Outre la célébration de son vingt-cinquième anniversaire, le traiteur Icaunais, spécialiste des réceptions familiales et professionnelles, s’est fendu d’un superbe lifting, tant au niveau de sa charte graphique avec la création d’un logo affirmant la dynamique de l’entreprise, que dans l’embellissement de deux de ses boutiques, situées à Paris Daumesnil et à Chemilly sur Yonne. Un air de fête qui ne dépareille absolument pas avec les nouvelles recettes concoctées par les chefs à la veille de joyeuses retrouvailles culinaires…
CHEMILLY SUR YONNE : 2017 n’aura pas été une année identique aux précédentes pour Evelyne et Didier CHAPUIS ! Ni pour l’ensemble des 350 collaborateurs de la structure professionnelle, adhérente au réseau des Traiteurs de France. L’entreprise a en effet célébré son quart de siècle en mai dernier dans le cadre insolite du Musée des Arts Forains à Paris, entre convivialité et moments de partage.
Scellant au passage une volonté forte et mobilisatrice autour de la déclinaison de nouveaux projets. Car chez FESTINS, les dirigeants ne sont jamais à court d’idées !
A travers une nouvelle identité visuelle conçue par une agence de communication parisienne (HOT SHOP), déclinable sur plusieurs thèmes sympathiques où les « petits bonheurs » de l’existence y tiennent une place importante, FESTINS se projette vers d’ambitieuses perspectives sous le signe de l’innovation. Cette cure de jouvence résonne comme un élan fédérateur, en y incorporant des ingrédients faisant référence à l’approche conviviale de l’accueil en boutique mais aussi lors des nombreuses réceptions organisées par l’entité. Tout en optimisant la qualité du service et la quintessence des produits.
Un nouveau site Internet à la tonalité et au style différents…
Cette évolution se constate aussi sur le site de la société. Depuis quelques jours, les internautes ont la faculté de découvrir une ergonomie différente sur l’outil multimédia fréquenté en nombre par la clientèle de particuliers mais aussi par les entrepreneurs. Tonalité et style y diffèrent et démontrent l’adaptabilité des FESTINS à son environnement numérique. Même si l’adresse de référence reste la même : www.festins.fr
Quant au nouvel espace de Paris Daumesnil, il dévoilera sa nouvelle configuration le jeudi 14 décembre en soirée lors de sa phase inaugurale. Entièrement repensée, moderne, fonctionnelle : la boutique de la capitale, à l’instar de celle de Chemilly sur Yonne, offre une vision aboutie d’un professionnalisme très performant.
Créativité, étroite osmose entre les équipes, fertilité de l’imagination, traditions culinaires respectées…ces mots d’ordre incluant la qualité à son paroxysme se retrouveront aussi dans les assiettes des consommateurs en cette période de fin d’année.
Profusion de saveurs nouvelles au moment des fêtes…
Jamais, les chefs n’auront autant mis les petits plats dans les grands en concoctant des recettes succulentes pour ce Noël et Nouvel An ! Avec, dès les entrées froides, une profusion de saveurs originales à partir de gambas à l’émulsion de gingembre et chiboust de topinambour, des délices de homard à la passion, brunoise de haricots verts, mangue et gingembre ou les Saint-Jacques façon thaï accompagnées de polenta moelleuse au paprika fumé. Le pot au feu de homard façon thaï se destine aux amateurs d’entrée chaude.
Du côté des plats de résistance, les toques de FESTINS ont travaillé une approche goûteuse du cabillaud, servant le poisson avec un fumet de champagne et lentilles Beluga, son ying et yang de céleri et encre de seiche. Notons aussi sur la carte quelques recettes savoureuses : le saumon au jus de gambas écrasé de panais au beurre vanillé ; les Saint-Jacques et gambas au gingembre citronnelle, avec maki de champignons ainsi que la volaille farcie aux mandarines confites, servie avec de la polenta moelleuse aux graines de sarrasin.
