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Son exploit sportif, celui de courir sur une distance de 2 500 kilomètres à travers trois pays lui permettant de relier la capitale de l’Yonne à son village natal, BZOU, au royaume chérifien aura marqué les esprits. Et tout particulièrement ceux des élus d’Auxerre qui lui remettront une distinction honorifique supplémentaire…

AUXERRE: Parti d’Auxerre sur un bon train, Abderrazack EL BADAOUI est arrivé vingt-cinq jours plus tard sous une chaleur caniculaire sur sa terre natale, le Maroc. Plus précisément, dans son petit village de BZOU, terme de son périple de titan. A la stupéfaction générale et surtout avec les honneurs des deux côtés de la Méditerranée.

Si ce fut la liesse des grands jours dans le pays de son enfance, le sympathique sportif au cœur gros comme çà (il en avait profité pour approvisionner une école primaire de multiples fournitures scolaires) recevra sûrement la même chaleur ce samedi 07 septembre lors d’une fête autour du sport, concoctée par le quartier de l’Horloge à Auxerre.

Présidente du collectif de l’Horloge, qui fédère artisans et commerçants, Corinne LACOUR sera accompagnée de l’édile Guy FEREZ et de l’adjoint aux sports, Yves BIRON. Ensemble, ils accueilleront le vaillant spécialiste de la course d’endurance de la meilleure manière qu’il se doit. En lui remettant la médaille de la Ville lors d’une cérémonie protocolaire prévue en fin de matinée. Coup de chapeau à ce vénérable sportif…


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Dans un pays du Sud-Est asiatique où le taux de croissance avoisine les 7 % du produit intérieur brut chaque année, il semble légitime lorsque l’on représente les intérêts de la France à l’international de s’y installer. Et de s’y développer de manière pérenne en jetant des passerelles sérieuses entre les deux nations. Ce sera chose faite de manière officielle le 12 septembre avec l’inauguration et le lancement de la nouvelle ligne fluviale conteneurisée reliant le port de GRON à Ho Chi Minh…

GRON: Effervescence à prévoir lors de la matinée du jeudi 12 septembre du côté de la zone portuaire de la commune périphérique de Sens. LOGI YONNE et à travers elle, sa nouvelle entité, LOGI VIETFRANCE, porteront sur les fonts baptismaux de la réussite la nouvelle ligne fluviale entre la France et le Vietnam.

Entrepreneur bourguignon que l’on ne présente plus, Didier MERCEY s’est installé en parallèle à Da Nang à l’automne 2018. Pour y essaimer et surtout y créer une structure novatrice, LOGI VIETFRANCE, qui aujourd’hui est à l’origine de ces points de convergence. Une passerelle unique entre la zone portuaire du Sénonais et l’un des secteurs les plus dynamiques du « dragon de l’Asie ».

Depuis la signature d’un accord de libre-échange avec Hanoï, l’Europe voit d’un très bon œil cette nouvelle relation commerciale pour son économie. Et tout particulièrement la France qui entretient depuis longtemps des liens privilégiés avec cette terre d’Asie du Sud-Est.

Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE assistera à la phase inaugurale de ce beau projet qui aura nécessité près de douze mois de réflexion et de mise en place.

Il sera accompagné de l’ambassadeur du Vietnam en France, Son excellence Thiep NGUYEN. Si le ministre originaire de l’Yonne expliquera les opportunités économiques entre les deux états, le diplomate insistera davantage sur les relations existantes entre ces deux partenaires, et de leurs relations qu’il qualifie de prometteuses et à fort potentiel.

Le président de la coopérative agricole YNOVAE, Laurent PONCET, abordera quant à lui le marché exponentiel qui résulte de ces liens d’amitié au beau fixe, notamment à propos de l’orge qui s’y écoule en conteneurs.

