Elle brûle, elle se « déforeste ». Comme Madame, selon Bossuet, « Madame se meurt, Madame est morte ». Le poumon vert mondial se dégrade de jour en jour. Bientôt, on pourra dire : « la forêt amazonienne est morte… ». Gabriel Garcia MARQUES écrivait jadis : « Chronique d’une mort annoncée ». Mais, quand même, pour retarder l’échéance, envoyons tout de même ces 20 millions de dollars pour éteindre dès que possible ce sinistre et sauver cet espace si nécessaire à la vie…

TRIBUNE : Jair BOLSONARO, président en exercice du Brésil, ne veut pas de ces 20 millions de dollars de l’aide internationale. D’une part, il ne désire pas d’aumône. D’autre part, la forêt amazonienne est au Brésil. Ce qui veut dire à la fois qu’elle est située au Brésil et qu’elle appartient au Brésil. C’est-à-dire aux Brésiliens dont il est le président. D’ailleurs, Donald TRUMP, président des États-Unis, le soutient et lui a même donné un satisfecit : « Vous faites très bien… ». C’est qu’il s’y connaît en incendies. Il avait déjà donné de judicieux conseils lorsque le feu s’était déclaré à Notre-Dame de Paris. Il mérite à ce titre le sésame suivant : celui de « premier pompier du monde » !

Et la forêt amazonienne dans tout ça ? Expliquons brièvement les choses. Au collège, les adolescents découvrent le cycle du carbone. C’est fascinant. On nous apprenait que les plantes jouaient un rôle essentiel dans ce cycle immuable. On découvrait la vie dans les cours intitulés « biologie ». Ce mot bio est devenu à la mode : agriculture bio, légumes bio, yogourts bio, énergie bio, voitures électriques bio…, « to be bio or not to be ».

Conserver la forêt pour le bien de l’Humanité…

Or, sans la forêt amazonienne, « le monde n’est plus bio » nous disait-on, car elle joue un rôle essentiel à l’échelle planétaire pour le cycle du carbone. Sans forêt amazonienne, nous mourrons tous asphyxiés par nos propres déjections industrielles. Signalons au passage que la France se lamente d’avoir perdu depuis quarante ans deux millions d’emplois industriels. Etaient-ils des emplois industriels « bio » ?

Donc, Messieurs les Brésiliens du pouvoir exécutif, vous devez conserver la forêt amazonienne pour le bien de l’Humanité. Vous êtes les garants du cycle du carbone pour la survie de l’espèce humaine. Et comme nous serons bientôt dix milliards sur Terre, vous voyez tout de suite votre immense responsabilité. Rappelons que vous n’êtes pas les seuls : en Afrique et en Asie, il y a aussi d’immenses forêts équatoriales que l’on pille sans scrupules.

La forêt amazonienne est ce qu’on appelle une ressource naturelle. Les Brésiliens n’y sont pour rien. Elle était déjà là quand les Portugais ont débarqué au XVIe siècle. Ils ont commencé la déforestation pour planter du café et nous leur achetons leur café, soit dit en passant.
Mais revenons à la forêt amazonienne. C’est une ressource naturelle, avons-nous dit. Au même titre que le pétrole. L’acier si utile pour produire nos automobiles ; les terres rares que l’on trouve en Chine pour fabriquer des panneaux solaires qui vont assurer la transition énergétique ; les métaux très précieux pour l’industrie, dont beaucoup sont enfouis dans les sols africains. La liste des ressources naturelles est sans limite.

Faire des propositions concrètes pour sauver la forêt…

Or, ces ressources naturelles, nous les achetons. Personne n’y trouve rien à redire. Les Arabes qui ont, comme disait le général De Gaulle, « du pétrole sous les pieds », en ont multiplié le prix par quatre en 1973. Ils ont refait le même coup en 1977. Personne n’a rien trouvé à redire à cela. Tout le monde a payé sans rechigner. Il en est de même pour toutes les ressources naturelles : on paye et c’est naturel.