Une liste non exhaustive de spécialités de premier choix à laquelle il ne faut pas omettre les incontournables recettes d’excellence que sont le chapon fermier et la dinde fermière afin de respecter la tradition des fêtes ainsi que le foie gras nature, concocté à la figue ou à la rose…Bref, les immanquables de l’art gastronomique à redécouvrir sans cesse !
Le module « Montez votre boîte ! » s’est posé dans la capitale de l’Yonne ce vendredi 08 décembre au matin, en réunissant une quinzaine de partenaires institutionnels et consulaires du Crédit agricole Champagne Bourgogne à l’écoute des futurs créateurs/repreneurs d’entreprise du bassin d’Auxerre. Le rythme de ces rendez-vous n’est pas encore arrêté de manière définitive. Mais, d’autres initiatives seront réitérées au cours du prochain semestre dans le département…
AUXERRE : Dès potron-minet ce vendredi 08 décembre, les plus courageux et téméraires des porteurs de projets d’entreprise se sont précipités malgré un froid humide dans une arrière-salle, mise à la disposition des organisateurs, par la Brasserie La RENAISSANCE.
Ils ont pu bénéficier des précieux conseils de partenaires consulaires et institutionnels qui travaillent au quotidien avec les collaborateurs du Crédit agricole Champagne Bourgogne, réunis à cette occasion, dans le cadre de ce nouveau cycle des « Cafés de la Création ».
Cette première rencontre avec les futurs créateurs et repreneurs d’entreprise du bassin auxerrois aura permis à ses participants de profiter des consignes d’usage devant conforter le lancement de leur projet.
Experts-comptables, avocats, notaires, juristes mais aussi membres de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne ou de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat occupaient chacun une table, qui facilitait ainsi les échanges directs avec leurs interlocuteurs avides de renseignements précis.
Accueillis par deux des acteurs de l’établissement bancaire régional, Etienne BERGERE, coordinateur Innovation et RSE ainsi que son collègue, Anthony SISTERNAS, directeur des agences du Grand Auxerrois, les porteurs de projets ont eu tout le loisir de pouvoir s’entretenir avec les incontournables spécialistes de l’entreprise au cours de cette matinée instructive.
Initiative nouvelle ayant déjà été mise en place dans l’Aube et la Côte d’Or, deux des territoires bénéficiant de la couverture professionnelle du Crédit agricole Champagne Bourgogne, le concept des « Cafés de la Création » a été préalablement testé à Avallon il y a quelques semaines. Une vingtaine de personnes en quête d’informations pratiques y avaient participé.
Confirmant par ce biais son ancrage territorial au plus près de l’économie, le Crédit agricole Champagne Bourgogne souhaite initier à travers un écosystème relationnel favorable une dynamique constante autour des apporteurs de projets. Avec un seul credo à l’esprit : le soutien sans bornes à l’attractivité du territoire et à son développement.
Alors que le Conseil d’administration du centre de formation déplore la non-mobilisation récurrente des parents d’élèves, phénomène constaté depuis plusieurs assemblées générales, la structure pédagogique réaffirme, en revanche, sa profonde volonté de s’ouvrir plus largement vers les milieux professionnels et les entreprises en vue de favoriser le soutien de ses opérations. Il est vrai qu’avec son potentiel et ses dix-sept salariés, la MFR du JOVINIEN entend jouer les rôles de premier plan dans l’accompagnement des jeunes générations en proie aux incertitudes professionnelles…
VILLEVALLLIER : « Nous devons nous placer dans un schéma offensif pour obtenir des résultats ! ». La tonalité du propos est sans ambages et traduit la volonté de l’équipe directionnelle de cet établissement du Centre Yonne à se surpasser afin d’engranger une nouvelle dynamique, porteuse d’effets à court terme. Et même si la désaffection des parents d’élèves inquiète quelque peu (bien qu’elle ne soit pas si surprenante que cela en règle générale), le cap semble tracé tout droit pour la Maison familiale et rurale de VILLEVALLIER à l’aune de 2018.