Marie-Louise FORT, présidente de la Communauté du Grand-Sénonais, commentera le chargement des premiers conteneurs à destination de l’Asie. Tout cela en présence des représentants de la ligne fluviale et réseau HAROPA à laquelle adhère le port de GRON depuis ses origines et de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, partenaire idoine du développement de ce concept en réussite vers l’exportation.


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La forêt amazonienne est incandescente. Elle brûle, elle se « déforeste ». Comme Madame, selon Bossuet, « Madame se meurt, Madame est morte ». Le poumon vert mondial se dégrade de jour en jour. Bientôt, on pourra dire : « la forêt amazonienne est morte… ». Gabriel Garcia MARQUES écrivait jadis : « Chronique d’une mort annoncée ». Mais, quand même, pour retarder l’échéance, envoyons tout de même ces 20 millions de dollars pour éteindre dès que possible ce sinistre et sauver cet espace si nécessaire à la vie…

TRIBUNE : Jair BOLSONARO, président en exercice du Brésil, ne veut pas de ces 20 millions de dollars de l’aide internationale. D’une part, il ne désire pas d’aumône. D’autre part, la forêt amazonienne est au Brésil. Ce qui veut dire à la fois qu’elle est située au Brésil et qu’elle appartient au Brésil. C’est-à-dire aux Brésiliens dont il est le président. D’ailleurs, Donald TRUMP, président des États-Unis, le soutient et lui a même donné un satisfecit : « Vous faites très bien… ». C’est qu’il s’y connaît en incendies. Il avait déjà donné de judicieux conseils lorsque le feu s’était déclaré à Notre-Dame de Paris. Il mérite à ce titre le sésame suivant : celui de « premier pompier du monde » !

Et la forêt amazonienne dans tout ça ? Expliquons brièvement les choses. Au collège, les adolescents découvrent le cycle du carbone. C’est fascinant. On nous apprenait que les plantes jouaient un rôle essentiel dans ce cycle immuable. On découvrait la vie dans les cours intitulés « biologie ». Ce mot bio est devenu à la mode : agriculture bio, légumes bio, yogourts bio, énergie bio, voitures électriques bio…, « to be bio or not to be ».

Conserver la forêt pour le bien de l’Humanité…

Or, sans la forêt amazonienne, « le monde n’est plus bio » nous disait-on, car elle joue un rôle essentiel à l’échelle planétaire pour le cycle du carbone. Sans forêt amazonienne, nous mourrons tous asphyxiés par nos propres déjections industrielles. Signalons au passage que la France se lamente d’avoir perdu depuis quarante ans deux millions d’emplois industriels. Etaient-ils des emplois industriels « bio » ?

Donc, Messieurs les Brésiliens du pouvoir exécutif, vous devez conserver la forêt amazonienne pour le bien de l’Humanité. Vous êtes les garants du cycle du carbone pour la survie de l’espèce humaine. Et comme nous serons bientôt dix milliards sur Terre, vous voyez tout de suite votre immense responsabilité. Rappelons que vous n’êtes pas les seuls : en Afrique et en Asie, il y a aussi d’immenses forêts équatoriales que l’on pille sans scrupules.

La forêt amazonienne est ce qu’on appelle une ressource naturelle. Les Brésiliens n’y sont pour rien. Elle était déjà là quand les Portugais ont débarqué au XVIe siècle. Ils ont commencé la déforestation pour planter du café et nous leur achetons leur café, soit dit en passant.
Mais revenons à la forêt amazonienne. C’est une ressource naturelle, avons-nous dit. Au même titre que le pétrole. L’acier si utile pour produire nos automobiles ; les terres rares que l’on trouve en Chine pour fabriquer des panneaux solaires qui vont assurer la transition énergétique ; les métaux très précieux pour l’industrie, dont beaucoup sont enfouis dans les sols africains. La liste des ressources naturelles est sans limite.

