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Entre les mois d’août et d’octobre, plus de cinq mille tonnes d’orge ont été expédiés depuis la France jusqu’au Vietnam. Prouvant ainsi la pertinence de la nouvelle ligne fluviale, qui rapproche les zones portuaires de Ho Chi Minh à celle de GRON dans le nord de l’Yonne. L’envoi des céréales aura servi à la fabrication de trente millions de litres de bière. Une boisson dont raffolent de plus en plus les Vietnamiens. Face à ce marché en pleine croissance, la coopérative agricole régionale entend répondre favorablement à cette demande. Comme le confirme son président, Laurent PONCET.

SENS : Devant le besoin d’approvisionner le marché du « Dragon asiatique », YNOVAE se dit prête à envisager le développement de ses exportations. Une hypothèse qui tient la corde à l’heure actuelle tant les attentes des consommateurs locaux se font pressantes.

Alors que cet état du Sud-Est de l’Asie connaît un taux de croissance qui oscille entre 5 et 10 % par an, la consommation d’orge et de blé tendre enregistre des records. Même si, pour l’heure, le Vietnamien lambda ne boit encore que dix-neuf litres de bière à l’année et par habitant.

Toutefois, force est de constater qu’une porte a été enfoncée grâce à la création de la nouvelle liaison de fret maritime, initiée par LOGI Yonne, et sa filiale, LOGI Viet France. Une brèche aux contours positifs dans laquelle l’un des partenaires du logisticien bourguignon, la coopérative agricole YNOVAE, semble vouloir s’engouffrer.

Avec le concours de l’autre coopérative régionale, 110 Bourgogne, et dans le cadre de leur union de commercialisation SEINEYONNE, l’opportunité idéale est d’exporter des produits le plus possible à l’autre bout du monde. Les professionnels du secteur céréalier veulent profiter de l’aubaine. Celle qui prend forme depuis peu avec le développement stratégique de LOGI Yonne dans cette partie du globe qui s’appuie sur la compétitivité offerte par le fret maritime.

 

 

L’orge de l’Yonne se métamorphose en bière en Asie…

 

Dès 2010, YNOVAE avait accepté de répondre à une première demande d’expédition d’orge de brasserie vers la Chine. Déjà à cette époque, la structure coopérative travaillait en parfaite osmose avec le logisticien du Sénonais. Le transit avait été assuré par conteneurs vers Le Havre. Puis, acheminé par la mer.

Bénéficiant d’un climat tempéré, la Bourgogne représente le terreau idéal pour la culture des orges de brasserie. D’où une forte propension de malteries présentes depuis des décennies en région bourguignonne mais aussi en Ile-de-France et en Champagne. Pour mémoire : la France se situe parmi les trois premiers exportateurs d’orge destinée à la conception de la fameuse boisson. Celle qui est de plus en plus appréciée par les Vietnamiens.

Chez YNOVAE, 75 % de la production des orges sont destinés au secteur de la malterie pour la production de bière. La Bourgogne produit 200 000 hectares d’orge chaque année ; soit 900 000 tonnes ce qui représente 10 % de la collecte nationale. Le département de l’Yonne, à lui seul, représente l’équivalent de 80 000 hectares.

 

 

 


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Importateur du fameux fruit exotique en France depuis décembre 2018, après avoir connu une longue période de vaches maigres, ce jeune entrepreneur de l’Yonne joue la carte de la diversité et de la complémentarité des produits pour accroître sa notoriété. Son rayonnement dépasse aujourd’hui le territoire de l’Yonne pour s’inscrire dans une démarche de centrale d’achat à destination d’autres places consuméristes à travers l’Europe et le Maghreb…

AUXERRE : Les notions d’import/export ne lui sont pas inconnues. Dans une vie antérieure, le garçon au sourire si sympathique et à la franche cordialité commercialisait du matériel médical dans son pays où il a vu le jour : l’Algérie. Parfois, ses pérégrinations professionnelles le conduisaient jusqu’à la lisière des dunes ensablées du Sahara. Le rêve !

Si ce commerce est rentable à l’époque, l’activité tourne pourtant court à la suite d’un incident de la vie. L’un de ceux dont on ne se relève que très péniblement au plan psychologique quand tout bascule d’un jour à l’autre : un divorce.

Exit le confort douillet de l’existence, Haïdar plonge alors dans une abîme sans fond. Percevant le RSA (moins de 460 euros par mois) ce qui l’oblige à vivre la plupart du temps dans une camionnette qui lui sert de modeste refuge.