Nonobstant cet état de fait, Sylvie LOGETTE, présidente de la structure, met en garde contre cette raréfaction préjudiciable de la cellule parentale. De moins en moins de représentants familiaux désirent intégrer le conseil d’administration, un outil essentiel et démocratique associé à la bonne gouvernance de cette entité. Or, à l’heure actuelle, ce conseil n’accueille que dix-sept personnes alors qu’il pourrait en recevoir davantage, jusqu’à 24 selon les statuts prévus à cet effet. En dessous de dix membres, le quorum ne serait alors plus atteint et pourrait mettre en péril les aspects fonctionnels de l’institution, avec le risque de bloquer totalement son mode opératoire si l’engouement venait à faire défaut aux personnes de bonne volonté. Hormis cela, côté chiffres, la MFR ne peut se plaindre de l’exercice écoulé.
Des bénéfices, certes, mais une trésorerie malmenée par les obligations sécuritaires…
« Cette année, nous avons réalisé d’excellents bénéfices, à hauteur de 98 000 euros, annonce Yannick VILLAIN, directeur du centre de formation spécialisé dans les métiers agricoles et ceux de la restauration collective, ce bon résultat s’explique en partie grâce à l’action formation due à Pôle Emploi qui nous ramène un chiffre d’affaires s’élevant à 60 000 euros. Cela facilite la croissance de notre activité tout en stabilisant les charges… ».
Néanmoins, il subsiste un bémol de taille dans ce bilan flatteur présenté devant une assistance attentive : la trésorerie qui s’enlise parmi les remboursements d’emprunts réguliers et les investissements nécessaires à la remise à flot d’un bâtiment vétuste du XIXème siècle, devant s’absoudre de ses défauts imputables au temps tout en faisant une cure de jouvence au niveau de ses atouts sécuritaires. Sur deux ans, une enveloppe de 350 000 a été consentie aux améliorations de la sécurité du site qui accueille près de 120 apprenants, de la plus jeune des générations du niveau 4ème et 3ème jusqu’aux élèves des classes de terminale. Sans omettre les professionnels bénéficiant de formations continues dispensées in situ.
Face à cette situation paradoxale, alors que les résultats au niveau de sa pertinence pédagogique se confirment d’année en année, la Maison familiale et rurale demeure de santé fragile malgré ses nombreux projets ambitieux. L’établissement, fort heureusement, ne livre pas une bataille en solitaire contre les aléas de l’existence et de la conjoncture économique. La Région contribue à 70 % à son budget de fonctionnement. Le Département intervient pour 20 %. Des financements proviennent aussi du ministère de l’Agriculture. Pourtant, ces subsides indissociables à la tranquillité opérationnelle du lieu taraudent les esprits de ses dirigeants : comment trouve-t-on l’équilibre au niveau de la trésorerie à terme quand on sait que les enveloppes s’amenuisent ?
« La résolution de l’équation ne passe que par l’adoption de nouvelles stratégies, ajoute Yannick VILLAIN, où il faudra nous adosser sur l’intervention et l’appui de partenaires privés avec des soutiens visibles des entreprises... ».
Référencer le positionnement de la structure auprès des partenaires économiques…
Dès l’année prochaine, la MFR de VILLEVALLIER entreprendra un audit analytique très affiné de ses forces et de ses faiblesses dans le cadre d’un DLA, dispositif local d’accompagnement. Conçu par les Foyers Ruraux, cette étude financée par la Région Bourgogne Franche-Comté occupera des diagnostiqueurs sur l’ensemble de l’année avant qu’ils ne rendent leur verdict décisif. Autre piste de réflexion palpable : le positionnement d’acteur incontournable de la formation agricole sur le territoire de l’Yonne. Mais, aussi sur le secteur de la restauration collective, autre cheval de bataille prégnant du centre.
« Notre objectif est de devenir un véritable laboratoire d’idées, un creuset où les expérimentations techniques soient enfin reconnues par l’ensemble de ces filières professionnelles. Tout en y incorporant des approches actuelles liées à l’environnement comme la déclinaison des aléas climatiques…Demain, nous ne formerons plus des dizaines d’élèves vers les métiers de l’agriculture. Pour diverses raisons et surtout celles qui trouvent leurs explications dans la crise conjoncturelle que vivent ces filières. Par contre, la MFR répondra aux problématiques des professionnels pour recevoir davantage de formations. Nous deviendrons un pôle de ressources agricoles avec notamment le développement de nouvelles formes d’exploitations à l’instar de l’agriculture de conservation… ».