Alors, si l’on achète le pétrole aux Arabes et à d’autres d’ailleurs, et toutes les ressources naturelles partout où il y en a, pourquoi n’achetons-nous pas aux Brésiliens le cycle du carbone de la forêt amazonienne ? Pour quelles raisons les Brésiliens seraient-ils garants pour l’Humanité de l’équilibre écologique de la planète à titre gratuit ? Ne trouvez-vous pas finalement que ce serait dans l’ordre des choses ?

Soyons concrets : l’Europe doit réfléchir sans délai à cette question. Les partis écologistes de l’Europe entière doivent établir un plan d’achat du cycle du carbone amazonien. 

Écologistes de tous pays, unissez-vous et soyez en adéquation avec vos idées : sauvez la forêt amazonienne non pas avec des discours mais avec une proposition concrète. 

« Ça représente des milliards » direz-vous. Et alors ? Croyez-vous que la transition écologique n’exige pas des efforts considérables, notamment financiers. On n’a jamais rien sans rien en ce bas monde…

Emmanuel RACINE


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Le G 7 se tient à Biarritz… en avant la musique ! Et qui paie les violons du bal ? Comme d’habitude ne cherchez pas ! Est-ce la France, c’est-à-dire les contribuables que nous sommes, c’est-à-dire vous et moi ? Plus ceux qui prêtent de l’argent à notre territoire et qui en sont à plus de 2 000 milliards d’euros de dettes ? Mais, pour être franc : on ne m’a rien dit ! Peut-être, comme au resto « U », les participants ont-ils acheté des tickets et ce sont les citoyens de ces pays qui paient pour leurs représentants ? Ne  rêvons pas !

TRIBUNE : Beaucoup de politologues, d’éditorialistes, de journalistes écrivent que ce type de sommet donne du prestige à la France. Qu’on m’explique en quoi jouer les amphitryons durant deux jours apporte du prestige à celui qui met les petits plats dans les grands ? Mais, le principal sujet c’est que le monde aura les yeux tournés sur nous et sur notre président !

Ainsi, pensez-vous que Donald TRUMP, une fois retourné dans sa Blanche Maison, après avoir goûté nos grands vins fins va décider de ne point les taxer ? De son côté, Vladimir POUTINE qui, lui aussi, a pu apprécier les vins de l’Hexagone et notre gastronomie au Fort de Brégançon, va-t-il mettre un frein à son action en Ukraine et au Donbass ?

Tant qu’à faire, il va également arrêter son soutien à la Syrie : ses avions cesseront sur l’heure de pilonner de pauvres familles dans le dernier réduit d’opposants à Bachar El ASSAD. Voilà déjà deux questions résolues avec les Russes grâce au G7. Mais, continuons d’avancer...

Le président américain n’aime ni les Chinois, ni les Iraniens. Très certainement lors du G 7 va-t-il décider d’enterrer la hache de guerre avec Xi JINPING. Si vous avez des doutes, vous avez tort. Rien de tel qu’un petit G 7 pour changer d’avis ! Les mêmes causes produisant les mêmes effets, très certainement le même Donald TRUMP tendra-t-il la main aux Iraniens en leur disant : « Tout cela n’est qu’un ridicule malentendu. Effaçons tout et n’en parlons plus. Et faisons d’une pierre deux coups. Cessez vos ingérences en Syrie et de vous opposer partout aux Saoudiens sous prétexte qu’ils sont sunnites et vous chiites. Cela n’a pas de sens… ». Grâce à notre G 7 « basco-mondial », on avance, on avance comme le chantait Alain SOUCHON…

Du pain sur la planche pour résoudre les problèmes mondiaux…


Il y a aussi au menu les accords CETA entre l’Europe et le Canada. Ils ne semblent pas plaire à nos agriculteurs. Et comme cela ne suffisait pas pour organiser une concurrence déloyale contre nos agriculteurs, on a ajouté le MERCOSUR, traité de libre-échange avec des pays d’Amérique du Sud. Cela tombe bien. Donald TUSK, président du Conseil européen, sera là et pourra donner son avis. Ça va faire progresser le « Schmilblick » comme aurait dit le regretté COLUCHE.