Faire des propositions concrètes pour sauver la forêt…

Or, ces ressources naturelles, nous les achetons. Personne n’y trouve rien à redire. Les Arabes qui ont, comme disait le général De Gaulle, « du pétrole sous les pieds », en ont multiplié le prix par quatre en 1973. Ils ont refait le même coup en 1977. Personne n’a rien trouvé à redire à cela. Tout le monde a payé sans rechigner. Il en est de même pour toutes les ressources naturelles : on paye et c’est naturel.

Alors, si l’on achète le pétrole aux Arabes et à d’autres d’ailleurs, et toutes les ressources naturelles partout où il y en a, pourquoi n’achetons-nous pas aux Brésiliens le cycle du carbone de la forêt amazonienne ? Pour quelles raisons les Brésiliens seraient-ils garants pour l’Humanité de l’équilibre écologique de la planète à titre gratuit ? Ne trouvez-vous pas finalement que ce serait dans l’ordre des choses ?

Soyons concrets : l’Europe doit réfléchir sans délai à cette question. Les partis écologistes de l’Europe entière doivent établir un plan d’achat du cycle du carbone amazonien. 

Écologistes de tous pays, unissez-vous et soyez en adéquation avec vos idées : sauvez la forêt amazonienne non pas avec des discours mais avec une proposition concrète. 

« Ça représente des milliards » direz-vous. Et alors ? Croyez-vous que la transition écologique n’exige pas des efforts considérables, notamment financiers. On n’a jamais rien sans rien en ce bas monde…

Emmanuel RACINE


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Existe-t-il un quelconque corollaire entre un chef d’entreprise et un coureur de fond de l’extrême ? C’est ce qu’a tenté de démontrer, exemples à l’appui à partir de son propre vécu, le sportif Auxerrois Abder EL BADAOUI lors d’une causerie passionnante face à une vingtaine d’entrepreneurs, réunis sous l’égide du « BGE Club ». Entre motivation et courage, challenge et défi ou encore persévérance et souffrance, il est vrai que les comparaisons laissent augurer de véritables ressemblances entre ces deux pivots de notre société…

MIGENNES : Expliquer la présence du coureur de l’extrême Icaunais devant un parterre de chefs d’entreprise à l’estampille de BGE n’a rien de surnaturel en soi. Tant les similitudes sont frappantes entre ces deux composantes sociétales. Motivation, confiance, volontarisme, concentration, exigence, solitude…chacun sait que le parallèle est très étroit.

Présider à la destinée d’un projet entrepreneurial aujourd’hui s’apparente plus à un épique parcours du combattant à vivre au jour le jour qu’à un long chemin tranquille fleurant bon la sérénité. Parcourir plus de deux mille cinq cents kilomètres à pied afin de rallier le Maroc depuis Auxerre semble surréaliste sur le papier tant le défi dépasse la hauteur d’homme.

Mais, vivre en même temps cette dualité peu commune, c’est-à-dire accomplir l’exploit tout en l’ayant agrémenté d’une recherche de nécessaires sponsors, pourrait en rebuter plus d’un.

Mais, pas lui, Abder EL BADAOUI ! Filiforme, timide d’apparence, le garçon (un sportif hors normes) a su se transcender au plus profond de sa chair pour réaliser ce rêve de gosse. Son rêve à lui de retourner un jour dans sa ville natale en courant !

Audacieux défi physique que celui-ci, saupoudré d’une volonté d’airain infaillible à faire pâlir les plus résistants d’entre nous. Le 05 juin dernier, le sportif de l’Yonne débute son aventure qui le mènera d’Auxerre à Clamecy, terme de la première étape. Vingt-cinq jours plus tard, et sous une température caniculaire subie sur les routes d’Espagne et au royaume chérifien, harassé, meurtri dans son corps par quelques blessures qui le laissent néanmoins de marbre, le valeureux garçon atteint stoïque sa destination finale : BZOU, le village où il a vu le jour.