Ce scénario de l’impossible s’éternise. Quatre longues années de disette où s’alimenter à raison de deux repas quotidiens ressemble à s’y méprendre à un véritable parcours du combattant. Multipliant les entretiens d’embauche qui demeurent stériles, ce diplômé supérieur en art dramatique prend son mal en patience. Sans réels résultats. Quatre années de galère avant une immersion en terre algérienne où en 2018 lui vient une révélation. Divine ? Allah est grand…

 

 

Les soutiens salutaires de la CCI de l’Yonne et d’INITIACTIVE 89…

 

Accueilli à bras ouvert par son neveu, Mohamed Amine, il découvre les potentialités d’un marché dont il méconnaissait jusque-là l’existence. Celui de la datte. C’est à TOLGUA, agglomération reconnue en Algérie pour ses capacités de production de ce fruit à la chair si délicate que son neveu, agriculteur, exploite une structure entrepreneuriale où se dressent 1 180 palmiers. Soit un rapport en termes de récoltes de 200 à 400 kg par arbre !

Il n’en fallait pas davantage pour que notre futur grossiste ait une idée de génie : travailler avec le membre de sa famille en exportant ses produits en France. Mohamed Amine vendait déjà ses dattes appréciées pour leur succulence vers l’Allemagne, le Canada, l’Espagne et le Maghreb. Mais, il n’y avait pas encore de débouché possible vers la France.

Ragaillardi par cette idée lumineuse, Haïdar BOUDJERADA, de retour à Auxerre, s’en entretient avec un de ses amis médecins, Mustapha MIMOUN. Généreux, ce dernier lui avance l’argent nécessaire à l’extirper de sa camionnette afin de lui trouver un appartement digne. Puis, tout s’enchaine très vite.

Le pôle RSA de l’association d’aide à l’accompagnement des personnes créatives de projets économiques, INITIACTIVE 89, vient à son secours. L’un de ses conseillers, Julien LACOMBE, croit à la pertinence du dossier qu’il a devant les yeux. La Chambre de Commerce et d’Industrie lui emboîte le pas. Convaincue par la richesse de ce projet, le futur entrepreneur crée et enregistre sa société sur le registre ad hoc.

Fin octobre 2018, une première livraison de dattes arrive à l’aéroport d’Orly : soit 1,2 tonne de marchandises à écouler sur la région. La diaspora algérienne fonctionne à merveille. Hassan SHEHTTA, exploitant de la société « Meubles 89 », le dépanne pour stocker ses produits. Alors que Haïdar tente d’écouler timidement ses dattes fraîchement arrivées du pays sur les marchés d’Auxerre, la nouvelle miraculeuse vient de Rungis.

C’est là que Lazahr MANAOUI gère un établissement de primeur dans ce bastion du commerce de gros. Admiratif par la qualité des fruits exotiques, il lui achète presque une tonne de marchandise alors qu’un boucher halal d’Auxerre se constitue une réserve de 300 kilos dans sa boutique.

Nanti d’un prêt d’honneur de 3 000 euros, le néo-entrepreneur bénéficie d’un point de chute à la pépinière d’entreprise gérée par les services de la chambre consulaire.

 

 

Devenir un point névralgique européen sur le marché de la datte…

Depuis, Haïdar rencontre le succès en recevant près de 3 tonnes de fruits chaque mois durant la période saisonnière de la récolte. Son siège social fait office de commerce éphémère où il écoule en parallèle des marchés la production régulière de son neveu. Sens, mais aussi Troyes, constituent une zone de chalandise appréciable pour assurer la promotion des fruits à l’exquise succulence.

La cible consumériste est toute trouvée. Elle se forge parmi la population musulmane de ces villes. Le PARADIS des DATTES, puisque tel est le nom de la jeune société, réalise des records de vente lors du ramadan. Astucieux, Haïdar dispose même de stands sur l’esplanade des mosquées pour écouler ses produits après les prières.

Mais, si la providence a souri à Haïdar, ce dernier n’est pas au bout de ses surprises. Outre son commerce de proximité, il est devenu en un laps de temps très court, et toujours grâce à la qualité des fruits et une notoriété croissante, une vraie centrale d’achat au niveau européen, voire mondial. Les commandes affluent désormais de Belgique, d’Allemagne, du Maroc pour espérer déguster à bon prix la « reine » des dattes.

Dès octobre, de nouvelles livraisons (l’Algérie est le quatrième producteur mondial) agrémenteront les étalages de la boutique auxerroise. Les comités d’entreprise intègrent depuis peu les priorités stratégiques.

Coté investissement, Haïdar voudrait se doter d’une chambre froide afin de mieux stocker les fruits et allonger ainsi la période de vente. Il propose aussi de l’huile d’olive importée directement du Maroc.

Mais, sa grande ambition est de proposer de la datte bio, un produit qui ne requiert aucune utilisation d’engrais au cours de sept années de maturation. Promouvoir la culture du désert grâce aux produits dérivés de la datte (miel, vinaigre…) distingue ce professionnel icaunais d’hypothétiques concurrents qui pour l’heure ne se positionnent pas sur ce créneau. Les portes du « Paradis de la datte » semblent grandes ouvertes pour la prospérité…

Un article réalisé en partenariat avec INITIACTIVE 89...

