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Comme  de coutume, à chaque déplacement d’une personnalité ministérielle prévu dans l’Yonne, le programme de la journée s’avère plutôt serré côté timing pour le représentant du gouvernement. Elle n’aura donc pas une minute à perdre, la Secrétaire d’Etat en charge de la Ruralité, Dominique FAURE. Une plongée lors de l’assemblée générale des Maires Ruraux, le matin à Auxerre, avant de poursuivre le tantôt par une exposition culturelle, suivie d’une rencontre concoctée autour de l’économie sociale et solidaire…

 

AUXERRE: Elle ne possèdera guère de temps pour s’entretenir sur l’objet de sa visite avec les représentants de la presse, la Secrétaire d’Etat en charge de la Ruralité !

Il suffit de parcourir dans le détail le programme de sa visite officielle qu’elle accorde ce lundi 14 novembre en journée à notre territoire pour bien comprendre que « la montre » sera une alliée de circonstance lui permettant de bien respecter le déroulé de cette immersion en terre icaunaise avant de regagner la capitale.   

Poursuivant son tour de l’Hexagone, plutôt côté ruralité, qu’elle a entrepris depuis sa prise de fonction à ce poste, Dominique FAURE se posera donc quelques heures dans le département le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté – et d’évidence le plus proche de Paris – afin d’y approfondir son évaluation de l’agenda rural.

Une visite qui débutera en fin de matinée par les travaux de l’assemblée générale de l’Association des Maires Ruraux de l’Yonne – cela se déroulera dans l’amphithéâtre du « 89 » à Auxerre - une structure présidée par le maire de Rosoy Dominique CHAPPUIT. L’idéal en somme pour prêcher la bonne parole de la ruralité et de son évolution auprès des élus du terroir !

 

 

Deux temps forts à Gurgy et à Rosoy pour la Secrétaire d’Etat…

 

L’après-midi se décomposera en deux temps. Primo, la ministre se rendra dans le fief de Jean-Luc LIVERNEAUX, dans la commune où il exerce la fonction d’édile depuis les dernières municipales : c’est-à-dire Gurgy. Une localité connue et reconnue pour sa dimension culturelle et l’attractivité touristique qui y en découle. C’est précisément dans l’espace dédié qui accueille les manifestations artistiques que Dominique FAURE découvrira la nouvelle exposition « Paysage ». Elle n’aura malheureusement pas le temps de flâner un peu sur les bords de l’Yonne si bucoliques…

Aux alentours de 15h30, le cortège ministériel devra être arrivé un peu plus haut dans le département, à Rosoy, où Dominique CHAPPUIT l’accueillera afin de lui faire découvrir le site de l’école primaire qui dispose d’une classe d’élèves en situation de handicap. Un établissement qui s’est également ouvert à la pratique du « coworking » et au garage solidaire.

Le tout se terminera par un échange nourri autour de l’ESS, l’économie sociale et solidaire, avec les acteurs d’une structure associative locale qui en appliquent les préceptes dans leur quotidien.

 Au passage, Dominique FAURE recevra de précieuses informations sur l’histoire de la commune. Une manière de parfaire ses connaissances de cette ruralité dont elle défend les intérêts via ce maroquin ministériel…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Villevallier est l'une des « capitales » icaunaises du ski nautique, à la belle saison. Mais pas que. S'y dresse depuis de longues années, « Le Pavillon Bleu », un hôtel-restaurant désormais sans hôtel ! Dans les années 50, l'établissement fut même étoilé au Michelin. Le chef PRIAD et sa brigade y proposaient des escargots de Bourgogne, des andouillettes grillées et le poulet au chablis. Pour réserver : il fallait demander le « 72 » par Saint-Julien-du-Sault. En 1993, l'établissement ne possède plus d’étoile mais il y est toujours référencé avec sa vingtaine de chambres...


VILLEVALLIER : Oui, mais ça, c'était avant pour cet établissement connu et reconnu par la clientèle locale. Las. Bien décrépi, il ferma ses portes voici environ trois ans. Il ne doit sa réouverture récente qu'à un jeune couple entreprenant.

La façade est toujours un brin défraichie. Mais le panneau ouvert encourage à en pousser la porte ! La salle aux tons blancs et bleus - forcément ! - a retrouvé quelques salutaires couleurs.

 

 

D’impeccables œufs en meurette comme il se doit !

 

Au déjeuner, il existe une formule à 14,90 euros (plat et dessert) et ce midi-là, le bœuf bourguignon de la table voisine dégageait un joli fumet.