Angela MERKEL est venue. Elle aussi ne voudrait pas que Donald TRUMP taxe les belles berlines allemandes … ces autos dont des techniciens habiles et malins avaient quelque peu « trafiqué » les systèmes de contrôle aux gaz néfastes…

Boris JOHNSON en profitera pour parler du BREXIT. Discutant avec le président des Etats-Unis, ils conviendront ensemble que, finalement, on s’entend bien entre Anglo-saxons. C’est comme en 1958 quand la Communauté européenne a été créée. Les Britanniques préféraient déjà le « Grand Large » et leurs liens privilégiés avec les Américains.

Les Britanniques avaient refusé alors de s’associer à cette communauté continentale. A l’époque, il se disait dans les coursives : « Vous ne vous entendrez sur rien et vous vous disputerez sur tout ! » (sic).

« Vous voyez, nous avions raison et nous retournons à la case départ. D’ailleurs, le Premier ministre des « Indes » dont notre reine était impératrice, est venu au G 7… ».

Que dire de la présence de Justin TRUDEAU, Premier ministre du Canada ? Lui aussi, à l’instar de Xi JINPING, a des problèmes de taxes avec Donald TRUMP. L’air de la côte basque aidera-t-il à résoudre les problématiques du moment ?

Ah, j’allais oublier l’essentiel : les incendies de la forêt amazonienne. Il y a aussi l’écologie au menu de ce copieux sommet.

Mais, pour que la forêt primaire, véritable poumon de la planète, ne flambe plus au Brésil, il faut que Jair BOLSONARO arrête de couper les arbres. Là aussi, sur ce dossier, un nouvel ordre mondial doit prendre acte à Biarritz. Quand je vous disais que la France allait régler tous les problèmes du monde au G 7 : il y a du pain sur la planche, en effet…

Emmanuel RACINE

 


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Ile Maurice, Guinée, Canada ou Portugal : la liste de ces pays ne représente qu’un faible éventail de nations où la langue de l’illustre Molière est pratiquée en bonne et due forme. Vendredi après-midi, les ambassadeurs français en poste dans ces états auront l’opportunité de dialoguer avec l’une des structures associatives auxerroise qui porte haut les couleurs de l’Hexagone à travers ses missions : la Maison des jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux. Une séquence, dite de « diplomatie publique », selon l’appellation officielle, où l’essentiel sera de nouer des liens…durables

AUXERRE : L’opportunité est trop belle : il faut savoir saisir la balle au bond ! Rencontrer les représentants officiels de l’Etat français en poste à l’étranger n’est pas une chose aisée d’ordinaire. La venue d’une délégation d’une douzaine d’ambassadeurs, en cette fin de semaine dans la capitale de l’Yonne, placera sur une orbite relationnelle optimale des représentants de la société civile. Celles et ceux qui agissent en leur âme et conscience, et avec beaucoup de pugnacité, au sein de la Maison des jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux.

Entourée de ses deux vice-présidents, Claude LEROUX et Prudence ADJANOHOUN, en charge du développement de la Francophonie, la toujours dynamique responsable de l’entité, Marité CATHERIN, jamais à court d’idées, ne manquera pas lors de cet échange nourri d’une cinquantaine de minutes d’expliciter les fondements mêmes de l’association icaunaise.

Une structure qui regarde déjà vers l’avenir…

Surtout que cette dernière s’est dotée depuis cinq ans d’une cellule à vocation économique, ayant pour objectif d’endosser le rôle de facilitateur entre les villes jumelles (Worms en Allemagne, Ridditch en Angleterre, Greve in Chianti en Italie et Plock en Pologne) et les intérêts d’investisseurs et entrepreneurs de l’Auxerrois.

