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Il se fraie tant bien que mal un passage parmi les nombreux candidats à l’emploi, le préfet de l’Yonne. Le hall d’entrée de la Maison de l’Entreprise serait-il donc trop exigu pour accueillir un tel évènement, programmé sur un tantôt ? Victime de son succès, c’est sûr ! Car, ce job dating, décliné avec le concours du Département, de l’Etat et de Pôle Emploi, dans le cadre de la Semaine de l’Industrie, s’apparente à une véritable réussite pour ses organisateurs. Pascal JAN s’y est donc attardé, prenant soin de discuter avec la douzaine de recruteurs comme avec celles et ceux en quête du précieux Graal…

 

AUXERRE : La prochaine fois, il faudra pousser les murs ! Ou envisager l’extension du bâtiment – dites donc, Monsieur Claude VAUCOULOUX, est-ce que cela est prévu dans la feuille de route budgétaire de vos prochains travaux ?! – afin de pouvoir accueillir plus sereinement la cohorte de demandeurs d’emploi, munis de leurs CV, à la recherche d’un poste dans l’une des entreprises industrielles de l’Yonne, invitées à les faire connaître ! Car, de mémoire de conseillers de Pôle Emploi, présents à la manifestation, il y a belle lurette que l’on avait connu un tel succès en matière de fréquentation, hormis les étudiants, dans le hall d’entrée de l’édifice accueillant l’IFAG et l’ITII.

Qui a dit que les emplois proposés dans l’industrie n’intéressaient personne ! A cette affirmation, totalement erronée – on entend déjà les cris d’orfraies poussés par Jean-Marc DENIS ou Florence POULAIN ! -, la réponse, évidente, a été donnée par la présence, très nombreuse, de ces candidates et candidats, de tout âge et de tout profil, y compris les seniors – oui, oui, vous savez ces personnes d’un certain âge, parfois canonique de 45 ans et plus comme le caractérise si bien l’INSEE dont plus personne ne veut ! – qui se sont précipités tel un ours brun sur un pot de miel à la recherche d’une douce sucrerie !

En l’occurrence, un travail ! Un vrai. Pas un ersatz de job à la petite semaine. De surcroît, de la valeur sûre à ajouter sur son cursus, à vivre dans le monde industriel. Celui qui fait rêver. Celui où la technologie confère un supplément d’âme et une certaine noblesse au poste choisi. L’industrie et ses milliers d’emploi à pourvoir (près de 60 000 en France à l’instant « t »), à l’heure de la ré-industrialisation de l’Hexagone.

 

 

Il fallait jouer des coudes aux abords des stands

 

Défenseur de l’attractivité territoriale – elle commence naturellement sous le prisme de l’économie et de son corollaire légitime, l’emploi -, le préfet de l’Yonne Pascal JAN s’est rendu sur place, dès l’ouverture des portes de la Maison de l’Entreprise. Accompagné de deux responsables de Pôle Emploi, Yves HUTIN, son directeur départemental et Séverine DUTREIX, responsable du bassin de l’Auxerrois. Le haut fonctionnaire est venu et il a vu ! Sans doute un peu surpris de l’engouement…

La douzaine d’entreprises, présentes à ce rendez-vous (et pas des moindres s’il vous plaît à l’instar de MACORS, DAVEY BICKFORD, DYNAPACK, CHARLATTE, VERPACK, SAFRAN…) n’ont pas lésiné sur les prises de rendez-vous individuels, discutant avec chacun des prétendants à la vie active, prenant des mains des candidats les fameux CV, distribuant les cartes de visite en proposant peut-être davantage à quelques-uns si affinité ! Il fallait jouer des coudes pour gagner tel ou tel mange-debout, ustensile facilitant la rencontre. Voire s’armer de patience avant d’évoquer son cas personnel.

De son côté, Pascal JAN s’entretiendra avec chacune et chacun des représentants des ressources humaines, ou des dirigeants de société, venus rechercher la ou les perles rares dont ils ont impérativement besoin à leur développement. Avant d’échanger avec des demandeurs d’emploi qui lui ont expliqué leur situation.