Je choisis alors la courte carte, désireux de commencer par les œufs en meurette. La sauce est « nappante », un rien acide comme il se doit, mais il manque quelques croûtons aillés, en lieu et place de simples rondelles de pain. Les œufs sont bons et impeccablement cuits.

 

 

Ah, ces frites croustillantes et moelleuses d’anthologie !

 

Le chef étant un ancien boucher local - du magasin « Intermarché » voisin je crois -, je choisis ensuite un plat classique de la cuisine française, désormais un rien has-been, le steak-frites !

Hélas ce jour-là, point d'estragon et pas de sauce béarnaise pourtant annoncée sur le  menu. La bavette arrive impeccablement saignante, avec une salade verte bien assaisonnée et des frites maison d'anthologie, taillées façon pommes pont-neuf. Elles sont croustillantes et moelleuses à souhait ; elles sont délicieuses et appréciées aussi, comme elles le méritent, par la table voisine.

« Associé communément aux frites, le bifteck leur transmet son lustre national. La frite est nostalgique et patriote comme le bifteck. La frite est le signe alimentaire de la francité (Roland BARTHES, « Mythologies », publié en 1957).

 

 

 

Nul besoin de crème chantilly sur une excellente mousse au chocolat faite maison !

 

En dessert, la mousse au chocolat – elle est faite maison – possède une belle texture, ne nécessitant pas de la surmonter d'un brin de crème chantilly industrielle, car elle se suffit largement à elle-même, étant très bonne.

« Le Pavillon Bleu » est l'unique commerce du village. Autour, pour se restaurer, il y a encore le « Four à Chaux » à Armeau mais qui va fermer bientôt cause de la retraite de son propriétaire. A Villecien, le dernier service de l'auberge villageoise remonte à .... ?

 

 

En 2023, la terrasse accueillera les convives…

 

Aussi, l'on ne peut qu'encourager nos néo-restaurateurs à perdurer à Villevallier. Quelques petits réglages sont inhérents à tout début dans la vie professionnelle, quoi de plus normal !

Vous qui passez par-là, via la D 606, sachez-la quitter avant l'impitoyable radar pour venir vous y attabler !

Pour la terrasse, il va cependant falloir attendre 2023 ! Alors, à bientôt au « Pavillon Bleu », le bien-nommé.

 

 


En savoir plus :

 

Les - : le menu/carte à 31,50 euros semblerait plus approprié à 28 euros.

Les + : le service est aimable et souriant. Bravo pour ces superbes frites, vraiment ! Elles font honneur à la jeune maison…

 

 

Contact :

 

Le Pavillon Bleu

31 Rue de la République

89330 VILLEVALLIER

Tel : 03.86.80.00.80.

Ouvert du mardi au dimanche midi ainsi que les vendredis et samedis en soirée.

 

Gauthier PAJONA


 

 

 

 

 

 

 

 


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Trois semaines après sa prise de fonction en Bourgogne Franche-Comté, le nouveau préfet de Région Franck ROBINE multiplie déjà les visites, notamment dans des lieux stratégiques qui ont pour dénominateur commun, l’hydrogène. Présent il y a quelques jours, sur le Territoire de Belfort pour y découvrir les multiples facettes de la plateforme de recherche « FC-Lab », le haut-fonctionnaire s’est immergé, mercredi, à Auxerre pour y visiter la prometteuse station « AuxHYgen »…

 

AUXERRE: « Le président-maire de l’Auxerrois prend des risques et je salue sa prise d’initiatives… ». Ainsi parle le préfet de Région Franck ROBINE, nouveau représentant de l’Etat à la tête de l’une des contrées régionales les plus réceptives au développement de la nouvelle ressource d’énergie qu’est l’hydrogène, c’est-à-dire la Bourgogne Franche-Comté !

Sans faire de triomphalisme excessif, il est vrai que ce territoire du quart Grand-Est de l’Hexagone a depuis le début des années 2000 prouvé une certaine appétence envers cette ressource énergétique que l’on peut qualifier de prometteuse à bien des égards dans de nombreux domaines d’exploitation.

Une ressource qui est devenue par ailleurs le cheval de bataille stratégique du Conseil régional et de sa présidente, la franc-comtoise Marie-Guite DUFAY qui plaide en sa faveur depuis sa première mandature. Et fort heureusement, elle n’est pas la seule à en faire l’écho…

 

 

La station hydrogène, étape légitime de la visite du préfet de Région…

 

Vu de l’Yonne, Guy FEREZ, dans un premier temps, puis Crescent MARAULT lui emboîtant le pas après son accession à la Ville d’Auxerre et à l’Agglomération de l’Auxerrois dès 2020 se sont distingués eux-aussi en faveur de cette ressource qui symbolise l’avenir.