Reçu comme une star dans son village natal…

Là-bas, à quelques encablures de Marrakech, c’est la liesse générale après un tel exploit qui auréole l’enfant du pays. Celui mené par un homme de tempérament qui derrière sa discrétion, son calme et son humilité à toute épreuve a su faire montre de prouesses inimaginables qui dépassent l’entendement.

Mentales, tout d’abord. Jamais, au grand jamais, il n’a pensé abandonner sur ce chemin de croix, digne du bagne. Physiques, aussi. Ne dit-il pas au détour d’un commentaire à fleur de peau devant un public qui boit ses paroles, que « ses souffrances auront été ses meilleurs compagnons de route… ».

A son actif, EL BADAOUI possède une sérieuse carte de visite. Une trentaine d’années de sport couronnées de succès (Marathon des sables), mâtinée d’un palmarès d’athlète brillant et accompli.

Même s’il sait que le périple sera difficile, le coureur ne s’est pas laissé envahir par le hasard. Tout a été minutieusement préparé en amont de son curieux défi, soit douze mois auparavant.

Sportif, entrepreneur mais avant tout altruiste…

Entraînements intensifs, l’obligeant à courir en distance l’équivalent de deux marathons au quotidien, diététique et nutrition strictes, conseils préconisés par un pseudo coach (un fondu de la course de l’extrême tout comme lui qui a traversé l’Australie de part en part en avalant les 4 400 kilomètres de distance !) Abder construit petit à petit son armure en attendant le jour J.

Soutenu par sa compagne, Christine, encouragé par sa petite fille qui souhaite s’adonner aux joies glissantes du patinage artistique, le champion se forge une carapace indéfectible qui lui permettra d’arriver à bon port jusqu’au bout de l’exploit. Son team est constitué autour de sept personnes. Un chiffre porte-bonheur, pour lui.

Les partenaires ont cru en lui. Lui, l’homme à la tête d’une entreprise si particulière qui l’a mis en scène un mois durant. Ce sera le cas notamment de DECATHLTON, généreux mécène. Mais, l’enseigne ne fut pas la seule à cautionner le projet. D’autres y contribuer à l’instar du Consul du Maroc ou du maire d’Auxerre, Guy FEREZ.

Etre sportif et entrepreneur ne supprime pas le fait d’être avant tout un humain, respectueux et à l’écoute de son prochain. Altruiste dans l’âme, Abder EL BADAOUI ne sera donc pas venu les poches vides dans son village du sud-marocain.

De précieuses fournitures scolaires ont été acheminées par le camping-car qui lui aura servi de refuge salvateur durant cet interminable trajet. Elles ont été distribuées dans l’école élémentaire au profit de gosses qui ont tant rêvé à l’approche de ce coureur des sables, venu d’ailleurs et qui restera à jamais gravé dans leurs mémoires indélébiles…


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Le G 7 se tient à Biarritz… en avant la musique ! Et qui paie les violons du bal ? Comme d’habitude ne cherchez pas ! Est-ce la France, c’est-à-dire les contribuables que nous sommes, c’est-à-dire vous et moi ? Plus ceux qui prêtent de l’argent à notre territoire et qui en sont à plus de 2 000 milliards d’euros de dettes ? Mais, pour être franc : on ne m’a rien dit ! Peut-être, comme au resto « U », les participants ont-ils acheté des tickets et ce sont les citoyens de ces pays qui paient pour leurs représentants ? Ne  rêvons pas !

TRIBUNE : Beaucoup de politologues, d’éditorialistes, de journalistes écrivent que ce type de sommet donne du prestige à la France. Qu’on m’explique en quoi jouer les amphitryons durant deux jours apporte du prestige à celui qui met les petits plats dans les grands ? Mais, le principal sujet c’est que le monde aura les yeux tournés sur nous et sur notre président !