On se souvient encore du succès des Journées consacrées à l’économie du patrimoine l’an passé (une grande première sur le territoire bourguignon) et de son lot d’évènementiels qui en avait décliné.

Travaillant avec de nombreux partenaires, à l’instar de la Jeune Chambre Economique, des Jeunes Agriculteurs, mais aussi des Conseils de quartier de la ville, la Maison des jumelages, de la Francophonie et des échanges internationaux se projette déjà vers l’avenir.

Notamment l’année 2020 où devrait voir le jour une nouvelle déclinaison de son savoir-faire, sous la forme d’une manifestation grand public orientée autour du terroir, des arts de vivre et de l’innovation.

Un créneau majeur pour sa présidente Marité CATHERIN qui rappelle que la structure se définie aussi comme un « détecteur d’innovation » à part entière…

 


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Onze représentants de l’Etat en poste à l’étranger seront accueillis le vendredi 30 août après-midi par le préfet de l’Yonne à Auxerre et la présidente de la Région. Après la visite le matin d’un site industriel en Côte d’Or. Accompagnés du secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE,  ces hauts fonctionnaires participeront à deux séances de diplomatie publique leur permettant de rencontrer les responsables de la Maison des jumelages, de la Francophonie et des Relations internationales ainsi que des lecteurs et partenaires de Presse Evasion, média à vocation économique…

AUXERRE : Pour la seconde année consécutive, l’exercice voulu par le gouvernement se réitérera sur l’ensemble du territoire. L’immersion de plusieurs ambassadeurs de France au plus près des acteurs institutionnels et économiques de l’Hexagone donnera lieu à des rencontres riches en intensité et en retour d’expériences.

L’an passé, à pareille époque, une délégation avait parcouru le département de l’Yonne ; se posant à la coopérative viticole, La Chablisienne, avant de clore ce court séjour par une visite détaillée de l’infrastructure portuaire de Gron, gérée par LOGI YONNE.

Cette fois-ci, la visite bourguignonne sur une journée s’étalera sur deux départements limitrophes. Accueillis à la gare TGV par le préfet de Région Bernard SCHMELTZ à Montbard (Côte d’Or), les officiels se rendront ensuite sur le site industriel de VALLOUREC VALINOX. Ils y découvriront le complexe et ses perspectives.

Face à un parterre de personnalités et de chefs d’entreprise, les ambassadeurs évoqueront les opportunités économiques existantes dans leurs pays de résidence. En contrepartie, une présentation des filières porteuses de notre contrée leur sera faite. Le but étant de créer une véritable synergie entre les besoins des pays où les hauts fonctionnaires résident en permanence et les secteurs d’activité exportateurs de la Bourgogne Franche-Comté.

 

Un ratio de progression de 4 % d’ici 2020 sur l’export…

L’année dernière, Edouard PHILIPPE avait fixé un ratio de progression de ces échanges à l’international à hauteur de 4 %. Un socle à atteindre d’ici 2020. L’Etat souhaitant s’appuyer davantage sur ses ambassadeurs, fins connaisseurs de la réalité conjoncturelle des pays où ils représentent les intérêts nationaux. Une stratégie inhérente à l’économie diplomatique dont Jean-Baptiste LEMOYNE en sa qualité de secrétaire d’Etat en charge de l’Europe et des Affaires étrangères s’est fait depuis le porte-fort.

Le ministre Icaunais sera une nouvelle fois sur le pont et mobilisé le 30 août prochain sur sa terre de prédilection. Il souhaite favoriser ces échanges tripartites entre institutionnels, élus et entrepreneurs.

L’Etat a su concocter une vraie équipe de France de l’export en y adjoignant les acteurs et partenaires inéluctables du développement économique à l’international. La Région Bourgogne Franche-Comté, mais aussi les services ad hoc de la Chambre de Commerce et d’Industrie, Business France, le Conseil du commerce extérieur ou les services des préfectures constituent des interlocuteurs privilégiés avec lesquels les entreprises peuvent décemment travailler.