Preuve, s’il était nécessaire de le démontrer, que le secteur industriel est un gros pourvoyeur de jobs et que l’on peut toujours faire carrière dans le département le plus septentrional de la Bourgogne.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Sur le papier, l’endroit fait déjà rêver. L’hôtel du Golf à Deauville. Un somptueux quatre étoiles sur l’échelle du confort, de la qualité, de l’esthétisme et de l’accueil ! Rien que cela et ce, pour une durée de deux jours, mazette ! Une centaine de directeurs des Ressources Humaines – un peu le gratin des plus belles entreprises hexagonales -, une cinquantaine d’experts et de spécialistes, le tout en provenance des quatre coins de l’Hexagone. Voilà en filigrane l’environnement de la 46ème édition du Salon Top DRH dans lequel va plonger la société de Sens, OBIANCE. Partenaire et prestataire de l’évènement…

 

DEAUVILLE (Calvados) : Il n’a qu’un seul objectif en tête, Michaël OUDMEDJKANE : capitaliser sur les deux jours de présence de sa structure et de ses équipes afin de distribuer le maximum de cartes de visite et assurer le plus grand nombre de prises de contact pour faire connaître son entreprise ! Et les prestations qui y sont associées, il va de soi !

Jusqu’au 23 novembre, OBIANCE participe au 46ème Salon national Top DRH dans la célèbre cité normande, immortalisée par Claude LELOUCH en 1966 (« Un homme et une femme ») qui en filma les plus beaux atours.

Mais, dans le cas présent, Michaël OUDMEDJKANE fera fi des références cinématographiques pour se concentrer uniquement sur son cœur de cible, celui avec qui il réalise son business depuis la création de son entreprise, positionnée sur le bien-être des collaborateurs dans une unité de travail. Car pour l’entrepreneur sénonais, le credo est simple : le bien-être en entreprise n’est pas un vain mot et passe par des moments de détente ô combien nécessaires et salvateurs à grand renfort de relaxation et de partage.

En lien direct avec le saint des saints de la vie professionnelle  - les décisionnaires et les dirigeants qui feront une halte à Deauville -, le patron d’OBIANCE déclinera, via un atelier et des démonstrations à l’appui, les manières positives d’optimiser la valeur du travail, dans un monde entrepreneurial de plus en plus complexe, après la crise sanitaire, observée ces dernières années.

 

 

Dire qu’il attend depuis longtemps la tenue de ce rendez-vous annuel biffé de longue date sur son agenda est un doux euphémisme ! D’autant que par le passé, les échanges réalisés dans les salons de ces hôtels feutrés qui accueillent l’évènement national se sont montrés très probants. OBIANCE a pu ainsi nouer des liens avec des enseignes de cosmétiques aussi prestigieuses que CHANEL ou Yves SAINT-LAURENT pour y parler, non pas de mode, mais plutôt de gestion du stress, de bien-être, de détente ! Il compte bien être sur la même dynamique durant ces deux journées à vivre, non loin du Cotentin.

D’ailleurs, l’évocation de la gestion du stress en y apportant des points d’amélioration auprès des collaborateurs n’est plus un sujet tabou, désormais, dans les sociétés. Mieux : ce serait plutôt un argument positif pour les directeurs des Ressources humaines, à la fois dans la conservation de leur personnel, mais aussi un gage sérieux de recrutement pour attirer de nouvelles pépites. On pense en premier lieu aux « milléniums », inféodés à ces nouvelles tendances sociétales qui ne rebutent pas non plus les seniors !

Intervenant aujourd’hui en métropole mais aussi dans les DOM-TOM auprès d’une dizaine de mutuelles, OBIANCE dispose d’une offre éclectique qui ne manquera pas de séduire les DRH présents à Deauville. Ces derniers en découvriront davantage sur les bienfaits de l’hypnose afin de gérer le stress et l’anxiété, la pratique du yoga pour améliorer la flexibilité et l’équilibre, le do-in pour se détendre et se rééquilibrer, le tai-chi et le Qi-gong pour la souplesse et l’énergie, le self-défense pour la sécurité, la méditation pour se connecter avec son subconscient, voire la langue des signes pour accroître ses capacités de communication et de compréhension. Cerise sur le gâteau : les cadres supérieurs pourront aussi bénéficier d’une séance de massage assis, un pur régal pour les cervicales, trapèzes et autres vertèbres !