 

 

 

 

 

 


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Organisée à DA NANG, au Vietnam, du 12 au 19 octobre, sur les terres d’adoption de Didier MERCEY, patron de la filiale asiatique de LOGI Yonne, la fameuse épreuve d’endurance à composante 100 % féminine bénéficie du soutien logistique de l’entreprise icaunaise qui gère la zone portuaire de l’Yonne…

GRON: Rendez-vous des intrépides, voire des spécialistes de folles aventures exotiques à vivre avec un grand « A », la vingtième édition du Raid Amazone posera ses conteneurs, une fois n’est pas coutume, dans l’un des pays les plus en verve de l’Asie du Sud-Est au niveau économique : le Vietnam.

Après deux éditions disputées au Costa-Rica, l’organisation a décidé de changer de région profitant des conseils de Didier MERCEY, le chef d’entreprise de l’Yonne, qui a élu domicile depuis bientôt un an, en y créant sa filiale, concoctée avec un partenaire local, LOGI VIETFRANCE.

Les trois cents sportives inscrites au départ de challenge délicat à accomplir y seront réparties en équipe de deux à trois concurrentes selon les besoins organisationnels.

Avant de rejoindre le camp de base de ce périple extrême-oriental, l’animateur de télévision et organisateur de l’évènement sportif, Alexandre DEBANNE, a tenu à rendre une visite de courtoisie à son ami, et partenaire en matière de logistique, Didier MERCEY au Port de Gron.

Pratiqué en canoë, cycle ou par le biais du running, le Raid Amazone comporte des objectifs humanitaires à la clé. Les six conteneurs de matériel, stockés d’ordinaire dans l’Yonne, sont d’ores et déjà arrivés à bon port après une longue route maritime sur les océans. De l’autre côté de la planète !

 

 


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La région Rhône-Alpes Auvergne a reçu des crédits de l’État approchant les neuf milliards d’euros pour subventionner l’implantation de panneaux solaires. Entre les retraites, les Gilets jaunes qui tentent de nous rejouer l’acte II de la pièce, les élections municipales qui se profilent, les éclats de BOLSONARO, l’affaire FERRAND qui pourrait devenir une nouvelle affaire de RUGY : le gouvernement ne sait plus où donner de la tête. Alors, il y a l’écologie pour nous sauver et surtout, faire diversion. Dans la panoplie « écologico-électorale » s’inscrit donc l’installation de panneaux solaires, hic et nunc !

TRIBUNE : Et les perches, que viennent faire les perches là-dedans ? Pour avoir souvenance des perches, il faut approcher la soixantaine. Les perches ! Il ne s’agit ni des poissons d’eau douce, ni des longs bâtons de ceux qui tentent de sauter très haut. Les perches ; ce fut une marotte d’EDF après 1973. Pourquoi donc ? Faisons un saut dans l’Histoire. En octobre 1973, une coalition de l’Égypte, de la Syrie et de l’Irak franchit le canal de Suez et avança vers Jérusalem. Tsahal, l’armée israélienne se ressaisit et marcha vers Le Caire. L’ONU, les Américains, les Russes dirent : « Les enfants ça suffit. Que chacun retourne sur ses positions antérieures... ».
On croyait que l’affaire était terminée. Pas du tout. Les Arabes se rappelèrent « qu’ils avaient du pétrole sous les pieds ». Et ils multiplièrent le prix du pétrole par trois. Les Européens et, à un moindre degré, les Américains, découvrirent que le pétrole ce n’était pas comme l’air. C’était un bien qu’il fallait payer. Ce fut un réveil brutal. D’autant plus que quatre ans plus tard, ils reçurent un deuxième coup de massue dans les réservoirs de leurs automobiles et dans les cuves de leur chauffage. Le pétrole avait triplé une deuxième fois.


Se soustraire du joug énergétique du Moyen-Orient… 


C’est à cette époque que l’on ferme la parenthèse de cette période unique dans l’histoire économique de l’humanité qu’on appelle « les trente glorieuses »’. Mais à l’époque on n’en avait pas encore conscience. On a simplement constaté que le pétrole appartenait aux Arabes, entre autres, et qu’il fallait le payer.

« Quand on n’a pas de pétrole, il faut avoir des idées », disait-on à l’époque. Donc, des ingénieurs eurent l’idée des perches. Les perches, c’était un système pour pomper les calories des nappes phréatiques. Perches par-ci, perches par-là : on voyait partout des publicités sur les perches. Donc on plongeait hardiment ces appareils dans l’eau et on captait sans retenue les calories.
Seulement voilà, quand on a absorbé toutes les calories d’une nappe phréatique, il ne reste que des frigories ! Ça, c’est un phénomène naturel auquel nos brillants ingénieurs n’avaient pas songé. Et tous les braves « gogos », qui avaient adopté sans retenue les perches, se retrouvaient Grosjean comme devant !