Ainsi, pensez-vous que Donald TRUMP, une fois retourné dans sa Blanche Maison, après avoir goûté nos grands vins fins va décider de ne point les taxer ? De son côté, Vladimir POUTINE qui, lui aussi, a pu apprécier les vins de l’Hexagone et notre gastronomie au Fort de Brégançon, va-t-il mettre un frein à son action en Ukraine et au Donbass ?

Tant qu’à faire, il va également arrêter son soutien à la Syrie : ses avions cesseront sur l’heure de pilonner de pauvres familles dans le dernier réduit d’opposants à Bachar El ASSAD. Voilà déjà deux questions résolues avec les Russes grâce au G7. Mais, continuons d’avancer...

Le président américain n’aime ni les Chinois, ni les Iraniens. Très certainement lors du G 7 va-t-il décider d’enterrer la hache de guerre avec Xi JINPING. Si vous avez des doutes, vous avez tort. Rien de tel qu’un petit G 7 pour changer d’avis ! Les mêmes causes produisant les mêmes effets, très certainement le même Donald TRUMP tendra-t-il la main aux Iraniens en leur disant : « Tout cela n’est qu’un ridicule malentendu. Effaçons tout et n’en parlons plus. Et faisons d’une pierre deux coups. Cessez vos ingérences en Syrie et de vous opposer partout aux Saoudiens sous prétexte qu’ils sont sunnites et vous chiites. Cela n’a pas de sens… ». Grâce à notre G 7 « basco-mondial », on avance, on avance comme le chantait Alain SOUCHON…

Du pain sur la planche pour résoudre les problèmes mondiaux…


Il y a aussi au menu les accords CETA entre l’Europe et le Canada. Ils ne semblent pas plaire à nos agriculteurs. Et comme cela ne suffisait pas pour organiser une concurrence déloyale contre nos agriculteurs, on a ajouté le MERCOSUR, traité de libre-échange avec des pays d’Amérique du Sud. Cela tombe bien. Donald TUSK, président du Conseil européen, sera là et pourra donner son avis. Ça va faire progresser le « Schmilblick » comme aurait dit le regretté COLUCHE.

Angela MERKEL est venue. Elle aussi ne voudrait pas que Donald TRUMP taxe les belles berlines allemandes … ces autos dont des techniciens habiles et malins avaient quelque peu « trafiqué » les systèmes de contrôle aux gaz néfastes…

Boris JOHNSON en profitera pour parler du BREXIT. Discutant avec le président des Etats-Unis, ils conviendront ensemble que, finalement, on s’entend bien entre Anglo-saxons. C’est comme en 1958 quand la Communauté européenne a été créée. Les Britanniques préféraient déjà le « Grand Large » et leurs liens privilégiés avec les Américains.

Les Britanniques avaient refusé alors de s’associer à cette communauté continentale. A l’époque, il se disait dans les coursives : « Vous ne vous entendrez sur rien et vous vous disputerez sur tout ! » (sic).

« Vous voyez, nous avions raison et nous retournons à la case départ. D’ailleurs, le Premier ministre des « Indes » dont notre reine était impératrice, est venu au G 7… ».

Que dire de la présence de Justin TRUDEAU, Premier ministre du Canada ? Lui aussi, à l’instar de Xi JINPING, a des problèmes de taxes avec Donald TRUMP. L’air de la côte basque aidera-t-il à résoudre les problématiques du moment ?

Ah, j’allais oublier l’essentiel : les incendies de la forêt amazonienne. Il y a aussi l’écologie au menu de ce copieux sommet.

Mais, pour que la forêt primaire, véritable poumon de la planète, ne flambe plus au Brésil, il faut que Jair BOLSONARO arrête de couper les arbres. Là aussi, sur ce dossier, un nouvel ordre mondial doit prendre acte à Biarritz. Quand je vous disais que la France allait régler tous les problèmes du monde au G 7 : il y a du pain sur la planche, en effet…

Emmanuel RACINE

 


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