 

Thierry BRET

 


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Elle se nomme « Jolie Star ». Et la bête, un poney shetland portant fière allure du haut de ses quatre ans, est sympa et docile comme tout. Elle, qui a su prendre la pose lorsque ses généreux acquéreurs lui ont rendu une visite plus que de courtoisie, il y a peu, dans l’espace animalier accueilli au sein de l’IME des Isles à Auxerre. Le Rotary Club local a donc fait des heureux, juste avant Noël. Permettant aux très jeunes pensionnaires de l’institut médico-social, géré par l’EPNAK, de s’adonner aux activités équestres à l’aide de leur nouvelle amie à quatre pattes !

 

AUXERRE: Son patronyme pourrait sortir tout droit de la dernière aventure de « Lucky Luke », le cow-boy qui tire plus vite que son ombre. Traduit-il pour autant des traits innés de son caractère ? En tout cas, la « bestiole » n’est pas farouche pour un sou et se laisse gentiment caresser par toutes celles et tous ceux qui en éprouvent l’envie ! N’est-ce pas mesdames les représentantes de La Poste ?!

Une « Jolie Star » au centre de moult attentions, il est vrai, vedette incontestable de la soirée, à rendre jaloux moutons, lapins et chèvres qui dans leurs enclos respectifs aimeraient bénéficier d’autant signes d’affections et de faveurs de la part des membres du Rotary Club d’Auxerre, venus en petite délégation saluer le fruit de leur générosité.  

Car « Jolie Star » est presque devenue leur poney « adoptif », puisque ce sont les oboles offertes avec souci d’altruisme et de solidarité par les adhérents du club service auxerrois qui ont financé son achat. Et pas n’importe quelle acquisition, il est vrai !

 

 

Posséder un poney beaucoup plus adapté à la monte qu’un cheval…

 

Ce jeune poney, âgé de quatre ans, de race shetland jusqu’au bout de la crinière et des sabots, a été offert à l’IME des Isles où sont accueillis par l’établissement EPNAK de jeunes enfants (entre autres), souffrant de déficiences intellectuelles et de handicaps.

La ferme de l’institut médico-social auxerrois est accueillie dans un édifice de très belle facture, on s’y croirait avec des enclos et des espaces appropriés pour recevoir cette petite ménagerie. Tout cela conduit sous le sceau de la pédagogie et du rapport privilégié à développer avec la présence animalière.

Il y a peu, trois chevaux occupaient encore ces boxes. Deux sont morts. Le survivant, « AZYRIS », s’ennuyait fort, après la perte de ses deux compagnons. En outre, beaucoup plus grand au garrot qu’un simple poney, il ne permettait pas à tous les enfants – les plus petits au demeurant – de pouvoir se hisser dessus. D’où la réflexion de la responsable du centre, Cécile THALEN, de se doter enfin d’un poney, plus adapté à la monte des jeunes enfants.

 

 

 

 

Le mariage réussi de « Jolie Star » et de ses jeunes cavaliers !

 

Après contact, c’est l’écurie auxerroise, adepte de la valorisation équestre, CAVAL JUMP qui sera sur les rangs et apportera la solution idoine, incarnée désormais par « Jolie Star ». Restait son financement.

Le projet éducatif en direction de l’enfance handicapée – l’un des axes prioritaires parmi les nombreuses actions sociales portées par le Rotary – interpella le président de l’un des deux clubs du cru, Vincent VALLE. Les membres du club service lui emboitèrent le pas : in fine, 2 700 euros furent ainsi alloués à la finalisation de cette belle opération, l’achat du poney pour les besoins des petits.

Depuis son installation à l’IME de l’EPNAK, « Jolie Star » vit aux côtés des petits pensionnaires comme un coq en pâte ! Normal, ils l’adorent et elle les aime : bravo au Rotary Club d’Auxerre d’avoir su gérer cet hymen !