Des perches autrefois, aujourd’hui des panneaux solaires… on a repris la rengaine. Certes, direz-vous, le soleil, ce n’est pas une nappe phréatique. Il va luire encore pendant des milliards d’années. Donc la comparaison n’est pas justifiée. En êtes-vous si sûrs ?

 

Dépendance à la Chine au niveau des terres rares…

 

Savez-vous à partir de quoi fabrique-t-on les panneaux solaires ? À partir des terres rares. D’où viennent les terres rares ? Essentiellement de Chine. La Chine extrait 80 % des terres rares et en raffine 90 %. Donc, à l’heure actuelle nous sommes vis-à-vis des terres rares, totalement dépendants de la Chine. Comme nous étions dépendants des Arabes pour le pétrole lors des crises de 1973 et 1977. Or, nous, les Européens et les Français en particulier nous n’avons pas de réserves significatives de terres rares… guère plus que de pétrole !
De plus, le développement de mines et d’usines métallurgiques de terres rares est aussi complexe que coûteux. En effet, l’extension de la production est bridée par la faible teneur du minerai, qui suppose une extraction extensive, et la difficulté de séparer des produits mystérieux qu’on appelle les lanthanides, (il y en a 15 !) auxquels on ajoute l’yttrium et le scandium.

Et maintenant, le coup de grâce : tout ce processus est très consommateur d’énergie et source de pollution énorme pour l’environnement. Dernière question : que fera-t-on de tous ces panneaux quand ils seront hors d’usage ? Vous voyez, on n’est pas sorti de l’auberge !

Entre perches et panneaux, c’est un véritable imbroglio !

Emmanuel RACINE

 


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Entre le président de la société LOGI YONNE, en charge de la plateforme portuaire de GRON, et le pays au taux de croissance mirifique de 7 %, ce qui ressemblait à l’origine à une simple histoire d’amour s’est mué en une folle rencontre passionnelle. Détaché au Vietnam depuis plus d’un an, le dynamique entrepreneur Icaunais y a porté sur les fonts baptismaux de la création sa filiale asiatique, avec l’aide d’un partenaire local, LOGI VIETFRANCE. Les prémices de la nouvelle voie maritime entre le Sénonais et la capitale économique du pays, Ho Chi Minh, étaient posées…le reste n’est plus que formalité !

GRON : Un homme heureux. Qu’il soit dans l’accueil des institutionnels ou de ses partenaires historiques avant le début de la cérémonie protocolaire. Ou au contact de Son Excellence, l’ambassadeur du Vietnam, Nguyen THIEP.

Originaire du Bugey dont il sait toujours mettre en exergue les vertus gastronomiques (le fameux ramequin de Saint Rambert), Didier MERCEY est un personnage atypique dans le microcosme des entrepreneurs du cru. Un garçon à la volonté d’airain que rien n’arrête. Ni les défis les plus fous (le concept portuaire de LOGI YONNE qu’il a su peaufiner au fil du temps avec le soutien inconditionnel de la Chambre de Commerce et d’Industrie) ni cet amour immodéré pour l’exotisme et les voyages.

Vrai poisson pilote de la débrouillardise industrielle, cet exégète es exportation n’a pas hésité à emmener armes et bagages (et surtout sa petite famille) vivre à Da Nang, lieu de villégiature favorable à ses projets.

Conquis par ce pays qui fut pourtant ravagé par la guerre durant près d’une décade entre les années 1960 et 1970, Didier MERCEY apprécie le sérieux et la gentillesse de ce peuple qui le lui rend bien.

 

 

Disponible, maîtrisant à la perfection la langue de Shakespeare, Didier MERCEY prend un malin plaisir à évoquer ses projets et perspectives sous l’œil d’une caméra de la télévision vietnamienne.

D’ailleurs, les médias de ce pays de plus en plus ouvert au tourisme auront l’opportunité de lui consacrer localement d’autres reportages. Le 23 septembre, de retour dans sa nouvelle base arrière qu’il affectionne plus particulièrement, le chef d’entreprise portera une fois de plus le flambeau de l’Yonne en signant un accord d’échange universitaire avec la Polytechnique de Da Nang.

Une nouvelle brèche providentielle dans le jeu diplomatique visant à renforcer les liens entre ces deux pays, sous la bénédiction du ministère des affaires étrangères et de l’un de ses représentants, le secrétaire d’Etat Jean-Baptiste LEMOYNE. Même absent pour cause d’agenda surbooké lors de l’inauguration de la nouvelle ligne conteneurisée, ce dernier suit avec minutie tous les développements liés à l’essor de LOGI YONNE et de ses initiatives éclectiques.

 


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