Ce changement d’axe telle la Terre qui assurerait la bascule de ses pôles avec les conséquences que l’on pourrait entrevoir n’est plus un concept aléatoire dans la vision stratégique de la gouvernance de la Maison familiale du JOVINIEN. Au contraire, les responsables du centre ne veulent pas se faire rattraper par le quotidien avec des lendemains qui déchantent. Ils veulent ardemment exprimer leurs réelles ambitions. En se créant de nouveaux enjeux…
Dès le mois de janvier, une vingtaine de circonscriptions bénéficieront de nouveaux dispositifs et de méthodes de travail innovantes au niveau de la sécurité dans le paysage national. Qu’il s’agisse de zones urbaines ou de secteurs ruraux. Cette police, qualifiée de sur mesure par le Ministère de l’Intérieur, devrait apporter à chacun des territoires les réponses appropriées pour restaurer la tranquillité et le retour à la confiance. Histoire de rappeler que le Gouvernement ne demeure pas insensible aux préoccupations essentielles de nos concitoyens, notamment sur le volet sécuritaire. Une explication de texte que le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, a fourni, aux côtés du directeur départemental de la sécurité publique, Thomas BOUDAULT, et du colonel Rénald BOISMOREAU, commandant du groupement de gendarmerie de l’Yonne, aux forces de l’ordre ainsi qu’aux partenaires des instances locales dans un souci de concertation et d’échange…
AUXERRE : Alors que le nombre de cambriolages suscite les plus vives préoccupations chez les forces de l’ordre du département du fait de leur recrudescence, le représentant de l’Etat, Patrice LATRON, a exposé à une centaine de responsables du tissu institutionnel, judiciaire, associatif et de l’entrepreneuriat les contours du nouveau programme en faveur de la police de sécurité du quotidien. Un exercice que le préfet réitèrera par deux fois : devant les policiers du commissariat d’Auxerre (la réunion a eu lieu le 21 novembre) et face aux militaires de la gendarmerie nationale le 06 décembre prochain…
La PSQ repose sur la mutualisation de grands objectifs…
La constitution de cette police de sécurité du quotidien (PSQ) a été définie par le président de la République Emmanuel MACRON durant la campagne électorale au printemps dernier. S’appuyant sur une meilleure connexion entre les forces de police et celles de la gendarmerie, elle reposera sur l’articulation optimisée de ces structures afin de gagner en efficience tout en étant recentrée sur ses missions premières. Cette police de demain sera mieux équipée, mais aussi mieux protégée, et exercera son travail avec l’ensemble des acteurs publics ou privés, et non côte à côte comme c’est encore le cas à l’heure actuelle…
Bref, ce lifting ô combien nécessaire arrive à point nommé pour renforcer l’efficacité des forces de l’ordre dans l’accomplissement de leurs missions quotidiennes, et surtout lui restituer ses lettres de noblesse. D’ailleurs, Emmanuel MACRON avait formulé son intention dans un discours datant du 18 octobre, « d’agir efficacement pour redonner la confiance aux Français sur la capacité de l’Etat à les protéger et à réduire ce sentiment d’insécurité ressentie par les concitoyens face à la menace terroriste mais aussi vis-à-vis des infractions commises journellement… ».
Par ce dernier terme, il faut englober tout ce qui fait naître un sentiment d’insécurité chez les Français : les infractions routières, les cambriolages, mais aussi les implantations et campements illicites, les rodéos sauvages, les occupations de halls d’immeubles, les incivilités dans la rue et les transports, et naturellement, afin d’être raccord avec les soubresauts de l’actualité, le harcèlement des femmes dans la rue.
Une visibilité des forces de l’ordre qui va se renforcer…
Au cours de cet exercice de concertation, le préfet de l’Yonne, Patrice LATRON, a souhaité donné la parole à l’ensemble des participants. Mais, il écoutera avec grand intérêt dans le même temps les représentants des forces de l’ordre pour s’assurer que l’évolution de leurs missions sur le terrain soit au plus proche de leurs besoins et de leurs attentes.