 

Thierry BRET

 

 


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L’innovation dans tous ses états. De surcroît, celle qui fleure bon les initiatives entrepreneuriales et associatives émanant de la Bourgogne et de la Champagne ! Les esthètes en la matière le savent et ne cessent de le marteler, à grand renfort de prises de parole ou de conférences : « il ne peut y avoir d’attractivité territoriale, sans innovation ! ». Une vérité de La Palice que les responsables du « Village by CA » (comprenez par-là l’excellent écosystème décliné par le Crédit Agricole) ont su reprendre à leur compte en créant la première édition des Talents de l’Innovation. Il fallait y penser : la Banque Verte l’a fait ! Neuf lauréats s’en souviendront longtemps…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est un évènementiel qui au vu du succès escompté devrait immanquablement appeler à se pérenniser dans le temps. C’est une certitude. Une manifestation à l’ancrage territorial, devant mettre sous le feu nourri des projecteurs médiatiques, ce qui se fait de mieux sur le registre de l’innovation de cette contrée qui excelle en la matière. Il suffit de s’intéresser de très près à l’actualité de l’hydrogène ou de l’énergie avec le nucléaire. Bref, la Bourgogne et la Champagne regorgent d’idées et de talents – même si ses sols ne contiennent pas de pétrole et pas de gaz ! – et veut le faire savoir.

Mettre en lumière les esprits innovants, désireux de façonner notre territoire, à partir de projets et de judicieuses envies entrepreneuriales, est donc le socle avoué de ce rendez-vous où devaient se réunir plus de deux cents personnes, le 13 novembre dernier, à Dijon. Un cadre idoine pour accueillir l’animation : la « Burgundy School of Business », qu’on ne présente plus !

 

L’innovation, une vertu à valoriser au nom de l’attractivité

 

Grande vedette de la soirée qui permettait de décerner des sésames à neuf lauréats choisis par un jury ayant examiné avec dextérité et patience plus d’une centaine de dossiers de candidature : l’innovation.

On le sait, celle-ci se manifeste à tous les étages de la société. Dans tous les domaines professionnels. Sans innovation, une entreprise est vouée à disparaître, dit l’adage propre au développeur d’affaires.

Alors, encourager en les récompensant celles et ceux des « startupeurs » qui pratiquent l’innovation au quotidien comme Monsieur Jourdain se délectait sans même le savoir de la prose devenait une impérieuse nécessité. Une passerelle que le Crédit Agricole, ici même dans sa configuration territoriale de Champagne Bourgogne, aura su construire avec en corollaire son passionnant concept du « Village By CA ».

Une formule magique, sans poudre de perlimpinpin et de breuvages abjects à avaler, qui aujourd’hui offre l’opportunité à ces entrepreneurs de la région d’être soutenus à la concrétisation de leurs projets novateurs à fort potentiel engagés dans des domaines aussi éclectiques et fondamentaux que peuvent l’être la santé, l’énergie, l’agriculture ou la recherche…Et encore, la liste n’est pas exhaustive.

 

 

Plus d’une centaine de dossiers sur la grille de départ…

 

Proposer des « Talents de l’Innovation » résulte donc d’une logique implacable pour dynamiser et valoriser le territoire à travers le prisme de l’attractivité. D’ailleurs, pourquoi les dirigeants de l’établissement financier n’y avaient pas pensé avant ?! Etonnant, non, s’en serait amusé le regretté Pierre DESPROGES !

Partant du postulat qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire, ce concours  s’inscrit donc parmi les nouvelles priorités de notre paysage économique. Ouvert à toutes les castes de la vie professionnelle – et par extension associative qui est aussi génératrice d’excellentes initiatives en matière d’innovation -, il devrait se tenir désormais chaque année. Sur la base du volontariat et de l’inscription, à déposer avec dossier de candidature, au préalable.

D’ailleurs, les chiffres ne trompent pas. Une centaine de dossiers sur la grille de départ initiale, puis, une petite quarantaine de pré-sélectionnés (38 précisément) invités à assurer un « pitch », le propre de l’exercice oratoire face un jury pour tout bon responsable de startup qui se respecte ! In fine, ils ne seront plus que neuf à recevoir une récompense pour leur ingéniosité, leur audace, leur culot, leur talent !

Bref, neuf structures en quête du Graal qui repartiront de Dijon avec la bénédiction urbi et orbi d’un jury de professionnels aguerri à cet exercice !

 

 

Avant que ne tombe le verdict et que le rythme cardio-vasculaire baisse d’un cran parmi les candidats, Emmanuel VEY, directeur du Crédit Agricole Champagne Bourgogne prit soin en préambule de rappeler la genèse et le mode opératoire d’un tel challenge. « Nous avons imaginé ce concours comme un tremplin pour tous ceux qui innovent en Champagne Bourgogne. Nous souhaitions encourager ces acteurs qui repoussent sans cesse les limites pour s’adapter à un environnement en constante mutation… ».