Mieux : Auxerre peut se targuer d’avoir accueilli au plan hexagonal la toute première station hydrogène, un concept aux ramifications nombreuses et productives quant à ses potentialités.

Lors de son premier déplacement en terre icaunaise en sa qualité de patron de la préfectorale de la région, l’ancien collaborateur de l’ex-Premier ministre Jean CASTEX ne pouvait pas décemment manquer un rendez-vous aussi important avec l’hydrogène dans l’Yonne. Il s’est donc rendu sur le site installé près de la pépinière d’entreprises de la CCI, « AuxHYgen ».

 

 

Il y fut accueilli par le maire d’Auxerre Crescent MARAULT qui lui présenta avec moult détails les diverses potentialités existantes dans le futur proche pour l’Auxerrois à travers son réseau de mobilité.

Une visite qui se poursuivit dans l’un des quartiers de la capitale de l’Yonne, aux côtés du préfet Pascal JAN et des élus communautaires, celui de Sainte-Geneviève en phase de restructuration afin de l’ouvrir au reste de la ville.

 

 

L’enseignement supérieur qui s’ouvre davantage à Auxerre : un plus pour l’attractivité !

 

En sus, Franck ROBINE a eu vent de l’ouverture de nouvelles offres d’enseignement supérieur sur la place auxerroise, notamment le projet pédagogique soutenu par le Conseil départemental de l’Yonne avec l’installation d’une session de première année de médecine à Auxerre – elle sera aussi effective à Sens – et ce dès l’automne 2023, en accointance avec l’Université de Dijon.

Un projet qui a fait tilt à l’oreille du nouveau préfet de Région, satisfait de cette initiative qui se situe en parfaite harmonie avec l’attractivité du territoire dont il soutient les principes…

 

Thierry BRET

 


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De la passion. De l’envie, aussi. Partagée avec gourmandise qu’elle soit vineuse ou sportive par une multitude de personnalités, issues de la sphère institutionnelle, associative et économique du territoire. Tous sont réunis pour cette opération de séduction montée par les services du Conseil départemental, accueillie dans le cadre champêtre du Domaine Jean-Marc BROCARD. Les Jeux prennent leur envol dans l’Yonne, c’est une certitude : le futur évènement planétaire vient d’y frapper les trois coups…

 

PREHY : « Cela fait chaud au cœur ! ». Seul à la tribune, après la présentation de quatre tables rondes explicatives concernant les finalités du projet et de ses implications territoriales, il revint au président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD de conclure une soirée évènementielle qui avait revêtu le sceau du succès.

Du monde, beaucoup de monde – peut-être un peu trop eu égard au nombre de chaises disponibles pour accueillir les invités ?! - représentatif du terroir icaunais avait décidé de converger vers l’espace champêtre du Domaine Jean-Marc BROCARD pour assister à cette animation unique et que l’on ne verra pas de sitôt, le lancement de « Terre de Jeux 2024 ».

Un ambitieux programme dans lequel le département le plus septentrional de la Bourgogne Franche-Comté et le plus proche de la capitale ne pouvait se soustraire. Il y a trouvé ses marques selon la fameuse phrase chère aux sportifs. Grâce à l’impulsion d’un Conseil départemental qui s’est engouffré dans la brèche offerte par l’alléchant concept participatif imaginé par le Comité national Olympique et Sportif hexagonal.

 

 

Le relais de la flamme : l’Yonne doit être vue de tous !

 

Mardi, en début de soirée au beau milieu du vignoble – un paysage qui incarne le mieux ce que représente l’Yonne et ses richesses -, et non loin d’une église qui égrenait régulièrement le carillon de l’espérance, Patrick GENDRAUD a pu dévoiler les enjeux de ce projet « Yonne Terre de Jeux 2014 », se situant bien au-delà du seul volet sportif.

Un ensemble d’idées qui vont s’articuler autour d’un programme d’actions destinées à valoriser la dynamique et l’attractivité de notre territoire.

« Tout le monde est là, les forces vives, les industriels, les représentants de la culture, ceux du tourisme : c’est formidable ! ».

Ne dissimulant aucunement sa satisfaction, le patron de l’exécutif départemental s’est donc réjoui de l’organisation de cet évènement, fédérateur à plus d’un titre derrière les valeurs chères à Pierre de COUBERTIN.