Cette modernisation de la sécurité quotidienne en France passe par cette réflexion entre tous les acteurs même si des choses se pratiquaient déjà en fonction du bon sens et de l’intérêt général. Mais, cette fois-ci, avec le programme PSQ, les représentants des forces de l’ordre (policiers et gendarmes) ont envie d’inscrire durablement dans le marbre ces prérogatives.
Comme le précisait en aparté lors de la conférence de presse, le commissaire Thomas BOUDAULT, « la police est déjà engagée dans la concertation et un travail de proximité avec les représentants des forces économiques, tels que les artisans et les commerçants ».
L’apport de nouveaux outils numériques, on pense à la tablette digitale « NEO » qui équipe les forces de l’ordre, est un précieux auxiliaire pour mener à bien ces diverses missions. Mais, d’autres pistes existent à l’instar des unités équestres sur les lieux à forte concentration ou les forces circulant en VTT : mais, pour l’heure, ces dispositifs ne sont pas encore programmés dans l’Yonne.
On ne sait pas également si le département du nord de la Bourgogne Franche-Comté intègrera la liste de cette vingtaine de circonscriptions nationales devant servir de test expérimental dès janvier prochain.
Des expérimentations citoyennes observées dans les communes…
Une chose est sûre : les contrevenants ne connaîtront plus de répit dans un avenir proche car les forces de l’ordre intensifieront leur présence sur le terrain dès 2018. Notamment dans le domaine des infractions imputables au Code de la route. Quant aux effectifs, ils devraient croître puisque 10 000 nouveaux fonctionnaires, candidats à l’embauche, ont été programmés durant le quinquennat dont 1 800 dès 2018.
Enfin, sur le volet des cambriolages, des efforts supplémentaires et le renforcement de la coordination police/gendarmerie occuperont les esprits des cadres des forces de l’ordre au cours de ces prochaines semaines. Des propositions seront également faites auprès des élus des municipalités afin de susciter la mise en place de moyens à vocation citoyenne (signalement des voisins, auto-surveillance…). Une quarantaine de communes ont adopté ce processus de partenariat civique avec beaucoup de réalisme et efficacité : le nombre de cambriolages a ainsi diminué de plus de 70 % dans ces bourgades de l’Yonne.
AVALLON : La valorisation des artisans et industriels de l’Avallonnais, positionnés sur la filière bois, se concrétisera d’ici la fin de l’année par la conception d’une production filmographique.
C’est ce que vient de confirmer la coordinatrice et animatrice de la Chambre économique de l’Avallonnais (CEA), Céline LO, en marge de la récente manifestation, concoctée à l’Hôtel d’entreprises d’Avallon, dans le cadre de la Semaine régionale de la création/reprise d’entreprise.
La CEA soutient depuis plus d’un an toutes les initiatives en faveur de ce segment d’activité très important dans ce secteur géographique, particulièrement boisé. Cette démarche promotionnelle autour des métiers de la filière bois a reçu le concours de plusieurs partenaires institutionnels, à commencer par la DIRECCTE et les services d’informations économiques de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne.
En cours de tournage depuis plusieurs semaines, ce court métrage d’environ deux minutes et trente secondes dans sa configuration définitive expliquera de manière dynamique et ludique la conception d’objets en bois, depuis l’élevage des essences sur les contreforts du Morvan jusqu’aux différentes phases de conception artisanale et industrielle locales. Un volet concernant la transmission d’entreprise, autre axe fondamental de l’action quotidienne de la Chambre économique de l’Avallonnais, y sera aussi évoqué.
Concernant les impératifs temporels, ce film devrait être bouclé avant la fin de l’année et exploité au niveau de sa diffusion par l’intermédiaire des réseaux sociaux des différents partenaires réunis sur ce projet. A ce jour, la Chambre économique de l’Avallonnais, présidée par l’artisan et chef d’entreprise, Jérôme MARCHAND, n’a pas encore acté sur la présentation officielle et publique de cet opus…