Pour se faire, quatre catégories permettaient de départager les futurs lauréats. Soit les agriculteurs/viticulteurs – le credo traditionnel de la Banque verte -, les artisans/commerçants, les chefs d’entreprises et le milieu associatif. Signalons que l’Yonne arrivera à se distinguer par sa fameuse structure associative, « La Grange de Beauvais » et son président, Patrick HENRY, trop heureux de glaner un nouveau prix. Un prix sur neuf attribué à une structure icaunaise, incontestablement, l’Yonne peut mieux faire à l’avenir. Peut-être en 2024 ?

 

 

    

Les résultats

Nos lauréats sont :

Catégorie Artisans/Commerçants

 

Benoit BERT – Bussy Compost

Jean-Paul LOUREIRO – Opti-Toit

Catégorie Associations

Emma PICARD – CCulte

Patrick HENRY – Grange De Beauvais Venouse

 

Catégorie Agriculture/viticulture

Manon CHAILLAN – Les Ruchers du Bassigny

Michel VILLARMET - Les Fermes de l'Auxois et leurs Petits Casiers

 

Catégorie Entreprises

Magali BAJARD – Sintermat

Arnaud DORIDOT – Boostherm

 

Trophée Coup de Coeur 

Isabelle BLIN - Association " les ateliers des petites herbes"

 

Les membres du jury étaient

François - Xavier Lévêque – Président Caisse Locale de l’Innovation

Flavien Lemière -  ENGIE

Frédéric Imbert - Dijon Céréales

Vincent Delatte - BFC ANGELS

Dorian GUIU - GUIIU

Simon Massot -  Suntec

Valérie Vuillemot  -  Caisse Locale de l’Innovation

Euphémie Picq - Schiever

Franck Duhamel  - CAPEC

Quant aux trophées, taillés dans la pierre de Bourgogne, ils ont été réalisés par le lycée des Marcs d’Or, par les élèves de la section « Taille de pierre ». Il s’agit de pièces uniques. La preuve qu’innover c’est aussi renouer avec la tradition…

 

Thierry BRET

 

 


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Ce n’est pas une convention mais bel et bien trois documents, établis entre la Région Bourgogne Franche-Comté et la Communauté de communes de Puisaye-Forterre (ainsi que les communes de Saint-Fargeau et de Saint-Amand-en-Puisaye) qui ont été paraphés cette semaine par les instances représentatives, lors d’une cérémonie protocolaire organisée en présence de Nicolas SORET, le « grand argentier » de l’organisme régional. De quoi donner le sourire au président de la CCPF, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI…

 

MOULINS-SUR-OUANNE : Au moins, quand il se déplace au cœur des territoires, en l’occurrence celui de la Puisaye-Forterre, le troisième vice-président du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté Nicolas SORET n’effectue pas le voyage à vide ! Dans sa besace, trois conventions à parapher en public, devant un parterre d’élus locaux, attentifs à la symbolique de l’acte. En charge des Finances, du Développement économique, de l’Economie Sociale et Solidaire et de l’Emploi, le maire de Joigny s’est prêté à cet exercice, inauguré quelques jours auparavant dans sa propre ville et à Auxerre, avec célérité et expérience. La maîtrise de l’instant et de l’importance du geste, sans doute. Lui qui est parti pour une très longue tournée aux implications similaires aux quatre coins de la contrée.

Premier des contrats à faire l’objet de cette validation publique : celui des « Territoires en action ». Le fameux « TEA », pour les initiés ! Il court sur la période allant de 2022 à 2028. Trente-cinq projets de la sorte vont ainsi permettre à l’organe institutionnel régional d’injecter près de 170 millions d’euros. Des projets qui portent prioritairement sur l’adaptation au changement climatique et à l’attractivité des territoires. Parmi lesquels, le traitement des espaces dégradés ou de friches, la rénovation énergétique de bâtiments publics, les aménagements des espaces publics, le développement de l’alimentation de proximité – ce que l’on nomme communément les circuits courts -, les pistes cyclables, les équipements publics nouveaux à l’instar de ceux aménagés pour la petite enfance, les tiers-lieux, les maisons de santé, etc.

 

78 000 euros de fonds non affectés pour garder une poire pour la soif

 

Une typologie de contrat qui s’articule à merveille avec d’autres fonds régionaux existants mis à disposition des territoires comme ceux de « Centralités rurales en Région, LEADER, le FEDER territorial, les Fonds d’aide aux projets… ».