Un clin d’œil sympathique adressé à l’inoxydable ambassadeur du sport icaunais – l’ancien coach de l’AJ Auxerre Guy ROUX qui se lèvera brièvement de sa chaise afin de saluer l’assistance -, avant que Patrick GENDRAUD ne délivre quatre messages, succincts mais ô combien importants pour la suite des évènements.

Le premier d’entre eux se rapporte à l’existence d’un label « Yonne 2024 » que souhaiterait mettre en place l’élu de l’Yonne. Destiné au monde économique, ce signe distinctif serait apposé sur chacune des manifestations qui seraient désormais organisées à l’avenir par les entreprises du département. Voire, sur les produits à l’estampille du made in Yonne qui seraient commercialisés. Une labellisation qui traduirait la fierté d’appartenance à ce territoire et qu’il serait judicieux d’afficher.

Second point : le relais de la flamme.

« C’est un engouement extraordinaire, souligna Patrick GENDRAUD, l’Yonne a été retenue par les organisateurs et verra passer la flamme olympique sur son territoire. Il faut que nous soyons vus de tous, l’Yonne doit être vue ! ».

 

 

« Terre de Jeux » : au-delà de l’attractivité, il faut véhiculer la paix…

 

Quant au troisième message, qui n’a rien de prophétique à la manière de celui qui fut délivré à Fatima, il concernait la constitution d’une équipe, fédératrice et unie en bloc derrière le projet.

« Vous êtes tous là, vous formez la « team » ! Certes, c’est de l’anglais mais on a le mot équipe qui nous rassemble : il nous faut donc créer le club des partenaires parce qu’on a le droit d’y croire… ».

Qualifié de plus important, le quatrième message délivré par Patrick GENDRAUD est lié à la stratégie de communication mise en place par l’appareil institutionnel départemental.

Dans les faits, un site multimédia sera opérationnel dès le premier janvier 2023 avec une newsletter et de multiples points d’entrée afin d’amplifier le label « Terre de Jeux » dont profite dorénavant notre territoire.

Rassembler toutes les intelligences et les bonnes volontés autour de ce concept novateur, « Terre de jeux », devient un axe stratégique fondamental pour le président de l’exécutif, adepte inconditionnel de la pétanque mais amoureux du football ! Il ne manquera pas de le signaler lors de cette soirée de lancement.

Le président du Conseil départemental termina son discours en faisant allusion au sens premier de l’olympisme, cet état d’esprit exhumé par le baron Pierre de COUBERTIN lors des Jeux modernes d’Athènes de 1896, à savoir la trêve.

« Nous vivons des moments difficiles avec des guerres ; les Jeux Olympiques sont l’occasion de faire la paix. Ce sont des rencontres fraternelles entres des femmes et des hommes, dans l’amitié et la solidarité. Nous avons besoin de paix. Et c’est dans cet esprit-là que je veux placer notre engagement dans ce projet « Terre de jeux ». Et que je vous associe à cette volonté que nous avons tous… ».

De l’humanisme et de la sagesse, au-delà de l’attractivité, voilà ce que véhicule le concept « Terre de Jeux », en somme…Un projet consensuel, forcément.

 

Thierry BRET

 

 


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Il ne tarit pas d’éloges sur les bienfaits de l’entreprise, le maire de la petite commune de Sury-près-Léré, Pascal VIGUIE ! Située près de La Celle-sur-Loire, la collectivité n’a pas hésité à faire appel, après les consultations d’usage, à une toute nouvelle structure entrepreneuriale, implantée dans l’Yonne depuis 2020. Son nom, elle le signe à la pointe de son jet d’eau qui lui permet de redonner une cure de jouvence aux toitures et façades de tout type d’édifices, « PULVERY CLEAN ».

 

AUXERRE : Les avis convergent tous dans la même direction. Du positivisme à l’état brut, à n’en plus finir ! Que ce soit les commentaires enthousiastes formulés par un élu de la campagne berrichonne ou ceux d’une particulière ayant eu recours à ses services pour le compte de sa génitrice, le concept novateur de la franchise « PULVERY CLEAN » les aura donc bluffés !

« Que dire de cette technique sinon que du bien ? » affirme l’un de ces témoins s’exprimant sur le site de la marque, encore toute juvénile puisque apparue pendant la cruciale période de la COVID.