Lors de sa venue dans la capitale de l’Yonne, la délégation étatique disposera d’un temps d’échange de quarante-cinq minutes avec les représentants de la Maison des jumelages, de la Francophonie et des relations internationales, une structure associative présidée par Marité CATHERIN.

Puis, une séquence de diplomatie publique sera organisée à bord de l’embarcation « L’Hirondelle » sur les quais de l’Yonne entre des partenaires et lecteurs du média PRESSE EVASION.

Objectif : satisfaire à des velléités orales de communication en mettant l’accent sur la dimension sociétale et économique de ce nouveau concept initié par l’Etat. Celui propre au principe vertueux de l’économie diplomatique qui ne cesse de se développer...

La délégation officielle présente le 30 août à Auxerre sera composée de :

Canada : Kareen RISPAL 

Portugal : Florence MANGIN 

Irak : Bruno AUBERT 

Équateur : Jean-Baptiste CHAUVIN 

Pakistan : Marc BARETY 

Ghana : Anne-Sophie AVE 

Mozambique : David IZZO 

Maurice (Ile) : Emmanuel COHET  

Guinée : Jean-Marc GROSGURIN 

Albanie : Christina VASAK 

Slovaquie : Christophe LEONZI. 


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Deux jours durant, la station balnéaire, chère à l’impératrice Eugénie, accueillera une dizaine de chefs d’Etat, ceux des pays les plus puissants de la planète, lors de rencontres stratégiques qualifiées d’importantes pour l’avenir du globe. L’organisation logistique et sécuritaire de ce sommet international incombe depuis un an à l’ancien préfet de l’Yonne et du Vaucluse, Jean-Christophe MORAUD…

BIARRITZ (Pyrénées Atlantique) : Pas de trêve estivale cette année pour le serviteur de l’Etat qu’est Jean-Christophe MORAUD. L’ex-préfet de l’Yonne et du Vaucluse peaufine minutieusement avec ses collaborateurs les ultimes détails de ce lourd dossier évènementiel avant que ne démarre ce rendez-vous diplomatique majeur du second semestre. A savoir, le G7.

Chargé des aspects organisationnels de ce sommet qui réunira les chefs d’Etat des sept puissances fondamentales de notre planète (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni), Jean-Christophe MORAUD sera à la baguette pour assurer le déroulement optimal de cette rencontre où sont d’ores et déjà mobilisés plus de quinze mille policiers.

L’ancien préfet de l’Yonne travaille en étroite osmose avec son homologue des Pyrénées Atlantique, Gilbert PAYET en charge du comité de pilotage. La sécurité sera à son paroxysme durant ces deux journées où les touristes sont invités à plier bagage en s’éloignant des zones dites sensibles.

Présence de dizaines de milliers de délégués…

En effet, hormis une trentaine de chefs d’Etat ou de gouvernements attendus durant ce sommet, ce sont également des milliers de délégués de cette dizaine de nations (la Russie pourrait y prendre part après la visite de Vladimir POUTINE au Fort de Brégançon le 19 août) qui devraient arpenter les travées des salles officielles. Dont celles du célèbre casino municipal en bord de mer.

La France avait déjà accueilli le G7 dans une autre ville à l’aura touristique internationale : Deauville en 2011.

Côté réjouissances gastronomiques, c’est le traiteur basque Jean-Marc SALVA qui a décroché la timbale pour nourrir de ses spécialités et produits du terroir l’ensemble des délégations. Les fines bouches de l’exécutif planétaire pourront se délecter de jambon de Bayonne, de truites de Banca, mais aussi de fromages locaux sans omettre le fameux gâteau basque. Les vins d’Irouleguy agrémenteront de leurs saveurs ces différents mets.

In fine, le traiteur de Biarritz glanera aussi plusieurs milliers d’euros au terme de ces deux journées exceptionnelles, grâce à un lucratif contrat passé avec l’Etat.


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