Dans le secteur géographique qui nous incombe, la dotation s’élève à 1 792 422 euros. Comme devait le rappeler le président de l’EPCI, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, « ces fonds visent quatre objectifs qui constituent le projet de territoire, à savoir l’accompagnement  des transitions écologiques et énergétiques, le développement et la promotion d’une agriculture locale et durable, l’essor des mobilités durables et solidaires, ainsi que d’assurer la promotion de la Puisaye-Forterre en qualité de lieu attractif, solidaire et agile… ».

Dans l’absolu, la déclinaison de ces subsides se traduira sur cinq axes d’intervention dont celui de la santé pour tous (14 % de l’enveloppe) afin de maintenir l’offre de soins et l’accroître, la sobriété – le mot est extrêmement usité de nos jours ! – sur le foncier, l’urbanisme durable et l’alimentation de proximité (32 % de l’enveloppe), le développement de l’offre de services à la population (17 % de l’enveloppe), favoriser les mobilités durables (6 % de l’enveloppe) et l’accompagnement structurel des filières, soit 28 % de l’enveloppe. Ici, le président de la CCPF insistera plus spécifiquement sur les actions déclinables au bénéfice des métiers d’art, une filière en pleine expansion dans l’Yonne occidentale, avec notamment le poids apporté par l’EMA CNIFOP et le campus MANA.

Il restera un reliquat de 4 % de l’enveloppe initiale allouée par ce fonds. Soit une somme de 78 000 euros que la gouvernance de la Puisaye-Forterre souhaite conserver en partie de façon non-affectée. Afin, sans doute, de pouvoir réagir à chaud sur d’éventuelles opportunités…

 

 

 

Des fonds européens et des fonds autour de la centralité rurale…

 

Seconde convention se rapportant là aussi à l’intercommunalité : le programme « LEADER ». La Puisaye-Forterre profitera d’une manne non négligeable d’1 356 618 euros, en provenance de Bruxelles. Ce qui fera dire à Nicolas SORET, un tantinet admiratif devant la démarche, « qu’effectivement, cet EPCI savait parfaitement bien où trouver des fonds afin de financer ses projets, notamment les fonds européens, ce qui est loin d’être le cas de la majorité des EPCI de l’Yonne ! ».

En clair, le programme LEADER (Liaison entre action de développement de l’économie rurale)  se destine au développement des territoires ruraux – 22 groupes d’actions locales (GAL) ont signé ou signeront ces conventions avec la Région BFC pour la période 2023/2027 – pour des projets comprenant de la rénovation énergétique, des aménagements d’espaces publics, la mobilité douce, des axes culturels et/ou touristiques. Il faut savoir que l’enveloppe ciblée sur la Bourgogne Franche-Comté s’élève à près de 40 millions d’euros.  

La Puisaye-Forterre se verra attribuée plus de 900 000 euros. Pas mal du tout, et très prometteur quand on sait qu’au cours de la dernière programmation, 64 projets ont ainsi été soutenus par des fonds européens, soit plus de 2,3 millions d’euros injectés ! On comprend mieux le sourire affiché sur le visage de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI !

Quant aux élus des communes de Saint-Fargeau et de Saint-Amand-en-Puisaye – respectivement, Dominique CHARPENTIER et Gilles REVERDY -, ils furent appelés à leur tour à la  table des signatures afin de valider la convention « Centralités Rurales en Région », l’un des quatre piliers de la politique de cohésion territoriale voulue par la Bourgogne Franche –Comté, avec les  politiques de la ville, les territoires de projets et les Parcs naturels régionaux, et les ruralités. L’enveloppe globale votée par les élus régionaux se monte à 50 millions d’euros durant la période 2022/2026 afin de garantir un socle de services aux citoyens, de redynamiser les centres bourgs ou de lutter contre le sentiment d’abandon, entre autres.

Quatre-vingts communes dont Saint-Fargeau et Saint-Amand-en-Puisaye bénéficient de ce conventionnement avec la Région. Soit une enveloppe de 500 000 euros pour ces deux localités.   

Tout cela méritait bien quelques signatures à apposer au bas de documents placés dans un parapheur, non ?!

 

Thierry BRET

 

 

 


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