Opérationnelle depuis le mois de juin 2020 – l’entité devra quand même s’armer de patience en traversant les épisodes successifs des confinements -, « PULVERY CLEAN » positionne son offre de service sur le nettoyage des toitures et façades de toute typologie de bâtiments. Des maisons individuelles aux logements collectifs, des ouvrages professionnels à ceux qui accueillent des collectivités, voire des monuments historiques et patrimoniaux : rien n’arrête l’appétit croissant de cette entreprise à qui tout semble réussir.

 

 

Les toitures retrouvent leurs couleurs comme les façades des maisons…

 

A la base de ce concept qui se meut dorénavant à travers l’Hexagone par le biais d’une franchise en pleine expansion de semaine en semaine, il y a une technique. Pas n’importe laquelle, visiblement puisqu’elle autorise même la pratique d’une politique tarifaire plus que raisonnable pour la qualité de ses prestations rendues. Ce qui fait des heureux parmi les bénéficiaires, on en aurait douté !

« Le dispositif repose sur l’utilisation d’un matériel autonome développé en interne, permettant de projeter du produit nettoyant jusqu'à dix à douze mètres de hauteur. L'utilisation de ce matériel autorise une mise en chantier rapide et se traduit pour la clientèle par le prix au mètre carré le plus bas du marché. Outre le matériel, les produits utilisés ont été développés en partenariat avec un chimiste. Ils sont sans chlore, ni javel (des produits agressifs qui rendent les matériaux poreux) et sont biodégradables quasiment en intégralité sous un délai d’un petit mois… ».

 

 

 

Ainsi s’exprime Francis MOREAU, l’un des trois codirigeants de cette jeune société. Avec Serge GOUSSE et Laurent PICOUET, à eux trois ils nourrissent de sérieuses perspectives pour leur « dernier né ». Cet outil, dont ils sont fiers.

Notre interlocuteur qui a pris à sa charge tout le développement commercial du concept et sa stratégie de communication, ajoute : « dans le cadre des opérations de « démoussage », traitement de toitures, façades et terrasses, une fois le produit appliqué, Dame nature « se charge » du nettoyage qui se fera naturellement au cours des semaines qui suivent. A terme, les toitures retrouvent leurs couleurs, comme les pignons ou façades des maisons... ».

 

 

Des secteurs offrant un panel de 45 000 maisons individuelles et 150 000 habitants…

 

Mazette ! A l’écoute de ces précisions techniques, on a l’impression d’être en face d’un produit « miracle », d’un de ces ingrédients révolutionnaires à souhait dont on ne connaîtra in fine pas la véritable composition chimique et qui fait de cette activité très spécifique de l’entreprise un particularisme de niche où elle n’a pas de concurrence frontale à travers l’Hexagone ! Donc, en résumé, c’est un atout précieux pour le développement de la franchise qui en découle.

Le hasard de la vie aura bien fait les choses, en vérité. Réunissant sur la même longueur d’ondes Serge GOUSSE, porteur initial du projet, et Francis MOREAU, qui exerçait à l’époque des activités de consulting au sein de sa propre structure. Viendra se rajouter dans cette aventure le troisième contributeur à la réussite de ce concept, Laurent PICOUET que le landerneau économique de l’Yonne connaît bien, à juste titre, pour le développement de la franchise de coiffure, YSEAL à l’échelle hexagonale.

La franchise qui a désormais le vent en poupe pose ses premiers jalons auprès de personnes franchisées. Elles sont à La Rochelle, à Marseille, du côté de Fontainebleau ou de Besançon. De ces contacts judicieux naissent de nouvelles vocations et de réelles opportunités de développement pour la toute jeune enseigne. L’Yonne, et pour cause, ne déroge pas à la règle puisque la découpe territoriale offre l’opportunité à trois franchisés de se distinguer professionnellement. Le terrain de jeu sectoriel permet l’exclusivité, il correspond à l’exploitation d’un panel de 45 000 maisons individuelles (soit un potentiel de 150 000 habitants). Un sacré grain à moudre pour celles et ceux qui croient en la marque et à son principe de nettoyage innovant !

« On est loin de connaître le réel potentiel business offert par la franchise, confie Francis MOREAU, pourtant un spécialiste des « business plan », on estime qu’une personne seule peut dès la première année atteindre un chiffre d’affaires de 150 000 euros… ». Ce qui n’est non négligeable, convenons-en !

Le droit d’entrée reste minime, s’élevant à 5 000 euros, c’est tout. Mais, attention, cela ne devrait pas durer car la valeur de « PULVERY CLEAN » commence à s’affirmer bien au-delà des frontières de l’Yonne où elle a vu le jour. Prometteur…

 

Thierry BRET

 


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